Réponses aux lecteurs
@Lincoln6Echo @Manthyz En vrai j’ai trouvé cet arc super cool à écrire, même @Akasha me trouvais cinglé d’avoir pensé à tourner ça comme ça. Mais j’aime grave le mentor qui deviens jaloux. Après le directeur sportif a pas été malin et a mis la merde solo dans son club en soit. J’espère que tu kifferas la suite. Je note l’idée d’un arc benfica
@Dubois en gros j’ai généralement 1-2 saisons d’avance et donc du recul sur ce que j’écrit et je cherche des ressort pour mettre en relief ce qui se passe. Souvent je demande l’avis de mon partenaire in crime Akasha D’ailleurs vous êtes pas prêt pour la fin de la saga Goias. Du coup pour revenir au sujet je pense avoir une bonne culture foot et surtout de tout le côté drama
@Nehoc ne jamais dire jamais
Le bureau d’Hugo Viana à l’Estadio José Alvalade connaissait une activité inhabituelle en ces temps de pause estivale, les ombres des trophées et des maillots encadrés accentuant la gravité de la situation. Viana, directeur sportif du Sporting Portugal, avait pris connaissance des tensions grandissantes entre Anibal et Ruben. Inquiet des conséquences pour le club, il avait décidé de convoquer une réunion cruciale avec le président du Sporting.
Le président, un homme d’expérience, entra dans le bureau avec une expression sérieuse. Viana commença à exposer les faits, décrivant la complexité de la situation entre Anibal et Ruben. Ils échangèrent des perspectives, pesèrent les avantages et les inconvénients, mais il devint rapidement évident qu’une décision difficile devait être prise.
Après une délibération sérieuse, le président du Sporting prit la parole. « Hugo, nous avons bâti quelque chose de solide ici, et l’historique de Ruben avec le club est indéniable. Nous ne pouvons pas ignorer l’impact positif qu’il a eu sur l’équipe. Parfois, il faut faire des choix difficiles pour le bien du Sporting. »
Hugo Viana acquiesça, reconnaissant le poids de la décision. « Je comprends, Monsieur le Président. Je vais m’occuper de cela. Il est temps de mettre un terme à cette situation. »
Viana prit son téléphone, composa le numéro d’Anibal, qui se trouvait en vacances, espérant trouver les mots justes pour aborder la situation délicate. Anibal, de son côté, sentit le téléphone vibrer dans sa poche alors qu’il profitait du soleil ailleurs.
« Anibal, » commença Viana d’une voix calme mais sérieuse, « nous devons discuter de la situation actuelle entre toi et Ruben. Après une réflexion approfondie avec le président, nous avons pris une décision difficile. »
Avant même que Viana ne puisse révéler la nouvelle, Anibal prit l’initiative. « Hugo, je ne peux plus continuer ainsi. Les différends avec Ruben sont devenus insupportables. Je ne veux pas nuire au club, et je pense qu’il est temps pour moi de partir. »
La déclaration d’Anibal laissa un silence lourd entre les deux hommes. Viana, compréhensif mais surpris, répondit finalement, « Je respecte ta décision, Anibal. Sache que tu seras toujours un ami au Sporting. Si jamais tu as besoin de quelque chose dans le futur, je serai là pour toi et le club aussi. »
Les mots échangés étaient empreints de regret, mais la résolution de la situation semblait inévitable. Anibal, malgré son départ du club, assura à Viana qu’il continuerait à soutenir le Sporting de tout cœur. Viana, de son côté, promit de rester un allié dans le futur, offrant son appui si Anibal avait besoin d’aide dans sa carrière à venir.
Ainsi se conclut l’aventure d’Anibal Guimarães au Sporting Portugal, marquant la fin d’un chapitre tandis que le club se préparait à faire face à de nouveaux défis sous la direction de Ruben Amorim, le premier d’entre eux sera de trouver un nouveau coach pour la réserve…