:storyred: :s5: :sheffield: Sheffield Wednesday FC - L'envol des Owls ? 🦉

Michael Carrick débarque a Sheffield Wednesday !


A la recherche d’un manager depuis le limogeage de Darren Moore suite à la relégation du club en troisième division, le club du Yorkshire du Sud vient d’officialiser ce matin la nomination de l’anglais au poste de manager.

Après trois saisons dans l’ombre d’Ole Gunnar Solskjær à Manchester United, Michael Carrick devient donc le nouveau manager du Sheffield Wednesday FC où il reçoit comme première mission de faire immédiatement remonter les Owls en Championship avant de, pourquoi pas, envisager la Premier League. Il sera épaulé dans sa tâche par ses nouveaux adjoints Gareth Barry et Stewart Downing qui cumulent mille deux cent septante-six rencontres de Premier League et de Championship.

Né le 28 juillet 1981 à Wallsend dans le nord de l’Angleterre, Michael Carrick est un ancien joueur professionnel qui a évolué sous les couleurs de West Ham, Tottenham et surtout Manchester United pour un total de sept-cent six rencontres et trente-quatre buts. Milieu de terrain robuste, il a également représenté son pays à trente-quatre reprises avant de prendre sa retraite en 2018, sans pour autant s’éloigner des terrains puisqu’il avait alors intégré le staff des Reds Devils.

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Très bon choix.
Après avoir eu Darren Fletcher sous @Rhino, verra-t-on un ancien Red Devil tout gagner ?

Et gagner un trophée avant Solksjaer ? :kappa:

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Gagner un trophée avant Solskjaer ? Cela me semble assez simple… :sac:

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Ohhh le banc Carrick - Barry - Downing. Tu es partisan d’un beau romantisme dans le football :smirk: Good luck !

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J’aime ce choix de coach :heart:

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Choix de coach parfait .

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Excellent choix de coach
A l’image de Fletcher à Watford @Rhino

Je te souhaite la même réussite et la même longévité.

On est parti pour 27 saisons…

Let’s Go

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Le début est prometteur, j’aime beaucoup le choix du coach ! On va suivre ça avec attention

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Carrick face aux lecteurs !

Conférence de Presse

C’est tout le mal que je me souhaite !

Il me paraissait très intéressant de renforcer mon staff technique avec d’anciens joueurs irréprochables sur le terrain d’un bout à l’autre de leur carrière. Je suis convaincu qu’ils pourront communiquer leur rage de vaincre aux joueurs.

Merci messieurs, je suis très heureux d’avoir été désigné à la tête du club et, même si je ne pense pas pouvoir réussir le quart de ce qu’a réalisé Sir Darren Fletcher à Watford, je vais tout faire pour rendre Sir Alex fier d’un autre de ses poulains !

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Sheffield Wednesday, inoxydable ?


Sheffield, berceau du football au dix-neuvième siècle et de la dernière révolution en date de ce sport, en réaction à la tragédie de Hillsborough en 1989. Le populaire club de Sheffield Wednesday épouse l’état de santé de la ville, jadis florissante cité minière, gravement touchée par la crise au siècle dernier et qui essaie aujourd’hui de continuer à exister.

En pleine révolution industrielle, Sheffield est la capitale mondiale de l’acier à la mi-temps de ce dix-neuvième siècle. À l’époque, la ville est en pleine bourre, les machines turbinent, les grosses cheminées crachent et les ouvriers débarquent chaque année par dizaines de milliers pour se faire employer dans des usines mondialement célèbres comme Forgemasters. Et pour occuper leur seul jour de repos de la semaine, ces ouvriers tapent dans un ballon. D’informelle, la pratique du football s’institutionnalise avec la création du premier club au monde, le Sheffield FC, en 1857. Dix ans plus tard, un second club voit le jour, ou plutôt une section football d’un club de cricket qui avait l’habitude de disputer ses matchs chaque mercredi. D’où cet étonnant patronyme : Sheffield Wednesday. Surnom : The Owls, les chouettes, l’animal figurant sur le blason dès les premières années. La grande époque du plein emploi et des avancées technologiques majeures dans le domaine industriel (l’acier inoxydable, c’est à Sheffield qu’on l’a créé) correspond à l’âge d’or du club, qui conquiert sept trophées en l’espace de quatre décennies : quatre championnats (1903, 1904, 1929, 1930) et trois FA Cup (1896, 1907, 1935). Ce sont les années folles, les années de gloire et de prospérité, suivies d’une première période de grande dépression à l’orée des années 30, en soubresaut de la crise de 29. Déjà, à cette époque d’avant-Guerre, Sheffield ne fait plus tellement rêver. La surpopulation oblige les derniers arrivants à s’entasser dans des bidonvilles insalubres à la périphérie d’une ville que George Orwell décrit dans un ouvrage paru en 1937 comme « la plus moche du continent » .

En 1935, Sheffield Wednesday est au sommet de sa gloire et de sa popularité. L’équipe s’impose en finale de FA Cup à Wembley devant près de 100 000 spectateurs face à West Bromwich Albion, grâce au doublé d’Ellis Rimmer (4-2). Mais cinq ans plus tard, il n’est plus question de football. Sheffield subit alors un blitz meurtrier, les Allemands s’acharnant sur cette ville stratégique qui produit une grande partie de l’acier du pays, si précieux en temps de guerre. Les années de conflit face aux Nazis sont à la fois une tragédie et une aubaine pour Sheffield. Tragédie du fait des bombardements, aubaine car les carnets de commande des usines se remplissent à nouveau. Une fois l’armistice signé, le football reprend ses droits et la glorieuse formation de Sheffield Wednesday reprend la compétition. D’abord en D2, puis en D1, D2 de nouveau, D1 encore. Un yo-yo qui prend fin dans les années 60 avec une brève période à flirter de nouveau avec les sommets (vice-champion en 1961 derrière Tottenham). L’élite du football anglais compte à l’époque deux clubs de Sheffield : Wednesday et le rival United, les deux s’affrontant deux fois l’an lors du fameux « Steel City Derby » .

C’est beau mais ça ne dure pas. Les décennies suivantes sont terribles pour Sheffield : crise économique et concurrence étrangère de plus en plus féroce dans les années 70, thatchérisme dans les années 80, fermetures d’usines et chômage de masse – jusqu’à dépasser les 15 % - dans les années 90. Dans ce contexte pas folichon, Wednesday tente de s’en tirer et réussit même brièvement un retour à la lumière en remportant un ultime trophée en 1991 : la League Cup. Chris Waddle arrive l’année suivante, Trevor Francis devient un brillant entraîneur-joueur et pendant les premières années de la Premier League, on croit Sheffield Wednesday en mesure de jouer les premiers rôles. Le club essaie de s’adapter aux profonds bouleversements du foot pro de l’époque, s’accroche mais finit par céder, chutant une dernière fois de l’élite en 2000 pour ne plus jamais y remonter à ce jour. Il faut dire qu’à l’époque déjà, les « Owls » doivent évoluer à domicile dans un cimetière à ciel ouvert : Hillsborough, le stade de la honte depuis le 15 avril 1989. Ce jour-là devait avoir lieu un match qui n’avait rien à voir avec Wednesday : une demi-finale de Cup entre Liverpool et Forest qui a dégénéré en un abominable mouvement de foule faisant 96 morts et près de 800 blessés. C’est à l’issue de cette tragédie que les instances du football anglais ont décidé une modernisation en profondeur, avec notamment de nouvelles normes dans les stades (dont l’interdiction des tribunes « debout » ). C’est donc à Sheffield qu’est né le foot anglais 2.0 tel qu’on le connaît aujourd’hui, cette Premier League richissime et rutilante, loin de ses origines prolo et borderline. Et paradoxalement, c’est le club le plus populaire de la ville, Sheffield Wednesday, qui a été l’une des principales victimes de cette spectaculaire mue en ne réussissant jamais à prendre le virage du nouveau millénaire.

Sheffield Wednesday fait aujourd’hui figure de belle endormie du football anglais. Rappelons quand même une anecdote qui a de quoi rendre fous les supporters locaux. À la trêve hivernale de la saison 91-92, Éric Cantona cherche à se relancer outre-Manche et débarque à Sheffield pour un essai d’une semaine avec Wednesday. Problème : il neige toute la semaine et le match amical qui doit servir de test grandeur nature doit avoir lieu en indoor. Cantona brille mais l’entraîneur Trevor Francis demande au Français de rester une semaine de plus, le temps de le voir sur une vraie pelouse. Il refuse et part s’engager avec Leeds, qui le signe sans essai. Après avoir pris part aux huit premières saisons de la Premier League, sans jamais faire mieux qu’une septième place), les « Owls » sont relégués au printemps 2000 et n’ont jamais pu espérer remonter depuis, faisant plutôt l’ascenseur avec la D3. Au terme de la saison dernière, c’est sur une nouvelle relégation au troisième échellon du football anglais que s’est conclue la saison du club.

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Très très intéressant. Merci pour la lecture :slight_smile:

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La Steel City ! On dit que c’est un bastion magnifique de football. Les règles de Sheffield, opposées à celles de Cambridge, le football ouvrier pur, Bramall Lane, Hillsborough, Hallam, Sheffield FC… Ça doit être hyper classe à faire en vrai :heart_eyes:

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Hutchinson nouveau capitaine de Wednesday !


L’une des première mesure du nouveau manager Michael Carrick vient d’être prise avec la nomination de l’anglais en tant que nouveau capitaine du Sheffield Wednesday FC.

Leader sur et en dehors du terrain, Sam Hutchinson incarne parfaitement la notion de leadership souhaité par Michael Carrick. Il sera le premier relais de l’ancien milieu de terrain de Manchester United qui avait connu la même destinée chez les Reds. Il remplace ainsi l’écossais Barry Bannan, désormais vice-capitaine, et qui a accueilli la nouvelle de façon positive en déclarant qu’il s’agissait d’un choix logique.

Formé à Chelsea où il n’a jamais fait son trou, l’anglais de 31 ans a connu des prêts à Nottingham Forest et Vitesse Arnhem guère plus fructueux avant de connaitre plus de réussite à Sheffield Wednesday. Depuis 2013, il a ainsi disputé cent soixante-cinq rencontres de Championship entrecoupé d’une saison exotique à Chypre.

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La patte Carrick se fait déjà sentir :slight_smile:

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Rolalala la trio Barry-Downing et Carrick, trois joueurs que j’appréciais énormément!

Barry qui était il me semble des débuts du « gros » City, je trouvais ce joueur vraiment très très fort.

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Il est revenu l’année dernière pour aider le club, c’est fort logique de le mettre capitaine après toutes les rencontres qu’il a joué avec Wednesday. Peut-être que Carrick a raison en retirant le capitanat à Bannan, ça peut donner un nouvel élan au vestiaire

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Je viens de découvrir ta story, et cette aventure avec Sheffield Wednesday me plait bien ! Bon choix de prendre Michael Carrick :wink:

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OH ça je suis bordel !

Holala, que de souvenir avec ce club ! :heart_eyes:
J’avais fais une énorme partie avec un ami anglais (il avait prit Man Utd). Nous avions prit énormément de plaisir dans cette partie.
Je me souviens que j’avais Chris Woods dans les cages, Roland Nilsson et Paul Warhust derrière, Chris Bart-Williams qui était monstrueux au milieu, Chris Waddle à droite et le duo David Hirst - Mark Bright en pointe. Ca date bien sur (je dirais 1994) mais je me souviens comme si s’était hier.

Belle présentation :+1:

En espérant revoir Sheff. Wed en Premier League rapidement.

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Carrick face aux lecteurs !

Conférence de Presse

Et ce n’est que le début !

Effectivement, il est arrivé à City en 2009 en provenance d’Aston Villa, un an après la prise de pouvoir des Émirats arabes unis. Une très belle pioche pour permettre au club de franchir un pallier !

Récompense logique en effet. Concernant Bannan, il est loin de ne plus convenir pour ce rôle (et demeure d’ailleurs notre vice-capitaine) mais un peu de fraicheur ne devrait en effet pas faire de tort.

Heureux de vous compter parmi mes lecteurs ! (Re-)Bienvenue à Sheffield, j’espère que vous apprécierez l’aventure !

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Sheffield Wednesday FC
Avant-Saison 2021-2022

Mercato

En poste depuis peu, j’ai préféré déléguer la gestion du mercato estival à l’encadrement technique. Je prendrais la main dès cet hiver après avoir pris le temps d’analyser les besoins de l’équipe et les forces et faiblesses des potentielles recrues.

Effectif

Pour ma première saison à la tête de Sheffield Wednesday, je dispose d’un effectif qui tient largement la route pour jouer les premiers rôles en League One. Tout au plus manque t-il d’une solution supplémentaire dans l’axe de la défense, mais le centre de formation doit pouvoir assurer l’un ou l’autre dépannage, au moins jusqu’à la trève. Le groupe à ma disposition me pousse à évoluer dans un 4-3-1-2 à la milanaise des plus belles années.

JOUEUR NATIONALITE
POSTE
AGE FICHE
1. Bailey Peacock-Farrell
:nir:
GB
25
:desktop_computer:
28. Joe Wildsmith
:eng:
GB
25
:desktop_computer:

Entre les perches, le poste de titulaire est attribué au terme de la préparation à Bailey Peacock-Farrell. Le nord-irlandais, prêté par Burnley, semble avoir les épaules assez large que pour tenir la baraque et reléguer Joe Wildsmith sur le banc. Formé au club, ce dernier disputera les rencontres de coupes où il tentera d’inverser la hiérarchie.

JOUEUR NATIONALITE
POSTE
AGE FICHE
6. Dominic Iorfa
:nga:
DD
26
:desktop_computer:
32. Jack Hunt
:eng:
DD
30
:desktop_computer:
2. Liam Palmer
:eco:
DD
25
:desktop_computer:
4. Lewis Gibson
:eng:
DC
21
:desktop_computer:
22. Chey Dunkley
:eng:
DC
29
:desktop_computer:
3. Jaden Brown
:eng:
DG
22
:desktop_computer:
18. Marvin Johnson
:eng:
DG
30
:desktop_computer:

Sur le côté droit de la défense, Dominic Iorfa fait figure d’incontournable. L’anglo-nigérian est capable d’évoluer dans l’axe, et sera l’un des éléments clés dans notre objectif de montée directe. L’écossais Liam Palmer est considéré comme son remplaçant de luxe, avec la possibilité de dépanner sur le côte gauche où le jeune Jaden Brown devrait faire office de nouveau titulaire. Dans l’axe, Lewis Gibson, prêté par Everton, affiche un niveau très intéressant et devrait former la charnière centrale avec Chey Dunkley. Le latéral droit Jack Hunt m’offre une possibilité supplémentaire sur l’aile droite, ce qui ne sera pas de refus vu le marathon qui nous attends, tout comme Marvin Johnson de l’autre côté.

JOUEUR NATIONALITE
POSTE
AGE FICHE
6. Sam Hutchinson
:eng:
MDF
31
:desktop_computer:
32. Dennis Adeniran
:eng:
MC
22
:desktop_computer:
32. Massimo Luongo
:aus:
MC
28
:desktop_computer:
2. Barry Bannan
:eco:
MC
31
:desktop_computer:
17. Fisayo Dele-Bashiru
:eng:
MC
20
:desktop_computer:
14. George Byers
:eco:
MC
25
:desktop_computer:
26. Lewis Wing
:eng:
MC
26
:desktop_computer:
19. Olamide Shodipo
:irl:
MOD
24
:desktop_computer:
22. Callum Paterson
:eco:
MOC
26
:desktop_computer:
40. Sylla Sow
:nld:
MOD
24
:desktop_computer:
23. Theo Corbeanu
:can:
MOD
19
:desktop_computer:

A la récupération, l’expérimenté Sam Hutchinson fait figure d’incontournable. L’anglais doit être mon relais principal sur le terrain et former avec notre compatriote Dennis Adeniran et l’écossais Barry Bannan un solide et complémentaire trio dans l’axe du jeu. L’australien Massimo Luongo et le jeune Fisayo Dele-Bashiru représentent de bonnes garanties de remplacement et souhaitent d’ailleurs bousculer la hiérarchie, tout comme George Byers. En soutien des attaquants, Lewis Wing semble avoir les épaules assez large que pour recevoir les clés du jeu, aux détriments de Callum Paterson. Les profils d’Olamide Shodipo, Sylla Sow et Théo Corbéanu ne correspondent pas au système que je compte mettre en place mais dépanneront si je dois changer mon système et évoluer avec des flancs offensifs.

JOUEUR NATIONALITE
POSTE
AGE FICHE
9. Lee Gregory
:eng:
BUT
32
:desktop_computer:
24. Saido Berahino
:bur:
BUT
27
:desktop_computer:
20. Florian Kamberi
:alb:
BUT
26
:desktop_computer:
11. Josh Windass
:eng:
BUT
27
:desktop_computer:

A la pointe de l’attaque, je compte installer un duo avec Lee Gregory ou Florian Kamberi dans le rôle du finisseur. Aux côtés de l’heureux élu, ce sera sans doute Saido Berahino qui évoluera dans un rôle d’électron libre, tandis que Josh Windass devra avant tout se remettre de sa fracture du fémur pour revendiquer quelque chose.

Staff Technique

Membre NATIONALITE
POSTE
AGE
Michael Carrick
:eng:
Manager
39
Gareth Barry
:eng:
Adjoint
40
Stewart Downing
:eng:
Préparateur
36
Simon Ireland
:eng:
Préparateur
49
Neil Thompson
:eng:
Préparateur
57
Robert Green
:eng:
Préparateur Gardiens
41
Chris Jones
:eng:
Préparateur Physique
45
Steve Haslam
:eng:
Responsable Formation
41
Steve Doyle
:eng:
Responsable Analystes Performance
37
Richard Stirrup
:eng:
Analyste Performances
30
David Downes
:eng:
Responsable Recrutement
42
Mark Porter
:nir:
Recruteur
49
Lars Bender
:ger:
Recruteur
39
Andy Mitchell
:eng:
Responsable Kinés
44
Adam Davis
:eng:
Kiné
34

Pour m’entourer au mieux durant cette aventure, j’ai proposé à mes anciens coéquipiers en équipe nationale, Gareth Barry, Stewart Downing et Robert Green de m’accompagner à Sheffield. Le premier sera mon adjoint alors que le second sera le préparateur en charge principalement des milieux de terrain. Le troisième sera évidemment en charge des gardiens. Autres arrivées, celles du préparateur physique Chris Jones qui officiait ces dernières années du côté de Chelsea et du nouveau responsable des kinés, Andy Mitchell, en poste ces cinq dernières années à Blackburn.

Informations

→ Ce sont pas moins de 13.000 abonnements qui ont été vendus pour la saison à venir. De quoi nous assurer le soutien nécessaire pour retrouver la Championship dès la saison prochaine.

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