Réponses aux lecteurs
@alexgavi mode warrior activé
@CaptainAmericka Le début de saison est très efficace en effet. On verra si ça se réalise.
@VertPourToujours it’s life.
@Rhino Et c’est pas fini.
@Manthyz Va jouer au brésil tu comprendras
Le soleil de midi baignait le centre d’entraînement de Palmeiras de sa lumière éclatante, tandis que l’équipe enchaînait les séances intenses sous les ordres d’Anibal Guimarães. L’ambiance était électrique, et ce n’était pas seulement en raison des résultats exceptionnels que le club enregistrait depuis le début de la saison. Quelque chose d’autre flottait dans l’air, un murmure qui se propageait de plus en plus, insufflant un mélange d’excitation et de curiosité parmi les joueurs, le staff et même les supporters.
Ce murmure avait un nom : Endrick.
Gabriel Jesus, le directeur sportif de Palmeiras, se préparait à tenter l’un des coups les plus audacieux de l’histoire du club. Après avoir déjà orchestré le retour triomphal de Vinicius Jr et Rodrygo, légendes brésiliennes ayant marqué le football mondial avec leurs exploits en Europe, Gabriel visait désormais un objectif encore plus grand : ramener Endrick, la star de Liverpool, au Brésil.
Endrick, le prodige que Palmeiras avait vu éclore il y a de nombreuses années, avait quitté le club pour l’Europe à seulement 18 ans. Depuis, il avait conquis le monde avec des passages légendaires au Real Madrid et, plus récemment, à Liverpool. Ses buts, sa technique inimitable, et sa rage de vaincre avaient fait de lui l’une des icônes de la Seleção, portant l’équipe brésilienne sur ses épaules lors de plusieurs campagnes de la Coupe du Monde. Mais malgré tout ce succès, quelque chose semblait toujours lui manquer : le goût unique de jouer devant ses supporters de Palmeiras, là où tout avait commencé.
Les rumeurs de son retour potentiel prirent une ampleur spectaculaire lorsque des images de Gabriel Jesus embarquant discrètement pour l’Angleterre commencèrent à circuler sur les réseaux sociaux. Les fans de Palmeiras, toujours en quête d’informations, spéculèrent immédiatement sur le motif de ce voyage, et les forums de supporters s’enflammèrent à l’idée d’un retour d’Endrick. L’anticipation était palpable.
Dans le bureau de Gabriel Jesus, l’excitation et la nervosité se mêlaient. Convaincre une légende comme Endrick de revenir au pays n’était pas une tâche facile. Il savait que le joueur avait encore des années de haut niveau en Europe devant lui, mais il avait un plan, un rêve. Le directeur sportif imaginait une attaque légendaire avec Vinicius Jr, Rodrygo, et Endrick réunis, trois joyaux brésiliens prêts à faire vibrer l’Amérique du Sud et à faire trembler tous les défenseurs du continent. Pour Gabriel, ce n’était pas seulement une question de prestige, mais de redonner à Palmeiras une aura de grandeur que l’on croyait réservée aux clubs européens.
Le moment décisif arriva lorsque Gabriel, après des jours de négociations avec les dirigeants de Liverpool et des discussions nocturnes avec l’entourage d’Endrick, décrocha son téléphone pour parler directement avec la star brésilienne. À l’autre bout de la ligne, Endrick écouta en silence, pesant chaque mot, chaque promesse. Gabriel lui parla du projet unique qui prenait forme à Palmeiras, de l’union sacrée des légendes brésiliennes qui revenaient au pays pour réécrire l’histoire. Il évoqua le rêve de jouer à nouveau dans un Allianz Parque en feu, entouré de supporters en transe, d’inspirer la jeunesse brésilienne et de ramener Palmeiras au sommet du football sud-américain.
Endrick ne répondit pas immédiatement. Il était pensif. Malgré les stades européens, les trophées glanés, et la reconnaissance mondiale, un petit garçon en lui se souvenait encore de ses premiers pas à Palmeiras, de ses débuts, de ses rêves d’enfant. Cette idée de boucler la boucle, de finir ce qu’il avait commencé dans son club formateur, le séduisait. La vision de Gabriel Jesus le hantait : une équipe brésilienne capable de rivaliser avec les géants européens, mais qui jouait avec le cœur, pour le peuple.
« Je dois y réfléchir », murmura Endrick, sa voix trahissant une pointe d’émotion. « Mais l’idée me plaît. »
Pendant ce temps, à São Paulo, l’effervescence continuait de grandir. Anibal Guimarães, qui avait lui aussi entendu parler de cette possible signature, se permit un sourire en coin. S’il y avait bien une chose qu’il avait apprise dans sa carrière, c’était qu’au Brésil, tout était possible. Un retour d’Endrick changerait la donne, transformant Palmeiras en une machine de guerre presque invincible.
Pour les supporters, l’attente allait être insupportable. Mais tous espéraient qu’un jour prochain, Endrick entrerait à nouveau sur le terrain sous les couleurs de Palmeiras, prêt à écrire un nouveau chapitre de sa légende. Pour l’instant, le rêve était en marche, et Gabriel Jesus, tel un architecte patient, continuait de travailler dans l’ombre pour rendre possible l’impossible.