:storyred: :s10: :bel: 10 ans en arrière pour que la Belgique gagne un titre

Equipe Nationale de Belgique

Coupe des Confédérations 2017

Cette édition sera sûrement la dernière car la FIFA a annoncé que pour 2019, la Coupe des Confédérations n’existera plus. Raison de plus pour tout faire pour la gagner ! Mais pour ça il va falloir affronter le Nigéria qui peut toujours créer la surprise et le Brésil qui possède des joueurs très talentueux. L’Ouzbékistan ne devrait logiquement pas poser de problèmes. Si on peut sortir facilement de ce groupe, il faudra affronter une des grosses équipes de l’autre groupe : l’Espagne ou l’Angleterre qui nous ont déjà posé des soucis auparavant. Le Mexique et la Nouvelle-Zélande me semblent trop juste pour pouvoir rivaliser avec les deux pays européens.

Premier tour : les groupes

:bre: Brésil - Belgique :bel:

Comme prévu, le match contre le Brésil est plus qu’équilibré et les deux équipes semblent du même niveau. Pourtant ce sont les brésiliens qui ouvrent le score grâce à Robinho qui, bien lancé par Rafael Sobis après une erreur de la défense belge, tente sa chance. Si dans un premier temps elle est repoussée par courtois, Robinho reste attentif et arrive à récupérer la balle pour la mettre au fond. Pour les belges, le calvaire commence. Ils doivent impérativement revenir dans le match mais le gardien Julio Cesar est dans une grande forme. Heureusement, à la 68ème minute, les belges arrivent à trouver la solution sur coup de pied arrêté. Le corner donné par Boukhriss trouve la tête d’Hazard qui la met dans le but de Julio César. Le score ne changera plus et les deux équipes peuvent s’estimer heureuses de s’en sortir sans une défaite.

Eden Hazard, 22 juin 2017

« On a bien cru qu’on allait jamais arriver à revenir et qu’on allait commencer le tournoi par une défaite. Mais l’invincibilité du gardien brésilien s’est finie grâce à la faiblesse de la défense. C’est rarement un joueur de ma taille qui arrive à placer une tête sur un corner (rires) ! »

Franky Van der Elst, 22 juin 2017

« C’était un beau match ou les deux équipes auraient pu sortir gagnantes. On savait que le Brésil ne serait pas facile. J’estime que les garçons ont bien joué et un nul n’est pas un mauvais résultat. Le match contre les Ouzbeks devrait être plus facile. »

:bel: Belgique - Ouzbékistan:uzb:

On espère que pour ce match, les belges seront bien plus impériaux. Mais au vu du début du match, on pourrait en douter tant le match est ennuyant dès les premiers minutes. Ensuite les belges se réveillent timidement mais sans succès. Si les Ouzbeks tentent deux fois leur chance, Delferrière ne faiblit pas. Malgré tout, le match ne décolle pas et même l’entrée de sang frais à la 70ème minute ne changera rien à la physionomie du match : 0 buts des deux côtés. Certes, le gardien ouzbek est homme du match mais il faut avouer que les diables n’ont pas rien montré d’intéressant ce soir. Et surtout est-ce que Van der Elst a eu raison de mettre son équipe B ce soir ?

Gaby Mudingayi, 24 juin 2017

« Le résultat est vraiment difficile à accepter. C’était dur d’être capitaine ce soir. Je me demande ce qu’on pourra faire contre le Nigéria, en pleine forme pour le moment, si on coince contre les Ouzbeks. »

Franky Van der Elst, 24 juin 2017

« Je veux bien accepter mon erreur d’avoir sous-estimer les Ouzbeks en mettant sur le terrain une Equipe B mais c’est quand même fou de ne pas arriver à mettre un but au vu du potentiel offensif de notre équipe ! Il faut maintenant réussir un résultat contre le Nigéria et ça ne sera pas une mince affaire. Espérons que le repos des titulaires suffira à garantir la victoire. »

:nigeria: Nigéria - Belgique :bel:

Les belges, si il ne veulent pas partir ridicules de la compétition doivent absolument gagner ! Et on peut dire que les titulaires habituels ont envie de se battre : il ne faut attendre que la 14ème minute pour Hazard pour marquer le premier but. Pourtant, malgré un début en fanfare, les nigérians arrivent à égaliser une dizaine de minutes plus tard sur coup-franc. Mais si tout semble aller encore très mal pour les Diables, c’est la dernière fois que le Nigéria fera quelque chose durant le match. Les belges vont ensuite totalement dominer les débats grâce aux buts de Lukaku et De Bruyne. Si le gardien, Enyeama n’avait pas sortir sa meilleure performance et si la défense n’avait pas été de tous les instants, c’est 4-5 buts de plus que la ligne offensive belge aurait pu inscrire. Grâce à ce match, la Belgique affrontera le premier de l’autre groupe au tour suivant.

Kevin De Bruyne, 26 juin 2017

« Je pense qu’on a montré à tout le monde qu’on voulait vraiment gagner et que notre fierté avait été touchée lors des deux derniers matchs. Et ça me fait du bien de marquer à nouveau pour la Belgique, ça commençait à faire un petit temps. »

Franky Van der Elst, 26 juin 2017

« Rassurez-vous, je n’aurai pas la prétention de dire que tout était calculé mais mon erreur a finalement été bénéfique ce soir. La ligne offensive a été impériale ce soir. Par contre, il va falloir venir à bout de l’Angleterre et on se souvient à quel point l’année passée, ils nous avaient fait mal. »

La grosse déception de notre groupe c’est bien sûr le Brésil et heureusement pour nous. L’Ouzbékistan a servi de punching ball, hormis contre nous … On ira donc au tour suivant avec le Nigéria. La surprise est aussi de mise dans le premier groupe où l’Espagne s’est faite coiffée au poteau par un Mexique surprenant. Le Nigéria a une bonne chance d’atteindre la finale alors que nous on devra affronter l’Angleterre qui nous avait privé de finale à l’Euro l’année passée.

Demi-finale

:eng: Angleterre - Belgique :bel:

Le dernier match entre les deux nations avait vu l’Angleterre sortir vainqueur après un beau match de leur part. Tout une nation belge attend à ce que les choses changent. Et de fait, rien ne tourne pareil pour les anglais. Les belges sont bien plus dominateurs et ne laisse pas la balle à leurs adversaires. Il faudra d’ailleurs pas attendre la seconde mi-temps pour obtenir des résultats ! Dès la 33ème minute, Lukaku déborde à gauche sur une passe de Boukhriss et trompe Paul Robinson. 5 minutes plus tard, c’est encore Boukhriss, qui est en train de gagner doucement ses galons de titulaire, qui donne la dernière passe à Hazard pour le deuxième but. En seconde période, les belges lèvent le pied et empêche les anglais de jouer. Mais à ce moment, à part Paul Robinson qui sauve la mise de son équipe plusieurs, aucun joueur ne semble encore concerné par la suite du match. Après des débuts difficiles en groupe, le noyau belge parvient à atteindre la finale.

Eden Hazard, 29 juin 2017

« Même si la compétition est moins importante que l’euro, on ressent un sentiment de vengeance par rapport à juin 2016. Romélu et moi on était totalement dans notre match et on marque tous les deux. Merci bien sûr à Mohammed qui nous a tous les deux servis sur un plateau ces buts si importants ! »

Franky Van der Elst, 29 juin 2017

"Une belle victoire contre le favori du tournoi. Bravo aux garçons car l’Angleterre n’a pas été ridicule ce soir. On a montré que depuis 2014, notre équipe peut battre tout le monde mais qu’il faut constamment faire attention au relâchement. Il ne tient qu’à nous de battre le Nigeria dans trois jours. "

LA BELGIQUE PASSE EN FINALE !

Les slovènes ont réussi à venir à bout de l’Ukraine aux penalties et atteignent une demi-finale pour la première fois de leur histoire. C’est aussi le cas de la Turquie qui sera leur prochain adversaire. Dans tous les cas, il y aura une surprise en finale. Dans l’autre demi-finale, on perdra par contre l’un des deux favoris : l’Angleterre, qui a peiné à écarte les Suisses, affrontera les belges.

Finale

:nigeria: Nigéria - Belgique :bel:

Ca y est, les belges sont en finale et retrouvent le Nigéria, encore une fois. Est-ce que la victoire 3-1 en groupes permettra aux diables d’avoir l’ascendant psychologique ? Si on prend les trente premières minutes du match, on peut en douter tant les deux équipes sont déchainées et tentent leurs chances sans relâche. Heureusement que les deux gardiens sont d’un niveau extraordinaire ce soir ! Mais comme contre l’Angleterre, entre la 30ème et la 40ème minute, c’est le moment de grâce de la Belgique ! C’est d’abord Hazard qui ouvre le bal en reprenant une balle perdue dans la surface. Et c’est évidemment Lukaku qui va inscrire le second but grâce à un show impressionnant. Carrasco récupère la balle au milieu de terrain et lancer Lukaku qui va dribbler trois défenseurs nigérians pour tromper Eneyama ! La Belgique remporte un deuxième titre international !

La jolie coupe :

Thibaut Courtois, 2 juillet 2017

"Certes, l’attaque a bien joué et a mis les deux buts de la victoire mais il ne faut pas sous-estimer la pression que le Nigéria nous a mis. Je pense avoir été impeccable sur ma ligne de but et ce titre d’homme du match me semble mérité ce soir. "

Franky Van der Elst, 2 juillet 2017

« J’ai l’impression que c’est devenu notre marque de fabrique. On a difficile au début et ensuite on bat tout le monde. Bravo aux garçons qui ont fait un magnifique match contre une équipe du Nigéria qui a été aussi impressionnante. Espérons que cette victoire nous inspire pour se relancer en qualifications pour la Coupe du Monde. »

Conclusion

Je n’attendais pas grand-chose de ce tournoi que j’avais oublié mais c’est toujours plaisant de gagner. Mais faut avouer, qu’hormis contre l’Angleterre, j’ai pas eu très peur de mes adversaires (même si le nul contre l’Ouzbékistan est un beau fail). Il faut maintenant se reprendre en qualifs où c’est un peu difficile pour le moment. Et puis, on arrive tout doucement à la fin de ce récit et des dix ans prévus !

Merci @celiavalencia et @gwendil35 d’avoir cru en moi ! Désolé @Pikouse, @Quywix et @kash, mais je l’ai gagnée cette finale ! @nehoc et @lindexv, j’aurai pu effectivement perdre à cette étape. Par contre, @tilo82 et @capitaine_hastings, je sais que ça n’a pas été très glorieux pour ces derniers temps et que j’ai pas joué de manière impériale, mais j’ai tout de même réussi à faire mieux !

On revient directement aux qualifications pour la Coupe du Monde 2018.

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Je rattrape mon retard de presque 2 semaines :scream:
Dommage pour l’Euro, avec des tirages pas simples aussi.
Mais bravo pour la coupe des Confédérations :+1:

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Bien joué pour cette victoire en Coupe des Confédérations.
Où étaient les équipes Sud-Américaines?

Et il n’y a pas de H à Ouzbek
A la différence des Kazakh, mais il y a un H dans Kazakhstan
Kirghiz, Kazakh, Ouzbek, Turkmène, Azeri, Afghan :slight_smile:

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Oui quand j’ai le temps, j’avance. Je sais que j’approche de la fin et j’ai beaucoup avancé dans le jeu. J’ai envie de raconter ce que j’ai déjà vécu y a une semaine ou deux :slight_smile:

Y avait le Brésil dans mon groupe ! Mais ils sont pas du tout dominateurs dans ma partie.

Oui je me suis rendu compte après de mon erreur. Merci de l’avoir signalée, j’ai modifié dans le texte :wink:

Equipe Nationale de Belgique

Joueur De Vers
Montant
Romélu Lukaku :mallorca: Mallorca :valencia: Valencia
5,75M
Mohammed Boukhriss :valencia: Valencia :arsenal: Arsenal
11,75M
Yannick Carraco :chelsea: Chelsea :inter: Inter
Prêt
Thomas Buffel Vicenza :montpellier: Montpellier
250k
Richard Decorte :mayence: Mayence :nuremberg: Nuremberg
7,25M
Gaby Mudingayi :lazio: Lazio Piacenza
0
Koen Daenen :barcelona: Barcelona :spurs: Tottenham
0
Nicolas Lombaerts :derby: Derby :watford: Watford
0
Ferry Elsen :milan: Milan :barcelona: Barcelona
4,1M
John Delorge :milan: AC Milan :juventus: Juventus
Co-propriété
Ton Vanmarsenille :barcelona: Barcelona :liverpool: Liverpool
9,5M

Le groupe des sélectionnables

Quelques profils de jeunes qui deviennent importants

Robert Adam - BT - Cardiff


Mohammed Boukhriss - MOG - Arsenal

John Delorge - MC - Juventus

Ferry Elsen - BT - Atalanta

Patrick Sanders - DDGC - Arsenal

Ton Vanmarsenille - GB - Liverpool

Le groupe :

Les plus anciens sont partis et avec Courtois et Delferrière, on retrouve des jeunes présents dans de gros clubs : Catrysse et Vanmarsenille qui peuvent déjà concurrencer Delferrière. Surtout que celui-ci n’a pas souvent été impeccable lors de ses titularisations. Courtois restent, lui, le titulaire indiscutable.

A droite, Vanden Borre est toujours important pour l’équipe, il est de plus en plus suppléé par De Vriese plutôt que Meunier. A gauche, Vermaelen et Lombaerts sont toujours les seuls à pouvoir prétendre à une place en équipe nationale. Mais en fin d’année, venu de nulle part, Patrick Sanders (absent du print), jeune joueur récemment transféré à Arsenal, commence à faire son trou. Ronald Maréchal ne semble pas encore prêt à être titulaire. Au centre, on garde bien sûr les habituels : Kompany, Vertonghen, Alderweireld et Adams. Sironval, Delcour et Delière reste en renfort et quelques jeunes comme Aerts ou Verstappen doivent encore évoluer.

Mudingayi commence à vieillir et perd de sa superbe et Fellaini n’a jamais vraiment eu la carrière qu’il méritait. Biglia est aussi sur le déclin depuis qu’il a rejoint la France. Pour aider Witsel, toujours indéboulonnable, les jeunes Decorte et Delorge prennent de plus en plus d’importance. Sur le plan offensif, on retrouve à droite toujours De Bruyne et Persoons. A gauche, il y a du changement, entre l’éclosion de Carrasco et Boukhriss, Mertens n’est plus vraiment titulaire. Le jeune Jacco Smeets, depuis sa signature à Lens toque doucement à la porte de l’équipe nationale. L’autre Hazard, Thorgan, prend aussi de plus en plus de place et pourrait de temps en temps être appelé en cas de coup dur. Au centre, Hazard est essentiel à l’équipe et heureusement est rarement absent. Surtout que Buffel et Defour ne devrait plus souvent être appelé. Persoons peut le remplacer si besoin ou un attaquant.

Dembélé et Cioni ne sont plus aussi essentiels : le premier vieillit et le second n’a jamais réussi à percer en club. Si Lukaku est toujours titulaire, les jeunes sont maintenant priorisés. Koen Daenen est devenu le numéro deux et Ferry Elsen a enfin vu sa carrière démarrer. Robert Adam est un peu le petit nouveau qui peut surprendre. Benteke n’aura jamais réussi à s’imposer malgré une belle carrière en Suisse.

Qualifications pour la Coupe du Monde 2018

Septembre 2017

:moldova: Moldavie - Belgique :bel:

Kevin De Bruyne, 9 septembre 2017

« Trois buts pour moi et un pour Mohammed, on montre bien que l’on veut revenir au plus vite à la tête de notre groupe. Ce n’est bien sûr que la Moldavie mais marquer 4 buts est essentiel pour le ratio à la fin. »

Franky Van der Elst, 9 septembre 2017

« Les garçons n’ont pas eu très dur ce soir mais ils ont fait ce qu’on attendait d’eux : marquer le plus de buts possibles. Et après les résultats contre la Pologne et la Bosnie, ça fait du bien de jouer notre jeu avec réussite. »

:bel: Belgique - Liechtenstein :lie:

Mohammed Boukhriss, 13 septembre 2017

« Mon transfert à Arsenal m’a mis dans une grande confiance et ce soir, dès le début du match, j’ai su que je ferai des grandes choses. Mes coéquipiers l’ont bien compris et ont tout fait pour me laisser jouer. Résultat : 5 buts ! Une première pour la Belgique, non ? »

Franky Van der Elst, 13 septembre 2017

« J’en reviens pas de la performance de Mohammed. 5 buts en une soirée c’est vraiment exceptionnel ! Il mérite le temps de jeu que je lui donne depuis un petit temps et il est devenu notre MOG de référence ! »

Octobre 2017

:bel: Belgique - Pologne :pol:

Axel Witsel, 14 octobre 2017

« Un but et deux passes décisives : on peut dire que j’ai bien aidé l’équipe ce soir. Si le match a encore été serré, il a tourné à notre avantage et la vengeance contre les polonais est accomplie ! La qualification direct se jouera contre la Slovénie. »

Franky Van der Elst, 14 octobre 2017

« On savait que ce match serait difficile et les garçons ont tout fait pour y arriver. Malgré le peut d’occasions laissés aux polonais, ils ont quand même réussi à en mettre deux, je ne peux que les féliciter. Mais ils n’iront pas à la Coupe du Monde (rires). »

:slovenia: Slovénie - Belgique :bel:

Eden Hazard, 18 octobre 2017

« Samir Handanovic, le nouveau gardien concurrent de Roy (Delferrière) à la Roma nous a bien embêté. Heureusement que j’ai trouvé la faille à la 38ème. Cette fois, c’est fait, on est qualifié pour l’Espagne en juin prochain. »

Franky Van der Elst, 18 octobre 2017

« Je suis tellement fier d’eux, ils y sont arrivés et on est over motivés pour défendre notre titre en juin. Si Eden a bien sûr encore une fois été impeccable, je tiens à féliciter le jeune Ferry (Elsen) qui marque en toute fin de match. La relève semble assurée. »

Novembre 2017

:aus: Australie - Belgique :bel:

:cze: République Tchèque - Belgique :bel:

Mohammed Boukhriss, 23 novembre 2017

« C’est sûr, ce n’est plus 5 buts comme il y a deux mois mais tout de même encore un doublé. Je pense que j’ai vraiment trouvé ma place dans cette équipe nationale et je suis impatient de montrer notre talent en Espagne. »

Eden Hazard, 22 novembre 2017

« Les Tchèques sont toujours difficile à jouer mais pour un amical on s’en est bien sorti : on a beaucoup testé mais tout de même gagné. Mes deux buts me font plaisir et je suis prêt à en mettre d’autres en juin prochain. Attention, Romélu, je vais bientôt me battre pour dépasser ton record (rires). »

Franky Van der Elst, 22 novembre 2017

« On parle souvent des buts de Romélu mais on a tendance à oublier que Eden marque beaucoup aussi. Ils n’en ont qu’une dizaine de différences. Au vu du peux de choix à sa place, je suis heureux qu’il soit si performant et jamais absent (rires). Et Mohammed et vraiment en pleine forme pour le moment. Les garçons sont à leur apogée et montrent au monde qu’on est prêt pour la prochaine Coupe du Monde ! »

Ca y est, on finit premier et on ira à la Coupe du Monde défendre notre titre !

Novembre 2017

Les barrages :


Les groupes :


Quelques grosses nations se sont qualifiées sans soucis : l’Allemagne a dominé son groupe et la Belgique, le Portugal, les Pays-Bas ou la France, malgré quelques accrocs ont décroché leur qualification sans trop de soucis. La Turquie et le Danemark ont maîtrisé deux groupes plutôt abordables. Les deux grosse surprises sont l’Irlande du Nord qui finit devant une Angleterre décevante et la Norvège qui a profité du décevante Italie pour se qualifier directement. Heureusement pour la Coupe du Monde, ces deux équipes se sont qualifiées aux barrages. Dans ces barrages, la Russie élimine la Suède et l’Ukraine est arrivée difficilement à bout de la Suisse.

Conclusion

La crise a été évitée grâce à une Coupe des Confédérations à la fin heureuse. Au retour, on a pas eu de problèmes pour gagner tous nos matchs et finalement se qualifier sans problème même si ça a été très juste contre la Pologne. Le groupe commence à se rajeunir grâce à de beaux regens et un mélange des anciens et des nouveaux peut donner de belles choses à la Coupe du Monde 2018 où on défendra notre titre de 2014. On arrive tout doucement à la fin de l’objectif que je m’étais fixé : gagner la Coupe du Monde à la place de la France en 2018 et je ne suis pas sûr que l’aventure de Franky Van der Elst va se prolonger après. Mais en attendant, on doit encore découvrir ce fameux Mondial !

Prochain épisode : la Coupe du Monde 2018 en Espagne ! On aura à nouveau une interview avec le coach Van der Elst qui nous annoncera ses ambitions et son effectif pour le tournoi.

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Pensez-vous objectivement que l’équipe puisse conserver son titre, ce qui serait une grande première depuis le grand Brésil du roi Pelé ?

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Et bien, ça ne fait que gagner ici !
Bravo pour la victoire en coupe des Confédérations.
J’espère que tu pourras en faire autant lors de ce nouveau mondial en Espagne.

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J’ai finalement laissé tomber le format question, je crois que j’ai trop envie de finir pour attendre les réactions :smiley:

Mais j’espère bien y arriver !

Merci ! Contrairement à la réalité, on perd en qualifs mais on gagne en tournoi :slight_smile:

Pour le Mondial, ça arrive !

Equipe Nationale de Belgique

Février 2018

Belgique - Pays de Galles

Eden Hazard, 7 février 2018

« J’ai réussi à changé la donne du match dans les dernières minutes. Autant 'est un match amical donc on s’en fiche un peu du résultat mais on préfère tout de même éviter la défaite. J’ai remplacé Moussa qui avait fait un beau match. »

Franky Van der Elst, 7 février 2018

« J’ai essayé beaucoup de jeunes ce soir et le Pays de Galles a joué de manière fermée et le manque d’expérience d’un côté a galéré à tromper l’expérience des internationaux gallois. Le trio Witsel-Hazard-Lukaku rentré à la 74ème a permis de ne pas repartir avec une défaite. »

Mars 2018

Belgique - Chili

Axel Witsel, 28 mars 2018

« Mais quel match ! On a dominé et réussi toutes nos combinaisons. Si le gardien en face était pas si en forme, on aurait pu mettre trois buts de plus… C’est-à-dire, 8 réussites sur 14 tirs cadrés ! »

Franky Van der Elst, 28 mars 2018

« On a testé une équipe européenne très défensive et une équipe chilienne motivée. C’est la deuxième qui nous réussit le mieux, ça tombe bien, on affrontera une autre en groupe. J’ai pu tester un peu tout le monde et je pense que je commence à avoir ma liste des 23 en tête ! »

Emission spéciale Coupe du Monde 2014

Bienvenue dans l’émission La Tribune ! Nous recevons ce soir Franky Van der Elst qui va parler avec nous de la Coupe du Monde en Espagne. Quelles sont les ambitions du sélectionneur ? Qu’a-t-il pensé de la campagne qualificative ? Qui sont les 23 chanceux qui défendront leur pays ? On donnera aussi la parole aux supporters qui pourront poser leurs questions sur Twitter.


Vincent Langendries :

« Bonjour Franky, rentrons directement dans le vif du sujet : qu’avez-vous pensé de cette campagne qualificative ? »


Franky Van der Elst :

(la traduction NL-FR se fait bien sûr en simultané)
« On commence en force en explosant la Bosnie mais en suite on gagne très modestement contre la Moldavie et le Liechtenstein. Comme si les joueurs ne voulaient pas mouiller le maiilot. Il ne faut pas juste se concentrer sur les gros morceaux sinon on risque le pire. Ce qui a été le cas. Heureusement que la fin a été heureuse et qu’on s’est qualifié finalement assez facilement. Mais si je m’attendais à de la résistance de la part de la Slovénie, je ne pensais pas que la Pologne allait être aussi combattive. J’ai eu l’impression de revenir des années en arrière. »


Philippe Albert :

« Est-ce que tu peux expliquer le creux que l’équipe a eue en milieu de qualifications ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’est-ce qui a été fait pour changer les choses ? »


Franky Van der Elst :

« Comme je l’ai évoqué, les garçons ont tendance à jouer avec suffisance quand c’est facile et la défaite contre la Pologne et le nul contre la Bosnie est la conséquence de tout ça. Alors, on a peu le temps de réagir à ces problèmes car on devait partir directement après pour la Coupe des Confédérations. Le match contre l’Ouzbékistant montrait à nouveau nos failles mais la victoire contre le Nigéria a changé les choses et nous a porté vers la victoire finale. A défaut d’avoir géré une possibilité de crise, un titre supplémentaire nous a permis d’avoir plus confiance en nos capacités et de revenir avec une gniak folle. Et on a fini en beauté les qualifs. On est maintenant ultra motivé pour la Coupe du Monde ! »


Vincent Langendries :

« Quels sont les joueurs qui ont marqué ces derniers mois ? Tu as ajouté quelques nouveaux à l’effectif et on sent que l’équipe est en train de se renouveler non ? »


Franky Van der Elst :

« Les plus anciens commencent à ne plus avoir le niveau et quand des jeunes surmotivés et talentueux pointent le bout de leur nez, il faut leur donner leur chance afin d’avoir l’équipe la plus compétitive au final. Des joueurs comme Haruna Adams, John Delorge, Mohammed Boukhriss sont devenus des pions essentiels de l’équipe et jouent à présent dans de grands clubs alors que certains stagnent ou perdent de leur superbe à l’instar de Dries Mertens, Marouane Fellaini ou Thomas Meunier. »

Philippe Albert :

« Pour ma part, la vraie révélation, c’est Mohammed Boukhriss. Peux-tu nous dire le travail qui a été fait avec ce joueur ? Comment a-t-il réussi à passer devant Mertens et Carrasco qui ont pourtant été très présent dans l’équipe ? »

Franky Van der Elst :

« Mohammed a été formé à Eupen mais au départ préférais jouer pour le pays de ses parents. Mais je pense qu’il a vu que la Belgique était bien plus compétitive et que malgré la concurrence, c’était mieux pour sa carrière. Maintenant, j’ai parlé avec lui, le choix du Maroc était pour ses parents. Lui, il se sent belge à 100% et s’est investi à fond pour son pays. J’ai commencé à le sélectionner quand il a quitté la Belgique pour le Bétis Séville où il n’était qu’un espoir. Maintenant, il a réussi à s’imposer à Valencia qui jouait le haut du tableau et a maintenant décroché un gros transfert à Arsenal, une des meilleures équipes européennes. Ce transfert a coïncidé avec ses meilleures performances avec la Belgique et devenir doucement le titulaire à part entière à son poste. Non, mais vous vous souvenez du match contre le Liechtenstein ? Vous connaissez beaucoup de joueur qui peuvent marquer 5 buts en un seul soir ? Seul, De Bruyne, son homologue à droite peut atteindre ce niveau (il en avait marqué 4 pour sa part). Avec ces deux-là sur les ailes et Hazard qui est aussi impressionnant et constant depuis longtemps, on a la meilleure charnière offensive du monde ! »


Vincent Langendries :

« Si ces trois noms seront, je suppose d’office dans les 23, peux-tu nous donner les autres chanceux qui vont tenter de renouveler le titre mondial ? »


Franky Van der Elst :

« Voilà le groupe choisi. Je pense que mes choix vont faire parler d’eux mais je suis convaincu qu’avec ces gars tout est possible tant cet effectif regorge de talents ! Et puis, vous me connaissez, j’adore ajouter autour des cadres quelques surprises pour l’avenir (rires) ! »

Philippe Albert :

« Peux-tu être un peu plus disert sur tes choix et les absences ? Comme tu l’as dit, cette sélection va faire parler les spécialistes et les supporters ! Ou sont Mudingayi, Benteke, Thorgan Hazard, Fellaini, Sironval, Lombaerts, Delferrière, … ? Et surtout, qu’est-ce qui se passe avec De Bruyne ? »

Franky Van der Elst :

« Je savais que je n’y couperai pas (rires). Commençons d’abord par les absents et ensuite j’expliquerai pourquoi les nouveaux ont été choisis. Le plus gros absent est De Bruyne évidemment mais sa vilaine blessure, selon les médecins, ne sera jamais totalement résorbée pour la Coupe du Monde, il vaut mieux pour tout le monde qu’il reste à la maison. Je comprends sa frustration de ne pas être avec nous et je suis pour ma part totalement dévasté par son absence tant il peut changer un match à lui tout seul et que c’est un être humain incroyable pour une équipe. Pour Mudingayi et Delferrière, c’est un choix personnel. Gaby nous a aidé pendant des années mais il a compris qu’à son âge, il vaut mieux laisser la place a des jeunes et qu’il ne faut pas empêcher leur progression. Roy, par contre, paye ses erreurs passées et la montée en puissance de Ton (Vanmarsenille). Comme dit, mon objectif est de ne pas faire stagner les jeunes les plus talentueux et il faut leur donner leurs chances à un moment ou un autre. C’est un peu la même chose dans le cas de Lombaerts, Sironval ou Fellaini. Mais ces trois joueurs vont tout de même nous manquer car ils ont rendu une tonne de service à l’équipe. Ils sont juste d’un niveau en-dessous de certains. »


Vincent Langendries :

« Peux-tu nous présenter les petits nouveaux qui partent avec toi en Espagne ? Si certains semblent évidents d’autres sont plus surprenants ! »


Franky Van der Elst :

« J’ai déjà mentionné Ton Vanmarsenille qui, à 21 ans, monte en puissance à Barcelona puis Liverpool, il devrait à moyen-terme concurrencer Courtois, ce que Delferrière n’a jamais réussi à faire. En défense, Patrick Sanders (Arsenal) est un pari pour l’avenir, on a très peu de défenseur pouvant jouer à gauche et il pourrait être l’avenir à ce poste. Surtout que Nicolas Lombaerts est sur la fin de sa carrière et que Thomas Vermaelen va vite le suivre. L’autre jeune, Ronald Maréchal, ne m’a pas spécialement convaincu à ce poste et il reste meilleur à droite. Les gros changements sont surtout au niveau des milieux centraux et des buteurs. Richard Decorte (Nuremberg) et John Delorge (Juventus) se sont vraiment montrés à leur avantage et il est temps qu’ils prennent la place de Gaby (âge) et Marouane (qui stagne en D2 anglaise). En attaque, hormis Lukaku fidèle au poste et Koen Daenen déjà présent depuis un petit temps, on a renouvelé les remplaçants. Ferry Elsen a enfin réussi à percer et à atteindre un haut potentiel depuis son départ au Milan AC et il pourrait prendre la place de Koen au vu de sa réussites ces derniers matchs. Robert Adam est un peu la future vedette à ce poste si il fait les bons choix. Je le prends avec pour justement l’encourager sur cette voie ! »


Vincent Langendries :

« Merci Franky, tu es toujours l’invité parfait pour notre émission ! Est-ce que pour finir, tu peux nous dire ce que tu penses des groupes qui viennent d’être annoncés ? »


Franky Van der Elst :

« Contrairement à 4 ans, je n’ai pas l’impression d’avoir un véritable adversaire dans ce groupe. La Russie n’a jamais réussi grand choses ses dernières années et leur qualification est un miracle. La Colombie s’est qualifiée en zone Am.Sud mais par les barrages et ne semble pas plus dangereuse que le Chili qu’on a battu en amical dernièrement. Seul le Sénégal peut nous poser problème tant on sait que les équipes africaines peuvent parfois nous poser des problèmes. Mais la Coupe des Confédérations, le Nigéria n’a jamais réussi à nous inquiéter. Au tour suivant, on sera opposé aux gagnants du groupe B mais ça devrait le faire. L’équipe d’Allemagne est la plus faible de son histoire. La Norvège, le Ghana et l’Australie sont capable de tout mais pas de nous inquiéter. Pour ma part, le groupe le plus fou c’est le D, ça va être beau à suivre tant tout le monde peut finir premier. »


Philippe Albert :

« Tu as plusieurs fois sous-entendu le talent de ton équipe mais peux-tu nous dire honnêtement ce que tu espères de ton équipes à la Coupe du Monde ? »


Franky Van der Elst :

« A la différence des autres tournois, je ne vais pas y aller par 4 chemins, je vise la victoire finale ! LEs dirigeants veulent qu’on atteigne les quarts et au vu du tirage ça me semble plutôt facile. Mais pour ma part, je sais qu’on est une des meilleures équipes du monde et qu’on doit aller chercher la victoire. L’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie, l’Espagne, le Brésil, l’Angleterre, etc. On a joué contre eux et jamais on s’est senti plus faible. Ma seule peur vient de la France qui a cette fois bien renouveler son effectif et on est loin de la défaite 5-0 d’il y a 4 ans. Ca tombe bien, le tableau nous permet, si tout va bien, de ne les rencontrer qu’en finale ! Et je serai tellement heureux de marquer l’histoire de la compétition avec notre petit pays en devenant la deuxième équipe à gagner deux Coupe du Monde d’affilée depuis le Brésil du grand Pelé ! »

L’émission touche à sa fin. J’espère que les téléspectateurs auront eu assez de réponses à leurs questions. On se retrouve au plus vite sur notre chaîne pour suivre en direct les matchs des Diables Rouges. Je serai encore avec mes collaborateurs habituels. Merci Franky, c’est toujours un plaisir de vous recevoir sur notre plateau. Et merci Vincent et Philippe pour vos questions. Bonne soirée à tout le monde !

Promis, le prochain post sera consacré intégralement à la Coupe du Monde 2018 ! J’espère que vous avez apprécié cette émission. N’hésitez pas à répondre à ce sondage sur la place finale de la Belgique au Mondial.


Jusqu’où pouvons-nous aller ?
  • On ne passera pas les groupes
  • On atteindra juste le deuxième tour
  • On va s’arrêter en quarts
  • Le tournoi se termine en demi
  • On échouera en finale
  • On va gagner la Coupe du Monde
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Est-ce que c’est moi qui perd les pédales ou…

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Hahaha merci !
J’utilise des modèles en copier-coller et la j’ai laissé le match de l’euro 16. C’est modifié :wink:

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Seule une victoire à la Coupe du monde est envisageable :grin:

Equipe Nationale de Belgique

Coupe du Monde 2018

Premier tour : les groupes

:ru: Russie - Belgique :bel:

Cette Coupe du monde commence contre les russes et pour une fois depuis longtemps, ce n’est pas la Belgique qui domine les débats. Les Russes ont tiré plus au but que les Belges. Mais c’est dans ces moments-là que les grandes nations avec de l’expérience des grands tournois montrent tout leur talent. En effet, les Diables ont lutté jusqu’au bout avec leurs adversaires et ont réussi à mettre ce petit but en plus qui fait la différence. C’est d’abord Lukaku qui ouvre le score quelques minutes avant la pause sur une passe d’Hazard. C’est encore celui-ci qui se trouve dans le coup à la 70ème. Sur un corner de Boukrhriss, il arrive à placer une tête fatale et ainsi inscrire le deuxième but de son équipe. Mais la Russie n’est pas morte et continue d’attaquer sans relâche (sans référence avec l’actualité moderne). Ils seront récompensés d’un beau but à la 87ème mais malheureusement pour eux, ça n’ira pas plus loin. De son côté, la Colombie est venue à bout du Sénégal sur le plus petit écart.

Eden Hazard, 8 juin 2018

« Les Russes étaient vraiment surprenants. On a plusieurs fois cru qu’on s’en sortirait pas. Mais on plante tout de même deux buts qui nous permettent d’obtenir la victoire. Et ce n’est pas rien d’être dans le coup sur ces deux buts, à la passe ou à la finition. »

Franky Van der Elst, 8 juin 2018

« On commence le tournoi avec un match difficile mais qu’on gagne au final. Après ce n’est pas de la suffisance ou un manque de préparation, les Russes étaient vraiment très forts. A mon avis, ils nous accompagneront au tour suivant. »

:bel: Belgique - Sénégal :sen:

A choisir, il faut peut être mieux pour les Belges de ne pas dominer le match et bien jouer que d’être la seule équipe sur le terrain mais ne pas livrer une prestation de qualité. Car ce soir, le Sénégal a réussi à neutraliser la Belgique durant 60 minutes et c’est bien joué de leur part ! Malheureusement, cette tactique a parfois des failles et les belges en ont bien profite à la 61ème minute pour percer leur défense. Carrasco inscrit un but précieux ce soir. Par contre, le Sénégal a continué à défendre jusqu’à la fin au lieu d’essayer d’obtenir ne fut-ce qu’un point de leur confrontation. Avec deux défaites à leur actif, ils sont déjà éliminés. La Russie quant à elle confirme son bon état de forme en battant 3-1 la Colombie qui devra absolument nous battre pour espérer passer au tour suivant.

Yannick Carrasco, 13 juin 2018

« On arrivait vraiment pas à jouer contre ce Sénégal. Heureusement qu’avec Lucas (Biglia), on a réussi à tromper leur défense mais le stress a tout de même duré 60 minutes ! Par contre je n’ai pas compris pourquoi ils ne nous ont pas mis la pression à la fin du match, c’est triste d’accepter comme ça son élimination. »

Franky Van der Elst, 13 juin 2018

« Ils étaient solides les sénégalais. Tous nos meilleurs joueurs se sont cassés les dents contre leur organisation. Heureusement, on s’en sort chanceux. Attention, au match suivant car si on perd contre le Sénégal, on se retrouvera tous à 6 points et je n’ai pas envie de jouer une qualification sur la différence de buts. On jouera pour la victoire totale. »

:col: Colombie - Belgique :bel:

Le coach a décidé de laisser Lukaku et Hazard respirer après le match moyen contre le Sénégal. Mais il a peut-être oublié que ce match était aussi important ? On ne saura jamais si il a eu raison ou non car très vite les Diables ont imposé leur jeu face à des Colombiens qui attaquent beaucoup mais maladroitement. Dès la 12ème minute, Carrasco confirme sa bonne forme en inscrivant un but similaire à il y a 6 jours. C’est ensuite Persoons qui enfonce le clou à la 27ème en étant à l’affût d’une balle repoussée par le gardien adverse après une belle frappe de Delorge. A peine la deuxième mi-temps commencée, Delorge retente sa chance et cette fois fais mouche pour inscrire le troisième but belge de la soirée. Les Colombiens continuent de jouer mais ne semblent plus y croire. Quelques minutes plus tard, Witsel récupère une balle au milieu de terrain et envoie une longue passe vers Ferry Elsen qui arrive à se positionner à travers la défense adverse pour armer un magnifique tir qui finit dans le petit filer droit. Les belges lèveront ensuite le pied mais ne seront jamais inquiétés par des colombiens résignés.

Thibaut Courtois 19 juin 2018

« Ce n’est pas la première fois qu’on commence doucement et qu’on finit en beauté durant les groupes d’un tournoi. Et souvent, ça a donné de belles choses après… Ca y est, je pense que l’équipe est lancée et ça va être dur de nous arrêter maintenant ! »

Franky Van der Elst, 19 juin 2018

« Bravo aux garçons pour cette belle victoire ! Comme le dit Thibaut, espérons que ça soit le déclic pour que l’équipe balaie tout sur son passage comme en 2014 ! On affrontera la Norvège au tour suivant. Il faut toujours faire attention aux équipes scandinaves, elles sont solides. »


La plupart des favoris passent (Allemagne, Angleterre, Nigéria, Espagne, Côte d’Ivoire, France, Argentine, Portugal, Pays-Bas, USA). Malgré tout, l’Italie n’arrive pas à sortir du groupe de la mort et le Brésil n’arrive pas à s’extraire d’un groupe où les Pays-Bas ont dominé et où les USA confirment leur bonne forme d’il y a 4 ans. La Turquie, l’Ukraine, la Russie, le Mexique et la Norvège ont réussi à passer au tour suivant alors qu’ils n’étaient pas parmi les meilleurs.

Huitièmes de finale

:nor: Norvège - Belgique :bel:

Les choses sérieuses commencent ! Et il ne faut pas sous-estimer les norvégiens car ils ont rendu la vie difficile aux allemands et seul un manque de chance les ont fait finir deuxième. Et effectivement, rien ne sera simple ce soir. La première mi-temps n’apportera aucun but et les deux équipes semblent vraiment se valoir sur le terrain. Heureusement pour les Diables, Biglia réussit à marquer sur corner en tout début de seconde période. Les belges, soulagés, ont l’air de vouloir jouer à l’arrière. Ce n’est pas mal joué mais les Norvégiens, eux, en profitent pour tenter leur chance et à la 79ème, ils arrivent à trouer le but de Courtois. Tout est à refaire pour les belges. Heureusement, Van der Elst réagit et fait monter Elsen à la place de Lukaku peu en verve ce soir et semble dire à ces joueurs de jouer à fond en attaque. Bien lui en a pris car à la 94ème, quelques secondes avant la fin du temps réglementaire, Hazard attaque et trouve Boukhriss démarqué qui la met au fond. C’était juste ce soir mais la Belgique passe au tour suivant.

Mohammed Boukhriss, 23 juin 2018

« Encore un but sur un de mes corners. Je vais finir par me persuader que je suis assez doué pour les donner (rires). Je suis aussi bien sûr aux anges de mon but dans les dernières secondes qui nous qualifie pour le tour suivant ! »

Franky Van der Elst, 23 juin 2018

« On savait les norvégiens solides mais là ils m’ont impressionné. Je n’ai aucun regret ce soir, on a joué contre très fort et on s’en est sorti. Bravo à Mohammed pour son joli match, c’est un peu grâce à lui si on est en quarts ! »

LA BELGIQUE PASSE EN QUARTS !

La Russie n’a pas réussi à faire illusion plus longtemps et s’incline contre l’Allemagne. C’est la même chose pour la Turquie qui s’incline en prolongations contre les Pays-Bas. Les USA sont toujours là après avoir réussi à mettre le but en plus que la Côte d’Ivoire et la France en a mis un de plus que le Portugal. Mais pour le reste, c’est plein de surprises ! La jolie équipe du Mexique vient à bout de l’Angleterre, favori numéro 1 à la victoire, le Nigéria bat l’Espagne sur le plus petit écart et l’Ukraine arrive à emmener l’Argentine au penalties et les battre !

Quarts de finale

:bel: Belgique - Nigéria :nigeria:

Les belges retrouvent en quarts, un adversaire qu’ils connaissent bien : le Nigéria ! On est loin maintenant de la Coupe du monde 2010 où le Nigéria avait battu la Belgique avant de gagner la Coupe ! Mais attention, ils étaient encore en finale contre les diable ! Et au vu du match, il ne fallait effectivement pas les sous-estimer. Leur défense et leur gardien ont encore une fois causé beaucoup de frayeur aux attaquants belges qui ont parfois désespérés de trouver la solution ! Si Lukaku arrive à trouver la solution en fin de première mi-temps, Edu, le buteur de Porto, égalise direct au début de la seconde période. Nos compatriotes ont beau tout faire pour ne pas aller aux prolongations, Eneyeama, leur gardien vedette, arrête tout. C’est toujours difficile de jouer les prolongations à ce niveau-ci de la compétition, tant les organismes ont besoin du moindre avantage pour être le plus en forme possible. Le seul moyen que la Belgique a trouvé pour battre Enyeama, c’est de marquer sur penalty et Witsel le convertir sans sourciller. La Belgique se qualifie en demi-finale pour la quatrième fois d’affilée en tournoi international.

Romélu Lukaku, 29 juin 2018

« Je suis le seul qui a réussi à marquer contre Enyeama. Ce gardien est vraiment dingue à chaque fois qu’on joue contre lui. Heureusement qu’on a eu ce penalty en prolongations car ils nous ont fait peur ce soir. »

Franky Van der Elst, 29 juin 2018

« J’ai entendu des supporters dire qu’on gagnera pas la Coupe si on ne bat pas facilement les petites équipes. Mais la Norvège et le Nigéria ne sont pas à ce niveau par hasard. Ils ont superbement bien joué et on a chaque fois fais mieux qu’eux ! »

LA BELGIQUE PASSE EN DEMIS !

Le Mexique ne surprendra plus, ils n’ont pas réussi à faire tomber une Allemagne en forme. Les teutons affronteront les français qui, après le Portugal, font tomber les Pays-Bas. La seule surprise vient de l’Ukraine qui a eu un peu de chance de tomber sur l’équipe la plus faible en quart. Ils vont connaître une première demi-finale internationale. Ils seront les prochains adversaires des belges.

Demi-finale

:bel: Belgique - Ukraine :ukr:

Si l’Ukraine semble le petit poucet à ce niveau de la compétition, ils n’ont pas l’air si facile à jouer. Si le match semble serré entre les deux équipes, les ukrainiens n’arrivent pas à conclure alors que les diables réussissent ce qu’ils entreprennent ! Le symbole de cette réussite, c’est Axel Witsel qui fait pour le moment une très belle compétition et émerveille de son talent la première période. Tout d’abord grâce à un bon positionnement sur un corner de Boukhriss (encore lui !) et ensuite en position surprenante d’attaquant qui reprendre une passe millimétrée d’Hazard. En seconde période, Boukhriss ne se contente pas de placer des corners dans les pieds ou sur la tête des buteurs mais s’essaye aux tirs et place sa frappe avec force dans le but adverse à la 55ème minute. Plus rien ne bousculera les belges durant ce match qui file en finale pour retrouver leur plus grand rival historique : la France !

Axel Witsel, 3 juillet 2018

« Je crois qu’on peut dire que c’était ma première mi-temps ! Tout ce qu’on a entrepris ce soir a réussi contrairement aux ukrainiens qui ont été plus que maladroits. Ils n’ont pas mal joué mais l’expérience des tournois à fait la différence ce soir. »

Franky Van der Elst, 3 juillet 2018

« On était évidemment ravis de jouer contre l’équipe la plus faible pour ses demis. Mais l’Ukraine n’a pas démérité ce soir. Ils ont juste manque de réussite alors que nous avons réussit à en mettre trois sans trop de difficultés. Maintenant, on passe vraiment aux choses sérieuses : il va falloir battre la France et ça ne sera pas aussi facile qu’il y a 4 ans, l’équipe a énormément changée ! »

LA BELGIQUE EST EN FINAAAAALE !

La demi entre la France et l’Allemagne était le match à suivre ! Leur match a été superbe et il a fallu les penalties pour départager deux équipes au niveau similaire. Si la Belgique a eu plus de réussite ces dernières années que la France, elle n’a aussi pas encore affronté de grosses nations durant ce tournoi alors que la France a déjà éliminé le Portugal, les Pays-Bas et l’Allemagne. Le monde entier se prépare à vivre une finale extraordinaire…



Le story stelling de cette story est parfait ! On voulait se venger de 2018 et nous voilà en finale contre la France… On ne pouvait pas rêver mieux ! Alors, qui va gagner cette Coupe du Monde ? Je vous laisse faire votre choix avant le résultat dans le post suivant !


  • La Belgique :bel:
  • La France :fr:
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Parcours parfait. Bravo ! Maintenant, faut conclure :muscle:

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Parcours parfait mais parcours facile contrairement aux français :smiley:

Nan mais ce récit c’est de l’érotisme pour les wallons, un France-Belgique en finale de mondial :kappa:
Allez je veux voir la Belgique gagner pour se venger des mongols qui continuaient de faire des blagues sur le seum après 2019

On s’était quitté sur la demi-finale et après avoir laissé un peu de suspens, il faut maintenant voir comment s’est passé la finale entre les deux meilleurs ennemis. Si d’un point de vue storystelling, on ne pouvait rêver mieux comme finale, le résultat décevra dans tous les cas une partie du forum. Si la première histoire est l’originale, je me suis quand même amusé d’écrire une version alternative car au vu de mes nombreuses sauvegardes pour cette story, j’ai pu recharger le jeu avant la finale afin de simuler une deuxième fois le match et coup de bol, le résultat a été différent. A vous de choisir la fin que vous préférez !

Première version (originale)

Finale

L’effectif français :

:bel: Belgique - France :fr:

Si la Belgique a eu un tournoi plutôt facile, la France à quant à elle dû affronter des poids lourds du football international. Est-ce que cela leur donnera une plus grande force ou est-ce que les belges seront plus frais pour aborder ce match ? En tout cas, les vingt premières minutes sont intégralement pour les diables qui n’arrêtent pas de tirer au but. Ils ont l’air de vouloir en finir le plus vite possible mais Rémy Riou est impérial et arrête tout. A l’inverse, il faut attendre la 21ème pour que Benzema inquiète un peu Courtois, bien concentré malgré le peu de balle qu’il a eu à gérer jusque maintenant. Benzema continue sur sa lancée à la 24ème, 26ème et 28ème mais Courtois est lui aussi en forme et ne laisse rien passer. Allons-nous vers un duel de gardiens ? A la 37ème, le jeune Fabien Domenech arrive à la mettre au fond mais il est aussi vite signalé hors-jeu. En toute fin de première mi-temps, Saïd Lang part seul vers le but et le public français est déjà debout pour l’applaudir mais il se loupe complètement. Il regrettera sûrement longtemps ce raté qui aurait pu donner l’avantage aux tricolores.

Le début de la seconde période est en faveur des belges. Les français ont l’air dévasté par leur but annulé et l’essai raté de Lang. Et sans le talent de Riou, les belges auraient pu déjà en marquer deux. Mais la ténacité des diables rouges sera enfin récompensée à la 63ème minute. Lukaku s’infiltre dans le camp français, passe à Delorge qui tente sa chance mais la frappe est superbement repoussée par Riou. Mais il n’arrive pas à se retourner à temps pour éviter Hazard bien démarqué et qui n’a plus qu’à la mettre au fond. Un but à ce niveau-ci de la compétition peut dévaster totalement une équipe et la France doit à tout prix se ressaisir. Mais ce regain n’arrive pas et seul Riou, toujours dans le match de sa vie empêche d’alourdir le score. A la 81ème, Carrasco fait une course folle sur son flanc gauche et laisse ses adversaires abasourdis. Malheureusement, Lukaku manque une nouvelle fois de chance et la balle passe à côté du poteau. Les belges semblent vouloir en finir mais n’arrive à trouver une deuxième fois la solution. C’est pourtant dès l’action suivante qu’il montrera l’étendue de son talent. Carrasco et Delorge humilient le milieu français et foncent vers la défense qui semble trembler. Ils ont raison car la passe de Delorge est impeccable et Lukaku marque en force un type de but dont lui seul a le secret. La France semble anéantie mais Benzema, seul joueur offensif à encore y croire tente tout de même encore deux fois sa chance dont une qui a vraiment failli finir au fond mais Courtois avait très bien fermé son angle. Au final, ce sont même les belges qui risquent d’en mettre un troisième mais en toute fin de match, les français mauvais perdants commencent à s’échauffer, voyant leur rêve partir en fumée. Et le pire est arrivé. De colère, le jeune Manuel Boisseau tacle Lukaku, dernier homme et prêt à marquer, et reçoit le rouge de la honte. Le match est fini et les belges sont aux anges, ils sont les premiers depuis le Brésil de Pelé a remporter deux Coupe du Monde d’affilée.


LA BELGIQUE EST CHAMPIONNE DU MOOOOONDE !!! !

Si la nation n’est plus aussi surprise qu’il y a quatre ans, tant elle connait maintenant le talent de ces joueurs, la fête est bien tout aussi folle et le balcon de l’Hôtel de Ville sur la plus belle Grand Place du monde, reste le plus beau symbole de ceux qui réussissent à nous faire rêver.!

Eden Hazard, 8 juillet 2018

« Quelle belle image que ça soit Romélu et moi, meilleurs buteurs en sélections qui marquons les deux buts ce soir. Je vis dans un rêve éveillé. Cette victoire est encore plus belle quand elle est à l’instar de notre meilleur ennemi ! »

Franky Van der Elst, 8 juillet 2018

« Ca fait dix ans que je suis là et je me souviens encore de l’équipe difficile dont j’ai héritée en 2008. 10 ans plus tard nous voici sur le toit du monde avec deux Coupes du Monde d’affilée. Même si je regretterai longtemps notre échec à l’Euro, je pense que je ne pourrai jamais faire mieux. Il est temps de laisser un autre entraîneur talentueux prendre en main l’équipe, un jeune entraîneur qui connaît bien la nouvelle génération qui est en train d’émerger. Ce sera à tout jamais les plus belles années de ma vie ! »

Match pour la troisième place

Si les Ukrainiens nous avaient déçu en demi-finale, n’ayant pas existé contre la Belgique, ils ont tenu jusqu’au bout contre l’Allemagne. Malheureusement un but en fin de match les prive d’une jolie troisième place. Mais l’Allemagne, décevant pendant des années, semblent avoir retrouvé une bonne équipe.

Récompenses



Witsel, Hazard et Delorge ont été vraiment impressionnants durant ce tournoi et le fait qu’il soit tous les trois sur le podium du meilleur joueur n’est pas une surprise. Je suis ravi pour Axel, même si Eden l’aurait tout autant mérité. Pour John, c’est l’accomplissement de son épanouissement de ces derniers mois. Il est devenu un vrai milieu axial international. Du côté des gardiens, Courtois l’emporte grâce entre autre au fait qu’il ait gagné la coupe mais Rémy Riou et Vincent Enyeama ont été aussi très impressionnants ! Dans l’Equipe type ont retrouve les 4 nommés précédemment et bien sûr Lukaku, le buteur vedette.

Conclusion

Ca y est, on l’a fait ! On remporte une deuxième Coupe du Monde ! Même si notre parcours a été plutôt facile jusqu’à la finale, jouer contre la France n’était pas des plus faciles. Mais les joueurs ont été magnifiques. On ne pouvait pas rêver mieux comme fin de story qu’une vengeance en finale ! Je peux conclure cette story sans rien regretter.

Deuxième version (simulée)

Finale

L’effectif français :

:bel: Belgique - France :fr:

Si la Belgique a eu un tournoi plutôt facile, la France à quant à elle dû affronter des poids lourds du football international. Est-ce que cela leur donnera une plus grande force ou est-ce que les belges seront plus frais pour aborder ce match ? En tout cas, les vingt premières minutes sont intégralement pour les diables qui n’arrêtent pas de tirer au but. Ils ont l’air de vouloir en finir le plus vite possible mais Rémy Riou est impérial et arrête tout. Il faut attendre la 21ème pour que Benzema inquiète un peu Courtois, bien concentré malgré le peu de balle qu’il a eu à gérer jusque maintenant. Benzema continue sur sa lancée à la 24ème, 26ème et 28ème mais Courtois est lui aussi en forme et ne laisse rien passer. Allons-nous vers un duel de gardiens ? A la 37ème, le jeune Fabien Domenech arrive à la mettre au fond mais il est aussi vite signalé hors-jeu. En toute fin de première mi-temps, Saïd Lang part seul vers le but et le public français est déjà debout pour l’applaudir mais il se loupe complètement. Il regrettera sûrement longtemps ce raté qui aurait pu donner l’avantage aux tricolores.

Le début de la seconde période est en faveur des belges. Les français ont l’air dévasté par leur but annulé et l’essai raté de Lang. Et sans le talent de Riou, les belges auraient pu déjà en marquer deux. Mais les français ne sont jamais totalement morts et Benzema, seul joueur offensif à tout donner ce soir est récompensé : il arrive sur une passe de Mvuemba à infiltrer la défense belge qui n’en revient pas de la prouesse et son tir laisse Courtois immobile. La France a mis le but libérateur. Les belges semblent sonnés et c’est encore les français qui sont près de mettre le deuxième avant de se replier en défense et bétonner leur but. Pourtant, à la 65ème minute, un évènement peut tout changer : Mvuemba est expulsé sur une sale faute sur Witsel et les diables trouvent alors la force de repartir vers l’avant. Si ils n’ont pas cessé d’aller chercher les prolongations, Rémy Riou, toujours aussi en verve ce soir, empêche les belges de vivre leur rêve. C’est la France qui remporte sa troisième Coupe du Monde après celle de 1998 et 2010. A la fin du match, Courtois, qui n’aura pas démérité ce soir, a résumé à lui seul la pensée d’une nation."

LA FRANCE EST CHAMPIONNE DU MONDE

:cry:

Thibaut Courtois, 8 juillet 2018

« Je ne dirais pas que l’équipe en face était meilleure que nous. L’équipe de France a bien défendu à onze à 35 mètres de son but, comme elle l’a fait depuis le début du tournoi. La frustration est là car on perd contre une équipe qui n’est pas meilleure que nous, on a perdu contre une équipe qui joue à rien, qui défend. C’est le foot, chacun joue avec ses qualités. Mais c’est dommage pour le foot qu’aujourd’hui la Belgique n’ait pas gagné. »

Franky Van der Elst, 8 juillet 2018

« Je me sens vidé. On a tellement tous donné pour y arriver que la déception est énorme. Mais pour ma part, la France a juste mieux joué que nous, c’est aussi ça le sport. Je félicite tous les garçons pour le rêve qu’ils m’ont fait vivre depuis 10 ans et je pense que ce match fut mon dernier à la tête de cette équipe. Il est temps de laisser un autre entraîneur talentueux prendre en main l’équipe, un jeune entraîneur qui connaît bien la nouvelle génération qui est en train d’émerger. »

Match pour la troisième place

Si les Ukrainiens nous avaient déçu en demi-finale, n’ayant pas existé contre la Belgique, ils ont tenu jusqu’au bout contre l’Allemagne. Malheureusement un but en fin de match les prive d’une jolie troisième place. Mais l’Allemagne, décevant pendant des années, semblent avoir retrouvé une bonne équipe.

Récompenses



Le milieu central vedette de Liverpool a été impérial durant toute la compétition et mérite sa première place au titre de meilleur joueur. Witsel représente les belges qui ont aussi fait un magnifique parcours mais au lieu de citer Hazard qui a aussi été magnifique à voir jouer, c’est Rémy Riou qui arrive à compléter le podium de meilleur joueur, d’habitude inaccessible aux gardiens. Mais ses performances, surtout en finale contre la Belgique, ont été extraordinaires. C’est d’ailleurs lui qui remporter le trophée de meilleur gardien du tournoi même si Courtois et Enyeama ont été aussi très impressionnants ! Dans l’équipe type, seul trois belges sont titulaires : Boukhriss, Witsel et Lukaku. Delorge et Hazard qui ont fait un joli tournoi sont remplaçants.

Conclusion

Et voilà, le destin a voulu que le jeu m’inflige la même déception que la réalité. Le storystelling était parfait et une victoire aurait donné tout son sens à ma story. Mais la France est décidément notre malédiction. Pour le coup, j’ai réutilisé le discours d’après-match de Courtois pour le clin d’oeil mais même si le score est identique, les joueurs français n’ont pas été que défensifs et ils ont continué à vouloir marquer un deuxième jusqu’au bout. La défense a par contre aussi bien joué que dans la réalité. Malgré tout, j’ai gagné une Coupe du Monde en 2014 donc tout n’est pas raté ! Ce qui est sûr, c’est que je ne tenterai pas 2022 (rires).

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ENORME !!!
Deux coupe du Monde et une victoire sur la France en finale en 2018. Que demander de plus.
Moi je dis un grand bravo à Monsieur Van Der Elst et surtout, merci Franky !

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Le souci du détail dans l’interview reprise de la demi-finale :hoho:

Et hop, un multiverse de finales de coupe du Monde, comme ça pas de jaloux

Réponses aux commentaires

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Merci !
J’ai adore me mettre dans la peau d’un de mes joueurs préférés :slight_smile:
(et oui c’tait cool de battre la France deux fois en Coupe du Monde)

Oui, bien vu ! Ca me permettait de conclure le récit, vu que je l’avais commencé avec ça !

Oui, c’est à la mode les multivers et je voulais tester cet exercice de style :smiley:
(mais en vrai, c’est bien la Belgique qui a gagné !)

Conclusion

Et voilà c’est la fin de cette story. J’espère qu’elle vous a plus. J’ai essayé d’être le plus divertissant possible. N’hésitez pas à me dire si ça vous a plus et si vous trouvez que des choses peuvent être améliorées. J’essayerai d’en tenir compte pour la suivante. J’ai déjà ma petite idée et je peux déjà dire que ça sera de nouveau dans un club et plus dans une sélection nationale.

Palmarès de la Belgique

Franky Van der Elst

Coupe du Monde 2014 et 2018
Coupe des confédérations 2017

Luc Nilis

Second à l’Euro -19 en 2010

Stefan Demol

Euro 2020

Coupe des confédérations 2021

Troisième à la Coupe du Monde 2022


Après avoir fini la carrière de Franky Van der Elst durant laquelle il a gagné deux Coupe du Monde (2014 et 2018) ainsi qu’une Coupe des Confédération (2017), j’ai voulu voir l’avenir proche et j’ai continué durant 4 ans laisser le jeu tourner. Il s’avère que mes performances étaient sûrement dues surtout aux joueurs car Stephane Demol a continué sur la même lancée. Tout d’abord en gagnant l’Euro 2020 et ensuite la Coupe des Confédérations en 2021. A la Coupe du Monde 2022, l’équipe a l’air d’avoir fait un beau parcours mais a chuté contre l’Italie en demi-finale. L’Italie perdra ensuite contre la France (encore elle qui gagne !) et la Belgique battra la Turquie pour obtenir la troisième place. Profitons aussi d’être en 2022 pour revenir sur la carrière des joueurs qu’on a suivi depuis toutes ces années en équipe nationale. Pour les regens, j’ai aussi été vérifié ensuite leurs Current Ability (C.A.) et Potential Ability (P.A.).

Les joueurs

Les gardiens de but

Les indispensables

Thibaut Courtois – Arsenal - 111 sélections

Le joueur de Genk est parti en 2008 pour Sunderland en D2 anglaise où il devient titulaire l’année suivante. C’est aussi le moment où il est observé par le coach national. C’est suite à son transfert vers Arsenal en 2011 que Courtois est sélectionné pour la première fois en équipe nationale. En concurrence avec Roy Delferrière, acheté en même temps, c’est bien lui qui remportera l’affrontement. Il est devenu le titulaire depuis dix ans alors que Delferrière est parti faire carrière en Italie. La même concurrence a lieu aussi en équipe nationale avec le même résultat. Avec Arsenal il a gagné deux championnats d’Angleterre, deux coupes d’Angleterre, trois coupes de la ligue, une Community Shield, deux Ligue des Champions, une Super Coupe d’Europe et deux Coupe du Monde des clubs.

Roy Delferrière – Roma - 21 sélections (regen : CA 177 – PA 178)

Sorti du centre de formation de Westerlo en 2008, il est vite transféré à Cagliari en Italie. C’est là que Van der Elst le repère et le transfère au FC Bruges où il joue ses premiers matchs en D1. En 2011, Arsenal l’achète en même temps que Courtois et mettra les deux jeunes en concurrence pour la place de numéro 2 d’Oscar Ustari. Grand perdant de ce duel, il décide d’accepter offre de l’AS Roma qui propose 22.5M à Arsenal. Son choix est payant car il y est titulaire depuis 10 ans. Il est depuis plusieurs années, la doublure officielle de Courtois avant de perdre sa place pour le jeune Vanmarsenille suite à ses mauvaises performances. Le seul titre gagné est une Coupe d’Italie mais la Roma a fini plusieurs fois deux ou troisième du championnat italien.

Silvio Proto – Triestina – 41 sélections

Déjà dans la sélection belge depuis sa dernière saison à La Louvière, il est à Anderlecht quand il se fait sélectionner par Van der Elst. Il est alors transféré au Toulouse FC où il est titulaire pendant 5 ans. C’est durant ces années françaises qu’il est titulaire en équipe nationale jusqu’à l’éclosion de Courtois. Il finit sa carrière à Triestina en Italie et compte devenir Recruteur la saison prochaine. Il a gagné un titre de champion avec Anderlecht et a vécu une finale de Coupe de France avec Toulouse, malheureusement perdue.

Ton Vanmarsenille – Liverpool – 6 sélections (regen : CA 184 – PA 185)

Apparu en équipe de jeunes de Saint-Trond en 2013, il est vite répéré par Roulers qui joue en première division. Il joue directement quelques matchs avant de devenir titulaire l’année suivante. Il n’en faut pas plus pour qu’Arsenal vienne encore une fois recruter un gardien belge de talent. Mais barré par Courtois et Ustari, il a peu de chances de devenir titulaire. Il part alors vers Barcelona où pendant trois ans il joue de plus en plus de match mais sans être titulaire. Agacé par la situation il part alors à Liverpool où il est maintenant titulaire depuis cinq ans. C’est durant sa troisième saison au Barça que Ton commence à prendre la place de Delferrière comme remplaçant de Courtois. Il s’avère bien plus rassurant que Delferrière. Avec Liverpool, il a gagné les championnats anglais de 2017, 2018 et 2019 (ainsi que les Community Shield de l’année d’après).

Les remplaçants

Logan Bailly – Ejido – 3 sélections
Simon Mignolet – Bari – 2 sélections
Robert Catrysse – Juventus – 5 sélections (regen CA 181 PA 183)
Park Hong-Sub – Lille – 1 sélection (regen CA 155 PA 158)

Défenseurs gauches

Les indispensables

Thomas Vermaelen – AC Milan – 132 sélections et 1 but

Le deuxième joueurs le plus capés pour la Belgique est d’abord sélectionné au moment où il devient titulaire à l’Ajax. En 2008, il est transféré à l’AC Milan où il joue depuis comme remplaçant régulièrement utilisé (une moyenne de 20 matchs par saison). Toujours sélectionné en équipe nationale à 36 ans (suite au manque de défenseurs gauches belges), il vit sa dernière année car il prévoit de prendre sa retraite le 30/06/2023 et partir en pleine gloire. A Milan, il aura gagné les championnat 2009, 2011, 2016, 2017 et 2018. La Coupe d’Italie en 2012 et la Super Coupe en 2009, 2016 et 2018. Il aura aussi gagné trois la Ligue des Champions : 2010, 2014 et 2018 ; la Super Coupe d’Europe : 2010 et 2018 ; la Coupe du Monde des clubs : 2010 et 2018.

Nicolas Lombaerts – Watford – 41 sélections

Déjà sélectionné à l’arrivée de Van der Elst alors qu’il joue au Zenith Saint-Petersburg, il est directement intronisé remplaçant de Vermaelen. Après deux saisons en Russie, il rejoint le Bayer Leverkusen où il est titulaire pendant cinq ans. En 2012, il rejoint le Bayern de Munich où il est remplaçant durant deux ans. Voulant jouer plus souvent, il rejoint Derby County, avec des hauts et des bas. Il finit actuellement sa carrière à Watford en D2. Ce n’est que récemment qu’il perd sa place en équipe nationale, de jeunes défenseurs pouvant jouer à gauche émergeant enfin. Il a assez joué pour recevoir le titre de champion d’Allemagne et de la Coupe d’Allemagne durant sa période au Bayern.

Patrick Sanders – Arsenal – 25 sélections (regen CA 177 PA 179)

Formé au Standard, il n’y trouve pas à sa place et part alors vers Westerlo puis Roulers où il commence à être titulaire. Voyant son potentiel, il est acheté par Arsenal. N’étant pas assez mûr, il part une année en prêt à l’Atalanta où il perce enfin. Il revient alors à Arsenal où il devient enfin titulaire. C’est aussi depuis ce moment-là qu’il est enfin sélectionné régulièrement en équipe nationale. Il décroche une Coupe d’Angleterre en 2022 et deux Ligue des Champions en 2019 et 2020. Il gagne aussi la Super Coupe d’Europe en 2020 et la Coupe du Monde des clubs en 2019 et 2020.

Les remplaçants

Sébastien Pocognoli – Numancia – 4 sélections et 1 but
Robbert De Groof –Nice - 8 sélections et 1 but (regen CA 153 PA 154)
Ronald Maréchal – Recreativo – 1 sélection (regen CA 144 PA 145)

Défenseurs droits

Les indispensables

Anthony Vanden Borre – Birmingham - 130 sélections et 3 buts

Sélectionnés depuis son transfert à la Fiorentina en 2007, il est la meilleure alternative belge à un poste où les joueurs talentueux ne sont pas légion. Il devient donc directement, à l’instar de Vermaelen à gauche, le titulaire indiscutable pendant des années et empêchera toujours Onder Turaci d’avoir un sélection. Si l’arrivée de Meunier ou De Vriese l’ont parfois mis sur le côté, il est toujours revenu en force et est toujours souvent titulaire à 30 ans. Après l’Italie, il a fait toute sa carrière en Angleterre. Tout d’abord de 2012 à 2019 à Portsmouth et de 2019 à maintenant à Birmingham. Il a gagné le championnat d’Italie en 2012 et la Coupe d’Angleterre avec Portsmouth en 2019.

Thomas Meunier – Porto – 39 sélections et but

Formé au Standard, c’est à Tenerife en D2 espagnole que sa carrière a décollée. En 2012, le club montre en D1 et Meunier est sélectionné en Equipe Nationale. Il est annoncé comme le successeur de Vanden Borre mais ne parvient finalement jamais à le détrôner. Avec Tenerife, il retourner directement en seconde division mais reste fidèle au club. En 2017, le club remonte et il est alors transféré à Porto où il est depuis titulaire. Hormis ses deux titres en D2 espagnole, il vient aussi de décrocher une Europa League en 2022 avec Porto.

Jerry De Vriese – Betis – 44 sélections et 8 buts (regen CA 171 PA 173)

Resté au Beerschot pendant 5 ans sans jamais avoir eu sa chance, il part alors en fin de contrat à De Graafschap où il devient enfin titulaire. Ses bonnes prestations lui vaut un joli transfert à Saint-Etienne où il continue de performer. Il est alors transférer à Bolton pour 21M. Deux ans plus tard, c’est du côté de l’Espagne et le Bétis Séville qui paye 21.5M pour l’avoir, qu’il trouve son bonheur. En équipe nationale, il est approché après ses bonnes performances à Hollande. Devant devenir une alternative à Meunier et Vanden Borre, il est aussi souvent barré par ce dernier qui ne lâchera jamais rien. Il a gagné deux titres avec Saint-Etienne en 2017 et 2018 ainsi qu’une Europa League en 2019.

Les remplaçants

Dimitri Daeseleire – Lille – 3 sélections
Önder Turaci – Retraité – 0 sélection (mais remplaçant pendant longtemps)

Défenseurs centraux

Les indispensables

Vincent Kompany – Inter – 133 sélections et 4 buts

Malgré son âge avancé, il est encore parfois titulaire en équipe nationale et il vient d’ailleurs d’obtenir la sélection supplémentaire pour détrôner Vermaelen en nombre de sélections. Mais en plus de son statut d’indiscutable en équipe nationale depuis des années, sa carrière a aussi été très régulière depuis son arrivée à l’Inter en 2008. Car après avoir eu des hauts et des bas à Hambourg et à Manchester City, il deviendra le titulaire pendant 14 ans à l’Inter. Il décrochera avec eux une Coupe d’Italie (2010), une Super Coupe d’Italie (2010), une Ligue des Champions (2011), une Europa League (2014) et une Super Coupe d’Europe (2014).

Daniel Van Buyten – Bayer Leverkusen – 67 sélections

Ce joueur fantastique est arrivé trop tard pour pouvoir vivre les réussites de la génération dorée. Van der Elst doit toujours s’en vouloir de ne pas l’avoir repris en 2014 pour la Coupe du Monde mais de plus jeunes méritaient tout autant leur place. Malgré tout, il a fait partie de la sélection qui a remis la Belgique sur la carte du monde et de permettre aux suivants d’avoir tant de réussite. En club, il est resté fidèle au Bayern de Munich jusqu’à sa retraite internationale en 2016 où il signe un dernier contrat à Leverkusen avant de finir définitivement sa carrière. Durant ces moments au Bayern , il remporte les championnats 2009, 2010, 2011, 2012 et 2014. Mais aussi : deux coupes d’Allemagne (2011 et 2013) et trois Coupes de la ligue (2007, 2011, 2014).

Toby Alderweireld – Cardiff - 116 sélections et 2 buts

Prêté en 2008 à Turnhout par l’Ajax où il devient enfin titulaire permet à Alderweireld de décrocher un transfert à Bruges. Ses bonnes performances lui permet de décrocher un transfert à Tottenham. C’est à ce moment où il arrive en équipe national et ne la quittera plus. Après quelques années en Angleterre, il perd sa place et décide de ne pas resigner de contrat et part à Genoa. Il a récemment été acheté par Cardiff en Premier League. Il a gagné une Europa League en 2015 avec Tottenham et une deuxième en 2018 avec Genoa.

Jan Vertonghen – Tottenham – 73 sélections et 4 buts

Déjà sélectionné à l’arrivée de Van der Elst, il n’a jamais vraiment quitté la sélection même si de plus jeunes lui ont au fur et à mesure pris sa place de titulaire. En club, ses bonnes performances à l’Ajax lui permette de rejoindre Napoli une saison et il est ensuite acheté par l’AC Milan où il reste durant 4 ans. Il part ensuite pour Man Utd pendant 5 ans et en 2018 il rejoint Tottenham où il joue toujours. Avec Milan, il a remporté le championnat en 2011, la Coupe en 2012 et une Ligue des Champions et la Super Coupe d’Europe en 2014.

Haruna Adams – Bayern Munich – 32 sélections et 2 buts (regen CA 171 PA 175)

Déniché au Nigéria par le RWDM, il obtient trois ans après la nationalité belge. Si il hésite d’abord avec la sélection nigérianne, il accepte une première convocation belge après son transfert vers Siena. Il ne quittera jamais vraiment la sélection, étant remplaçant à l’époque de son passage à la Real Sociedad et devenant titulaire à part entière après son transfert au Bayern de Munich où il est titulaire depuis. Avec le Bayern, il a gagné les championnats 2017 et 2019 et les Coupes de la ligue 2017 et 2019.

Joseph Sironval – Porto – 32 sélections et 1 but (regen CA 168 PA 169)

Le joueur formé à l’Union a vite rejoint le centre de formation de Mouscron où il n’arrive pourtant pas à percer. Feyernoord flairant le bon coup le recrute pour 1.4M en 2012 et fait de lui un titulaire directement. C’est aussi à ce moment qu’il décroche sa première sélection. Ses bonnes performances lui valent un joli transfert à 15M au FC Porto en 2015 où il est titulaire depuis. Si sa place en équipe nationale a parfois été difficile et si il n’est pas toujours titulaire, il est tout de même devenu un remplaçant indéboulonnable. Avec Feyenoord, il a remporté le championnat et la Super Coupe en 2013. Avec Porto, il vient de remporter l’Europa League en 2022.

Les remplaçants

Mike Delière –Saint-Etienne – 2 sélections
Nicolas Pareja – Villareal – 3 sélections
Daan Van Gyseghem – Union – 1 sélection

Milieux centraux

Les indispensables

Gaby Mudingayi – Catania – 87 sélections et 9 buts

Cadre de l’équipe nationale, on a longtemps cru que la nouvelle génération allait l’éclipser mais il est resté encore pendant des années, ne ratant que la Coupe du Monde 2018, prenant par la suite sa retraite internationale. En club, il a fait la majorité de sa carrière à la Lazio où il n’a remporté qu’une Coupe d’Italie en 2017. Juste après, il a quitté le club pour finir sa carrière dans des clubs plus modestes. Il vient d’enchaîner une pige à Piacenza et se prépare à en vivre une nouvelle à Catania.

Axel Witsel – Zaragoza – 111 sélections et 21 buts

Witsel était déjà en équipe nationale à l’arrivée de Van der Elst. Après deux ans au Standard, il part vers le Toulouse FC où malgré des performances en dents de scie, il est recruté deux ans plus tard par la Juventus. Il y est titulaire pendant 4 avant de perdre petit à petit sa place. En 2015, en manque de temps de jeu, il décide de rejoindre, à la fin de la contrat, Zaragoza où il est à nouveau titulaire. Il joue bien et est approché par Saint-Etienne, double vainqueur de la Ligue 1. Il y vivra sa meilleure saison personnelle mais décide tout de même de partir après seulement trois ans, direction Genoa pendant deux ans. Depuis l’année passée, il joue à l’Espanyol. Si il n’a jamais eu de magnifiques saisons en club, il est un pilier de l’équipe nationale. A la Juventus, il a gagné les championnats 2010 et 2013 ; la Super Coupe d’Italie 2013 et l’Europa League 2016. Il gagne aussi l’Europa League et la Super Coupe d’Europ en 2019 avec Saint-Etienne.

Lucas Biglia – Atalanta – 74 sélections et 7 buts

Le joueur argentin obtient la nationalité belge après avoir joué pendant 4 ans à Anderlecht. Malgré ses bonnes performances et son transfert à Manchester United, l’Argentine le snobe et il finit par changer d’avis et accepte de rejoindre la Belgique qui mange d’un bon joueur pour le milieu central. Après 5 saisons en Angleterre, il joue de moins en moins et demande à partir. C’est le FC Nantes qui le recrute où il est à nouveau titulaire. Malgré tout, il ne resigne pas et part sans contrat vers l’Atalanta où il est toujours titulaire. Il a gagné les championnats 2007 et 2008 avec Anderlecht. Avec Manchester, il gagne la Coupe d’Angleterre en 2011 et en 2013, la Coupe de la Ligue, la Community Shield, l’Europa League et la Super Coupe d’Europe.

Marouane Fellaini – Sheff Wed – 64 sélections et 8 buts

Si Fellaini est resté un pilier de l’équipe nationale (malgré son absence à la Coupe du Monde 2018), il n’a pas autant réussi en club. Si il a beaucoup joué, il n’a jamais connu de véritable grands clubs comme ses coéquipiers. Après le Standard, il est parti 4 ans à Hambourg sans jamais s’imposer. Il décide alors de partir à la fin de son contrat au Panathinaikos où il vit ses meilleures années. A la fin de son contrat, il décide de tenter l’aventure anglaise à Sheff Wed où il est toujours depuis 7 ans.

John Delorge – Juventus – 58 sélections et 6 buts (regen, CA 181 PA 182)

Formé à La Gantoise, il arrive petit à petit dans l’équipe première. Après une saison 2015-2016 pas trop mauvaise, il est recruté par Feyenoord où il devient un remplaçant important. Comme il commence déjà à se faire un nom dans son pays, Van der Els,t pendant sa pige à l’AC Milan, décide de le recruter. Après son départ, Delorge joue de plus en plus pour son club et reçoit sa première convocation en équipe nationale. En copropriété avec la Juventus, il part chez les turinois qui font la meilleure offre. Il y est toujours titulaire. Au même moment, il devient titulaire en équipe nationale et un des piliers de l’effectif.

Les remplaçants

Richard Decorte – Everton – 7 sélections (regen CA 162 PA 163)

Milieux offensifs droits

Les indispensables

Kevin De Bruyne – Arsenal – 116 sélections et 35 buts

Sorti de l’école des jeunes de Genk, il est repéré par Man City en 2008 où il n’arrive pas à briller. Il est alors transféré à Liverpool où il joue quelques matchs. Assez pour intéresser Barcelona qui le recrute pour 14.75M. En Espagne, il va petit à petit obtenir une place de titulaire. C’est aussi à ce moment qu’il connait ses premières sélections internationales. Devenu entre-temps une star mondiale, il est acheté 80M par Arsenal en 2016 où il est toujours un joueur vedette. A Barcelona, il gagne le championnat en 2016, la Coupe d’Espagne en 2013-2014-2016 et la Super Coupe en 2012-204-2016. A Arsenla, il remporte la Coupe d’Angleterre en 2022, la Ligue des Champions en 2019 et 2020, la Super Coupe d’Europe en 2020 et la Coupe du monde des Clubs en 2019 et 2020.

Karim Persoons – AC Milan – 96 sélections et 15 buts (regen CA 173 PA 174)

Sorti du centre de formation d’Herenveen en 2008, il est réputé pour son gros potentiel. Il est donc vite acheté par Ajax où il apparait deux trois en équipe première et se fait acheter l’année suivante par Valencia où il ne réussit pas. C’est alors Man Utd qui le récupère en 2012 et en fait un titulaire pendant 5 ans. C’est aussi à ce moment qu’il est sélectionné en équipe nationale et devient le remplaçant de De Bruyne à la place de De Mul ou Mirallas. En 2016, il rejoint Valencia où il continue sur sa lancée. En 2020, l’AC Milan débourse 35M pour l’obtenir où il peine pourtant à s’imposer toutes les semaines. Avec Man Utd, il gagne la Coupe de la ligue, l’Europa League, la Super Coupe d’Europe en 2013. Il gagne une nouvelle fois l’Europa League avec Valencia en 2017.

Kévin Mirallas – Salamanca – 30 sélections et 7 buts

Si il était déjà en équipe nationale à l’arrivée de Van der Elst, il a perdu sa place avec l’éclosion de De Bruyne et Persoons. En 2008, il quitte Lille pour Napoli et 10.75M mais il ne réussira jamais à s’imposer et reviendra à Lille dès 2012 alors que le club est en D2. Mais dès 2014 et la remontée en D1, il perd sa place et part 2 ans après pour Salamanca en D2 espagnole où il redevient titulaire pendant 3 ans. Pourtant, depuis trois ans et la montée en D1, il est de nouveau mis de côté. Il devrait être transféré au plus vite. Le seul titre qu’il a remporté et la Ligue 2 avec Lille en 2013.

Tom De Mul – Villareal – 17 sélections et 5 buts

Joueur prometteur, formé à l’Ajax et transféré à Sevilla en 2007, il est le remplaçant de Mirallas en équipe nationale. Il n’arrive jamais à s’imposer et restera un joker parfois appelé. En club, il est resté 9 ans à Sevilla avant de tenter l’aventure anglaise à Birmingham. N’ayant jamais réussi à vraiment s’imposer, il reviens en Espagne, à Villareal mais il n’a jamais réussi non plus à percer.

Les remplaçants

Radja Nainggolan – Modena – 3 sélections et 1 but
Thorgan Hazard – Benfica – 3 sélections

Milieux offensifs gauches

Les indispensables

Dries Mertens

En 2007, il réalise une saison magnifique en D2 hollandaise et il est recruté par le PSV où il montre de belles choses. Voulant rejoindre un plus grand club, il ne resigne pas et part gratuitement vers l’Atletico Madrid où il joue pendant trois saisons. A la quatrième, il est devenu remplaçant et refuse de resigner. Il part alors à Newcastle où il joue chaque année depuis. Il rejoint l’équipe nationale au moment où il devient titulaire au PSV. Il gagne en 2009 le championnat et la super coupe avec le club d’Eindhoven. Il a aussi gagné la Coupe d’Angleterre avec Newcastle en 2017.

Mohammed Boukhriss – Lazio – 71 sélections et 25 buts (regen CA 178 PA 179)

Repéré dans les équipes de jeunes d’Eupen en 2010, Charleroi le recrute un an plus tard. Après deux prêts réussis, il devient titulaire et part alors pour le FC Malines où il brille. Il est alors recruté par le Betis Sevilla où l’équipe nationale s’intéresse à lui. Mais il préfère jouer pour la patrie de son père pour le Maroc. Entre temps, il est acheté par Valencia où il réalise une magnifique saison qui lui permet de partir vers Arsenal. Durant cette belle saison, il accepte finalement de venir jouer pour la Belgique et devient au fur et à mesure un joueur important de la sélection malgré la concurrence de Mertens et Carrasco. Après trois saisons où il perd sa place, il signe pour 20M à la Lazio où il joue toujours. Il fait partie de l’équipe qui a gagné la Ligue des Champions et la Coupe du Monde des clubs en 2019.

Yannick Carrasco - Bordeaux - 39 sélections et 14 buts

Le joueur formé à Genk a mis beaucoup de mal à trouver sa place en club. Après être parti à La Gantoise où il ne joue pas, il est recruté par Fulham et ensuite par Chelsea, convaincu de sa future réussite. Mais c’est en prêt qu’il jouera : d’abord à Southampton puis à l’Atletico Madrid et enfin à l’Inter. Mais chaque fois qu’il revient à Chelsea, il ne joue pas. Il rejoint pourtant l’équipe nationale avec plus de succès. En 2018, il quitte enfin le club londonien pour l’Atletico Madrid où il avait fait sa meilleure version. Mais ce n’est de nouveau pas une réussite et il part la saison suivante à Recreativo où il fait enfin une saison complète. Il est alors acheté par Bordeaux où il joue toujours actuellement.

Les remplaçants

Jacco Smeets – OGC Nice – 7 sélections et trois buts (regen CA 164 PA 165)
Oleksandr Yakovenko – Toulouse FC – 3 sélections
Maarten Martens – Anderlecht – 5 sélections
Marlos – Boavista – 8 sélections

Milieux offensifs centraux

Les indispensables

Eden Hazard – Barcelona – 105 sélections et 46 buts

N’arrivant pas à percer à Lille, il part pour Lyon où il ne réussit pas mieux. Il est alors recruté par Man City quand Van der Elst y est à la tête. Après son départ, Hazard devient titulaire et enchaîne les bonnes saisons tout en étant appelé régulièrement en équipe nationale. Mais très vite, le club devient trop petit pour lui et il est recruté pour 31M par Barcelona. Si il n’est pas titulaire indiscutable, il marque les esprits par ses bonnes performances à chaque titularisation. Au bout de 4 ans, il décide de ne pas resigner et d’aller voir ailleurs, direction l’AC Milan où il ne jouera pas. Il tente alors sa chance à Chelsea où ça ne marche pas non plus. Il est alors acheté pour 13M par l’Espanyol où il retrouve le plaisir de jouer. Il réalise triplé national à Barcelona en 2016 (championnat, coupe, super coupe).

Steven Defour – Blackburn – 73 sélections et 10 buts

A 19 ans, il est capitaine du Standard et déjà un pilier de l’équipe nationale. Et il le restera jusqu’à l’éclosion d’Hazard qui le laissera sur la touche. En club, il est d’abord recruté par Hambourg où il réalise de belles performances. Il est alors directement acheté par Napoli mais il joue presque plus au bout de trois saisons. Il part alors à Lyon où il n’arrivera jamais à trouver sa place. C’est l’Angleterre qui fera le parti de le faire jouer et plus précisément Aston Villa qu’il régalera pendant 4 ans. Il est ensuite acheté par West Brom. Mais comme souvent, la troisième saison est fatale au joueur et il part alors pour Blackburn. Et sa troisième saison la-bas commence… Il a deux titres de champions en France avec Lyon (2012 et 2014) mais il y a peu contribué. Et une Coupe de la Ligue avec Blackburn l’année passée.

Thomas Buffel – Montpellier – 47 sélections et 11 buts

Pilier de l’ancienne génération en équipe nationale, il a perdu au fur et à mesure sa place de titulaire au profil de Defour ou Dembélé qui a souvent joué en retrait. Malgré tout, il est resté remplaçant longtemps, le temps aux jeunes comme Hazard d’émerger. En club, il a pas mal bougé : formé à Feyenoord, il part en 2004 aux Rangers jusqu’en 2007 où il part à Zaragoza. Peu utilisé, il part au bout d’un an à Chievo où il restera 4 ans. Il jouera ensuite trois ans à Udinese et ensuite trois ans à Vicenza. Il a prévu de prendre sa retraite cette saison. Après deux ans à Montpellier.

Attaquants

Les indispensables

Moussa Dembélé – 51 sélections et 13 buts

Le joueur de l’AZ Alkmaar est déjà titulaire en équipe nationale quand Van der Elst arrive. Le sélectionneur l’utilise plutôt sur le flanc gauche et ou derrière l’attaquant principal, ce qui lui permet de continuer à jouer régulièrement pour son pays jusqu’à l’éclosion des jeunes milieux offensifs latéraux. Après l’AZ, il part pour les Rangers où il joue peur et au bout de 4 ans, il part pour Sheff Wed où il est titulaire et où il marque régulièrement pendant 4 ans avant d’être à nouveau mis sur la touche au fur et à mesure. Cette année, il part faire une dernière pige au pays avant une possible retraite ?

Stein Huysegems – FC Twente – 23 sélections et 8 buts

En équipe nationale, il suit la trajectoire de Dembélé et joue plus souvent en retrait qu’en attaque suite à l’arrivée de Moscardelli puis de Cioni. Malgré qu’avec le temps et l’éclosion des jeunes, il n’a plus beaucoup été appelé, il est resté régulier en club, en jouant pendant dix ans au FC Twente où il a marqué en moyenne 15 buts par saison. Il est maintenant devenu préparateur à Spa, en D3 belge. En 2014, il a gagné la Coupe de Hollande.

Davide Moscardelli – Rimini – 26 sélections et 12 buts

Au vu des problèmes en attaque en équipe nationale, Van der Elst surprend tout le monde en allant chercher un attaquand inconnu de D2 italienne avec la double nationalité : Moscardelli. Il empile les buts en club et débloque les compteurs belges en équipe nationale en devenant un buteur fiable. Si au fur et à mesure, il laisse sa place à Cioni, il restera très longtemps remplaçant et ensuite en renfort en cas de coup dur, pour services rendus. Après avoir joué deux ans à Cesena, il revient à son club d’origine, Rimini où il marquera plus de 20 buts chaque saison. Si il vit un creux en 2013 et 2014, il est de nouveau titulaire en 2014-2015 où il recommence à marquer aussi régulièrement à 33 ans jusqu’à maintenant et ses 38 ans (et depuis trois ans en Serie A) ! Au total, dans sa carrière, il aura mis près de 300 buts en club.

Franco Cioni – Juventus - 53 sélections et 31 buts (regen CA 155 PA 156)

Après avoir été cherché Moscardelli en D2 italienne, Van der Elst trouve à nouveau un attaquant en Italie : Franco Cioni qui joue à la Sampdoria et qui, malgré son jeune âge, montre de belles choses et marque régulièrement. Tout d’abord remplaçant de Moscardelli, il marque aussi pour l’Equipe nationale et prend doucement la place de son aîné jusqu’à l’éclosion de Lukaku. Ses bonnes performances lui valent un transfert à la Juventus. Malgré une première saison où il marque trois buts en 4 matchs, il est prêté à Galatasaray où il marque aussi beaucoup. Revenu à la Juve, il n’arrive pas à percer et doit se contenter depuis 2017 d’apparition sporadiques mais pour lesquelles il marque presque à chaque fois.

Romélu Lukaku – Valencia – 117 sélections et 81 buts

La grande promesse d’Anderlecht quitte le pays en 2009 pour rejoindre l’Atletico Madrid. Après avoir montré de belles choses dans les équipes réserves, il joue avec succès ses premiers matchs en équipe première. L’inter décide alors de parier sur lui et met 6.25M sur la table. Mais bloqué par des joueurs comme Adriano ou Ibrahimovic, il est rarement titulaire malgré les beaux buts qu’il met chaque année. Il décide alors de ne pas prolonger son contrat et part gratuitement à Mallorca où il fait une belle saison dans un club en difficulté. Valencia l’achète au terme de la saison mais pendant deux saisons tout est à refaire pour l’attaquant. Mais depuis 2019, il a enfin trouver sa place et est titulaire chaque année depuis lors. En équipe nationale, il est sélectionné pour aider Moscardelli et Cioni alors qu’il vient d’être transféré à l’Atletico. Même si il est barré par plus fort que lui à l’Inter, il commence à marquer à chaque match en Equipe nationale et le sélectionneur décide de le garder comme titulaire malgré qu’il ne joue pas en club. Bien lui en a pris car avec ses 81 buts, il est de loin, le meilleur buteur de tous les temps pour la Belgique.

Koen Daenen – Bolton – 54 sélections et 31 buts (regen CA 172 PA 173)

Le joueur, formé à l’Union, ne reste pas longtemps en D2 belge et rejoint Beveren en 2012 qui le titularise à 17 ans. Barcelona met alors 6.25M pour le recruter et parfaire sa formation. C’est à ce moment-là qu’il fait aussi ses premières apparitions en équipe nationale. Si durant sa 4ème saison en Espagne, il joue un peu plus et marque souvent, il décide tout de même de partir sans contrat à Tottenham où il devient titulaire à part entière. Ce transfert a aussi été bénéfique pour la Belgique car c’est à ce moment-là qu’il commence à marquer beaucoup en équipe nationale. Depuis deux ans, il joue à Bolton où il gagne en 2021 le championnat, la Coupe d’angleterre, la Coupe de la Ligue, la Ligue des champions, la Super Coupe d’Europe et la Coupe du Monde des clubs. Il a aussi gagné la Coupe d’Angleterre avec Tottenham.

Ferry Elsen – Juventus - 53 sélections et 41 buts (regen CA 192 PA 194)

Annoncé comme la plus grande belge à en devenir, Elsen va avoir du mal à percer. Au Standard, de 2010 à 2017, c’est à peine si il joue 3 matchs et est souvent envoyé en prêt en Norvège où il ne se plaît pas malgré de meilleures performances. Surveillé depuis longtemps par Van der Elst, il profite de son passage par l’AC Milan pour le recruter et espérer donner un coup de fouet à sa carrière. Si il ne réusit pas à Milan, sa formation se parfait et il est alors acheté par Barcelona. A ce moment, il est appelé en équipe nationale. Mais ne croyant pas à sa place en équipe première au Barça, il rejoint l’Atalanta. Reculer pour mieux sauter lui a réussi car il empile alors les buts pendant trois saisons avant d’être acheté par la Juventus où il continue de marquer autant. Après le départ de Van der Elst, il devient l’attaquant titulaire et commence à marquer à tous les matchs. Avec 41 buts en 51 sélections, il devient le troisième meilleur buteur de la Belgique. Il a gagné la Coupe d’Italie en 2022.

Les remplaçants

Mémé Tchité – Lierse – 2 sélections
Robert Adam – Portsmouth – 1 sélection (regen CA 167 PA 168)

Les joueurs du futur

Raymond Janssens 18 ans – DG – Zulte Waregem – U21 - CA 124 PA 164
Marciano Aerts- 24 ans – DC – PSG – CA 163 PA 165 (j’allais le sélectionner avant de décider de partir)
Arjen Gomez – 21 ans – MOD – Ajax – CA 120 PA 171
Leon Seghers – 18 ans – BT – Lyon – CA 137 PA 179
Francesco Faraoni – 25 ans – MO/AC - Sevilla – CA 179 PA 184 (je l’avais pas vu venir celui-là)
Raymond Boons – 19 ans – MOG – Newcastle – CA 169 PA 192)

Fin

Merci à tous pour votre suivi ! Cette partie va me manquer mais je sentais que sur la fin, je commençait à trouver le temps long avec juste une équipe nationale.

A bientôt pour de nouvelles histoire !

(sauf si vous me dites d’arrêter)

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La photo de Vanden Borre quand il était à la Paillade :hoho: ça rappelle des souvenirs (est-ce de bons souvenirs pour autant ? :kappa:)