félicitation ! Quelle avance !
tu deviens le maitre allemand
10 points d’avance sur le Bayern
Qui a 12 points d’avance sur Leipzig
Qui a 5 points d’avance sur Dortmund
Elle est magnifique, la délimitation de cette hiérarchie, tellement que ça m’étonnerait pas que ça soit encore l’exact même top 4 l’an prochain
Pour l’Allemagne, on est bon.
Va falloir devenir invincible en Europe maintenant
Doku qui plante 24 buts en championnat sur une saison. Il a bien changé notre petit Jeremy.
Quelle suprématie en Allemagne. Dommage pour la LDC mais la remporter ne va plus tarder
« La saison aura été exceptionnelle à plus d’un titre. On parle de nos victoires, des trophées remportés, mais moi, je vois aussi les sacrifices fournis par les gars du premier au dernier jour. J’ai eu la chance de diriger un groupe extrêmement motivé et déterminé à accomplir de grandes choses. Un Jérémy Doku qui nous sort une saison fabuleuse, statistiquement parlant la meilleure de sa vie, ça me rend fier.
Maintenant, ce n’est que le début. Nous voulons plus, nous voulons mieux. Et ce sera ainsi jusqu’au bout, c’est une certitude. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
Un mercato pied au plancher

Michael Edwards n’a visiblement pas chomé ces dernières semaines. Car en ce jour d’ouverture du mercato estival, voici que le F.C. Hansa Rostock vient d’officialiser le recrutement de trois joueurs. Après les départs de Vladimir Darida (Retraite) et de Theo Gunnar Martens (Fin de contrat), voici que de nouvelles têtes rejoignent le navire. Des arrivées plutôt intéressantes dans l’idée de renforcer l’effectif.
Weigl à la poursuite de sa carrière
Le premier nom a avoir été dévoilé par le Hansa est celui de Julian Weigl. A 32 ans, le milieu de terrain se lance dans ce qui devrait être certainement son dernier grand projet. Un retour au plus haut inespéré au regard du déroulement de la carrière de de l’allemand. Si c’est au 1860 München que Weigl réalise sa formation, son transfert au Borussia Dortmund signe le début de la renommée pour le jeune joueur. A ce moment, tout le monde félicite Dortmund n’avoir été chercher un futur grand de la Nationalmannschaft, une étiquette plutôt réaliste lorsqu’on regarde les premières saisons du joueur sous ses nouvelles couleurs. Malheureusement, cela ne dure pas assez longtemps pour lui. Plusieurs blessures viennent mettre à mal la dynamique de l’international allemand qui recule dans la hiérarchie. A l’hiver 2020, il finit par faire ses valises, direction le Portugal. Au Benfica, le milieu de terrain renait. Ses pépins physiques semblent derrière lui et le joueur enchaine les matchs pleins. Mais après deux ans et demi plutôt réussi, bien que le club ne puisse arracher le moindre titre, le joueur retourne en Allemagne, du côté de Gladbach, dans le cadre d’un prêt assorti d’une option d’achat. Aucune raison n’a fuité concernant ce retour surprise au pays. Mais des rumeurs font état d’un mal être de Weigl, alors loin de sa famille.
De retour en Allemagne, Julian Weigl s’impose rapidement comme un joueur indiscutable de Gladbach, tout en continuant de participer plus ou moins régulièrement aux rencontres de la sélection nationale. Cependant, l’international ne peut empêcher son club de doucement mais surement glisser dans la hiérarchie allemande. A la fin de saison 2026-2027, Gladbach est relégué et Weigl demande à partir. Si le joueur a une touche avec Frankfurt, le transfert ne se fait pas par la volonté de la direction des relégués. Malgré sa déception, l’international allemand fait le job et participe activement au retour en Bundesliga de Gladbach. Mais sa décision est prise, il partira à la fin de son contrat.
Ce rebond au Hansa Rostock est inespéré pour Julian Weigl. A 32 ans, l’allemand est bien loin des promesses entretenues lorsqu’il était jeune. Même s’il n’a pas démérité, le milieu de terrain a semblé toujours bloqué par son plafond de verre. Pourtant, le natif de Bad Aibling affiche de belles qualités. Son jeu de passe est plutôt intéressant et l’international est capable de faire preuve d’un grand sang-froid. Sa vision de jeu est également un grand atout lorsqu’il s’agit de relancer proprement le jeu des siens.
Brandt ou la polyvalence incarnée
Julian Brandt aura connu moins de déboires que son compatriote. Formé du côté de Wolfsburg, le polyvalent attaquant doit attendre son arrivée du côté de Leverkusen pour connaitre ses premières minutes de Bundesliga. Après une première saison d’apprentissage, Brandt s’impose comme un joueur important du Bayer et voit sa côte grimper fortement. Dortmund flairant le bon coup fait sauter la clause libératoire de 25M € à l’été 2019 afin de devancer les clubs anglais qui gardent un œil sur lui. Sous ses nouvelles couleurs, Brandt montre de très belles choses, mais pas assez pour s’imposer véritablement comme un titulaire indiscutable. Pour autant, l’international allemand obtient beaucoup de temps de jeu grâce à sa grande polyvalence. Selon l’entraineur, la forme de l’équipe ou les éventuelles absences, Brandt se retrouve aligné tantôt sur l’aile gauche, tantôt sur la droite ou dans l’axe. Occasionnellement, l’allemand évolue même en pointe, dans un rôle de faux-neuf. Mais après neuf saisons complètes au Borussia, Brandt veut vivre autre chose. Il décline les propositions de contrat de son club et annonce dès février son souhaiter de quitter libre afin de vivre, à 32 ans, une dernière grosse expérience. C’est certainement ceci qui a motivé l’allemand a accepté l’offre du Hansa.
Doté d’une technique irréprochable, Julian Brandt a pour lui une grande polyvalence. Capable de jouer avec autant de succès sur les ailes gauche ou droite, comme dans l’axe du terrain, l’international allemand se rend indispensable grâce à cela. Mais c’est cette force qui représente également sa faiblesse. Malgré tout son talent, sa polyvalence l’a empêché de se fixer à un poste. Ce n’est certainement pas chez les Hanseaten que Brandt pourrait corriger cela, Leon Hartmann appréciant particulièrement ce genre de profil.
Tomori, la classe à l’anglaise
Dernier nom dévoilé par les Hanseaten, et non des moindres, Fikayo Tomori. Après plus de 200 matchs de Serie A sous les couleurs de Milan, l’international anglais représente une valeur sûre au poste de défenseur central. Formé du côté de Chelsea, l’anglais enchaine les prêts en Championship et peine à s’imposer au sein de son club de cœur. C’est son départ en Italie en janvier 2021, dans le cadre d’un prêt avec option d’achat qui lui permet d’exploser aux yeux de tous. Sous ses nouvelles couleurs, l’anglais enchaine les excellentes prestations et pousse Milan à poser les 28M € demandés. Tomori, lui, n’en reste pas là et continue de progresser à toute vitesse. Cadre de la formation italienne, leader vocal pour la ligne défensive, l’international anglais participe pleinement à l’obtention de quatre Serie A. Alors pourquoi partir ainsi? Les rumeurs font état de désaccords, voir de tensions entre le joueur et sa direction. En effet, l’anglais aurait souhaité quitter la formation italienne l’été passé, voulant se lancer dans un nouveau défi. Une demande qui aurait été refusé par l’entraineur, Luis Enrique, voulant conserver son défenseur coûte que coûte. Une décision qui aurait donc précipité la décision de Tomori de partir à l’issue de son contrat.
Aussi bon tacleur qu’au marquage, Tomori présente le profil d’un excellent défenseur. Pas mauvais balle au pied, l’anglais est capable de faire parler son jeu long pour apporter différemment le danger, notamment lors de contre-attaques. S’il n’est pas le plus grand des centraux, l’international présente de bonnes aptitudes dans le jeu aérien. Si on est loin de l’apport offensif d’un Sergio Ramos des grandes heures, les coups de casque de Tomori peuvent parfois débloquer certaines situations chaudes.
Qu’attendre de ces arrivées?
Weigl, Brandt, Tomori. Trois joueurs arrivés libres, sans aucun doute pour des missions différentes. Julian Weigl devrait certainement devenir la nouvelle doublure de Sander Berge. Si le club a intégré le jeune Thomas Nyang, de retour de prêt, dès le mois de janvier, il serait trop juste pour Leon Hartmann pour représenter une doublure fiable. Weigl a pour lui l’avantage de l’expérience et de la résilience. Concernant Julian Brandt, c’est un peu plus flou. Actuellement, le secteur offensif parait bien bouché. Des départs sont à prévoir. Ce qui semble par contre peu probable, c’est de voir un Wirtz, un Doku ou un Bakayoko quitter les Hanseaten. Une place de titulaire semble donc peu possible pour Brandt. Pour Fikayo Tomori, la situation semble plus limpide. Sur papier, l’international anglais est au-dessus de Perr Schuurs ou du jeu Van Emden qui évolue comme lui axe droit. L’anglais devrait donc pouvoir composer la prochaine charnière centrale du Hansa, au côté d’Evan N’Dicka. Maintenant, se pose la question du nombre puisque la formation de Leon Hartmann compte cinq centraux de métier. Il ne serait donc pas inimaginable d’en voir un quitter le club. Actuellement, Perr Schuurs et Justin Janitzek semblent les candidats les plus probables.
« Le F.C. Hansa Rostock frappe fort dès le premier jour du mercato en allant signer ces trois joueurs libres. S’ils n’auront certainement pas tous le même rôle, leur apport respectif devrait être très intéressant pour Leon Hartmann. Effectivement, il est difficile d’imaginer Weigl ou Brandt s’imposer comme des titulaires indiscutables, quoi que ce dernier pourrait surprendre. Par contre, il est bien plus envisageable d’imaginer Fikayo Tomori dans un rôle de titulaire dans la charnière centrale, au côté de d’Evan N’Dicka. Car qui peut jouer axe droit actuellement? Les néerlandais Schuurs et Van Emden. Mais le premier n’est pas irréprochable tandis que le second est encore fort jeune. Sur papier, l’international anglais est au-dessus. A voir maintenant qui quittera le club. Car il semble impossible de conserver cinq centraux dans l’effectif. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
C’est un peu un recrutement vieillissant non ?
Ou est ce que le coach cherché de l’expérience pour encadrer une équipe jeune et pour conquérir un titre ?
Un mercato parfait pour l’encadrement des jeunes pépites !
Et puis, ils pourront encore t’apporter qql chose dans le jeu à coup sûr.
J’ai toujours cru que Tomori c’était un japonais avec son nom, et j’avais jamais vu sa tronche en vrai xD
Un bon recrutement, un peu d’expérience pour passer un pallier en Europe, surtout le dernier pallier qui te reste à franchir au club ?
« Bonsoir à vous. Je vois que nos récentes recrues interrogent. Nous avons réfléchi en fin de saison passée sur ce qui avait pu se passer et nous avons conclu avec Michael (NDLR : Edwards, directeur sportif), qu’il était nécessaire pour nous d’aller chercher des profils d’expérience. Je compte sur Julian Weigl et Julian Brandt de se comporter comme des capitaines de route, des leaders dans le groupe pour accompagner les plus jeunes tout au long de la saison. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
Les chaises musicales

Leipzig et Rostock aiment faire affaire ensemble. Car quelques minutes seulement après l’annonce du départ de Jonathan Burkardt en direction des récents troisièmes de Bundesliga, voilà que Timo Werner fait le chemin inverse. Un nouveau recrutement d’expérience après les arrivées de Tomori, Weigl et Brandt.
L’expérience au service des autres
Timo Werner a pour point commun avec ses compatriotes que sont Weigl et Brandt d’avoir une histoire sensiblement identique. Né en 1996, Timo Werner débute sa formation au sein de l’académie de Stuttgart. Dès son plus jeune âge, il est vu comme un futur attaquant important pour l’Allemagne, dans la lignée d’un Mazio Gomez ou d’un Miroslav Klose. Le jeune joueur enchaine trois saisons pleines avec son club formateur au sein de l’élite allemande avant de rejoindre le RB Leipzig à l’été 2016. A cette époque, Lepzig est encore un très jeune club qui est de retour en Bundesliga que depuis peu. La place est donc là pour que Werner s’impose.
Sous ses nouvelles couleurs, Timo Werner prend rapidement de l’épaisseur. Malgré quelques pépins physiques, il s’impose comme l’un des meilleurs buteurs d’Allemagne même si certains comportements que le joueur adopte lui cause des tords. De nombreux suiveurs de la Bundesliga le prennent en grippe à la suite d’une rencontre face à Schalke où le jeune attaquant s’effondre grossièrement dans la surface adverse afin d’obtenir un penalty. Au-delà de ça, ses performances régulières et intéressantes lui ouvrent les portes de la Nationalmannschaft et surtout, attirent les regards de diverses formations européennes.
C’est en 2020 que Werner fait le grand saut dans l’inconnu. Il s’engage en faveur de Chelsea contre un beau chèque de 53M €. Les attentes sont grandes en Angleterre au regard des performances de ses dernières saisons. Mais rien ne se passe comme prévu. Alors qu’il affichait du côté de Leipzig une vraie assurance, sous ses nouvelles couleurs, c’est un tout autre joueur. Maladroit, pataud, dépassé par les évènements, Werner enchaine les mauvaises décisions et les erreurs. Las, les supporters le prennent assez vite en grippe tandis que le joueur se retrouve de plus en plus souvent sur le banc. Deux ans seulement après son arrivée en grande pompe, l’international allemand retourne au pays par la petite porte grâce à la main tendue par son ancienne écurie. Comme un signe du destin, que l’étoile Werner ne peut briller que chez lui, l’attaquant retrouve presque immédiatement sa confiance et son sens du but. En une saison, il inscrit plus de buts que lors de ses deux exercices complet en Angleterre, et ce malgré plusieurs pépins physiques qui l’empêchent d’être au top toute la saison.
Au cours de ces six dernières saisons, le rôle de Werner à Leipzig évolue sensiblement. S’il commence dans la peau d’un titulaire indiscutable lorsqu’il est disponible, en pointe de l’attaque, l’hémergence d’Evanilson le pousse de plus en plus régulièrement sur le banc. C’est à ce moment que l’attaquant développe ses capacités à évoluer également sur les côtés ou même en soutien de la pointe. Un couteau suisse qui a tout son sens, et obtient malgré tout un temps de jeu conséquent, bien que cela ait une forte incidence sur ses statistiques, surtout lors des deux dernières saisons.
Mais après six belles saisons, l’idée de se lancer un dernier gros défi germe dans la tête du joueur. L’intérêt de Leipzig pour Jonathan Burkardt pousse alors l’attaquant à sauter le pas et a demander à ses dirigeants un bon de sortie. Finalement, son destin se lie même encore plus à celui de son compatriote puisque rapidement, le Hansa fait part de son intérêt à l’entourage du joueur, afin de remplacer ce même Burkardt. Ce sera finalement le départ d’Evanilson du côté du Real Madrid qui libérera la situation, permettant à Leipzig d’avoir les fonds pour recruter le buteur du Hansa, et de libérer Werner.
Pour un dernier défi
Agressif, doté d’un gros volume de jeu et de qualités physiques impressionnantes. Voici les principales qualités que chaque observateur voit en Werner. S’il n’a plus l’habitude depuis quelques saisons, il va falloir que l’international allemand réveille son instinct de buteur. Car avec le départ de Burkardt, João Pedro n’a plus de doublure. En toute logique, Werner devrait être cet homme. D’autant plus que les ailes sont bien pourvus avec Doku, Bakayoko, Brandt, Tamarski et Mvuka. Il est cependant à noter que l’expérience importante de Werner, qui compte tout de même plus de 465 matchs de championnat à son actif, devrait être un atout précieux dans le cadre de la poursuite des projets objectifs des Hanseaten. L’équipe de Leon Hartmann a besoin de joueur capable de supporter les pires moments et de faire le dos rond en attendant que ça passe. Cela tombe bien, c’est une des spécialités de Werner. Entre ses années au RB Leipzig, club pendant longtemps mal-aimé d’Allemagne, et son expérience anglaise, le joueur a de la bouteille en situations complexes.
« Le transfert de Timo Werner peut interroger. Pourquoi aller chercher un joueur de cet âge-là, après avoir déjà recruté trois trentenaires. L’idée est en fait particulièrement intéressante. Par ce mouvement, le Hansa s’offre les services d’un soldat, d’un joueur ayant beaucoup de bouteille, capable d’apporter immédiatement quelque chose au club. Si Jakob Langer était certainement la piste N°1 pour remplacer Burkardt en cas de départ, ses performances mitigées lors de son dernier prêts ont eu raison de cette idée. Il vaut mieux lui laisser encore un peu de temps, et s’appuyer sur un gars comme Werner, qui sait qu’il ne vient que pour deux voir trois saisons tout au plus. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
Il a encore de très beaux restes. C’est un transfert a quitte ou double selon moi
T’aimes pas trop les regens hein?
J’aime bien en tout cas, on reste sur des noms connus du football allemand, je ne doute pas que la mayonnaise va vite prendre!
« Je suis convaincu que Timo (NDLR : Werner) peut nous apporter beaucoup sur durant niveau. Sportivement d’abord, c’est quelqu’un avec de belles qualités et encore de vraies qualités athlétiques. Ensuite, son expérience est un gros plus pour l’ensemble du groupe, et encore plus nos plus jeunes joueurs. Entre Julian Weigl, Julian Brandt et Timo Werner, nous avons de beaux meneurs. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
Autres questions
Je ne suis pas certain de comprendre le sens de ta question
Si c’est premier degré, si j’aime bien joué avec des newgens J’en compte six dans l’équipe première d’ailleurs en cette
- 20 Juillet 2028 : Le nouveau capitaine du Hansa est Aaron Ramsdale. Son vice-capitaine sera Evan N’Dicka.
- 25 Juillet 2028 : Le tirage en DFB-Pokal a été effectué. Le Hansa affrontera au premier tour le Velbert 02, club semi-professionnel.
« C’est une grande fierté pour moi de soulever une nouvelle fois la DFL-Supercup. Il s’agit tout de même de notre troisième victoire consécutive dans cette compétition, en quatre participations ! Je suis ravi, vraiment. Nous avons pu nous tester pour la première fois de la saison avant la reprise du championnat, ce qui est toujours une bonne chose. Maintenant, je ne me fais pas d’idée. Nous avons remporté une première bataille face au Bayern mais cela ne nous assure pas de remporter la guerre. Nous allons devoir faire preuve de beaucoup de vigilance afin d’engranger une maximum de points dans cette lutte face à ce grand adversaire. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« Cette première confrontation entre le Bayern München et le Hansa Rostock aura été particulièrement intéressante d’un point de vue tactique. Julian Nagelsmann, souvent tenu en échec par son homologue du Hansa ces derniers temps, a sorti de sa manche un système hybride en 4-2-3-1 avec un quatuor offensif Tel - Oshimen - Havertz - Musiala posant d’énormes problèmes à la défense de Leon Hartmann par ses incessantes permutations. Mais comme souvent ces dernières saisons, ce sont les Hanseaten qui auront le dernier mot. Une prédiction du déroulement de la saison à venir en Bundesliga? Difficile d’être aussi catégorique. Ce qui est cependant certain, c’est que ces deux formations sont loin devant les autres. Dortmund et Leipzig vont devoir sacrément batailler pour se mettre au niveau. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
D’excellents résultats en préparation et un palmarès qui s’agrandit encore avec la Super Cup.
Bien vu pour Werner. Physiquement, il est encore au top. Par contre, j’ai l’impression qu’il a perdu en attributs technique, non ?
Félicitations pour ce second titre de champion, bientôt la Ligue des Champions !
Mercato intéressant sur le plan de l’expérience jusqu’ici, je suppose que l’une ou l’autre pépite pourrait également débarquer ?
Oui, je disais ça parce que j’avais l’impression que tu n’en recrutais quasiment pas! Je pensais du coup que t’en avais moins que 6! (ce qui reste pas énorme, dans mes parties après sept saisons j’ai souvent une équipe quasiment full regen si je commence avec un petit club )
félicitation pour la coupe
tu réussi à gagner plus souvent face au Bayern