:storygreen: :s3: 🏀 :usa: Les Wolves dans le Wild Wild West

@Pikouse @JoeLaTrompe Ouais, gros dĂ©but de saison pour Edwards. J’en attends beaucoup de sa part, mais pas autant non plus :sweat_smile:
Plus tard, il dira qu’il Ă©tait le seul de sa gĂ©nĂ©ration Ă  avoir des skills en fait :eyes: :joy:

2 « J'aime »

Sans titre

GROS PLAN : Anthony Edwards

A 23 ans, Anthony Edwards est aujourd’hui LA star des Minnesota Timberwolves. Si ce constat peut paraĂźtre Ă©vident, son parcours est quant Ă  lui loin de l’ĂȘtre.

SurnommĂ© Ant-Man dĂšs sa plus tendre enfance, il est le petit dernier d’une grande fratrie dans un État du Sud, la Georgie. Edwards fait ses premiĂšres gammes dans le sport le plus populaire, Ă  savoir le football amĂ©ricain. Mais c’est en regardant ses grands frĂšres jouer au basket qu’il dĂ©cide de s’y mettre. Il veut jouer comme eux, dunker comme eux, ĂȘtre aussi cool qu’eux. Ainsi, il joue contre eux, mais ne les bat jamais.

MalgrĂ© son jeune Ăąge, il traverse de rudes Ă©preuves, en perdant successivement sa mĂšre, sa grand-mĂšre et l’une de ses grandes sƓurs. Envahi par la peine, il se rĂ©fugie dans le basket et travaille comme un acharnĂ©, pour elles. Evidemment, il progresse de façon fulgurante, brisant toutes les barriĂšres se prĂ©sentant face Ă  lui. A propos de cette pĂ©riode, il dira plus tard :

« Je viens de rien. Ma mÚre travaillait toute la journée, ma grand-mÚre travaillait toute la journée. Alors, le simple fait de les voir travailler dur me fait travailler encore plus dur maintenant. »

Avec son passĂ© au foot US, il est dĂ©jĂ  un monstre de physique. Et en progressant dans le jeu, sa confiance grandit. Il commence alors Ă  dominer tous ses adversaires, dans toutes les catĂ©gories de jeune, dans tous les tournois. A tel point qu’il devient le lycĂ©en classĂ© n°1 dans tout le pays. Les plus grandes facs lui font la cour. Si cela conviendrait Ă  beaucoup de jeunes de son Ăąge, il ne se repose pas sur ses lauriers, au contraire, il continue de travailler aussi dur.

Edwards Georgia

AttachĂ© Ă  ses racines, il choisit de dĂ©fendre les couleurs de la fac de Georgia. LĂ  encore, il Ă©crase tout sur son passage. Outre ses qualitĂ©s de jeu, ses coachs et ses proches louent sa grande maturitĂ© et sa force de travail. Ainsi, il n’est pas rare de le voir s’entraĂźner aprĂšs minuit, ou tĂŽt le matin. Il cherche constamment Ă  gommer ses imperfections. Avoir les lumiĂšres braquĂ©es sur lui ? “Je veux juste venir et jouer [
] Je n’aime pas ĂȘtre entourĂ© de gens qui me disent constamment combien je suis bon”.

AprĂšs sa seule et unique saison Ă  la fac, il choisit logiquement de se prĂ©senter Ă  Draft 2020, oĂč il est sĂ©lectionnĂ© en 1ere position par des Timberwolves au fond du trou.

Sa premiĂšre saison NBA est trĂšs bonne pour un rookie, Ă  19.3 pts et 4.7 rbds de moyenne. Cependant, Minnesota ne dĂ©colle pas (23 victoires), et le trophĂ©e de Rookie de l’annĂ©e lui Ă©chappe. C’est LaMelo Ball qui s’en empare, grĂące Ă  une saison Ă  15.7 pts, 5.9 rbds, 6.1 pds, et un meilleur bilan de son Ă©quipe.

Sa deuxiĂšme saison 2021-2022 est meilleure (21.3 pts, 4.8 rbds, 3.8 pds). En plus, Minnesota sort enfin de son marasme avec 46 victoires. EntourĂ© notamment de Karl-Anthony Towns et D’Angelo Russell, l’équipe atteint les playoffs aprĂšs ĂȘtre sorti du play-in, mais sort au premier tour contre Memphis (4-2). Pour l’occasion, Edwards parvient Ă  Ă©lever son niveau de jeu en atteignant 25.2 pts sur ce premier tour.

Dans la lignĂ©e de ces playoffs, Ant-Man est de plus en plus important dans le jeu des Wolves (24.6 pts, 5.8 rbds, 4.4). Il dĂ©croche d’ailleurs sa premiĂšre sĂ©lection au All-Star Game 2023. Si la saison de Minnesota est lĂ©gĂšrement moins aboutie (42 victoires), l’équipe parvient tout de mĂȘme Ă  accrocher les playoffs. Cette fois-ci, c’est Denver, en futur champion, qui sort sĂšchement Edwards et ses coĂ©quipiers (4-1). Cependant, s’il y en a un qui n’a pas dĂ©mĂ©ritĂ©, c’est bien lui, auteur de 31.6 pts, 5.0 rbds, 5.2 pds sur la sĂ©rie !

La saison passĂ©e est la plus aboutie de sa jeune carriĂšre, Ă  la fois individuellement (25.9 pts, 5.4 rbds, 5.1 pds), mais aussi en Ă©quipe (56 victoires). 3Ăšme de la confĂ©rence est, les Wolves sortent facilement les Suns au premier tour des playoffs, avec un sweep (4-0). Pour le second tour, Ant-Man et son Ă©quipe prennent leur revanche sur Denver, alors champion, au terme d’un game 7. Ce sont finalement les Dallas Mavericks de Luka Doncic qui auront raison de Minnesota (4-1).

Si Anthony Edwards est une jeune superstar de la NBA, bourrĂ© de qualitĂ©s, il n’a pas sa langue dans sa poche. Un florilĂšge de quelques unes de ses dĂ©clarations :

« Je suis prĂȘt Ă  dĂ©fendre contre n’importe qui. J’essaie de gagner. Quel que soit leur meilleur joueur, mettez-moi sur eux. »

Quand on lui demande quel est le joueur le plus difficile Ă  dĂ©fendre : « Moi-mĂȘme. »

« Je ne pense pas que [Michael Jordan] puisse me défendre. »

3 « J'aime »

Et Edwards fait un super début de saison en vrai ! 27, 32, 24, 37 points pour commencer la saison !

1 « J'aime »

C’est vrai ! A voir ce que va donner la suite, car pour le moment, l’impression visuelle n’est pas terrible au niveau collectif.
Par contre, individuellement, le garçon est monstrueux, on sent qu’il est au-dessus !

1 « J'aime »

:joy: il en joue c’est sĂ»r mais c’est le genre de phrases qu’adorent les AmĂ©ricains!

1 « J'aime »

@toopil Clairement, et lui c’est une pĂ©pite pour ça :sweat_smile:
D’ailleurs, il est dans le documentaire Netflix

Sans titre

BILAN DECEMBRE

Sur sa lancĂ©e, aprĂšs un excellent dĂ©but de saison, Minnesota confirme et clĂŽt son annĂ©e civile avec un bilan de 24 victoires et 8 dĂ©faites, soit 9-4 pour le seul mois de dĂ©cembre. Ce qui permet aux Wolves de conserver la tĂȘte de la confĂ©rence, et de prendre une lĂ©gĂšre avance sur les poursuivants directs. Logiquement, l’équipe se place assez dans la plupart des catĂ©gories statistiques. 7Ăšme attaque, 3Ăšme dĂ©fense, 6Ăšme aux rebonds, 10Ăšme aux passes, 10Ăšme banc notamment.

S’il y a de belles victoires contre de potentiels adversaires en playoffs, il y a Ă©galement de lourdes dĂ©faites. A noter celle contre les Knicks de Towns, ou celle plus inquiĂ©tante contre le Thunder sans Shai Gilgeous-Alexander.


CLASSEMENT OUEST


Au classement, les Wolves commencent Ă  se dĂ©tacher, tandis que la hiĂ©rarchie se forme derriĂšre. Denver rĂ©alise une trĂšs forte remontĂ©e (12-2), au mĂȘme titre qu’OKC (10-3) ou les Kings (9-4). A l’inverse, les Clippers (5-7) et les Spurs (5-9) sont dans le dur. Utah prĂ©pare dĂ©jĂ  le suite, avec la draft en ligne mire.

CLASSEMENT EST

A l’inverse, le classement bouge assez peu dans la confĂ©rence est, avec les mĂȘmes Ă©quipes dans le top 8. La lutte promet d’ĂȘtre intense pour prendre la tĂȘte. La grosse surprise reste la prĂ©sence des Bulls aussi hauts, et qui ne semblent pas faiblir (8-4).

A l’inverse; Utah, les Pistons, Nets et Hornets semblent dĂ©jĂ  faire une croix sur leur saison. Il faut Ă©galement noter le faible bilan de Boston, qui a perdu Tatum pour le reste de la saison (ligaments croisĂ©s). NĂ©anmoins, au regard de l’effectif, une remontĂ©e ne serait pas Ă©tonnante.


STATS INDIVIDUELLES


Sur ce mois de dĂ©cembre, Ant-Man voit ses stats lĂ©gĂšrement diminuer (26.6 pts, 4.7 rbds, 4.9 pds). Il ne faut pas s’y tromper, il ne s’agit pas d’une baisse rĂ©gime, mais plutĂŽt une volontĂ© d’impliquer davantage ses coĂ©quipiers en attaque. Randle reste dans ses standards en 2Ăšme option offensive.

Ainsi, Gobert (10.7 pts, 11.0 rbds) et McDaniels (8.3 pts) bĂ©nĂ©ficient d’un petit peu plus de place en attaque, tout en restant dĂ©terminant en dĂ©fense. Mais, ils sont attendus un petit peu plus haut, le Français au-dessus de 12 pts, et l’ailier au-dessus de 10 pts.

Conley continue de répondre présent et reste efficace.


L’apport du banc continue d’ĂȘtre satisfaisant. Naz Reid monte en puissance (17.4 pts, 8.7 rbds en dĂ©cembre), et s’affirme toujours plus comme le 6Ăšme titulaire de l’équipe. En revanche, la fin d’annĂ©e fut beaucoup plus compliquĂ© pour DiVincenzo. Le shooteur a perdu son adresse (seulement 27.4% Ă  3pts), et ses stats s’en ressentent en dĂ©cembre (9.5 pts). En plus, il se blesse au bras droit en fin de mois, pour une indisponibilitĂ© comprise entre 2 et 4 semaines. C’est ainsi le rookie Terrence Shannon Jr qui en profite pour grappiller du temps de jeu.

A venir

2 « J'aime »

Tout se passe bien pour toi :sunglasses:

1 « J'aime »

Sans titre

GROS PLAN : Julius Randle

A prĂšs de 21 pts et 9 rbds de moyenne, Julius Randle s’est bien acclimatĂ© Ă  l’air frais du Minnesota. Ainsi, derriĂšre l’incontournable Anthony Edwards, il est la solide 2Ăšme option de l’actuelle meilleure Ă©quipe de la Ligue.

D’ailleurs, tout comme Ant-Man, il est un gars du Sud. Pas de la Georgie, comme peut l’ĂȘtre son coĂ©quipier, mais du Texas, Ă  Plano, en banlieue nord de Dallas. Tout comme certains, il est repĂ©rĂ© assez jeune dans le championnat lycĂ©en. Ado talentueux, il participe Ă  l’Elite 24 game 2013, qui rĂ©unit des meilleurs jeunes joueurs du pays, et en finit MVP. Dans sa derniĂšre annĂ©e au lycĂ©e, il cumule 32.5 pts et 22.5 rbds par match. Ainsi, grĂące Ă  son parcours, les universitĂ©s NCAA les plus prestigieuses lui font la cour. Il finira par choisir l’universitĂ© du Kentucky.

FichĂ© Ă  2m06 et 113 kg, il est un vĂ©ritable energizer sur le terrain, et trĂšs mobile pour son gabarit. Comme prĂ©vu, il fait un chantier Ă  la fac, avec une saison Ă  15 pts et 10.4 rbds. Il ponctue sa saison avec 24 double-double, soit le 2Ăšme meilleur total de l’histoire de sa fac pour un joueur de premiĂšre annĂ©e. Et pourtant, Kentucky a vu passer de sacrĂ© joueurs, comme DeMarcus Cousins, ou Anthony Davis. MalgrĂ© lui, sa fac rĂ©alise une saison tout juste correcte au regard de son standing (24-10), atteignant la 8Ăšme place de la rĂ©gion Midwest. Ce qui leur permet d’atteindre le milieu de tableau pour la March Madness NCAA.

Mais l’équipe se transcende, et sort Kansas State au premier tour 56 Ă  49, avec 19 pts et 15 rbds pour Randle. Kentucky gagne donc le droit d’affronter le numĂ©ro 1 de sa rĂ©gion, Wichita State, auteur d’une saison parfaite (35-0 !). La tĂąche s’annonce compliquĂ©e. Mais Randle et son Ă©quipe crĂ©e l’exploit de 2 pts (78 Ă  76). Sur sa lancĂ©e, Kentucky sort ensuite Louisville puis Michigan pour atteindre le Final Four.

Dans un match au couteau, c’est la fac de Wisconsin qui se fait sortir 74-73, permettant Ă  Randle et aux siens d’atteindre la grande finale universitaire. Malheureusement, Connecticut sera plus rĂ©aliste et gagnera le titre NCAA 2014.

Leonardo_Phoenix_generate_an_image_of_Julius_Randle_a_professi_0

AprĂšs une annĂ©e universitaire pleine, Randle dĂ©cide de se prĂ©senter Ă  la draft qui suit. Il est finalement choisi en 7Ăšme position par les Lakers d’un Kobe Bryant au crĂ©puscule de sa carriĂšre. Avant lui, on retrouve notamment Andrew Wiggins, sĂ©lectionnĂ© en 1Ăšre position par 
 Minnesota, ou encore Joel Embiid. Sa carriĂšre NBA dĂ©bute ainsi contre les Houston Rockets, mais sa saison se termine 14 minutes plus tard. Le malchanceux se casse la jambe, ce qui donnera lieu Ă  une saison quasi blanche pour lui.

Un petit contretemps qui laisse place Ă  3 saisons de bonne facture avec les Lakers, oĂč ses stats grimperont progressivement de 11.3 Ă  16.1 pts de moyenne. Collectivement, la franchise de L.A progresse Ă©galement peu Ă  peu (de 17 Ă  35 victoires). MalgrĂ© cela, les Lakers ne retiennent pas Randle Ă  l’issue de son contrat rookie, pour mieux signer LeBron James.

Leonardo_Phoenix_depict_Julius_Randle_a_professional_basketbal_0

Ainsi, il signe aux Pelicans (New Orleans) en 2018 pour former une jeune Ă©quipe ambitieuse, aux cĂŽtĂ©s de Anthony Davis et Jrue Holiday notamment. Il dĂ©barque comme remplaçant, mais gagne sa place de titulaire au bout d’un mois. Profitant de la blessure de Davis, il rĂ©alise une fin de saison en boulet de canon (24.6 pts, 7.6 rbds aprĂšs le All-Star Game). Cependant, les rĂ©sultats collectifs sont dĂ©cevants et Davis rĂ©clame son transfert, marquant la fin du projet des Pelicans. Ainsi, Davis est transfĂ©rĂ© aux Lakers, contre Brandon Ingram, Lonzo Ball et Josh Hart entre autres.

De son cĂŽtĂ©, Randle signe aux Knicks. ComplĂštement amorphes, ces derniers sortent d’une saison 2018-2019 Ă  seulement 17 victoires
 Pour autant, il ne permet pas Ă  New York de dĂ©coller. Dans une saison arrĂȘtĂ©e par le Covid, les Knicks atteignent pĂ©niblement les 21 victoires (45 dĂ©faites). Pire, Randle rĂ©gresse dans sa production statistique (19.5 pts).

La saison 2020-2021 est la saison du renouveau pour New York et pour Randle. Ce dernier devient le porte Ă©tendard et maĂźtre Ă  jouer de la franchise. A 24.1 pts, 10.2 rbds et 6.0 pds, il devient All-Star pour la premiĂšre fois, est Ă©lu MIP de l’annĂ©e (meilleure progression). Dans son sillage, les Knicks renouent avec la victoire, grĂące Ă  41 victoires sur 72 matchs, dans une saison de nouveau rĂ©duite par le Covid. Atteignant logiquement les playoffs, New York est toutefois sorti au premier tour par Atlanta. Randle est 8Ăšme pour le vote du MVP.

Ambitieux Ă  l’aube de la saison 2021-2022, les Knicks dĂ©chantent rapidement. Les rĂ©sultats ne sont pas au rendez-vous (37 victoires), et Randle vit une saison compliquĂ©e, Ă  20.1 pts de moyenne, et un faiblard 41% aux tirs. L’étĂ© 2022 voit dĂ©barquer Jalen Brunson en provenance de Dallas. Avec Randle, ils forment un One-Two punch redoutable. Randle revient Ă  son meilleur niveau (25.1 pts, 10.0 rbds) et retourne au All-Star Game. Evidemment, les Knicks gagnent Ă  nouveau (47 victoires), et retrouvent les Playoffs. Ils y Ă©liminent Cleveland au premier tour (4-1), mais se font sortir en demi-finale de confĂ©rence par Miami (futur finaliste). La saison 2023-2024, est tout aussi satisfaisante pour New York, avec 50 victoires, grĂące aux arrivĂ©es de soldats, tels que O.G. Anunoby ou Donte DiVincenzo. Randle est de nouveau All-Star.

Oui, mais ce dernier se blesse Ă  mi-saison, et les Knicks sortent un gros run de fin de saison sans lui. En Playoffs, ils parviennent Ă  sortir les 76ers de Joel Embiid sans lui, et rĂ©sistent Ă  Indiana, courbant l’échine au Game 7, toujours sans lui. Voyant qu’ils peuvent fonctionner sans lui, les Knicks dĂ©cident de transfĂ©rer Julius Randle, en compagnie de DiVincenzo, en Ă©change de Karl-Anthony Towns. Ainsi, Randle commence un nouveau chapitre de sa carriĂšre dans le Minnesota, oĂč ça ne se passe pas trop mal pour le moment.

4 « J'aime »

Naz Reid a l’air d’ĂȘtre solide en sortie de banc ! Ton dĂ©but de saison est vraiment trĂšs bon !

1 « J'aime »

Le dĂ©but de saison est plutĂŽt bon. A ce rythme lĂ , pas de quoi s’inquiĂ©ter. Julius Randle a l’air bien solide

1 « J'aime »

La saison se profile bien mais on sait que ce sont les playoffs l’heure de vĂ©ritĂ©.
Assez peu de joueurs avec beaucoup de passe dĂ© dans ton Ă©quipe, j’imaginais que Conley se ferait ses 8-9 passes de moyenne. Surtout pas mal d’iso sur Edwards, et Randle qui distribue depuis l’intĂ©rieur.

1 « J'aime »

@Pikouse Merci ! Oui, Naz Reid est trĂšs bon. Il n’est pas un excellent dĂ©fenseur, mais trĂšs complet en attaque, et c’est rare pour son gabarit.

@Rhino C’est clair, je ne pensais pas que l’équipe marcherait aussi fort. J’adore l’apport de Randle, que je trouve injustement critiquĂ© IRL.

@JeffZeze Exactement, on peut trĂšs bien gagner 70 matchs (peut-ĂȘtre pas non plus), et ne pas gagner le titre, coucou Golden State ! Et effectivement, Conley n’est pas le principal dĂ©positaire du jeu, il partage ce rĂŽle avec Randle et Edwards :+1:

2 « J'aime »

Sans titre

BILAN JANVIER 2025

Les Wolves dĂ©butent l’annĂ©e aussi bien qu’ils ont terminĂ© 2024. Avec un mois de janvier Ă  12 victoires en 16 matchs, Minnesota conserve encore la tĂȘte de la confĂ©rence. Parmi ces victoires, certaines sont importantes, comme celle contre Denver, avec 41 pts de Edwards. Certaines dĂ©faites sont Ă©vitables, mais il est trĂšs rare de rĂ©aliser un mois parfait en NBA. L’information la plus importante du mois est la blessure de Naz Reid, qui s’est dĂ©chirĂ© le mĂ©nisque, et qui devrait manquer entre 2 et 4 mois de compĂ©tition.

Avec un bilan global Ă  36 victoires et 12 dĂ©faites, les Wolves sont maintenant lĂ©gĂšrement en avance par rapport Ă  la saison passĂ©e (34-14 Ă  la mĂȘme pĂ©riode).


CLASSEMENT OUEST


Comme indiquĂ© un peu plus haut, Minnesota conserve la 1Ăšre place de la confĂ©rence, mais Denver se rapproche toujours plus (14-3). DerriĂšre, il y a un lĂ©ger break, mais ce sont les Warriors qui marquent les esprits en ce moment (12-4). Les Spurs (9-4) et Phoenix (11-4) profitent de ce mois pour remonter au classement. A l’inverse, les Clippers (4-9) et les Pelicans (6-9), coulent peu Ă  peu.

CLASSEMENT EST


Comme le mois prĂ©cĂ©dent, le classement Ă  l’est ne bouge pas beaucoup, avec un top 5 inchangĂ©. C’est Indiana (9-3) qui rĂ©alise le meilleur mois. Chicago continue sa trĂšs belle saison au-delĂ  des attentes. En revanche, c’est Milwaukee qui a vĂ©cu un mois trĂšs compliquĂ© (4-12). Il faut dire que les Bucks ont perdu Damian Lillard sur blessure. En parallĂšle, Boston ne parvient toujours pas Ă  dĂ©coller (7-9), en raison des blessures multiples (Tatum, Porzingis, White).


STATS INDIVIDUELLES

Dans la lignĂ©e de son mois de dĂ©cembre, Ant-Man continue d’avoir un rendement optimal (26.4 pts, 5.0 rbds, 4.6 pds), ce qui permet de laisser de la place Ă  ses coĂ©quipiers. Profitant de la blessure de Reid, c’est Randle qui s’est mis en Ă©vidence, avec 25.1 pts, 10.4 rbds.

Rudy Gobert a également produit son meilleur mois de la saison (12.1 pts, 14.8 rbds), étant toujours aussi décisif en défense, et opportuniste en attaque. De son cÎté, McDaniels reste dans ses standards.

En revanche, Mike Conley accuse le coup en janvier, avec des stats constantes, mais une adresse en berne (seulement 35% aux tirs). En défense, il lui arrive de se faire malmener, à un poste ultra-concurrentiel en NBA.

La blessure de Naz Reid a eu pour effet d’ouvrir encore davantage les rotations. En effet, DiVincenzo Ă©tait Ă©galement indisponible au moment de sa blessure. Ainsi, celui qui a le plus marquĂ© les esprits est Terrence Shannon, qui a Ă©tĂ© trĂšs bon. Cependant, le retour de DiVincenzo mi-janvier lui a barrĂ© la route. Ce dernier a d’ailleurs remontĂ© la pente aprĂšs un dĂ©but dĂ©cembre compliquĂ© (13.5 pts, 4.2 rbds, 3.3 pds).

Du cĂŽtĂ© des intĂ©rieurs, Minott a eu sa chance, qu’il n’a pas su saisir. Ce sont Leonard Miller et Joe Ingles qui ont ainsi rĂ©cupĂ©rĂ© ses minutes. Dillingham et NAW restent quant Ă  eux ancrĂ©s dans la rotation, mĂȘme si le premier fait preuve d’irrĂ©gularitĂ©.



A VENIR


Le mois de février verra la traditionnelle pause du All-Star Weekend, permettant aux joueurs de souffler en vue de la fin de saison.

Il y aura Ă©galement la trade deadline, oĂč il ne serait pas Ă©tonnant de voir certaines franchises bouger pour renforcer leur Ă©quipe. Du cĂŽtĂ© des Wolves, il se murmure qu’un meneur pourrait dĂ©barquer pour faire souffler Conley, et pour dĂ©charger Dillingham.

Ainsi, les noms de Dennis Schroder, Malcolm Brogdon, ou encore Kris Dunn sont évoqués.

3 « J'aime »

J’espùre que Reid sera de retour pour les PO 
 histoire que tu ne te retrouves pas qu’un seul poste 5 efficace.

Les Grizzlies sont un peu ta bĂȘte noire quand mĂȘme, 2 dĂ©faites contre eux

1 « J'aime »

Attend je viens de capter, les clubs du classement ouest affronte ceux de l’est ? Trop compliquĂ© le basket :rofl:

1 « J'aime »

Tout le monde joue un peu contre tout le monde :slight_smile: Tu joues + contre les Ă©quipes de ta division, un peu + contre les Ă©quipes de ta confĂ©rence, et un peu moins contre ceux de l’autre confĂ©rence.
De mĂ©moire : 4 * 4 matchs contre les clubs de ta division, 10 * 3 ou 4 matchs contre les clubs de ta confĂ©rence, 15 * 2 matchs contre les clubs de l’autre confĂ©rence.

Et en playoffs c’est la Coupe pour chaque confĂ©rence avant une finale vainqueur de l’Est contre vainqueur de l’Ouest.

1 « J'aime »

@JoeLaTrompe Pour le coup, oui. Morant a fait mal sur sa vitesse de percussion. Et les shooteurs ont fait trĂšs mal. Il y aura d’autres bĂȘtes noires dans la saison :wink:

@Rhino Oui, c’est ça ! Pendant la saison, tout le monde affronte tout le monde, comme le prĂ©cise @JeffZeze qui a tout rĂ©sumĂ©.
Je ne suis pas rentrĂ© davantage dans le dĂ©tail pour les divisions, celle-ci ayant moins d’importance que par le passĂ©.

Et encore, ça a Ă©voluĂ© avec la nouvelle NBA cup. Je n’en parle pas, car l’intĂ©rĂȘt est assez limitĂ©, et c’est dĂ©jĂ  suffisamment complexe :woozy_face::joy:

1 « J'aime »

SacrĂ©e saison jusqu’à maintenant. J’ai hĂąte de voir ce que ça donnera en play-offs.

1 « J'aime »

J’avais complĂštement oubliĂ© la NBA CUP :smiley: