Réponses aux lecteurs
@alexgavi tout à fait mais est-ce que les Reds vont s’intéresser au coach ?
@Manthyz Ce sont des idées plaisantes mais jusqu’ici les clubs n’ont pas approché le club.
@Rhino pourquoi pas mais c’est vrai que je le vois plus dans des pays latins.
@Alexmilano oui ma gaté
Après une carrière marquée par des succès retentissants sur plusieurs continents, Anibal Guimarães se trouvait à un carrefour de sa vie professionnelle. Avec une soif constante de défis, il passait ses journées à analyser le jeu de diverses équipes en quête d’un entraîneur, déterminé à ne pas se laisser surprendre par une opportunité inattendue. Pourtant, c’est un coup de téléphone de son agente, Rafaela, qui allait changer la donne.
“Anibal, j’ai quelque chose pour toi,” annonça Rafaela d’un ton énigmatique. “L’Inter Miami est très intéressé.”
Cette déclaration laissa Anibal pensif. Le club américain venait de voir partir Javier Mascherano, leur entraîneur emblématique, après une décennie exceptionnelle. Sous sa direction,bavait dominé la Major League Soccer (MLS) et le continent américain avec 7 titres de champion et 2 Ligues des Champions de la CONCACAF. Mais ces dernières années, l’équipe avait sombré dans un creux générationnel, peinant à se qualifier pour les playoffs. Une succession aussi prestigieuse qu’ardue se profilait.
Pour Anibal, les règles complexes du championnat américain – entre les plafonds salariaux, les contrats désignés et les drafts – représentaient une barrière intimidante. Mais l’idée de relever un tel défi le séduisait. Rafaela, quant à elle, était convaincue “Écoute, ce n’est pas juste un club. C’est une marque mondiale. Ils veulent quelqu’un qui peut ramener la gloire et incarner leur ambition. Ils sont prêts à t’offrir tout ce que tu veux.”
Après avoir obtenu le feu vert d’Anibal pour entamer les discussions, Rafaela se lança dans des négociations intenses. En deux jours, elle revint avec une offre sur mesure : un contrat de plusieurs années assorti d’un salaire conséquent, des garanties sur les ressources allouées pour le recrutement, et un contrôle total sur le projet sportif. De plus, l’Inter Miami s’engageait à simplifier l’intégration d’Anibal dans l’écosystème complexe de la MLS, avec un staff dédié à l’accompagner.
Le club, conscient des hésitations du Portugais, avait mis toutes les chances de son côté. Mais Anibal, prudent de nature, voulait réfléchir. Il consulta longuement Yessica, sa femme, actuellement en plein tournage à Los Angeles.
“C’est une grande opportunité, Anibal,” lui dit-elle un soir, lors d’un appel vidéo. “Et puis, cela nous rapprocherait. Tu sais à quel point Beatriz serait heureuse de vivre aux États-Unis pour un moment.”
Après plusieurs jours de réflexion et des discussions en famille, Anibal prit sa décision. Il accepta l’offre de l’Inter Miami, convaincu qu’il pouvait non seulement relever le défi sportif, mais aussi se rapprocher de sa famille tout en explorant un nouveau continent.
“Si je dois plonger dans quelque chose d’aussi nouveau,” confia-t-il à Rafaela, “je veux le faire pleinement. Assure-toi que tout est en place, et je suis prêt.”
L’Inter Miami, désireux de gérer la transition en douceur, demanda à Anibal de garder la signature secrète jusqu’à ce que la Major League Soccer (MLS) valide officiellement le contrat, comme le stipulaient les b. Cette période de silence permit au club de préparer l’annonce en grande pompe, tandis qu’Anibal se plongeait discrètement dans l’étude des subtilités de la MLS et des besoins de son futur effectif.
Pour l’Inter Miami, l’arrivée d’Anibal Guimarães représentait un pari audacieux mais calculé. Le club cherchait un leader capable de redéfinir son projet sportif et de reconstruire une équipe compétitive dans un championnat en constante évolution. Pour Anibal, c’était une chance unique de prouver une fois de plus qu’il pouvait s’adapter et exceller dans n’importe quel contexte.
La nouvelle, gardée secrète pour l’instant, promettait de secouer le monde du football américain une fois dévoilée. Anibal, prêt à relever un nouveau défi, s’apprêtait à écrire un chapitre inédit dans sa carrière déjà riche en exploits.