Réponses aux lecteurs
@VertPourToujours pas de soucis chef
@CaptainAmericka en vla un autre.
@alexgavi oui le club a progressé notamment sur les infras.
Ă peine nommĂ© directeur sportif de Vianense, Hugo Viana sâĂ©tait immĂ©diatement mis au travail pour dĂ©finir les grandes lignes de la politique sportive du club. Conscient de lâimportance dâentourer Anibal dâun encadrement solide et expĂ©rimentĂ©, il rĂ©flĂ©chissait aux profils capables dâĂ©lever le niveau du projet tout en partageant la philosophie axĂ©e sur la valorisation des jeunes talents.
Un nom lui vint rapidement Ă lâesprit : Ruben Amorim. Ancien entraĂźneur principal du Sporting, Ruben avait montrĂ© un talent particulier pour encadrer et dĂ©velopper les jeunes joueurs. LâidĂ©e de lâintĂ©grer Ă Vianense, dans un rĂŽle de supervision des Ă©quipes de jeunes, semblait prometteuse dâautant que cette configuration avait montrĂ© de belles promesses lâan passĂ© sans oublier que Ruben demeurait le mentor dâAnibal.
Lors dâune conversation avec Anibal, Hugo lui exposa son plan.
« Anibal, que dirais-tu de faire venir Ruben Amorim pour un cafĂ© ? Je pense quâil pourrait ĂȘtre parfait pour sâoccuper des jeunes, comme il lâa fait au Sporting. »
Anibal, ravi de lâidĂ©e, acquiesça immĂ©diatement.
« Ce serait génial, Hugo. Avoir Ruben dans le projet nous donnerait une vraie force. Fais-le venir. »
Quelques jours plus tard, Hugo et Anibal organisĂšrent un rendez-vous informel avec Ruben. Ils lâaccueillirent au centre dâentraĂźnement de Vianense, oĂč lâancien coach fut immĂ©diatement surpris par la qualitĂ© des installations.
« Je dois avouer », commença Ruben en jetant un regard autour de lui, « que je ne mâattendais pas Ă un cadre aussi professionnel ici. »
Hugo sourit, visiblement satisfait de lâeffet produit. « Luciano a beaucoup investi pour moderniser le club. Câest une belle opportunitĂ© pour construire quelque chose de durable. »
Assis autour dâun cafĂ©, ils discutĂšrent longuement du projet du club. Hugo et Anibal prĂ©sentĂšrent leur vision : un club centrĂ© sur la formation, avec des infrastructures modernes, un encadrement de qualitĂ©, et une volontĂ© claire de donner leur chance aux jeunes talents.
Ruben, intriguĂ©, posa quelques questions sur les attentes et les moyens mis Ă disposition. Mais au fil de la discussion, il semblait de plus en plus sĂ©duit par lâidĂ©e de rejoindre lâaventure.
Lâun des Ă©lĂ©ments qui facilitĂšrent sa dĂ©cision fut la proximitĂ© gĂ©ographique de Viana do Castelo avec Lisbonne. Ruben apprĂ©ciait lâidĂ©e de pouvoir ĂȘtre proche de sa famille tout en travaillant dans un environnement stimulant.
« Ce projet me plaĂźt », finit-il par dĂ©clarer. « Je suis prĂȘt Ă accepter un salaire moindre si cela me permet de mâinvestir pleinement dans quelque chose de concret et ambitieux. »
Hugo et Anibal échangÚrent un regard complice, satisfaits de cette réponse.
« Bienvenue Ă bord, Ruben », rĂ©pondit Anibal avec un sourire. « Je suis sĂ»r quâon va accomplir de belles choses ensemble. »
Avec lâarrivĂ©e de Ruben Amorim, le projet de Vianense prenait une tournure encore plus sĂ©rieuse. Hugo Viana, Anibal GuimarĂŁes et Ruben Amorim reformaient dĂ©sormais un trio expĂ©rimentĂ©, uni par une vision commune.
Alors quâils terminaient leur rendez-vous, Anibal ne put sâempĂȘcher de ressentir une profonde satisfaction. AprĂšs des mois dâincertitudes sur son avenir, il avait lâimpression dâĂȘtre entourĂ© des bonnes personnes pour construire quelque chose de solide et durable.