:storygreen: :s5: 🏀 :usa: Les Wolves dans le Wild Wild West

[JeffZeze]

C’est cool de voir Sarr devenir aussi fort, j’espère que 2K prédit bien l’avenir
De ton côté 3ème, classique, on a du mal à t’imaginer champion à la fin mais on peut espérer une bonne surprise avec l’expérience des précédentes années ? Allez, on veut vibrer !

[alexgavi]

@JeffZeze Malheureusement, pas vraiment. 2K a tendance à surestimer le potentiel des jeunes. Mais je souhaite évidemment à Sarr de faire aussi bien
C’est vrai que l’équipe ne semble pas tourner à plein régime. Et puis, avoir un Kessler qui est contrarié pour rien, le moral de l’équipe en prend un coup. Maintenant, tout sera relancé en playoffs !

[alexgavi]

BILAN MARS 2028

Et si les Wolves commençaient à fonctionner de façon optimale ? En effet, la franchise du Minnesota vient de réaliser un excellent mois de mars, avec 11 victoires et 4 défaites. Au delà des chiffres, c’est l’impression qui fait naître un soupçon d’optimisme. A une dizaine de jours de la fin de la saison, il était temps !

En effet, il y a eu des victoires autoritaires, et des défaites encourageantes contre des prétendants au titre (Hornets et Pistons). La défaite la plus inquiétante est celle contre les Bulls 94-119 (le 6 mars), le jour de la finale du In-Season Tournament.

CLASSEMENT OUEST

San Antonio (14-2) termine la saison en boulet de canon, et s’adjuge la première place de la conférence, profitant du coup de mou des Rockets (7-7). Ces derniers se retrouvent sous la menace des Wolves (11-4), qui ne sont plus si loin !

Derrière ce trio de tête, la bataille fait toujours rage, avec 4 équipes qui se battent pour les 3 dernières places du top 6. Pour rappel, le 7ème devra passer par la case play-in pour accéder aux playoffs. Ainsi, Portland (9-9), New Orleans (8-7), OKC (8-7) et Dallas (10-7) sont toujours au coude à coude. Pour les Sonics (9-6) et les Lakers (8-7), les espoirs de top 6 subsistent, mais le palier à franchir parait trop haut.

Pour la 10ème place, dernier spot du play-in, il y a également bagarre. Denver (10-7) est en position favorable, mais Las Vegas (7-8) a deux matchs de retard. Enfin, il faudrait presque un miracle pour les Clippers (6-8), les Kings (6-9) et les Warriors (7-9) pour chiper cette 10ème place.

On notera le bel effort de Phoenix (3-13) en vue de la draft !

Joueur du mois : Nikola Jokic (Nuggets) - 22.3 pts, 11.1 rbds, 8.5 pds
Rookie du mois : Alex Costanza (3ème choix - Outlaws) - 17.1 pts, 7.4 rbds, 2.8 pds.

CLASSEMENT EST

Si la première place à l’Est ne laissait place à aucun doute, les Pistons (14-3) sont dorénavant assurés d’avoir le meilleur bilan de toute la NBA, ce qui permet de bénéficier de l’avantage du terrain durant toute la durée des playoffs. Les Bulls (10-3) sont également parvenus à sécuriser leur magnifique 2ème place. En revanche, Miami (7-9) se retrouve sous la menace directe de Charlotte (8-5) pour la dernière place du podium.

Comme pour l’Ouest, les places pour le top 6 sont très chères, car 6 équipes peuvent encore se partager les deux dernières places. A ce petit jeu, Boston (11-6) et Indiana (10-7) sont clairement sur les meilleures dynamiques. A l’inverse, Toronto (7-9) est en souffrance.

A ce jour, le top 10 est déjà connu, quel que soit l’ordre. Pour cause, Philadelphie, classé 11ème, ne peut plus combler l’écart. Les Bucks de Giannis (2-13) font peine à voir.

Joueur du mois : Nolan Traoré (Wizards) - 24.4 pts, 4.2 rbds, 9.0 pds
Rookie du mois : Tyronn Stokes (1er choix - Grizzlies) - 15.7 pts, 6.3 rbds, 2.1 pds

RAPPORT INDIVIDUEL - TITULAIRES

Soirs après soirs, quelles que soient les circonstances, Anthony Edwards trouvera toujours le moyen d’être productif. Même à l’approche de la fin de saison, il poursuit son chantier habituel (25.3 pts, 5.1 rbds, 5.3 pds).

Julius Randle a vécu une grosse baisse de régime en février. Il s’est bien rattrapé en mars, se rapprochant de ses moyennes de saison (16.3 pts, 8.3 rbds, 3.3 pds). Néanmoins, il faudra un Randle un cran au-dessus pour que les Wolves puissent faire un bon parcours en playoffs.

Rob Dillingham ne lève pas le pied, et confirme s’imposer comme le principal relais derrière Anthony Edwards (20.5 pts, 2.5 rbds, 5.7 pds). Peu à peu, il se rapproche d’un niveau All-Star.

Si ses stats n’évoluent pas (8.9 pts, 10.3 rbds), l’impression visuelle est bien meilleure pour Walker Kessler. Il contre beaucoup (2.7 blks) et dissuade bien mieux.

A 22 ans, Ron Holland fait preuve d’une belle régularité tout au long de la saison. Ce mois de mars ne déroge pas à la règle (11.4 pts, 4.3 rbds), avec une grosse adresse en prime (48% à 3-pts).

ROTATION

Malgré son déclin attendu, Rudy Gobert continue de peser dans l’effectif des Wolves (5.1 pts, 7.9 rbds). S’il délaisse de plus en plus l’aspect offensif du jeu, c’est pour mieux se focaliser sur la défense et les tâches obscures, peu mises en valeur dans les stats.

Aaron Bradshaw s’est imposé comme l’un des leaders du banc de Minnesota, alors même qu’il joue peu à son poste de prédilection. Auteur d’un nouveau mois solide (9.3 pts, 5.5 rbds), il faut compter sur lui.

En bon facilitateur de jeu, Lonzo Ball continue de rendre ses coéquipiers meilleurs (5.8 pts, 4.9 pds). En revanche, c’est lui qui a manqué d’adresse au cours de ce mois de mars (36% seulement). Son intensité défensive et ses capacités de création compensent largement ce point négatif.

Il avait réalisé un excellent mois de février. Cette fois-ci, Cameron Reddish a eu plus de difficultés (7.1 pts), surtout en raison d’une adresse en berne (26% à 3-pts).

Après un mois de février compliqué, Isaiah Joe était attendu au tournant, et il a répondu présent (6.6 pts), avec une adresse retrouvée (55% aux tirs).

BANC

Le banc a pu se dégourdir les jambes à quelques occasions, lors des fins de matchs pliées. Aucun joueur ne s’est réellement démarqué. Lewis montre quelques fulgurances, tandis que Humphries a de bonnes aptitudes au tir à mi-distance. En revanche, KCP n’a plus le niveau.

A VENIR

Avec 5 matchs restants, Minnesota n’a plus grand chose à jouer pour ces derniers matchs. Toutefois, si Houston faiblit, la 2ème place de la conférence peut devenir une réalité, mais il faudra tout gagner, ou presque.

[JeffZeze]

J’avais pas capté que les Outlaws et les Sonics étaient devenus des équipes aux portes des playoffs ! Belle progression pour eux, il faudra que tu nous fasses un petit zoom pour voir comment ils se sont construits !

[Rhino]

Aller chercher la seconde place de la conférence pourrait être un bel objectif, qui ne dépend pas que de toi mais pourquoi pas

[alexgavi]

@JeffZeze Tout à fait, j’étais aussi surpris de les voir aussi haut. Je ferai un petit point les concernant durant l’intersaison

@Rhino Exactement, si les conditions s’alignent, alors pourquoi pas. Autrement, la 3ème place est déjà est une bonne chose en soit. On verra bien au bout du compte

[alexgavi]

LE 82EME MATCH

Comme tous les ans, le suspense accompagne la dernière soirée de saison régulière. Ainsi, ce 82ème match peut être l’occasion d’un dénouement heureux, ou cruel, selon le scénario. Faisons le point sur les enjeux de cette soirée.

CONFERENCE OUEST

Depuis le début de la saison, le trio de tête n’aura pas bougé. Les Spurs terminent en tête de la conférence, suivi par les Rockets puis les Wolves. Houston a su gagner les matchs qu’il faut pour sauvegarder sa 2ème place, tandis que Minnesota termine sa saison doucement, mais sans incidence.

Nous avons ici la première affiche des playoffs, car le Thunder et les Pelicans termineront bien 4ème et 5ème. L’expérience joue largement en faveur des joueurs d’OKC.

Le premier enjeu majeur de cette soirée est pour la dernière place du top 6, qui se jouera entre Dallas et Portland. Ce sont les premiers qui ont l’avantage en cas de tie breaker. Pour les Blazers, il faudra donc gagner, mais aussi espérer une défaite des Mavs. Le gagnant de la soirée ira affronter Minnesota au premier tour des playoffs.

Un autre enjeu plus mineur a aussi lieu pour déterminer la 8ème et la 9ème place, qui se jouera entre les Sonics et les Lakers. Il est important de viser cette 8ème place, afin d’avoir deux cartouches pour le play-in. Le 9ème verra son sort se jouer sur un seul et unique match contre le 10ème.

Pour la 10ème place, Denver ne pourra plus la perdre, et disputera donc le play-in.

CONFERENCE EST

Comme pour l’Ouest, le top 3 ne changera pas. Detroit a dominé son sujet de la tête et des épaules, sans temps faible. Les Bulls terminent surprenant 2èmes, avec une nouvelle saison à plus de 50 victoires ! Miami complète le podium.

En revanche, la suite est beaucoup moins certaine. Si Charlotte est assuré de disputer les playoffs, Brooklyn, Orlando et Boston vont se disputer les deux dernières places du top 6. Pour Brooklyn, la tâche est évidemment plus simple, car une défaite ne signifie pas forcément une sortie du top 6, notamment si Orlando ou Boston perd.

Pour la fin du top 10, le suspens est moindre, car Indiana est assuré de finir 10ème. En revanche, Atlanta et Toronto se disputeront la 8ème place, ainsi que les conséquences que cela engendre.

[alexgavi]

FIN DE SAISON RÉGULIÈRE 2027-2028

Le retour du printemps est régulièrement synonyme de fin de saison régulière en NBA. L’occasion de faire le point ce qui attend les équipes pour la suite.

CLASSEMENT OUEST

Assurés de terminer premiers depuis une dizaine de jours, les Spurs se sont permis de faire tourner sur les derniers matchs (2-4). Houston a également géré pour finir sa saison régulière (1-3). Idem pour les Wolves (2-3), qui ont eu une belle frayeur avec Anthony Edwards.

Fin mars, il y avait principalement 4 équipes en lice pour les trois dernières places du top 6. Et c’est Portland qui fait office de grand perdant (2-4), se faisant dépasser par OKC (5-1), New Orleans (4-1) et Dallas (4-2). Ainsi, le Thunder et les Pelicans s’affronteront au premier tour des playoffs, avec l’avantage du terrain pour les premiers cités. Et les Mavs défieront Minnesota.

Sur le tout dernier match de la saison, les Lakers (4-2) sont parvenus à chiper la 8ème place aux Sonics (2-4). Ainsi, les joueurs de L.A joueront contre Portland lors du play-in. Et Seattle affrontera Denver (3-1).

Tout en bas du classement, Utah termine la saison sur un surprenant mois parfait (6-0), et compromet ses chances d’obtenir le First Pick de la prochaine draft.

CLASSEMENT EST

Comme prévu, le trio de tête ne change pas dans l’Est, avec Detroit (3-3), Chicago (5-1) et Miami (3-3). Les Bulls sont considérés comme la plus grosse surprise de la saison, n’y ayant aucune star confirmée dans l’effectif.

Tout comme dans l’Ouest, 4 équipes étaient en lice pour les trois dernières places du top 6. Seuls les Hornets étaient assurés d’y figurer. Et ces derniers ont conservé la 4ème place (3-2), synonyme d’avantage du terrain au premier tour des playoffs. Et ce seront les Nets (4-2) qu’ils joueront, terminant à la 5ème place. En 6ème position, Boston (3-3) sécurise sa place en playoffs, en remportant le tout dernier match de la saison.

Longtemps à la lutte, Orlando (2-3) finit donc 7ème, et disputera le play-in. Atlanta (3-1) ayant le même bilan que Toronto (3-3), mais disposant du tie breaker, ira affronter Orlando au play-in. De leur côté, les Raptors joueront contre des Pacers sur une très mauvaise dynamique (0-6).

lMilwaukee (1-5) termine la saison avec le pire bilan de toute la NBA. Il est à se demander si lGiannis Antetokounmpo n’a pas joué son ldernier match avec les Bucks.

PLAY–IN

On rappelle les règles de base du mini tournoi du play-in, où nous retrouvons les équipes classées de 7 à 10 de chaque conférence. Le 7ème joue contre le 8ème, et le gagnant du match se qualifie en playoffs, pour jouer contre le 2ème de la conférence.

Le perdant de ce match jouera contre le gagnant de l’affrontement entre le 9ème et le 10ème (l’autre est éliminé). Sur cette deuxième phase du play-in, le gagnant se donne le droit de tenter sa chance en playoffs, contre le numéro 1 de la conférence.

Tout se joue sur un match sec. Aucun droit à l’erreur n’est permis.

OUEST

Après avoir raté les playoffs l’année dernière, Portland ne loupe pas le coche cette année, en écrasant les Lakers 135-92. Les Blazers comptaient déjà 21 pts d’avance à la mi-temps, et n’ont jamais relâché la pression. V.J.Edgecombe a été le meilleur joueur du match (33 pts, 5 rbds, 4 pds, 4 stls). A l’inverse, Luka Doncic a été très mauvais (8 pts à 3/10 aux tirs).

Malgré son bilan à l’équilibre, Seattle a manqué d’expérience et se fait éliminer par Denver 88-95, dominé par un Nikola Jokic très complet (18 pts, 21 rbds, 9 pds). Pour les Sonics, il aura manqué d’un véritable leader pour mener l’équipe.

En finale de ce play-in, les Lakers ont donc joué contre les Nuggets pour le gain du dernier spot en playoffs. Et après un match loupé contre Portland, Luka Doncic et ses coéquipiers se sont bien repris, en gagnant 121-112. Doncic a d’ailleurs réalisé un solide triple-double (24 pts, 13 rbds, 13 pds). Les Lakers parviennent à sortir du play-in pour la seconde année de suite.

Portland jouera contre Houston au premier tour des playoffs, tandis que les Lakers auront droit aux Spurs de Victor Wembanyama.

EST

Rôdé à l’exercice, la franchise d’Orlando joue son 3ème play-in de suite. Fort de cette expérience, le Magic est parvenu à battre Atlanta 113-89, prenant 12 pts d’avance dès l’entame du match. Paolo Banchero a été le leader de l’équipe (23 pts, 11 rbds, 7 pds).

Dans la même veine, les Raptors vivent leur 3ème play-in en 4 ans. Cependant, cette expérience ne leur a pas permis de tirer profit de la situation, puisque ce sont bien les Pacers qui les éliminent 110-133. Ces derniers ont été menés par un très bon trio Siakam-Haliburton-Nembhard.

En revanche, Indiana n’ira pas plus loin, car Atlanta les élimine 134-115, malgré un Tyrese Haliburton à 35 pts, 13 pds.. Le Français Zaccharie Risacher s’est mué en leader des Hawks (26 pts, 6 rbds, 4 pds).

Ainsi, le Magic défiera Chicago, et pourrait créer la surprise, tandis que les Hawks joueront contre des Pistons dominants cette saison.

[Rhino]

Il y a de très belles affiches au programme de ces PO.

[Bibibouch]

Bon alors j annonce. Les Wolves iront en finale de conférence et ce ne sera pas contre les Spurs.
Et ils passeront en finale NBA, certainement contre Detroit et là…

[toopil]

On y arrive, le vrai temps fort de la NBA

[alexgavi]

@Rhino Il devrait y avoir des séries très accrochées, surtout dans la conférence Est je pense. On verra bien

@Bibibouch J’espère que tu as raison ! Après, ça me convient d’aller en finale après avoir éliminé les Spurs. Après 2 éliminations contre eux, je prends

@toopil Les choses sérieuses commencent. C’est mignon la saison régulière, mais c’est maintenant qu’il y a de l’enjeu

[alexgavi]

RECOMPENSES INDIVIDUELLES

Avec la fin de la saison régulière, la NBA décerné ses trophées annuels, récompensant les principaux protagonistes pour chaque catégorie.

MOST VALUABLE PLAYER

Malgré des stats en légère baisse par rapport à la saison passée, Victor Wembanyama fait le doublé. Il a mené ses Spurs à 59 victoires cette saison, qui sont de sérieux candidats au titre. A seulement 24 ans, le titre de champion est probablement le dernier trophée qu’il manque à sa carrière. Après l’avoir frôlé du bout des doigts en 2026 (les Knicks avaient gagné 4-3), San Antonio s’était arrêté en finale de conférence l’année dernière.

ROOKIE OF THE YEAR

Point de suspense parmi les joueurs de première année, puisque Brandon McCoy remporte logiquement le trophée. Il est amené à incarner le visage des Clippers à terme.

DEFENSIVE PLAYER OF THE YEAR

C’était largement attendu, et Victor Wembanyama gagne son 4ème trophée de meilleur défenseur de l’année, ce qui le classe parmi les meilleurs de tous les temps, avec le regretté Dikembe Mutombo, Ben Wallace et Rudy Gobert. A 24 ans, il lui reste beaucoup de temps pour en gagner un 5ème, et devenir le plus titré dans la catégorie.

Si ce trophée a été décerné la première fois en 1983, il ne faut pas oublier que d’immenses défenseurs ont joué avant, comme Bill Russell et Wilt Chamberlain. Si ces derniers ont évolué sur les parquets durant les années 60, il est impossible de comparer leur impact avec celui de Wemby. Toutefois, il ne fait nul doute que son nom est à ranger aux côtés de ces légendes.

6TH MAN OF THE YEAR

Assez logiquement, Egor Demin est élu meilleur remplaçant de la saison, participant activement à la bonne saison des Celtics.

MOST IMPROVED PLAYER

Profitant d’un contexte où l’équipe compte sur ses jeunes, Boogie Fland est élu joueur ayant le plus progressé cette saison.

COACH OF THE YEAR

Son équipe, auteur d’une magnifique saison à 66 victoires, J.B.Bickerstaff est élu coach de l’année, succédant à Charles Lee (Hornets). On lui souhaite la même réussite que ce dernier, qui avait mené Charlotte jusqu’au titre. Au-délà de cette saison, c’est tout son travail de fond qui est récompensé. Ses débuts à Detroit ont été très compliqués, avec seulement 22 victoires en 2024-2025. Mais la suite est une grosse progression, avec 44 victoires en 2025-2026, puis 56 l’année dernière, et donc 66 cette année.

[toopil]

Personne de chez toi

[RedM1nd]

Olalala, les playoffs intéressant qui se profilent.
Houston me semble moins impressionnant que l’an dernier, avec seulement 2 match d’écart, on peut pas vraiment appeler ça un avantage.
Je te vois aller jusqu’en finale de conf, même si il faut se méfier de Dallas.
San Antonio y va tout droit et il faudra sortir une énorme série pour sortir Wemby et les siens.

À l’Est, Détroit à tellement dominé qu’il est difficile de ne pas les imaginer s’en sortir. Mais il faut faire gaffe à Charlotte. Je pense qu’il y a un étincelle qui peut prendre du côté de la Caroline du Nord.

Wemby il a pas le temps, il raffle tout.
Au regard de la saison, c’est pas étonnant qu’aucun membre des Wolves puissent prétendre ç une distinction individuelle.
Edwards était dans la conversation, quand est t’il de Kessler ? qui a fait de belles stats défensive.

[alexgavi]

@toopil Après, il y aura toujours des déçus dans les récompenses individuelles. Edwards était dans la discussion pour le MVP, mais pas dans les favoris. Idem pour Holland pour les meilleurs progressions. A choisi, il vaut mieux un titre

@RedM1nd Je t’avoue que je ne voulais absolument pas tomber sur les Spurs, Houston ou OKC dès le premier tour, car leur construction d’effectif me pose beaucoup de soucis quand je les joue. Même si l’écart avec Houston est faible, j’avoue les craindre. C’est surtout Amen Thompson qui me le fait dire, car Edwards va en bave à chaque fois contre lui. Mais il faut déjà passer Dallas, et que Houston élimine Portland

Je prends note de tes observations, on verra bien ce que ça donne !

Pour les distinctions, je partage ton sentiment, je pense que 52 victoires ne sont pas suffisantes pour couronner un MVP. Quant à Kessler, il n’a jamais été dans la discussion cette saison, et j’avoue que c’est une grosse déception

[alexgavi]

SONDAGE - QUI GAGNERA LE TITRE ?

• Detroit Pistons (66-16)
• San Antonio Spurs (59-23)
• Chicago Bulls (58-24)
• Houston Rockets (54-28)
• Minnesota Timberwolves (52-30)
• Autre (Précisez)

[Rhino]

Je suis joueur, je mise sur nos Wolves

[alexgavi]

PLAYOFFS - FIRST ROUND

Contrairement aux 3 précédentes années, Minnesota n’a pas eu à attendre les résultats du play-in pour connaître son premier adversaire des playoffs. En effet, en terminant la saison à la 3ème place de leur conférence, les Wolves allaient automatiquement affronter les 6èmes, à savoir les Dallas Mavericks.

Les Texans sont parvenus à atteindre cette 6ème position, avec un bilan de 45 victoires et 37 défaites. En toute logique, ce bilan n’en fait pas des candidats au titre. Mais, il faut se méfier de cette équipe. L’année passée, les Mavs avaient remporté seulement 3 victoires de plus. Une fois en playoffs, ils sont parvenus à éliminer Denver (2-4), OKC (2-4) et San Antonio (1-4) tour à tour, afin de se hisser jusqu’en Finale ! Toutefois, ils n’ont pas su concrétiser face à Charlotte, tout simplement trop fort (4-0).

Cette équipe de Dallas est composée d’un mix entre expérience et jeunesse. Evidemment, les noms les plus ronflants sont ceux de Kyrie Irving (18.7 pts, 3.6 rbds, 4.2 pds) et d’Anthony Davis (15.9 pts, 8.5 rbds). Mais les deux anciennes superstars sont au crépuscule de leur carrière. Agés de 36 et 35 ans, ils ne sont plus les joueurs qu’ils étaient. A tel point que la première option offensive n’est plus l’un des deux, mais Jaden Hardy, agé de 25 ans (19.6 pts, 4.8 rbds, 5.1 pds). Les 3 joueurs font évidemment partie des titulaires, accompagnés par Derek Lively (13.7 pts, 8.5 rbds) et Dariq Whitehead (12.9 pts, 4.0 rbds).

Sans véritable attaquant élite (Irving et Davis n’ont plus ce niveau), Dallas a terminé la saison avec l’une des pires attaques de la NBA (25ème), et un banc qui a manqué de solution (31ème). Ainsi, les Mavs se sont appuyés sur leur défense (6ème) pour gagner les matchs. Les Texans ont une équipe qui conteste beaucoup les tirs adverses, faisant chuter le taux de réussite des opposants.

Pour les Wolves, la clé de la réussite sera de parvenir à contourner cette défense. Durant la saison régulière, Dallas avait réussi à Minnesota, ces derniers remportant deux des trois matchs, dont une cinglante victoire 111-137 il y a moins de deux semaines

TARGET CENTER - MINNEAPOLIS

GAME 1

Déterminés, les Wolves attaquent ces playoffs pied au plancher. Dans le sillage d’Edwards, c’est toute l’équipe du Minnesota qui joue juste, découpant la défense des Mavs de part et d’autre. A l’inverse, les Texans sont exsangues, complètement dépassés. Il y a déjà 15 pts d’écart à l’issue du premier quart-temps.

Les locaux font le choix de ne pas relâcher la pression, des deux côtés du terrain. Même les remplaçants s’y donnent à cœur joie. Si Reddish et Joe manquent de réussite, Bradshaw est tout bonnement inarrêtable. Pour Dallas, heureusement que Hardy parvient à scorer, l’écart serait encore plus important à la mi-temps.

Malgré un Kyrie Irving qui retrouve quelques couleurs, Minnesota va tuer tout suspense, en accentuant encore plus l’écart. Avec les leaders habituels, l’avance grimpe jusqu’à près de 40 pts !

En dernier quart-temps, les Wolves ouvrent leur banc, permettant aux joueurs ayant peu joué de se dégourdir les jambes. 1-0.

Stats notables Mavs : K.Irving (26 pts, 4 rbds, 4 pds), J.Hardy (23 pts, 7 pds), D.Lively (16 pts, 11 rbds), A. Davis (9 pts à 4/14).

GAME 2

Après avoir largement dominé les débats lors du Game 1, les joueurs du Minnesota débutent le Game 2 sereinement. Peut-être trop. Dallas en profite et fait la course en tête, notamment grâce à Hardy et Irving.

Cette tendance va se confirmer dans le second quart-temps, où les Mavs vont construire leur avance, avec un super passage de Whitehead et Gafford. A l’inverse, les Wolves font preuve de suffisance, à l’image de Randle qui manque certaines choses simples.

Faisant la course en tête, les Mavs jouent crânement leur chance, et empêchent tout retour des locaux. Étant systématiquement pris à 2, Edwards ne parvient pas à prendre les tirs qu’il souhaite, et se retrouve obligé de lâcher le ballon. Frustré, il prend plusieurs fautes bêtement, alors que ses Wolves comptent 9 pts de retard.

Le réveil va avoir lieu dans le dernier quart-temps, par l’intermédiaire de Dillingham[/color] dans un premier temps, puis Edwards. Alors que le come back est en cours, Ant-Man prend sa 6ème faute, synonyme d’exclusion. Malgré la sortie de leur leader, Dillingham, et surtout Randle, vont sortir le grand jeu pour égaliser, puis prendre l’ascendant. Le coup de massue est brutal pour Dallas. A l’image d’un Davis qui a tout loupé en fin de match, les Mavs perdent, incapables de tuer le match. 2-0.

Stats notables Mavs : D.Whitehead (20 pts), J.Hardy (19 pts, 6 pds), D.Gafford (19 pts, 5 rbds).

[toopil]

Très très bon tout ça