:storygreen: :s6: :spain: :real_valladolid: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka oui étonnamment la saison est super bonne ! y’a de la concu quand même en effet.

@kevos pas le choix, c’est un peu comme en amateur chez nous, ça bouge beaucoup même hors mercato. Mais le temps de stabiliser oui pas le choix, on part de loin dans ce projet.

@Rhino les 213 spectateurs de moyenne sont ravis :sac:

@Nehoc en effet ils nous ont pas respecté ces salauds. CHEH pour la B :sac:

@Manthyz sans spoiler la suite, c’est plus la saison d’après qui m’inquiète vu les finances et l’état des contrats :cry: Et oui le risque du trop haut trop vite est gigantesque.

@Mourinho c’est ma crainte car les équipes se réveillent dans cette phase, je l’ai payé cher en saison 1 avec le Sporting B.

- Anibal pète un plomb en plein entrainement -

Le soleil se levait doucement sur le terrain d’entraînement de Vianense, baignant l’atmosphère d’une lueur chaleureuse. Mais ce matin-là, une tension palpable flottait dans l’air. Alors qu’Anibal Guimarães débutait l’animation de la séance d’entraînement, son regard scrutateur repéra immédiatement l’absence de deux joueurs clés : Magiezi et Regonesi.

Inquiet, Anibal interrogea rapidement son équipe technique, mais personne ne pouvait fournir la moindre explication. C’est alors que son téléphone, posé à côté de l’analyste vidéo, se mit à vibrer, annonçant un appel entrant. Une nouvelle sombre l’attendait de l’autre côté de la ligne.

Nelson Barbosa, le directeur sportif de Vianense, lui annonça que les deux joueurs ne faisaient plus partie de l’effectif. La raison ? Une demande de rupture de prêt émanant à la fois du Sporting Portugal et des Corinthians.

Les mots de Nelson sonnaient comme un coup de tonnerre dans l’esprit d’Anibal. La frustration, la colère et l’incompréhension montèrent en lui tel un torrent impétueux. Il accusa Amorim de manigances, persuadé que c’était encore une tentative pour miner son travail. « Nelson, ce n’est pas possible, Amorim veut nous saboter, j’avais prévenu d’être prudent cet été sur les contrats, visiblement ma voix ne portent que peu. Je ne peux travailler dans ces conditions. Je suis désolé »

Malgré les tentatives de Nelson pour le calmer, Anibal ne put contenir sa rage. Il lança violemment son téléphone sur le banc, marquant son désaccord avec une violence qu’il ne su contenir. Puis, dans un geste de frustration, il quitta précipitamment le stade d’entraînement, laissant la séance entre les mains de son adjoint.

Pendant ce temps, parmi les joueurs, l’ambiance était lourde de consternation et d’incompréhension. Le départ soudain de leurs camarades les laissait perplexes, et une aura de solidarité émergeait alors, renforcée par le sentiment partagé d’injustice.

- Chapitre 59 -
- Vianense, solide leader -
- Chapitre 61 -
Coming SOON - 07/02
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