Il a beau dire parfois du mal de la Belgique, j’adore l’entrendre gueuler !
Très chiant, le mois de décembre dans FM quand tu joues dans un championnat comme la Belgique. T’as les sirènes des transferts qui tombent de partout, la moitié de mon équipe est courtisée par des gros clubs et je refuse tout (sauf Verstappen, j’ai pas eu le choix…). Mais du coup, l’ambiance dans le vestiaire est au plus bas : ça gueule de partout, personne ne veut re-signer de contrat et ça joue comme des brêles… Bref, la galère.
Et ça se ressent sur les résultats : j’ai eu un passage à vide, et contre le Celtic, je ne suis pas passé loin de la catastrophe…
Journaliste :
« Éric, depuis le début de ce mercato, on lit partout que vos meilleurs joueurs sont courtisés par les plus grands clubs. Pourtant, personne ne part, sauf Verstappen à cause de sa clause. Un mot sur cette pression permanente ? »
Cantona (sourcil froncé, ton sans concession) :
« C’est le prix de la grandeur, non ? Quand tu fais de l’art avec un ballon, ça attire les collectionneurs — les Chelsea, les Real, les PSG. Toi, tu veux garder ta galerie intacte, montrer ton chef-d’œuvre au monde, mais à la porte, ça frappe, ça frappe, ça propose des montagnes d’or.
Mais ici, l’or ne brille pas plus fort que le mauve. Oui, on a perdu Verstappen, parce que le football moderne, c’est des contrats en béton et des clauses qui valent plus qu’un premier amour. Mais à part lui, personne ne bouge. Parce qu’on leur offre ici autre chose : écrire l’histoire, au lieu d’être juste une virgule dans le roman des autres.
Évidemment, les rêves de gosse, c’est parfois cruel. Quand on t’offre le Camp Nou ou Anfield en plein hiver, tu réfléchis la nuit, tu dors pas. Mais je leur dis : ‘Tu veux un rêve ? Reste et fabrique-le toi-même… ici, où tu es le héros, pas l’ombre d’une star vieillissante.’ »
Journaliste :
« Malgré ce tumulte en coulisses, Anderlecht cartonne encore sur tous les terrains en décembre. »
Cantona (plus calme, regard vif) :
« Bien sûr. Gent, Westerlo, Mechelen… tous mangés, digérés, recrachés. Piccoli, Marquinhos, Sishuba, Leoni… un quatuor qui donne des cauchemars aux défenses et des envies de déménagement à nos adversaires.
Mais ça ne suffit jamais ici : contre Standard, on fait deux cadeaux, on paye l’addition. Je ne veux pas d’équipe qui fait plaisir à Noël, je veux des bourreaux, même sous le gui ! »
Retour sur les matchs
RSCA - Gent 4-1
« Ce match-là, c’est une invitation à l’orgie footballistique : Marquinhos lance la fête, Piccoli fait le Père Noël avant l’heure et Sishuba emballe le tout. Nibombé ? Juste un invité imprévu qui s’est glissé à table. »
Westerlo - RSCA 0-5
« Un festival, une boucherie, l’art abstrait version Piccoli : trois buts, une défense réduite en allumettes, Sishuba qui s’amuse. Même leur coach de 52% doit finir par applaudir, la tête basse. »
RSCA - Standard 2-2
« Là, on s’est crus trop beaux, trop vite. Un match qui sent la digestion de dinde, on menait, on se fait rattraper… Je déteste les cadeaux, sauf si c’est nous qui les recevons. Le vrai RSCA, c’est l’équipe qui avale tout cru, pas celle qui partage le dessert. »
RSCA - Mechelen 5-0 (championnat) & 6-0 (Crocky Cup)
« Deux fois Mechelen en deux semaines, et deux fois la grande lessive. Il y a le football et puis il y a la punition. Ce mois-ci, Mechelen a tout essayé : la muraille, la prière, rien n’y fait. Piccoli? Trois buts par match, c’est devenu une habitude; Marquinhos et Sishuba, mes faiseurs de miracles. Jogo termine le boulot, c’est le rouleau à pâtisserie maison. »
Borrusia Dortmund - RSCA 3-1
« En Allemagne, on est tombé sur du costaud. Une leçon de réalisme. Parfois, l’ogre te croque, c’est la loi de la jungle. Mais même là, Marquinhos a montré qu’on ne baisse jamais la tête. Ça forge les hommes, ces soirs de tempête. »
Celtic - RSCA 0-1
« Et puis, dans le brouillard de Glasgow, Piccoli va leur voler le silence. Victoire d’hommes, victoire à l’ancienne. Celle qu’on garde toute la vie même si personne d’autre n’y croit. Une qualification arrachée avec les dents. »
Journaliste :
« Un dernier mot pour vos joueurs, vos supporters, avant la reprise ? »
Cantona (serre les poings, regard brillant) :
« On a résisté aux sirènes, on a gagné sur tous les fronts, on a souffert et grandi. Je leur dis : ce vestiaire, c’est le vrai rêve. On n’est pas là pour regarder passer les trains dorés, on est là pour devenir la locomotive. Anderlecht, c’est le musée des grands, et ceux qui veulent le quitter doivent d’abord comprendre qu’on n’achète pas le génie, on le construit ici, avec amour et insolence. »
Peut-être que la F1 lui manquait trop nan ? ![]()
Il y a des phrases qui me font vraiment rire, des punchlines bien trouvées ! Tu dois t’amuser à chercher tout ça ![]()
Putain, c’est beau ![]()
uhuh ^^ ouais, pas évident
j’essaye de me mettre les guignols en tête quand je fais ca ^^
Faudrait que je continue. J’ai avancé de qqs semaines dans ma partie ^^ mais j’avoue qu’avec l’arrivée du FM26, ma motivation est un peu tombée en berne ![]()
Va falloir que je me trouve un autre challenge ^^
