Je veux voir ça dans cette story!
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@Manthyz Ta proposition n°3 semble être la plus proche de la réalité à vrai dire… Tu m’as tué 
@alexgavi Oui, l’équipe s’est bien reprise et la remontée au classement correspond déjà un peu plus avec les ambitions du club. Le Barça c’est de l’eau 
@Rhino Oui, encore quelques efforts !
@toopil Oups, désolé, j’suis tombé sur la sextape et je l’ai supprimé direct 
(Enfin, avant j’ai regardé pour voir comment il faisait lui 
)
Chapitre 41 : Sur le ring.
Ad s’était redressé, prêt à entamer une discussion qui s’annonçait longue et pesante. “En effet, Luciano n’était pas dans le groupe aujourd’hui et c’est un choix volontaire de ma part. ” commença l’entraîneur. “Luciano est un jeune garçon très intelligent, intéressant et déterminé. Il a ce côté timide et réservé que j’adore car il fait de lui un gros bosseur. Il ne lésine pas sur les efforts durant les séances et reste souvent après l’entraînement à perfectionner ses gestes. ” Il marqua une pause. La salle était silencieuse et tous les journalistes retenaient leur souffle, accrochés aux moindres mots qui sortaient de la bouche du coach du Real Hispalis. Après un court instant, il reprit. “Mais il faut savoir que son adaptation est plus difficile que prévu. Arriver si jeune dans un nouveau pays, loin de sa famille et s’acclimater à un nouveau championnat demande du temps. Il ne faut pas brûler les étapes car c’est prendre un risque de lui faire perdre ses moyens. ”
Une main discrète s’éleva dans la foule. “Mais comment expliquez-vous qu’il ai fait de bonnes entrées en jeu si peu de temps après son arrivée dans ce cas ? Qu’est-ce qui s’est passé après le match face à Girona, où il a commencé titulaire ? ” La femme qui venait de poser cette question s’immobilisa, comme si elle avait peur d’avoir posé une question qui dérange.
Sentant son interlocutrice déstabilisée, Ad se montra rassurant dans sa réponse. “En effet, ses premières apparitions ont été très bonnes et pleines de promesses. Il a d’ailleurs marqué ses premiers buts et offert ses premières passes décisives en sortant du banc à chaque fois. Pour autant, Luciano arrive dans une équipe rodée avec des automatismes et des joueurs qui se connaissent et il doit réussir à adapter son style de jeu aux joueurs qui l’entourent. ”
“Voulez-vous dire qu’il doit se brider et laisser son talent de dribbleur et son insouciance de côté ? ” coupa un journaliste juste devant lui.
“Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, s’il vous plaît. ” trancha sèchement le français. “Quand on regarde ces entrées en jeu, si ses transitions offensives sont très bonnes, on remarque aussi un grand nombre de pertes de balle évitables. Il a certes fait énormément de différences avec le ballon mais il y a quelques mauvais choix qui lui font défaut et qu’il doit réussir à gommer. Il reste jeune, je le répète, il doit donc apprendre aux côtés de joueurs beaucoup plus expérimentés. ”
“Mais vous vous plaignez d’avoir perdu Luiz Henrique, qui était réputé pour ses dribbles et ses accélérations fulgurantes. Vous dénichez ce qui semble être un des plus grands futurs talents d’Uruguay et pour autant, cela ne vous convient pas ? ”
Les questions s’enchaînaient telles un match de boxe ou les deux combattants se répondaient sans relâche. Chaque question, chaque réponse, ressemblait à un nouveau coup donné, de plus en plus fort. Personne ne voulait abandonner et le combat s’éternisait.
“Je suis très heureux de l’arrivée de Luciano. Son profil est similaire à celui de Luiz que nous venons de perdre, et c’est ce que je voulais. Mais un nouveau joueur, peu importe qui il est, ne peut pas arriver et être titulaire d’entrée, comme s’il était présent au club depuis plusieurs saisons. Comme tout le monde ici, il doit gagner sa place et prouver. Mais comme je l’ai déjà dit, c’est quelqu’un qui aime travailler et il n’est pas du genre à baisser les bras. ”
Une nouvelle question fusa immédiatement. “Est-il bien intégré au club ? Certaines rumeurs laissent penser que le noyau dur du groupe le laisserait quelque peu à l’écart ? ”
“C’est du grand n’importe quoi ! ” aboya Ad. Il s’arrêta, avant de se rendre compte que sa réaction trahissait une certaine frustration suite à cette question. Il respira un grand coup avant de reprendre calmement. “Je ne sais pas d’où vous tenez ces infos mais elles sont totalement erronées. Luciano s’intègre très bien à l’équipe, et même s’il lui faut un peu plus de temps que certains, personne n’est mis à l’écart dans mon groupe. ”
“Pourquoi l’avoir écarté du groupe juste après avoir demandé une analyse vidéo poussée du match face à Girona où il a débuté titulaire ? Tout le monde a bien vu qu’il semblait perdu et il est très facile de faire le lien entre votre requête puis votre décision. Qu’avez-vous vu qui vous a poussé à l’écarter aujourd’hui ? ” Cette question provenait de la même femme qui avait paru toute timide toute à l’heure. Elle semblait bien cacher son jeu selon Ad.
“Il est normal que je demande des analyses vidéos des rencontres pour corriger ce qui doit l’être. Et ça ne concernait pas uniquement Luciano mais toute l’équipe dans l’ensemble. Cette analyse m’a permis de voir ce que l’on avait fait de bien ou non. Je constate que pour le moment, Luciano est un joueur plus efficace en sortie de banc plutôt que lorsqu’il débute un match, voilà tout. Sa non convocation d’aujourd’hui n’est en rien une sanction. ”
“Mais que pouvez-vous répondre aux supporters qui s’offusquent de votre choix d’écarter un joueur qui peut faire des différences à n’importe quel moment ? C’est ce qu’ils aiment : des joueurs fantasques et créatifs, capables d’un coup de génie à tout moment. ”
“Le résultat d’aujourd’hui a prouvé que j’avais fait les bons choix. Rodri, qui est lui aussi un joueur fantasque, a parfaitement répondu présent. Nous avons de nombreux joueurs créatifs comme Isco, Fékir, Abde, Rodri, Fornals et beaucoup d’autres. Ça serait leur manquer de respect en disant le contraire. Luciano aura de nouveau sa chance. A lui de la saisir quand celle-ci se présentera. ”
Silence dans la salle, seul le bruit des touches des claviers d’ordinateurs retentissait. Ad en profita pour conclure. “Si vous n’avez plus de questions, je vous souhaite une bonne soirée. Et s’il vous plaît, ne déformez aucun de mes propos. Sinon je me ferai une joie de corriger certaines choses. ”. Et il se leva et quitta la salle. Il venait d’asséner le coup de grâce et de remporter le match par KO. Plus personne ne se releva et il sortit de la salle en vainqueur.
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Tout simplement ! Beaucoup de battage médiatique pour pas grande chose 
Il parait logique que le joueur ait été mis en courant préalable, d’autant que c’est aussi pour son intérêt 
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@alexgavi Dès qu’on peut mettre un petit grain de sable pour contrarier et faire le buzz… 
Chapitre 42 : Le choc en Europa League.
“Même lorsque les résultats sont positifs, il y a toujours un problème qui doit être soulevé, balancé sur le tapis… Comme si les journalistes ne se nourrissaient que de ça ! Je savais que ça se passait comme ça en France, mais je pensais qu’ici, les médias étaient un peu différents. Tout du moins avec les clubs comme le nôtre.” se lamenta Ad au téléphone.
“Tu sais très bien que le rôle d’un journaliste est de faire vendre du papier, de trouver la moindre faille même dans le meilleur des mondes. ” répondit son interlocuteur. “Il n’y a pas que le Real, Barcelone ou l’Atletico qui sont épiés dans leur moindre faits et gestes. Tous les clubs le sont, certains plus que d’autres certes, mais tous. Et puis toi, tu as l’inconvénient d’être le rookie cette saison. Tu sors de nul part, tu me remplaces et tu te débrouille pas si mal. Il faut bien te mettre dans l’inconfort pour voir ce que tu as dans le ventre. ”
“Merci du cadeau empoisonné Manuel, je ne vous remercie pas. ” plaisanta l’entraîneur français.
Manuel Pellegrini s’éclaircit la voix avant de répondre. “Concentre toi sur le football. Si tu te montres hermétique à tous ces affronts, ils verront en toi quelqu’un de fort et solide, que rien ni personne ne peut destabiliser. Continue de travailler et de faire progresser l’équipe, tu le fais très bien. Ne les laisse surtout pas t’atteindre et ils te laisseront tranquille avec le temps. Crois en mon expérience, je sais de quoi je parle. ”
Les conseils de son mentor étaient toujours les bienvenus, mais encore plus dans une période de doutes comme celle-ci. Ad avait fait le choix de l’appeler pour lui faire part de ce qu’il venait de vivre et lui demander conseil. Et il avait bien fait puisque cette discussion le rassura et renforca sa détermination à réussir. Le fait qu’il débarque de nul part faisait de lui la cible idéale dans ce monde. Mais il était bien déterminé à prouver qu’il était une personne capable de réussir. Il raccrocha et alla se coucher. Les prochaines échéances qui l’attendaient étaient d’une importance capitale, il se devait d’être en forme.
⅛ (aller)
:
-
L’une des choses à savoir sur cette compétition, et non des moindres, c’est que le club a décidé en début de saison de se passer des services de Nacho Ferri et donc, ne pas l’enregistrer pour l’Europa League. Une belle erreur quand on connait l’importance du jeune buteur qui prouve match après match…
Si sur le papier, cette rencontre semble équilibrée, il n’en est rien sur la pelouse ! L’atmosphère hostile imposée par les supporters bataves met sous pression les joueurs espagnols qui déjouent totalement et livrent une prestation insipide. Incapable de tenir le ballon, les Verdiblancos semblent tétaniser par l’enjeu, à l’image d’un Rui Silva complètement fautif sur les deux premiers buts encaissés de son équipe. D’abord sur une sortie trop présomptueuse qui le voit se faire lober par un De Jong malin (33’). Puis après une faute de main grossière après une reprise de la tête de l’attaquant hollandais, qui voit le ballon passer sous les jambes du portier portugais alors que ce dernier arrivait on ne peut plus lentement… (56’). Avec cet avantage, les joueurs de Peter Bosz ont tranquillement maitrisé la fin de rencontre et se sont même permis d’ajouter un troisième but par Hatate (71’), sans craindre une quelconque révolte de leurs adversaires. Mais en toute fin de rencontre, Ayoze Perez, sorti du banc quelques minutes plus tôt, est venu redonner un maigre espoir aux siens en réduisant le score (90+5’).
Une prestation qui met les joueurs du Real Hispalis en bien mauvaise posture avant le match retour qui s’annonce bouillant…
J28
:
-
Assomés par leur match livré au Pays-Bas, les Verdiblancos doivent absolument se faire pardonner et montrer un tout autre visage face à Getafe. La contre performance face au PSV a poussé Ad à faire des changements dans le 11 de départ : Sabaly, Bartra, Abner, Lepenant, Diao et Ferri sont propulsés titulaires mais surtout, Luciano Rodriguez est de retour dans le groupe et commence sur l’aile droite de l’attaque. Écarté du groupe face au PSV, l’ailier uruguayen revient par la grande porte ! Est-ce à cause des déceptions ou bien a t-il gagné sa place ?
La première période de ce match ne rentrera pas dans les annales du football espagnol et bon nombre de supporters auraient pu s’endormir ou quitter le stade. Mais ils auraient raté le spectacle que les 22 acteurs s’étaient gardé pour la deuxième mi-temps ! Ce sont d’abord les joueurs de Getafe qui ont ouvert le bal en marquant une première fois par Maksimovic (58’) puis quelques minutes plus tard par Jaime Mata (63’) pour porter leur avance à deux buts. A ce moment là du match, sur un coup de colère, Ad décide de faire ses 5 changements et fait entrer Fekir, Abde, Bellerin, Roca et Johnny pour tenter de dynamiser les choses. Le changement attendu a eu lieu par la suite puisque les remplaçants ont directement impacté le cours du match. Johnny a réduit la marque après un centre de Bellerin (67’) et en fin de match, c’est Nacho Ferri qui a encore sauvé la mise à ses partenaires en égalisant à bout portant après un nouveau centre de Bellerin, très en jambe ce soir-là (82’).
Un moindre mal ce partage de point tant le Real Hispalis a semblé encore perdu sur la pelouse. Un contraste saisissant avec les rencontres du mois dernier qui pousse Ad à réfléchir fortement avant le match retour face au PSV qui se profile.
⅛ (retour)
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L’avantage après une déconvenue comme celle du match aller, c’est que normalement, il n’est pas possible de faire pire. C’est là-dessus que l’entraîneur du Real Hispalis a axé sa causerie d’avant-match, pour libérer ses joueurs d’une certaine pression qu’ils pouvaient ressentir.
Ça a d’ailleurs fait son effet puisqu’après moins de dix minutes, les Espagnols menaient déjà au score et avaient presque refait leur retard grâce au but de Abde (7’). Toute la première période s’est résumée à une équipe du Real Hispalis qui a poussé pour inscrire un second but tandis que les joueurs du PSV faisaient le dos rond et attendaient les moindres brèches dans la défense pour piquer. Et c’est ce qui s’est passé juste avant le retour aux vestiaires car sur un corner obtenu après une contre-attaque éclair, Boscagli est venu placer un coup de tête destructeur sur corner pour égaliser (45+1’) dont les Verdiblancos ne s’en relèveront jamais. Car en seconde période, Chadi Riad est venu ruiner tout espoir de revenir au score en concédant un pénalty que Veerman ne s’est pas retenu de transformer pour alourdir le score (86’).
Un coup de grâce qui vient clore le chapitre Europa League pour Ad et ses hommes qui termine leur parcours en ⅛ ème de finale.
J29
Ce match était l’occasion de fêter les retrouvailles entre Aitor Ruibal et son ex-entraîneur, si le mot “fête” est exact. Il ne va pas sans rappeler que l’ailier espagnol est parti en mauvais termes avec son club après que celui-ci ai fait capoter son transfert en Arabie Saoudite. Il était d’ailleurs titulaire face à ses anciens coéquipiers. De son côté, après l’élimination logique en Europa League, le Real Hispalis devait se remettre la tête à l’endroit et tout faire pour aller décrocher cette place européenne qui est devenue le seul objectif du club pour cette fin de saison. Aussi, il fallait laver l’affront du match aller où Valencia avait largement disposé sans le moindre mal des Verdiblancos (3-1).
Piqués à vif, ils n’ont pas traîné pour montrer qu’ils avaient des choses à se faire pardonner en ouvrant le score très tôt grâce à Riad sur un corner tiré par Fekir, un schéma qui commence à devenir une routine désormais (4’). En face, des Valencians peu inspirés qui n’ont pas fait planer l’ombre d’un doute sur la cage de Rui Silva en première période. Cela s’est un peu plus équilibré au retour des vestiaires mais sans pour autant faire trembler les filets. Plus le match passait et plus les Verderones assiégeaient les cages d’un Mamardashvili peu à son aise, à l’image de son équipe. C’est en fin de match qu’en a profité Nacho Ferri, l’homme du moment, pour inscrire un nouveau doublé de la tête, sur deux centres des remplaçants Luciano Rodriguez (81’) et Ezequiel Avila (90+2’).
Avec cette victoire, le Real Hispalis revient à 2 points de son adversaire du jour, conforte un peu plus sa 6ème place et distance son poursuivant Bilbao de 5 pts.
Déçu de l’élimination en Coupe d’Europe, c’est un Ad timoré qui était assis à côté de sa femme sur le canapé de leur luxueuse maison. Il ne cessait de se repasser en boucle les deux défaites subies face au PSV et tentait tant bien que mal de comprendre pourquoi ça n’avait pas marché. L’équipe était-elle encore trop jeune ? Ou bien trop tendre et inexpérimentée ? Avait-il commis des erreurs dans ses choix ? Une chose est sûre, il ne s’était pas trompé en allant dénicher Nacho Ferri des jeunes de l’Eintracht Francfort et sa seule erreur à son sujet est d’avoir douté de ses capacités dans le monde professionnel.
Perdu dans ses pensées, Lucia le secoua pour le ramener à elle. “Oh, chéri, tu es avec moi ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu sors d’une belle victoire, tu devrais être content. ”
“Hein ? Oui oui, je le suis. ” répondit Ad, la tête encore dans les nuages. “Mais je suis frustré de ne pas avoir proposé le même contenu en Coupe d’Europe. Quand je vois ce que les gars sont capables de produire… ”
“Eh bien justement, sers toi en pour finir le championnat en beauté ! Car si tu veux rejouer des matchs de Coupe d’Europe, il va falloir encore fournir des efforts précieux comme aujourd’hui. La saison n’est pas terminée, tu peux encore réaliser de grandes choses ! ”
Car oui, si le chapitre de l’Europa League a fermé ses portes au Real Hispalis, le championnat bat son plein et la course aux places européennes est loin d’être terminée. Désormais, c’est sur ça qu’ils vont devoir se concentrer s’ils veulent regoûter aux joutes européennes dès la saison prochaine ! Et Ad en bien la ferme intention.
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Dur dur le PSV …
Au moins ça carbure face à Valencia
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Le soufflet est retombé et le drame est là contre le PSV 
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Période compliquée avec cette double défaite contre le PSV. On peut sonné, ton équipe a failli connaitre une belle déroute contre Alavès.
Heureusement, il y a la belle victoire contre Valence pour remonter le moral.
La sortie en Europa League permettra de se focaliser sur le championnat, pour finir en beauté
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je note une belle victoire contre Valencia en point positif c’est déjà ça.
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Dur dur, on sent que les résultats restent irréguliers
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On se remet la tête à l’endroit et on termine la saison en beauté coach
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Putain, pas en Europe, pas toi, pas maintenant…
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@celiavalencia En effet, dur dur… Du coup c’est Valence qui a prit toute la sauce
@Sythax Oui, excès de confiance ou prise à la légère des rencontres ?
@alexgavi Contre Getafe * Oui, heureusement que la victoire contre Valence remonte un peu le moral sinon ça aurait pu repartir de plus belle pour une période sombre… Au moins, il n’y aura plus d’excuses en championnat !
@Groot Oui, avec la manière ! Belle fessée ! 
@Tiien C’est le problème constant cette saison… Le manque de régularité !
@Rhino Avec seulement la , plus d’excuse !!
@toopil Pas après tout ce que j’ai fait… Je sais 
@Manthyz Wait & see Mon Seigneur !
Chapitre 43 : Mais qui es-tu Nacho Ferri ?
Un petit garçon né pour être grand.
Ignacio Ferri Julià est le vrai nom de Nacho Ferri. Ce grand gaillard d’1,92 m est né le 5 Octobre 2004 à Montaverner, une commune située dans la province de Valence. C’est dans le club de cette petite bourgade qu’il fait ses premiers pas dans le football et entre dans l’équipe en 2011-2012 après avoir écumé les terrains de football de l’école. Très vite, ce garçon très longiligne se démarque déjà par sa taille mais surtout par son agilité et sa capacité à vite s’orienter dans le sens du but et scorer. Il ne reste d’ailleurs qu’une seule saison dans son village natal avant de s’engager pour un autre club de la province mais un peu plus grand, le CF Ontinyent. Si les séniors évoluent à cette époque en 4ème division, les jeunes évoluent eux dans un championnat régional. Très jeune à cette époque, Nacho Ferri a toujours été surclassé durant ses années là-bas (2012-2017). Alors âgé de 13 ans, et évoluant avec les U15, il est repéré par le club de l’UD Alzira pour intégrer l’équipe U16 dès la saison suivante (2017-2018). Malgré l’écart d’âge entre ses adversaires et lui, le jeune buteur espagnol avait cette particularité de toujours se faire remarquer. Peu importe la catégorie, il se trouvait être toujours le plus grand de tous et sa différence de taille compensait celle de l’âge.
Entre sélection Espagnole et l’Allemagne.
Lors de la saison 2018-2019, Nacho Ferri, âgé de 14 ans, tape dans l’œil de la fédération Espagnole pour intégrer les U15. Mais pas que. L’Eintracht Francfort fait aussi partie des équipes ayant jeté son dévolu sur le jeune garçon. Seul problème, pour ses parents, Nacho Ferri est bien trop jeune pour quitter le pays et partir dans une région où il ne connaît personne, ne parle pas la langue et se retrouvera seul, trop vite, trop jeune. La famille Ferri décide de repousser les avances de l’équipe allemande pour qu’il se concentre sur ses études et continue de jouer proche de chez lui. C’est ce qui lui permettra de connaître ses 2 seules sélections avec les U15, à la fin de la saison.
Francfort et Ferri, la fusion.
Deux saisons plus tard, et alors que Nacho cartonne toujours autant avec son club (124 buts en 4 saisons), l’Eintracht Francfort revient à la charge et propose de l’enrôler pour évoluer en division régionale dans l’équipe II. Alors âgé de 17 ans et proche de la fin de ses études, le jeune espagnol réussit à convaincre ses parents d’accepter l’offre et leur promet de terminer ses études et d’obtenir son bac en échange. Pour plaider en faveur du buteur, le club allemand promet de l’inscrire dans un lycée international pour continuer à y suivre les cours en espagnol tout en lui payant des cours pour commencer à apprendre la langue.
Devant autant de marques d’affection, et surtout la volonté de Francfort, les parents acceptent. Ferri lui, se dit réjoui de s’approcher de son rêve de devenir professionnel et d’évoluer dans un club de l’envergure de l’Eintracht Francfort. Surtout, il garde en mémoire que malgré le refus 3 ans plus tôt, ils ne l’ont pas oublié et ont gardé un œil sur lui et ses performances. Alors pour lui, le choix était simple.
Des débuts canon.
Après une première année à osciller entre U19 et équipe II (il s’entraînait avec la réserve mais jouait les compétitions U19), Nacho Ferri a gagné le droit d’intégrer à part entière l’équipe II lors de la saison 2022-2023 et crève les écrans dès son arrivée ! Le géant buteur marque les esprits et impressionne ses adversaires. Bien que très puissant, il n’en reste pas moins un attaquant rapide, qui une fois lancé, est très difficile à arrêter. Surnommé le Deutscher Riese (géant allemand), Ferri enchaîne les bonnes prestations et termine la saison avec 26 buts en 33 rencontres de championnat régional. A tel point que Dino Toppmöller, l’entraîneur du groupe professionnel, décide de lui faire intégrer l’effectif de Bundesliga dès la saison suivante. Mais il n’est pas le seul à avoir observé le géant espagnol…
Un retour au pays.
En effet, en recherche d’un attaquant espagnol et prometteur, Ad a jeté son dévolu sur lui seulement quelques jours après son arrivée au club. Le français, peu connu des médias espagnols, savait qu’il prenait un risque en allant chercher un jeune buteur inconnu du grand public pour en faire son nouvel attaquant. Intégrer un tout jeune joueur dans un effectif rempli de stars comme celui du Real Hispalis est un pari risqué. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à laisser le jeune espagnol avec l’équipe réserve en tout début de saison, alors que le club rencontre quelques difficultés en attaque. Mais il n’hésite pas une seule seconde à le convoquer lors de la rencontre face au Rayo Vallecano alors que l’équipe patine en championnat et peine à décoller. Pour le scénario que vous connaissez : un doublé lors de ses 45 premières minutes en professionnel. Il n’a, depuis, plus quitté le groupe pro.
Entre explosion et déception.
Recrue surprise du nouvel entraîneur du Real Hispalis, Nacho Ferri étonne cette saison. Bien qu’il ne soit pas attendu, il est actuellement l’attaquant le plus prolifique du club avec 11 buts (seul Nabil Fekir fait mieux avec 12 buts). Pourtant, au contraire de presque tous ses coéquipiers, il est privé d’une compétition. En effet, par manque de place, Ad a dû choisir de ne pas inscrire certains joueurs en Europa League et le couperet est malheureusement tombé sur Nacho Ferri. Pression populaire ou choix stratégique ? On ne saura pas, mais ce qui est sûr, c’est que vu les prestations de l’Espagnol, Ad aurait mieux fait de réfléchir davantage à ce sujet. Car en championnat, récemment, son nom est celui qui revient en premier lorsque l’on parle du club. Auteur d’un mois de très haute facture, il est élu JOUEUR DU MOIS avec ses 5 buts inscrits en 3 rencontres.
On ne sait pas de quoi sera faite la fin de saison, mais le prêt de l’attaquant espagnol contient une option d’achat de 475 000€. Vu les prestations et l’acclimatation rapide du jeune homme, il serait surprenant que le club ne lève pas cette option. A moins d’un revirement de situation ou d’un changement majeur, qui sait ?
En tout cas, Ignacio Ferri Julià, dit Nacho Ferri, aura réussi à faire parler de lui. Arrivé sur la pointe des pieds, cet attaquant est en train de se faire un nom en Espagne. Peut-il devenir un grand buteur ? Seul l’avenir nous le dira. Mais avec un état d’esprit irréprochable et une détermination sans faille dont il a fait preuve jusqu’ici, nul doute qu’il a toutes les cartes en main pour briller. Et donner raison à son entraîneur d’avoir misé sur lui dès le départ.
Ad referma l’article qu’il venait de lire. "Tout est très juste, c’est du très bon travail. " pensa t-il. La mise en avant de son jeune joueur prouvait qu’il avait eu raison d’aller au bout de son idée. Il posa son téléphone puis ferma les yeux. Il pouvait s’endormir sereinement ce soir-là.
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Quand même con cette non inscription européenne. Erreur administrative ou le joueur avait été sous estimé en début de saison ?
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pas mal ce jeune espagnol geant !
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Il est pas mal du tout le Nacho Ferri.
IRL, il semble aussi montrer des qualités avec Kortrijk.
En championnat, c’est pas mal du tout pour une première saison. Cette élimination face au PSV me laisse par contre un peu perplexe.
Petite question : Que vaut Nobel Mendy dans ta partie ? IRL, on parle de lui à Anderlecht.
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Vus la clause d’achat et ses prestations sur le terrain, il ne fait aucun doute qu’elle sera activée 
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@Sythax Le joueur a été sous-estimé en début de saison (est-ce à cause de ça qu’il performe en championnat, comme pour prendre sa revanche ??). Surtout, je n’avais que 25 places et je devais avoir des joueurs formés au club/pays et j’ai dû faire des choix… Pas forcément les bons si tu veux mon avis
@celiavalencia Oui même s’il n’est pas promis à un brillant avenir, j’aime beaucoup le profil !
@Nehoc Content de te revoir parmi nous ! Oui je suis un peu ce qu’il fait IRL c’est pas si mal cette saison, même s’il doit mieux faire sur certaines occasions… Les joueurs ont livré un non-match face aux Hollandais. La pression ?
Nobel Mendy n’est pas fou fou. C’est un prêt dans la partie et il ne sera pas conservé.
@alexgavi C’est la tendance actuelle en tout cas dans les bureaux !
Chapitre 44 : Quelle surprise !
En cette fin Mars, il faisait doux ce matin à Séville et le soleil qui brillait dans le ciel réchauffait la peau lorsque l’on prenait le temps de s’arrêter et de profiter. Mais du temps, Ad n’en a pas. Toujours sur le qui-vive et auprès de ses joueurs, l’élimination de l’Europa League n’a pas brisé l’élan et la motivation de l’entraîneur à bien terminer cette première saison en Espagne. Toujours en lice pour une qualification européenne à la fin de saison, le français a su remobiliser ses troupes juste après la déconvenue face au PSV et a envoyé un message fort en battant Valencia sur le score de 3-0 : le Real Hispalis ne finira pas en roue libre et ira au bout de ses ambitions.
Plongé intensément dans la séance qu’il était en train de diriger, il ne prêtait aucune attention aux gens autour de lui. Dans ces moments-là, seuls ses joueurs et ses adjoints comptaient. Il se créait une bulle dans laquelle n’avait d’importance que le terrain. Corrigeant, démontrant et encourageant ses protégés à réussir, s’améliorer.
L’opposition actuelle était basée sur la transition offensive et la capacité à se projeter rapidement et surtout à plusieurs, vers l’avant. La volonté d’Ad sur ce thème est de parvenir à apporter le danger de n’importe où et lorsque l’adversaire est désorganisé, pour le prendre à défaut. Et l’action qu’il vit était exactement ce à quoi il s’attendait : sur une attaque placée de l’équipe bleue, Bellerin s’essaya à une passe dans le dos de la défense mais Abner intercepta le ballon et s’appuya immédiatement sur Diao devant lui. Le jeune espagnol accéléra sur le côté gauche, mêlant technique et puissance avant de trouver Isco en relais. Ce dernier, avec toute la vista qu’on lui connaît, donna à Lepenant en soutien qui lança en une touche Luciano Rodriguez sur sa droite. L’uruguayen, arrivé lancé, visa Nacho Ferri d’un centre millimétré qui n’eut plu qu’à envoyer un coup de tête pour marquer face à Rui Silva.
“Excellent les gars, c’est exactement ce que je veux voir ! L’action est parfaite ! ” s’écria Ad. “Allez les bleus, on y retourne ! A vous de mettre vos adversaires en difficulté à présent. Allez les gars ! ”
Toujours à fond dans ses encouragements, il ne vit pas Angel Haro arriver. Ce dernier dû s’y reprendre à deux fois pour sortir son entraîneur de sa bulle.
“Hola Coach, ¿cómo estás ? Difficile de vous interrompre durant votre séance à ce que je vois ? ”
“Rodolfo ! Tu peux prendre le relais por favor ? J’en ai pour 2 minutes? ” demanda Ad avant de se tourner vers son président. “Hola Señor, que puis-je faire pour vous ? ”
Angel Haro serra chaleureusement la main de son entraîneur, avec une lueur de fierté dans le regard.
“Absolument rien, je voulais vous féliciter et vous dire à quel point je suis fier de vous. ” répondit-il dans un sourire qui laissait apparaître des dents parfaitement blanches. “Je suis sûr que vous n’êtes pas au courant de la dernière nouvelle de ce matin ? ”
“Euh, non en effet… ” hésita Ad, étonné par la visite de son président. “C’est une mauvaise nouvelle ? ”
Angel Haro éclata d’un rire franc.
“Non, détendez-vous. J’ai eu le bonheur de recevoir ce matin une copie du classement des 50 joueurs les plus prometteurs dans le monde. D’habitude, nous ne recevons pas ce document car seuls les clubs ayant un joueur dans ce classement le reçoivent. Cette année, nous en avons un et nous sommes invités à participer à la cérémonie de remise des trophées à la fin du mois d’Avril. Le joueur concerné est Assane Diao qui se classe 25ème du classement NXGN 2024. ”
Surpris mais heureux, Ad détourna son regard un instant vers son jeune joueur. Toujours le sourire aux lèvres, la pépite espagnole avait cette particularité de toujours s’amuser lorsqu’il jouait au football. Il faisait preuve d’une insouciance que beaucoup appréciaient, notamment son coach, et cette légèreté qu’il avait sur le terrain lui permettait de se démarquer des autres. Il jouait pour le plaisir d’être avec ses amis.
“C’est exceptionnel. Merci Président d’être venu m’annoncer la nouvelle en personne. Ça lui fera plaisir. ”
“Je vous rejoins, c’est une vrai fierté pour tous au sein du club et vous n’y êtes pas pour rien. Alors, pour ce que ça vaut : toutes mes félicitations Ad. ” finit-il en serrant la main de son entraîneur une nouvelle fois avant de retourner vers les bureaux.
Ad attendit la fin de séance pour convoquer tout le monde et annoncer la nouvelle. Des applaudissements sincères et enthousiastes s’élevèrent du groupe et Diao fut porté en triomphe jusqu’aux vestiaires, riant aux éclats. La nouvelle n’avait fait que confirmer une chose aux yeux d’Ad : le groupe vit vraiment bien et prend plaisir à jouer ensemble. Les moments de doutes semblent désormais bien loin, pour le plus grand bonheur de l’entraîneur français.
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Top ! En même temps, il a fait de belles apparitions quand il a joué, il me semble.
Maintenant, le conserver sur le long terme sera une autre paire de manche
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Bien joué Assane !
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