:storyred: :s4: 🇧🇷 Au Bon Endroit, Au Bon Moment

:storygreen: :intro: Au Bon Endroit, Au Bon Moment

:brazil: VitĂłr Ribeiro Cavalcanti

NĂ© le 26 Septembre 1984 Ă  Rio de Janeiro

Historique

2005 : Obtention de la Licence Comportement des sportifs et analyse tactique – Université de Brasillia
2007 : Obtention du Master Science de la performance et du coaching – Université du Pays de Galles

Année de début Année de Fin Club Poste
98 95 :brazil: Vasco de Gama Joueur junior
07 10 :brazil: Vasco de Gama Analyste Vidéo
10 12 :brazil: Sao Paulo FC Analyste Vidéo
12 14 :brazil: Sao Paulo FC Responsable de la cellule de recrutement
14 16 :brazil: Vasco de Gama Entraineur U16
16 20 :brazil: Clube do Remo Entraineur Principal
20 ?? :brazil: Sao Paulo FC Entraineur Principal

Palmarès

Année Place Club Championnat Titre
2015 :trophys: :brazil: Vasco de Gama Championnat de Sao Paulo U16 Vice-Champion
2015 4ème :brazil: Vasco de Gama Copa Libertadores Junior Demi Finaliste
2015 Quart :brazil: Vasco de Gama Tournoi de Saint André Quart de Finaliste
2017 :trophy: :brazil: Clube do Remo Copa Verde Champion
2017 :trophy: :brazil: Clube do Remo Championnat du ParĂ  Champion
2017 5ème :brazil: Clube do Remo Serie C /
2018 :trophy: :brazil: Clube do Remo Championnat du ParĂ  Champion
2018 :trophy: :brazil: Clube do Remo Copa Verde Champion
2018 :trophy: :brazil: Clube do Remo Brasileirao - Serie C Champion
2019 :trophy: :brazil: Clube do Remo Championnat du ParĂ  Champion
2019 :trophy: :brazil: Clube do Remo Copa Verde Champion
2019 :trophy: :brazil: Clube do Remo Brasileirao - Serie B Champion
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:storygreen: :intro: Au Bon Endroit, Au Bon Moment - Episode 0 : Le Futur ne tient qu’à un fil…

Notre histoire débute dans les années 90 au Brésil. Vitór Ribeiro Cavalcanti cadet d’une famille de trois enfants vit chez ses parents dans l’une des nombreuses favelas de Rio de Janeiro, son père Ingénieur Chimiste pour un grand groupe pétrolier fait vivre la petite famille en cumulant les heures dans ses laboratoires. Vitór quant à lui est alors encore très jeune lorsque son frère à peine plus vieux que lui, Luiz, supporter invétéré du Vasco de Gama, lui demande de lui envoyer des ballons comme si un destin de footballeur l’attendais au coin de la rue. La famille d’origine italienne a du mal à s’intégrer.

En effet depuis quelques années désormais, les oriundi (descendant de ressortissants italiens) ne sont plus en odeur de sainteté. Les italiens ont commencé à immigrer en masse au Brésil au début du XXème siècle. A la recherche de terres, les italiens se sont alors substitués aux esclaves africains dans les champs de café. Son nom ne laisse que peu de place aux doutes sur ses origines, son physique le trahit aussi dans la masse de la favela quand il reviens visiter ses parents, petite barbe saillante, des sourcils affirmés, des yeux d’un noir profond et surtout son teint halé et sa pilosité abondante. Souvent raillé par ses amis de jeunesse, Vitór sait depuis longtemps que la vie ne lui fera pas de cadeaux et qu’il devra mériter ses exploits.

Fils d’un chimiste et d’une agent de nettoyage, Vitór a eu une enfance mitigé, bien loti par rapport à ses amis de la favela mais pas assez pour en sortir. Le gouvernement brésilien d’alors tente de réformer le pays et adopte une nouvelle constitution censée permettre au pays de repartir dans un cycle prospère et vertueux. La vie est rude et pour joindre les deux bouts, Vitór est poussé par son père a abandonné sa passion pour le football et les études pour aller travailler comme son frère. Il devient ainsi mécanicien dans la concession d’un ami. Sa sœur plus âgée parvient à décrocher son diplôme de droit et part pour la capitale Brasilia pour devenir avocate. Quant à Luiz il vivra la Coupe du Monde 98 dans la rue, chassé par son père suite à sa plongée dans la drogue.

Alarmé par sa mère, Marià décide d’envoyer de Brasilia un tiers de son salaire tous les mois afin de permettre à Vitór de reprendre les chemins de l’école. Finalement la famille décide à contrecœur d’envoyer l’adolescent à Brasilia avec sa sœur afin de l’éloigner du tumulte et de la violence. Rapidement il revient sur les bancs de l’école et intègre le lycée français. Très bon la voie des études s’ouvre à lui. Fan de foot depuis son plus jeune âge il décide de se lancer dans des études sur le comportement des sportifs et l’analyse tactique à l’université de Brasilia.

Major de sa promo il obtient rapidement sa licence en 2004 et avec la bénédiction de ses parents s’envolent pour le Pays de Galles dans le cadre d’un programme d’échange pour s’inscrire au Master en science de la performance et du coaching il y devient maître de conférences en analyse tactique comme son ami Joao Sacramento. Si Sacramento rejoint alors le staff de la sélection galloise, Vitór lui rentre au pays et devient alors analyste vidéo pour le club de Vasco de Gama.

Il restera trois ans au sein du club avant de rejoindre Sao Paulo comme analyste toujours. Reconnu pour la qualité de ses analyses par les coaches de l’époque, Vitór est un analyste apprécié au Brésil, Dorival Junior, Romario ou encore Luiz Felipe Scolari qui fait appel à lui pour préparer les rushs sur les brésiliens évoluant en Europe, n’en disent que du bien. En 2012, Sao Paulo décide de lui confier les rênes de la cellule de recrutement où il fera quelques coups retentissants. Mais la marge de manœuvre laissé par la direction lui fera rater certains dossiers comme la signature de Rodrygo qui rejoindra finalement Santos.

En 2014, confronté au décès de l’entraineur de l’équipe U16, Vasco de Gama décide de le rappeler et de le nommer en poste. C’est alors l’apothéose pour Vitór qui commence à prendre conscience qu’il pourra peut-être réaliser son rêve. Il permettra à son équipe de finir deuxième du championnat d’état et emmènera l’équipe en quart de finale de la compétition internationale de sa catégorie. Bloqué à Vasco malgré un talent indéniable, Vitór demande à rencontrer son patron de l’époque afin d’étudier les possibilités pour son avenir.

Les mois passent sans que sa situation ne change, Vitór aime entraîner les jeunes de Vasco mais aspire à plus. Il veut ressembler à cette vague de coach qui déferle en Europe. Qualifié en dehors des terrains sans passif de joueurs mais qui savent comment gérer la tactique de leurs joueurs. Luis Campos, Miguel Cardoso ou encore Leonardo Jardim sont ses modèles.

Juninho parle de lui comme le futur des coachs sportifs brésilien au président de Vasco mais le club est tenu par les engagements du club. Juninho est devenu proche du coach des U16, L’arrivée dans l’équipe de son filleule n’y est pas pour rien. Le spécialiste des coups francs de l’Olympique Lyonnais a vite décelé le talent chez Vitór. Joao Sacramento resté proche de lui en parle aussi à Luis Campos son mentor comme un entraineur talentueux en devenir, extrêmement perfectionniste et en avance sur son temps tactiquement. Luis Campos prends alors le dossier en main et propose une solution à Vitór ainsi qu’a Vasco qui pourrait contenter tout le monde dans ce dossier.

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L’équipe Réserve de Lille?

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Hâte de lire la suite …

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ça démarre fort

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:heart_eyes:

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J’en veux encore !

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Tu as réussi à me plonger dedans … on veut savoir la suite !

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Toujours aussi fort ce petit @Groot

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Attends on sait jouer avec les équipes réserve ?

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Non ce n’est pas possible de contrôler les réserves dans FM à l’exception des réserves espagnoles.

Merci mon ami, j’espère que cela va te plaire.

Espérons que cela continue :hoho:

:sac:

gourmand va, rassure toi ça ne fais que commencer, réserve ton siège, pré-chauffe ton popcon, débouche ta cerveza et installe toi confortablement :hoho:

Tu sais ce qu’on dit, quand on plonge le doigt on y laisse tout le bras. :sac:

Merci @Tiien, j’essaye de faire les choses bien :smiley:

Non toujours pas :cry:

on s’en fou de tes réponses, on veut la suite!!! :smiley:

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il a tout dit @BlackHoleSun, on a pas que ca à faire d’attendre :sweat_smile::sweat_smile:

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Demain là j’ai oublié de m’envoyer le word du coup il est resté au boulot :sac:

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c’est du propre lol

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Vitór a toujours été attiré par le ballon rond. Il faut bien se l’avouer il est tombé dedans étant petit. C’est son frère qui l’a initié l’emmenant régulièrement au São Januário l’antre de Vasco contre l’avis du père de la famille. Son frère membre historique des Guerreiros do Almirante, groupe ultra du club de Vasco, lui a fait découvrir le football et le beau jeu brésilien. Il emmène Vitór aux quatre coins de Rio pour lui montrer comment jouent les grands du football carioca. Il inscrit même le jeune Vitór au sein du club dès ses quatre ans. Il y restera cinq ans évoluant modestement au poste de défenseur droit.

Mais très vite Wagner le père empêche le jeune Vitór de continuer à jouer. La famille a du mal à survivre et les écarts de Luiz endettent toute la famille. Vitór, 10 ans est contraint à donner des coups de mains dans le garage d’un ami de la famille pour permettre à tous de manger le soir. Les temps sont alors très dur, Vitór passent ses journées sous le pont des voitures à changer des pneus, à monter des carburateurs. Très vite il apprend aussi à manier le pistolet de son patron. Dans la favela c’est une étape incontournable si l’on veut rester en vie et ne pas se faire intimider. Le soir Vitór enchaîne avec un second travail avec un ami de Vasco il repasse sur les lignes du terrain d’honneur à la craie pour marquer le dessin des lignes qui jadis le faisait rêver. Il repeint aussi les couloirs du stade pour quelques billets supplémentaires.

En cachette Vitór ne perds jamais la passion qui l’habitent et il n’est jamais loin pour suivre les exploits de Vasco, comme son titre de champion et le lancement du Projeto Tóquio. C’est le nom donné au Brésil pour la campagne qui suit un titre national. Historiquement le club champion investit massivement pour gagner la Copa Libertadores et se qualifier pour la Coupe Intercontinentale qui’ l’oppose au vainqueur de l’UEFA Champion’s League lors d’une Finale au Japon à Tokyo. Vitór verra ainsi Vasco remporté la Libertadores contre Barcelona of Ecuador sur la télé du vieux Moacyr dans le garage vétuste.

L’année suivante il suivit avec passion la finale contre le Real Madrid subjugué par le jeu des hommes de Vicente del Bosque rêvant un jour de pouvoir rejoindre le club madrilène. Il verra aussi 3 ans plus tard le Brésil de Ronaldo et Ronaldinho remporté la Penta en Corée. A bout après 4 ans passés dans l’enfer de la favela, Vitór sombre dans la petite délinquance. C’est son frère qui l’en sort en lui donnant trempe sur trempe pour lui intimer la conviction que ce chemin n’est pas le bon. Lorsque Luiz est envoyé en prison pour trafic de stupéfiant et consommation de crack, il supplie son père d’envoyer Vitór suivre leur grande sœur à Brasillia afin de le petit Vitórinho comme il le surnomme ne sombre pas définitivement.

Ce n’est que quelques mois plus tard que Maria arrive enfin à faire venir Vitór qui reprendra alors ses études et découvrira de nouveaux clubs de foot comme le Brasilia FC. Marià l’emmène régulièrement à Belo Horizonte c’est là que Vitór découvre l’Atletico Mineiro un des gros clubs du pays. Le jeune mécanicien se découvre alors une appétence pour la science tactique qu’il se plait à disséquer sur son temps libre. A l’école il profite de la moindre occasion pour griffonner des schémas et des séquences de jeu qu’il imagine performante.

La suite de ses études ne sera que la suite logique de ce développement personnel débuté lors de son adolescence. Sa plus grande fierté à ce jour reste sa collaboration avec le sélectionneur brésilien Luiz Felipe Scolari qui utilise ses analyses des 2004 pour comprendre le jeu de ses joueurs notamment ceux qui évolue encore au pays. Son schéma de jeu en est même inspiré.

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Nous sommes le 31 Aout lorsque le téléphone de Vitór reçoit pour la première fois un appel de Luis Campos. Vitór s’y attendais cela faisait plusieurs semaines que Joao entretenais le contact avec lui. Ils échangeaient beaucoup sur son arrivée au LOSC en France et sur les spécificités du championnat de France. Joao en profita pour demander quelques renseignements sur certains brésiliens comme Caju, Thiago Maia, Thiago Mendes ou encore Luiz Araujo. Il fut assez surpris de la qualité d’analyse de son compère sud-américain.

Joao après sa brillante formation a d’abord officié avec la sélection galloise avant de rejoindre Luis Campos à l’AS Monaco, responsable de l’analyse tactique il assiste d’abord Claudio Ranieri puis Leonardo Jardim il s’occupe d’abord du scouting des adversaires mais scoute aussi l’ASM et ses diverses équipes. Il occupe ensuite dès 2016 le même poste mais au LOSC cette fois où il a suivi une nouvelle fois son mentor Luis Campos. Son expertise est reconnu dans le monde entier désormais, Joao donne régulièrement des conférences sur l’analyse tactique via la vidéo.

L.Campos : Bonjour Vitór, c’est Luis Campos, je pense que Joao a du te parler de moi. Je suis actuellement responsable recrutement du club français de Lille. C’est lui qui m’a donné ton numéro. Il m’a dit beaucoup de bien de toi. Si j’ai bien compris vous étiez à la fac ensemble au Pays de Galles c’est bien ça.

Vitórinho : Bonjour Monsieur Campos, c’est un honneur pour moi de vous avoir au téléphone. En effet Joao m’a parlé de vous, il ne m’a dit que du bien. Vos méthodes sont très connus ici au Brésil vous étes un modèle pour de nombreux collaborateurs ici.

L.Campos : Merci Vitór, on est entre nous tu sais tu peux me tutoyer et m’appeler Luis. Je t’explique comme tu le sais j’aime avoir un réseau compétent qui travaille pour moi. J’aimerais développer notre connaissance du Brésil dans notre système et Joao m’a précisé que tu avais travaillé pour Vasco et pour Sao Paulo.

Vitórinho : En effet j’ai été analyste vidéo pour ces deux clubs suite à mon cursus universitaire, j’ai aussi travaillé modestement pour la cellule de recrutement de Sao Paulo mais le club n’avais pas confiance dans les jeunes joueurs que je lui conseillais.

L.Campos : Ton œil aiguisé serait précieux. J’ai aussi eu des échos de ton travail pour la sélection brésilienne, cela m’a intrigué. Joao m’a aussi dit que tu souhaites devenir coach. C’est un métier difficile tu sais. Je l’ai été moi-même et cela s’était mal fini notamment avec Varzim que je n’ai pas réussi à maintenir. Toutefois j’ai une proposition à te faire. Je sais que Vasco ne veut pas te faire évoluer. En revanche j’ai un ami qui possède le club de Remo dans le nord du Brésil au Pará. Son équipe évolue en troisième division mais est prête à donner sa chance à un jeune coach. L’idée serait de continuer ton travail de scouting et d’en faire bénéficier Remo. Avec nos contacts tu aurais à disposition des jeunes talents brésiliens en prêt, car le club n’a pas beaucoup d’argent et ne peux se permettre d’acquérir les meilleurs joueurs.

Vitórinho : Je ne sais pas quoi dire, je ne m’attendais pas à cela. Je connais bien le club, enfin leur section jeune que j’ai pu affronter avec Vasco. Ils ont un jeune milieu Davide Lima que je verrais bien en Europe d’ici 3-4 ans. Cela pourrait être une belle expérience et une occasion unique pour moi.

L.Campos : C’est parfait on va arranger cela. Je dirais à Joao de te donner les infos nécessaires pour ton entretien avec le président du club, tu verras Josemir est un homme charmant et passionné. J’espère que notre collaboration sera productive. Bonne fin de journée Vitór.

Vitór resta complétement hagard suite à cette discussion, lui l’enfant des favelas allais peut-être enfin prendre en main un club professionnel. Alors oui ce n’étais pas Vasco, Flamengo ou Santos mais Remo était peut-être l’opportunité idéal pour lui. Pression limité, effectif qu’il connait déjà, un réseau intéressant pour se faire prêter des jeunes brésiliens et des contacts avec Sao Paulo et Vasco de Gama. Tout semblait alors réuni pour lui.

La redescente le lendemain fut rude. Travailler pour Luis Campos est une charge que tous ne peuvent tenir. En attendant l’entretien avec Josemir prévu pour mi-Novembre, Luis et Joao envoyèrent toute une liste de tâches à accomplir pour Vitór. Il assista d’abord au séminaire de Marcelo Bielsa afin d’enrichir sa connaissance tactique. Puis il sillonna le Brésil afin de suivre quelques bons jeunes qui pourraient rejoindre Remo par la suite. Il fut notamment intéressé par un jeune ailier de Cruzeiro Andrey. 18 ans, dribbleur. Pas le talent d’un Neymar mais de quoi faire se lever les foules au Brésil et évoluer à un niveau satisfaisant.

Le jeune analyste filma lui-même les entrainements et les matchs du jeune ailier afin de décortiquer son jeu et de comprendre celui-ci. Il détermina cinq points d’amélioration et quatre traits de caractère à travailler pour lui permettre de percer au niveau professionnel. Il envoya par la suite toutes les données collectés sur certains joueurs afin d’être prêt le jour J avec le responsable de Remo afin de pouvoir prévoir les arrivées potentiels sous forme de prêts.

Comme Luis Campos le fait pour le LOSC, Vitór proposeras trois types de joueurs à son potentiel futur employeur. Un joueur de niveau Serie C, un joueur jeune à potentiel Serie B ou supérieure. Un joueur expérimenté niveau Série C. La direction validera alors ou non les recrutements potentiels du club.

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Très bon ça ! :slight_smile:

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Le nom de ta destination se précise !

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Il va nous enmener vers corcovado ^^

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