:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Manthyz Pas de pitié, pas de tendresse, ce soir c’est Bagdad dans tes f*****

@CaptainAmericka :pasrire: rumeurs de médias. ça se trouve il va signer en suisse (Poke @toopil )

@Sythax les journalistes :man_facepalming:

- Sofia Félix confirme l’affranchissement d’Ani -

Le titre remporté avec les Xolos de Tijuana marquait une fin glorieuse pour Anibal Guimarães au Mexique. Entouré de ses joueurs, du staff, et des supporters en liesse, il célébrait non seulement une victoire sportive, mais aussi la conclusion d’un chapitre tumultueux de sa vie. Mais alors que les festivités battaient leur plein, une notification sur son téléphone interrompit brièvement son euphorie : un appel de Sofia Felix.

Anibal, se retirant un instant du bruit ambiant, décrocha l’appel. La voix de Sofia Felix, froide mais déterminée, résonna à l’autre bout du fil. “Anibal, comme promis, tout est réglé. Toi et ta famille êtes libres. Ni moi, ni mon organisation n’interférerons plus jamais dans ta vie.”

Un soupir de soulagement échappa à Anibal. Mais Sofia ne tarda pas à poser une condition, montrant que même dans la libération, elle gardait un certain contrôle. “Cela dit, tu devras quitter le continent à la fin de la saison. Si un jour tu décides de travailler à nouveau ici, tu devras me prévenir. Pas de surprises, coach.”

Anibal, malgré un léger pincement d’orgueil, accepta sans discuter. Il savait que ce marché représentait sa meilleure issue. “C’est noté, Sofia. Mais rassure-toi, je rentre en Europe dès la fin de la saison. J’ai déjà un accord avec un club européen.”

Un bref silence suivit, puis un léger rire de Sofia “Je te souhaite bonne chance, Anibal. Mais n’oublie jamais : les fantômes de Tijuana ne s’effacent pas si facilement.”

Avec cet appel, un poids immense sembla se dissiper des épaules d’Anibal. Mais il savait que le futur nécessiterait encore de la résilience.

Plus tard dans la soirée, alors que les célébrations touchaient à leur fin, Anibal appela sa femme, Yessica, à Los Angeles. L’entendre fut un réconfort immédiat. “Yessica, tout est fini,” annonça-t-il d’une voix apaisée. “Je t’ai caché beaucoup de choses ces derniers mois mais avec Rafael nous avons tout arrangé. Sofia du cartel a tenu parole. Tu peux être tranquille maintenant.”

Yessica, soulagée, laissa échapper un rire nerveux avant de répondre : “Enfin, Anibal. Je n’en pouvais plus de cette tension constante. Nous allons pouvoir recommencer à vivre normalement.”

Anibal en profita pour lui annoncer ses projets. “Je rentre au Portugal dès la fin des festivités ici. Tout est réglé avec mon prochain club. On retourne en Europe, et je vais enfin pouvoir travailler dans un environnement stable.”

Yessica, ravie par cette nouvelle, ajouta à son tour “Mon film est terminé. Je vais rester encore un peu ici pour finaliser les derniers détails, mais je te rejoindrai en juin. Je suis tellement heureuse qu’on puisse retrouver une vie normale, dans un cadre qui nous ressemble. Rafaela m’a prévenu pour ton futur contrat. C’est un nouveau rêve qui va se réaliser. J’ai tellement hâte pour toi !”

De retour aux festivités, Anibal profita de ces moments avec ses joueurs et le staff, conscient que cette aventure au Mexique, bien que marquée par des défis personnels et professionnels, avait été une étape importante de sa carrière. Il passa également du temps avec Abel Teller et les Sons of Anarchy, qui avaient joué un rôle crucial dans sa protection. Abel, en guise d’adieu, lui donna une poignée de main ferme, un cuir et une bague des Sons et un conseil simple.

“Reste sur ton terrain, coach. C’est là que tu es invincible.”

Alors que les lumières de Tijuana s’éteignaient derrière lui, Anibal sentait une nouvelle énergie monter en lui. Le Portugal l’attendait, un nouveau défi en Europe se profilait, et surtout, il pouvait enfin se concentrer uniquement sur le football. Yessica, comblée par ce choix, partageait son enthousiasme à l’idée de retrouver une vie plus sereine sur le continent européen.

Pour Anibal, ce retour n’était pas qu’un changement de lieu. C’était une renaissance. Après avoir affronté des menaces bien au-delà des terrains, il revenait avec une force renouvelée et un esprit prêt à conquérir de nouveaux sommets.

Le Mexique resterait un chapitre unique de sa vie, mais l’Europe était son véritable terrain de jeu. Et il était déterminé à prouver que, malgré les épreuves, Anibal Guimarães n’avait rien perdu de sa grandeur.

- Chapitre 483 -
- Anibal discute avec des clubs européens -
- Chapitre 485 -
Coming SOON - 17/01
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