Réponses aux lecteurs
@CaptainAmericka c’est clairement l’idée désormais. Et non c’est pas la raison Je te dirais plus tard
@Rhino On va essayer
@Manthyz Les exigences sont élevès nous verront.
Anibal Guimarães, abattu par le verdict du tribunal qui a entraîné sa suspension, erre dans son loft à Turin, plongé dans une profonde détresse. Le poids de la sanction, les accusations, et la peur de voir sa carrière se briser ont complètement perturbé l’homme qui, il y a encore quelques mois, était au sommet de sa gloire. Il peine à trouver un sens à ce qui se passe, le monde semble s’effondrer autour de lui.
Alors qu’il est perdu dans ses pensées sombres, le silence de son loft est soudainement brisé par la sonnerie de son téléphone. Anibal le regarde d’un air absent, jusqu’à ce qu’il remarque le nom qui s’affiche sur l’écran : Ruben Amorim. Son ancien mentor, devenu l’un de ses plus grands rivaux ces dernières années.
Hésitant, Anibal finit par répondre. À sa grande surprise, la voix de Ruben Amorim, calme et presque bienveillante, résonne à l’autre bout du fil.
Ruben Amorim : « Anibal, c’est Ruben. Je… je sais que ce n’est pas facile pour toi en ce moment, mais je voulais te parler. Te dire que… je ne suis pas d’accord avec tout ce qui s’est passé, avec ce que Mendes et Campos ont fait. »
Un silence lourd s’installe. Anibal, encore sous le choc, ne sait que répondre. Mais Ruben continue.
Ruben Amorim : « Je veux que tu saches que je me désolidarise totalement de leurs actions. Pendant des années, ils ont essayé de nous monter l’un contre l’autre, de créer une rivalité artificielle, et je me rends compte maintenant à quel point c’était destructeur. Tu as été un excellent rival, un adversaire digne, et je respecte énormément ce que tu as accompli. »
Anibal reste silencieux, mais dans son cœur, une petite étincelle de réconfort commence à naître. Il n’était pas seul dans cette épreuve, et entendre ces mots de Ruben, quelqu’un qu’il admirait autrefois, signifie beaucoup.
Anibal Guimarães : « Ruben… je… je ne sais pas quoi dire. Merci. Merci pour ces mots. C’est vrai qu’ils ont tout fait pour nous opposer, mais je n’ai jamais cessé d’avoir du respect pour toi, même dans les moments les plus difficiles. »
Ruben soupire doucement, comme pour libérer une tension longtemps accumulée.
Ruben Amorim : « Écoute, Anibal. Je sais que tu vas faire appel, et je veux que tu saches que je serai là pour témoigner en ta faveur. Nous avons été manipulés, et je pense que la vérité doit sortir. Je suis prêt à tout laisser derrière nous, à enterrer cette rivalité toxique, et à aller de l’avant. »
Les mots d’Amorim résonnent profondément en Anibal. C’est comme si un poids venait d’être levé de ses épaules. Pour la première fois depuis des semaines, il ressent un léger soulagement.
Anibal Guimarães : « Merci, Ruben. Cela signifie beaucoup pour moi. Je crois que… c’est ce dont nous avons tous les deux besoin. De faire la paix et de continuer à avancer. »
La conversation se poursuit encore un moment, les deux hommes partageant des souvenirs, des regrets, mais aussi des espoirs pour l’avenir. Lorsque l’appel se termine, Anibal n’est plus seul dans sa lutte. Il sait désormais qu’il peut compter sur l’appui d’Amorim, non seulement comme témoin, mais peut-être même comme un allié inattendu dans les jours à venir.