:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Résumé

@Sythax pense à l’empreinte carbone enfin :dsk:

@volatil hum niveau prime actuelle c’est peut etre plus Yessica quand mĂȘme.

@celiavalencia oui c’est pas Ă©vident. Peut ĂȘtre qu’elle a bafouillĂ© :thinking: :sac:

@Akasha tu deviens gateux frérot.

@celiavalencia y’a au moins quelqu’un qui suit.

@Akasha t’es surtout PRESBITE :sac:

@alexgavi l’avenir nous le dira.

@toopil et t’a kiffĂ© ?

@CaptainAmericka chut ! a fond la chatte :sac:

- Tevez nommé à Gil Vicente -

La nouvelle tombe un matin d’hiver, secouant les fans de Gil Vicente : Silas n’est plus l’entraĂźneur du club. Les performances dĂ©cevantes de l’équipe, en dĂ©pit d’une ambition affichĂ©e de qualification europĂ©enne, ont poussĂ© Pablo Aimar, le directeur sportif, Ă  prendre une dĂ©cision radicale. Il fallait un Ă©lectrochoc, quelqu’un capable de transformer un vestiaire dĂ©moralisĂ© en une machine Ă  gagner.

Quelques heures plus tard, un communiqué officialise la nouvelle : Carlos Tevez est le nouvel entraßneur de Gil Vicente.

Carlos Tevez, le lĂ©gendaire “Apache”, arrive Ă  Barcelos avec un mĂ©lange d’excitation et de dĂ©fi. Depuis qu’il a quittĂ© Gremio aprĂšs leur titre au BrĂ©sil, il attendait l’opportunitĂ© de prouver qu’il pouvait rĂ©ussir en Europe, non plus comme joueur, mais comme stratĂšge. Il a refusĂ© plusieurs propositions en AmĂ©rique du Sud, cherchant un projet qui lui permettrait de s’imposer dans un football diffĂ©rent, exigeant et technique.

Gil Vicente, un club aux ambitions modernes, semblait ĂȘtre l’endroit parfait. Aimar l’a convaincu en lui prĂ©sentant un projet clair : redonner une identitĂ© Ă  l’équipe, construire un style de jeu offensif et passionnĂ© qui reflĂ©terait la ferveur locale. Le budget Ă©tait limitĂ©, mais Tevez voyait cela comme un dĂ©fi, pas une contrainte.

Lors de sa prĂ©sentation officielle, Tevez entra dans la salle de presse vĂȘtu d’un costume impeccable, mais avec l’aura de guerrier qu’il n’a jamais quittĂ©e. Il pris le micro avec ce sourire en coin qui a marquĂ© sa carriĂšre. « Je suis ici parce que je crois en ce club Â», dit-il d’un ton dĂ©terminĂ©. « Gil Vicente a un potentiel immense, et je suis convaincu que nous pouvons inverser la tendance. Il s’agit de construire quelque chose de grand, pas seulement pour cette saison, mais pour l’avenir. Â»

Ses paroles frappĂšrent juste. Les supporters, sceptiques au dĂ©part, se mirent Ă  rĂȘver. Tevez incarne cette Ă©nergie brute, cette rage de vaincre, qui manque Ă  l’équipe.

DĂšs les premiers entraĂźnements, il imposa sa patte. Fini les longues sessions tactiques qui noyaient les joueurs sous les consignes. Tevez privilĂ©gie des exercices simples mais intenses, oĂč l’effort collectif prime. Il parle directement aux joueurs, les encourageant Ă  prendre des risques et Ă  jouer avec passion.

Dans le vestiaire, il rencontra les leaders de l’équipe. Il Ă©changa longuement avec le capitaine et les cadres, cherchant Ă  comprendre la dynamique du groupe. Il identifia rapidement les forces et les faiblesses : un manque de confiance dans les moments clĂ©s et une attaque trop prĂ©visible. Il dĂ©cida d’y remĂ©dier en expĂ©rimentant un systĂšme de jeu basĂ© sur la vitesse et les transitions rapides, un style inspirĂ© de son propre parcours de joueur.

Le premier match sous ses ordres fut un dĂ©placement compliquĂ© contre le Sporting Braga. Personne ne donnait une chance Ă  Gil Vicente, mais Tevez parvient Ă  galvaniser ses joueurs. Dans les derniĂšres minutes, alors que le score est de 1-1, l’équipe dĂ©clenche un contre fulgurant qui se conclut par un but magistral.

Le coup de sifflet final retentit, et les supporters présents dans le stade rival explosÚrent de joie. Tevez, les poings serrés, se tourne vers ses joueurs, le visage illuminé par cette premiÚre victoire.

Les jours passĂšrent, et le club commença Ă  se transformer. L’équipe retrouvit une identitĂ©, un souffle nouveau. Tevez n’hĂ©sita pas Ă  donner leur chance Ă  de jeunes talents du centre de formation, tout en demandant Ă  Aimar des renforts ciblĂ©s lors du mercato d’hiver. L’alchimie avec le directeur sportif Ă©tait Ă©vidente : deux anciens numĂ©ros 10 qui partagent la mĂȘme vision du football.

Les mĂ©dias europĂ©ens commencent Ă  parler de Gil Vicente. “Le pari Tevez” intrigue, tandis que ses confĂ©rences de presse, mĂȘlant sincĂ©ritĂ© et franchise, attirĂšrent l’attention.

Pour Tevez, ce n’était pas seulement une mission professionnelle, mais un voyage personnel. Loin de l’AmĂ©rique du Sud, il dĂ©couvrait une nouvelle culture, un nouveau rythme. Il savait que tout ne serait pas facile, mais chaque match, chaque entraĂźnement Ă©tait une Ă©tape vers son rĂȘve : devenir l’un des grands noms du coaching europĂ©en.

Et Ă  Barcelos, un petit club rĂȘve dĂ©sormais Ă  ses cĂŽtĂ©s.

- Chapitre 523 -
- Yessica veut retourner Ă  LA -
- Chapitre 525 -
Coming SOON - 07/02
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