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Acto final
Les spécialistes espagnols disaient que les blessures ne pouvaient jamais l’arrêter. Mais à trente-sept ans, Ruben Castro est contraint d’arrêter sa carrière.
Une page du football espagnol se tourne. Bien qu’ayant été en proie à des affaires de violences conjugales, c’est un grand attaquant espagnol qui quitte les terrains. Un 10 septembre 2018, lors de la confrontation Las Palmas - Lugo, Castro est taclé sévèrement. Le public se lève, se dresse contre le joueur adverse, l’injure, le condamne. Castro ne se relèvera pas. Verdict des examens : rupture des ligaments croisés du genou droit, neuf mois. Il se soignera, mais les médecins se montreront sceptiques quant à son retour sur les terrains de haut niveau, au risque évident d’aggraver sa santé.
C’est dans un climat d’inquiétude que l’attaquant espagnol prend la parole, quelques jours après son opération. “Nous avons pris une décision collective quant à mon futur atour de mon état de santé, avec ma famille, le coach et les médecins. Il me semble fou de continuer dans le football en tant que joueur. C’est impossible que je puisse me relancer avec mon âge avancé. Je tiens à présenter mes excuses aux supporters, qui m’ont donné une incommensurable confiance et au coach et à mes coéquipiers, de les abandonner si tôt dans la saison. Mais j’ai décidé de raccrocher.”
Ce n’est sûrement pas la fin que Castro aurait souhaité…
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Dimisiòn
4 novembre 2018 - L’entraîneur du Betis démissionne !
C’est dans un climat serein et totalement calme que l’entraîneur du Real Betis annonce au soir de la victoire 3-1 face à Leganés sa démission d’entraîneur principal de l’équipe première.
De nombreuses rumeurs couraient autour de Quique Setién, principalement le fait d’être en complet désaccord avec ses dirigeants, lesquels critquaient le faible apport des recrues par rapport à l’argent investi.
Quique Setién, lui, n’avait pas la même vision des objectifs, privilégiant la Coupe d’Europe plutôt que le championnat, ce qui a « toujours été contraire à la philosophie du Betis » selon les dires des dirigeants.
Bref, la situation n’était visiblement pas au beau-fixe, ce que le club confirme via un communiqué :
L’institution du Real Betis a été clairement déçue du comportement de son coach principal et la fait le nécessaire pour se sortir de cette situation. Le club remercie les supporters pour leur patience, et les responsables vont derechef se consacrer à la recherche d’un nouvel entraîneur.
Relation (très) conflictuelle…
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un suédois au bétis ? De mémoire il avait réussi à Leeds, Barcelone et Helsingborg c’est une valeur sur 
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Ou peut-être n’est-ce juste qu’un petit clin d’œil… 