Réponses aux lecteurs
@Tilo82 @kevos @celiavalencia @CaptainAmericka @Pikouse c’est sûr que c’est pas la plus sexy des saisons mais elle est assez grisante en réalité. Limite j’y prends plus mon pied à la jouer et à l’écrire que lorsque je cassais des culs à Cobresal pour les anciens et j’en ai cassé
@Dubois merci copain, oui sur celle la je me suis particulièrement donné niveau écriture et design. C’est vrai que c’est moins optimisé sur téléphone surtout en mode portrait mais j’ai pas encore de solution parfaite
@Rhino Merci frérot
@Nehoc C’est l’idée, l’accompagner dans sa progression et faire fructifier l’investissement plus tard. Mes coréens sont clairement une bonne surprise car de base j’y croyais pas des masses. J’aurais du arrivée dans le bureau de Viana en mode Roman Reigns et lui balancer un petit « ACKNOLEDGE ME ! »
Le bureau de Nelson Barbosa, plongé dans une semi-obscurité, semblait refléter l’atmosphère pesante qui régnait sur le club. Anibal Guimarães, l’entraîneur de Vianense, s’assit en face de lui, sentant le poids de l’incertitude peser sur ses épaules.
Nelson prit une profonde inspiration avant de parler, ses mots empreints d’une gravité palpable. « Anibal, je vais être franc avec vous. La situation du club est très préoccupante. Le maintien en Liga 2 est loin d’être acquis, et nos difficultés financières ne cessent de s’aggraver. De ma fenêtre j’ai du mal à imaginer ce que l’avenir nous réserve. On a peut être grandis trop vite. »
Anibal écouta en silence, sentant une boule se former dans sa gorge alors que Nelson continuait. « Nous avons perdu deux joueurs importants, Tiago Araujo et João Nobrega hors mercato, et nous ne sommes pas en mesure de prolonger ton contrat, même avec un salaire minimum. La Liga refusera d’homologuer le contrat. La situation est désespérée. »
Le visage d’Anibal se décomposa à ces mots. Il avait investi tant d’énergie et de passion dans ce club, et maintenant il était confronté à la perspective de devoir partir, sans même avoir la possibilité de continuer à lutter pour sa survie.
Nelson posa une main réconfortante sur l’épaule d’Anibal. « Je sais que c’est difficile à entendre, Anibal. Et je comprendrais si tu commençais à envisager d’autres options. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour te conserver ici, mais nos mains sont liées par les réalités financières du club. »
Anibal acquiesça lentement, le cœur lourd de chagrin et d’incertitude. Il savait qu’il devait commencer à envisager son avenir, même s’il était déchiré à l’idée de quitter le club qu’il aimait tant. La fin de saison serait cruciale, non seulement pour l’avenir de Vianense, mais aussi pour le sien.