- - - Gilson |
Bressan - - - |
| Ă‚ge | 21 |
| Nationalité |   Brésilien |
| valeur | 44-51M€ |
| Salaire | 231k€/m |
| Fin de contrat | 30 Juin 2035 |
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Titulaire |  |
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| ANNEES | CLUB | APP | Buts | Assist | ||||
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27/28 |  |
[PRO] |  |
Real Valladolid CF | 13(9) | 1 | 6 |
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28/29 |  |
[PRO] | |
Real Valladolid CF | 31(4) | 5 | 9 |
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29/30 | |
[PRO] | |
Real Valladolid CF | 43(6) | 6 | 12 |
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30/31 | |
[PRO] | |
Real Valladolid CF | 21(1) | 5 | 8 |
| 27-31 | TOTAL - - - - - - - - - - | 128 | 17 | 35 |
Membre clé du Real Valladolid depuis trois saisons et demi, Gilson (21 ans) semble atteindre sa plenitude cette saison avec ce début de saison où il est omniprésent dans les performances de son club. Dribbleur, provocateur, le jeune latéral n’est pas sans rappeler la folie de ses ainés Roberto Carlos et Marcelo. Retour en six anecdotes sur l’ancien de Sao Paulo.
Né au Portugal, élevé au Brésil
Gilson, le jeune latéral prometteur de 21 ans de Valladolid, est né sur l’île portugaise de Madère, mais ses premières années de vie ont été marquées par un déménagement au Brésil. Ses parents, en quête de meilleures opportunités, ont choisi Rio de Janeiro comme leur nouvelle demeure. C’est là , dans les favelas vibrantes et les terrains de football poussiéreux de la ville, que Gilson a découvert sa passion pour le ballon rond. L’influence culturelle de ses racines madériennes, combinée avec l’énergie et la passion du football brésilien, ont forgé son caractère et son style de jeu unique.
Il est surnommé « le Roberto Carlos de Madère »
Doté d’une vitesse fulgurante, d’une frappe puissante et d’une incroyable endurance, Gilson a rapidement attiré l’attention des scouts de football. Son style de jeu offensif, couplé à une défense rigoureuse, lui a valu le surnom de « Roberto Carlos de Madère ». Comme son célèbre prédécesseur, Gilson est capable de transformer une simple montée sur l’aile en une menace offensive sérieuse, en envoyant des centres précis ou en tirant directement au but avec une force impressionnante. Ce surnom est non seulement un hommage à ses compétences, mais aussi une lourde responsabilité qu’il porte avec fierté.
Un ailier repositionné latéral offensif
Au début de sa carrière, Gilson jouait comme ailier droit, utilisant sa vitesse et son habileté pour déborder les défenseurs adverses. Cependant, lors de son arrivée à Valladolid, l’entraîneur Anibal Guimarães a vu en lui le potentiel d’un latéral offensif. La décision de le reconvertir a été un pari risqué, mais elle s’est révélée payante. Sous la tutelle d’Anibal, Gilson a non seulement appris à renforcer sa défense, mais a également amélioré ses contributions offensives, inscrivant 18 buts et délivrant 35 passes décisives en 126 matchs. Cette transformation a été cruciale dans l’ascension de Valladolid et a solidifié la réputation de Gilson comme l’un des meilleurs jeunes talents de sa génération.
Fan absolu de Cafu
Grandissant à Rio de Janeiro, Gilson a toujours admiré les grands latéraux brésiliens, mais aucun n’a eu un impact aussi profond sur lui que Cafu. Fan absolu de l’ancien capitaine de la Seleção, Gilson a passé des heures à étudier ses matchs, essayant de reproduire ses courses infatigables, sa précision dans les passes et son leadership sur le terrain. Cafu représente pour Gilson l’incarnation parfaite du latéral, capable de défendre avec vigueur tout en apportant une contribution significative à l’attaque. Cette admiration a influencé chaque aspect de son jeu, inspirant son rêve de suivre les traces de son idole.
Devait signer au Real Madrid
Le talent de Gilson n’est pas passé inaperçu, et à l’âge de 18 ans, il était sur le point de rejoindre le Real Madrid. Cependant, une intervention décisive de Ronaldo, le légendaire attaquant brésilien et propriétaire du Real Valladolid, a changé la donne. Ronaldo a su utiliser son charisme et sa vision du football pour convaincre Gilson que Valladolid serait l’endroit idéal pour son développement. Promettant un temps de jeu régulier et une progression plus rapide, Ronaldo a réussi à persuader le jeune prodige de signer avec Valladolid, où il a depuis brillé et grandi sous les feux des projecteurs.
Rêve de jouer pour la Seleção brésilienne
Malgré son succès en club, Gilson nourrit un rêve plus grand : représenter le Brésil sur la scène internationale. Inspiré par les exploits de ses héros d’enfance comme Cafu et Roberto Carlos, il aspire à revêtir la célèbre tunique jaune de la Seleção. Chaque match qu’il joue pour Valladolid est un pas de plus vers cet objectif, chaque course sur l’aile est une déclaration de son ambition. Avec sa détermination et ses performances impressionnantes, Gilson est convaincu que ce rêve deviendra bientôt une réalité, et il travaille sans relâche pour prouver qu’il mérite sa place parmi les géants du football brésilien.