Réponses aux lecteurs
Petit bonus les copains.
@CaptainAmericka un peu plus d’un quart du championnat et certains clubs déjà bien en deça de leurs objectifs. C’est fatal à certains. Bon j’avoue que le licenciement d’Amorim m’a fait rire tant je pensais pas qu’il sauterais si vite
@Raspou On va voir comment ça tourne, notamment du côté de Seville et de l’Atletico. Mais on va aussi faire gaffe au Alavès, Villarreal, Real Sociedad qui sont les vrais rivaux. La quatrième place ce serait beau !
@VertPourToujours Clairement j’ai bandé comme un poney A voir si le choc mental a lieu dans ces clubs.


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EstevĂŁo - - - |
Âge | 22 |
Nationalité | ![]() ![]() |
valeur | 44-51M€ |
Salaire | 258 k€/m |
Fin de contrat | 30 Juin 2033 |
ANNEES | CLUB | APP | Buts | Assist | ||||
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27/29 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Real Valladolid CF | 41 (3) | 17 | 6 |
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27/29 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Real Valladolid CF | 28 (2) | 7 | 9 |
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27/29 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Real Valladolid CF | 12 (2) | 8 | 1 |
27-29 | TOTAL - - - - - - - - - - | 88 | 32 | 16 |
Membre clé du Real Valladolid depuis deux saisons et demi, Estevão (22 ans) semble atteindre sa plenitude cette saison avec ce début de saison où il est omniprésent dans les performances de son club. Dribbleur, provocateur, le jeune ailier n’est pas sans rappeler la folie de ses ainés Ronaldinho et Neymar. Retour en cinq anecdotes sur l’ancien de Palmeiras.
Très convoité depuis l’enfance
Si Estevão fait beaucoup parler de lui sur les mercato c’est surtout chez les équipementier qu’il a fait chavirer les coeurs. Le jeune brésilien n’a pas 10 ans que ses arabesques affolent déjà Nike, Adidas, Puma ou New Balance. Si la famille du joueur profite de cette guerre pour équiper tout son quartier de chaussures, tibia et autres short ou maillot, le joueur ne parvient pas à choisir. C’est finalement avec Nike que le jeune joueur va s’engager. Il se dit qu’un entrainement privé avec Neymar et Ronaldinho a fait craquer la jeune star. A l’époque le contrat est fou. On parle de 25M€ sur 10 ans avec des jalons selon sa progression.
Il est surnommé « Messinho »
Surnommé « Messinho », le « petit Messi » en français, le jeune brésilien, qui vient de fêter son 22e anniversaire, tient son surnom du légendaire argentin Leo Messi. Ce surnom le suit depuis l’enfance à cause de son style de jeu à l’époque. Pour autant s’il fallait citer des légendes pour le définir on serait plus proches de ses ainés Ronaldinho et Neymar. Les dribbles d’Estêvão sont imprévisibles. Chaque fois qu’il reçoit le ballon, il fait quelque chose de différent. Ce niveau de variance crée de l’incertitude pour les défenseurs comme rarement. Son capitaine à Valladolid Barrachina dira qu’il est ravi de l’avoir dans ses rangs tant il humilie ses coéquipiers à l’entrainement.
Son niveau technique et de dribbles lui permettent d’avoir une excellente conservation du ballon. Estêvão juge souvent parfaitement la distance à parcourir avec le ballon et a une bonne vision de l’espace autour de lui, s’il y a une possibilité de passe, il la trouve ou il s’engouffre dans l’espace et déroute ses adversaires avec son génie tel ses prédécesseurs.
Il rêve de jouer… au Barça
Dans une interview accordée au Mundo Deportivo , Estevão Willian a évoqué dans sa jeunesse son rêve de jouer au Barça : « Je regarde presque tous les matches du Barça, je suis fan du club. J’ai une grande admiration pour les joueurs qui y jouent et j’espère y être aussi. Jouer pour Barcelone, qui est l’un des meilleurs clubs du monde est mon plus grand rêve. Je suis né en regardant Neymar Messi et Suarez jouer à Barcelone. C’est mon rêve. » Si tout le monde connait l’admiration d’Estevão pour le club blaugrana, il n’en est pas proche à ce jour. Son avenir semble se situer en Angleterre qui le courtise assidument depuis des mois. Mais sa carrière est loin d’en être terminés, alors qui sait ?
Le prochain « angel di Maria » ?
Bien qu’il ait longtemps été surnommé le « Messi brésilien », il serait plus approprié de le comparer à Angel Di Maria, le coéquipier de longue date de l’icône argentine en équipe nationale. Tous deux ont en commun une capacité exceptionnelle à porter le ballon, des pieds gauches semblables à des baguettes, ainsi qu’un vaste répertoire d’astuces, et tous deux s’épanouissent en pénétrant sur les flancs et en faisant des ravages dans les zones centrales. Sa puissance de frappe à 25m est un autre élément chirurgicale qui rappelle son ainé.
Estevao a déjà démontré son aptitude à dribbler avec le ballon et à garder l’équilibre pour décocher une frappe puissante, ce qui a fait la renommée de Di Maria à l’époque de sa splendeur. Estevao décrit lui-même son style de jeu : « Je peux jouer à droite, mais je me sens plus à l’aise au milieu, je suis plus proche de la surface, je peux tourner à gauche, à droite et c’est l’endroit où je me sens le plus libre », a-t-il déclaré à Mundo Deportivo.
À l’origine d’une guerre entre Cruzeiro et Palmeiras
Alors que le Brésil était jusque là épargné par les guerres dans les centres de formation. Tout vola en éclats suite au non respect du pacte de non agression entre Palmeiras et Cruzeiro. Historiquement en effet, les clubs brésiliens ont pour coutumes de ne pas chiper un jeune joueur dans le centre de formation d’un club domestique. Toutefois en 2021 alors que le joueur fête ses 14 ans, la nouvelle fait rage. Son contrat stagiaire fait mention de Palmeiras et non de Cruzeiro. Si le verdão annoncera avoir signé le joueur libre, on apprendra par la suite que le père du joueur a touché de l’argent pour faire signer son fils. Depuis lors les deux clubs se vouent une guerre sans merci à chaque occasion.