:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Tiien ouais ils sont chaud Ă  Osaka, j’étais pas prĂȘt :hoho: ça va nous obliger Ă  ĂȘtre archi constant. Le premier qui va enchainer des nuls tombera.

@alexgavi yep la série continue ça fait plaisir.

@VertPourToujours On pouvait s’y attendre en effet. AprĂšs sans prĂ©pa c’était un peu tout ou rien. Mais je reconnais je m’attendais Ă  plus d’adversitĂ© quand mĂȘme.

@Rhino que va piano va sano.

@Manthyz alors ça je peux te dire ça remonte au 5 Novembre 2034 contre le Deportes QuindĂ­o en Liga Betplay avec Envigado oĂč on avait pris un beau 3 - 0 en tournoi de cloture. On est donc Ă  102 matchs sans dĂ©faite et 503 jours d’invincibilitĂ©.

@toopil On les manges comme des sushis :pasrire:

- ă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ă‚’èżœă†ă‚±ăƒ«ăƒˆäșș -
- le Celtic sur la piste d’Anibal -

À peine installĂ© au Japon, Anibal GuimarĂŁes faisait dĂ©jĂ  parler de lui au-delĂ  des frontiĂšres asiatiques. Sa sĂ©rie d’invincibilitĂ©, dĂ©butĂ©e lors de son mandat avec Palmeiras et prolongĂ©e avec Nagoya Grampus, attirait des regards admiratifs. Mais c’est en Europe que l’intĂ©rĂȘt prenait une nouvelle ampleur.

Parmi les clubs en quĂȘte de renouveau, le Celtic Glasgow, monument du football Ă©cossais, semblait dĂ©terminĂ© Ă  en faire son futur entraĂźneur. Une initiative audacieuse qui pourrait prĂ©cipiter un retour inattendu du coach portugais sur le Vieux Continent.

Cela faisait trois saisons que le Celtic Glasgow, autrefois dominateur en Écosse, vivait dans l’ombre de ses rivaux, les Rangers et les Hearts. Le limogeage rĂ©cent de Frank Lampard, incapable de redresser la barre, symbolisait une crise profonde au sein du club. Avec un effectif talentueux mais dĂ©sorganisĂ©, les dirigeants savaient qu’ils avaient besoin de plus qu’un simple entraĂźneur. Ils avaient besoin d’un visionnaire, capable de transformer la culture du club.

Anibal GuimarĂŁes correspondait parfaitement Ă  ce profil. Sa rĂ©putation de bĂątisseur, combinĂ©e Ă  ses rĂ©sultats flamboyants en AmĂ©rique du Sud et en Asie, faisait de lui un candidat idĂ©al pour rĂ©veiller le gĂ©ant endormi qu’était le Celtic.

Rafaela Pimienta, agent et confidente d’Anibal, confirma Ă  son client que des discussions avaient commencĂ© avec le Celtic. Leur direction n’était pas seulement intĂ©ressĂ©e par ses talents tactiques, mais aussi par sa capacitĂ© Ă  construire un projet Ă  long terme, une spĂ©cialitĂ© d’Anibal. “Ils te veulent vraiment, Ani. Ils savent que leur projet prendra du temps, et ils pensent que tu es l’homme capable de tout reconstruire.”

Anibal surpris tout autant que flattĂ© n’oubliez cependant pas qu’il venait d’arrivĂ©e au japon et qu’il Ă©tait de toutes façon toujour suspendu. “C’est flatteur, mais je suis sous contrat ici. Et je ne peux pas oublier que l’UEFA m’a suspendu.”

Mais l’équation avait changĂ©, le Celtic Ă©tait prĂȘt Ă  se battre et son statut de club historique cumulĂ© au cv parfait d’Anibal depuis son dĂ©part pouvais faire flĂ©chir l’instance. “Ils sont prĂȘts Ă  se battre pour toi. Ils veulent contester ta suspension. Si on gagne, tu pourrais ĂȘtre libre d’entraĂźner en Europe dĂšs cet Ă©tĂ©.”

DĂ©terminĂ© Ă  ramener Anibal en Europe, le Celtic engagea une Ă©quipe juridique pour contester la sanction de l’UEFA. Leur argument principal ? Le comportement irrĂ©prochable d’Anibal depuis sa suspension, son rĂŽle dans la formation de jeunes joueurs et son implication dans des projets sportifs d’envergure.

Pour le club Ă©cossais, rĂ©duire la suspension d’Anibal serait une victoire juridique et mĂ©diatique. Cependant, l’issue restait incertaine, et Anibal savait qu’il ne pouvait pas tout miser sur cette bataille.

Pendant ce temps, Ă  Nagoya, les dirigeants Ă©taient bien conscients de l’intĂ©rĂȘt croissant pour leur entraĂźneur. Le prĂ©sident Jin Suzuki et le directeur sportif Keito Hiraoka tenaient Ă  garder Anibal jusqu’à la fin de son contrat, surtout avec une Ligue des champions asiatique en ligne de mire.

Lors d’une rĂ©union, Jin Suzuki posa la question directement “Ani-san, pouvez-vous nous garantir que vous resterez jusqu’à la fin de la saison ?” Anibal Ă©tait clairement mal Ă  l’aise par la situation. Mais confirma sa volontĂ© de tenir ses engagements. “Je suis pleinement engagĂ© ici, Jin-san. Mais je ne peux pas ignorer ce qui se passe. Si je dois partir, ce sera uniquement aprĂšs avoir menĂ© Nagoya au sommet.”

Nagoya rassurĂ© et flattĂ© par le sens de l’honneur ne ferma pas totalement la porte Ă  un dĂ©part d’Anibal, mais posa une condition : un sacre en Ligue des champions asiatique.

Alors qu’Anibal continuait Ă  mener Nagoya avec succĂšs, il restait tiraillĂ©. La perspective de revenir en Europe, oĂč il avait forgĂ© sa lĂ©gende, Ă©tait sĂ©duisante. Mais il ne voulait pas abandonner un projet en cours.

Lors d’une conversation avec sa femme Yessica, il exprima ses doutes “Et si je revenais trop tît ? Nagoya est un bon projet, mais je ne peux pas ignorer l’appel du Celtic.”

Yessica tenta de le rassurer comme toujours. “Ani, tu as Ă©normĂ©ment appris depuis notre dĂ©part de Turin, ta sanction a toujours Ă©tĂ© injuste. ce serait un juste retour des choses. Mais n’oublie pas ce que nous avons appris ces derniĂšres annĂ©es. La stabilitĂ© compte autant que les trophĂ©es. Et on ne va pas se mentir notre but c’est de revenir en Europe.”

Les prochains mois s’annonçaient dĂ©terminants pour Anibal. Alors que le Celtic intensifiait ses dĂ©marches et que la saison asiatique progressait, une dĂ©cision de justice pourrait tout changer. Si l’UEFA maintenait la suspension, le Celtic devrait patienter. Mais si celle-ci Ă©tait rĂ©duite, un retour triomphant en Europe semblait inĂ©vitable.

Pour l’heure, Anibal restait concentrĂ© sur Nagoya, conscient que son destin se jouait sur plusieurs fronts. Le Japon lui avait offert une nouvelle Ă©tape dans sa carriĂšre, mais l’appel de l’Europe continuait de rĂ©sonner. Le duel entre ambition personnelle et engagement professionnel allait dĂ©finir la suite de sa lĂ©gende.

- Chapitre 427 -
- Nagoya et Anibal, impérial -
- Chapitre 429 -
Coming SOON - 16/12
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