Réponses aux lecteurs
@celiavalencia c’était prévisible avec l’histoire lié au Milan en plus
@Sythax on peut toujours plus
@Rhino déconne pas bro il viens de se marier le con
@VertPourToujours Au pire si Yessica se barre il peut virer gay
Anibal Guimarães, le visage marqué par l’inquiétude, entre d’un pas rapide dans le bureau de Pavel Nedved. Le directeur sportif de la Juventus, assis derrière son bureau, relève la tête en voyant le coach portugais s’approcher. À ses côtés, Mauro Camoranesi, adjoint de Nedved et ancien joueur emblématique de la Juventus, observe en silence.
Anibal (visiblement perturbé) : « Pavel, je dois te parler… Je ne me sens plus en sécurité ici. Les menaces des ultras deviennent trop intenses, et je crains pour ma sécurité, mais surtout pour celle de ma femme. »
Pavel Nedved (d’un ton apaisant) : « Anibal, je comprends tes craintes. Mais crois-moi, ces choses finissent par se tasser. Tu sais comment sont les supporters, ils vivent pour le club, et parfois cela les pousse à l’excès. Ce qu’il faut, c’est rester concentré sur le terrain, montrer que tu es là pour réussir. Les résultats parleront pour toi. »
Anibal (fronçant les sourcils, toujours inquiet) : « Je veux y croire, Pavel, mais je ne peux pas ignorer ces menaces. Ce ne sont plus juste des paroles en l’air. Il y a eu des intrusions autour de mon loft, des symboles de Milan AC… Je ne peux pas risquer la vie de ma femme. »
Mauro Camoranesi (se redressant, déterminé) : « Anibal, tu n’as pas à t’en faire pour ça. Je vais aller parler avec les supporters. Ils m’écouteront, je suis l’un des leurs. Et pour ta sécurité, nous allons mettre en place une garde rapprochée autour de toi et de ta famille. Tu pourras ainsi te concentrer pleinement sur la fin de saison, sans te soucier de ces idiots. »
Anibal (soupirant de soulagement, mais toujours pensif) : « Merci, Mauro… Je crois que c’est ce qu’il me fallait entendre. Je vais faire de mon mieux pour rester concentré. Mais je ne veux pas que cette situation empire. »
Pavel Nedved (avec un sourire rassurant) : « Ne t’inquiète pas, Anibal. Tu es un excellent coach, et nous te soutenons. L’important, c’est de continuer à travailler ensemble pour atteindre nos objectifs. Les supporters finiront par comprendre et te soutenir eux aussi. »
Anibal acquiesce, un peu plus rassuré par les paroles de ses collègues. Il se redresse et, avec un air déterminé, quitte le bureau, prêt à se replonger dans son travail pour guider la Juventus vers une fin de saison réussie.