Quel retournement de situation !
Mais où va aller Kevin Beane !
Ouh le virage 360° !!! J’aime beaucoup la tournure que ça prend mais où vas tu aller ? (Je me fais un petit pari avec moi même et je verrai si j’avais vu juste)
Retard rattrapé. Superbe saison ponctuée par le titre.
Top que tu continues, car ton récit est top !
Il y a de quoi être ambitieux avec l’arrivée de la nouvelle direction !
Bonjour à tous,
Merci pour vos retours.
En effet c’est un virage à 360° et vous n’êtes vraiment pas prêts.
J’avoue que cette storie non achevée me laisser un goût amer et avec le report.
J’ai me suis pris par la main pour avancer.
Donc me revoilà
A bientôt
Je m’appelle Léo Castis. Chaque matin, je me lève à 6 heures, non pas par obligation, mais par habitude. J’ai grandi dans une famille où la rigueur et l’organisation étaient des valeurs fondamentales, héritées de mon père sicilien et de ma mère espagnole. Ce cadre a façonné qui je suis aujourd’hui : méthodique, déterminé, passionné. Après un café rapide, je m’installe à mon bureau. C’est là que tout commence pour moi, entouré de livres de tactique et d’analyses.
Je n’ai jamais été destiné à une grande carrière de joueur, et je l’ai su très tôt. J’étais gardien de but dans une petite équipe de district. Solide, fiable, mais jamais extraordinaire. Je manquais de vitesse et de talent, et ça me convenait. Je n’ai jamais cherché à aller plus haut, car pour moi, le football est bien plus qu’un sport. C’est une manière de comprendre le monde. Sur le terrain, j’observais, j’apprenais. Chaque match était une opportunité d’étudier les tactiques, de décortiquer les systèmes de jeu. C’est ça qui me passionnait, bien plus que d’être sous les projecteurs.
Deux clubs m’ont toujours fasciné : Sunderland et le Paris FC. Leur histoire, leur lutte, leur résilience… Ces équipes me parlent profondément. Elles incarnent ce que je ressens pour le football : un sport où persévérance et stratégie sont la clé, bien plus que le talent brut. C’est cette approche qui me définit. Pas le plus talentueux, mais prêt à tout pour comprendre le jeu dans ses moindres détails et faire progresser mes équipes.
À 15 ans, un tournant important a eu lieu pour moi. Mes parents m’ont offert Football Manager. C’est là que j’ai découvert Kevin Beane. Ce nom ne vous dira peut-être rien, mais pour moi, il signifie tout. Kevin Beane est un entraîneur fictif que j’ai créé dans le jeu. À force de l’incarner et de le voir réussir, il est devenu bien plus qu’un simple personnage. Il est devenu une source d’inspiration, presque une figure à suivre. Beane était tout ce que je voulais être : un tacticien hors pair, capable de transformer n’importe quelle équipe. En tant que Léo Castis, je me suis mis à rêver à travers lui. Ce jeu, cette simulation, a cristallisé ma passion pour l’analyse tactique et l’organisation.
En parallèle de mes modestes années de joueur, je me suis immergé dans le coaching. J’ai étudié les grands entraîneurs, je me suis formé, et j’ai passé des heures à revoir des matchs. Le football est une énigme que je cherche à résoudre. Chaque matin, après ma routine, je me plonge dans l’analyse, les statistiques, les schémas tactiques. Mon approche du coaching est stricte : rigueur, analyse, persévérance. C’est ce que Kevin Beane m’a enseigné, et j’applique ces principes tous les jours.
En entraînant, je cherche à faire de chaque joueur un élément clé du puzzle. Mes séances sont intenses, exigeantes. Certains pourraient dire que je suis dur, mais mon objectif est clair : je veux que chaque joueur comprenne le jeu aussi bien que moi, qu’il anticipe, qu’il analyse. Le football est collectif, chaque pièce doit être à sa place. C’est ainsi que je conçois ce sport. Et chaque jour, je travaille pour y arriver.
Le football est ma passion, mon obsession. Et même si je me vois encore comme un entraîneur sans diplôme officiel, sans grande expérience, je sais que j’ai quelque chose à apporter. Parce que, comme Kevin Beane dans Football Manager, je crois profondément qu’avec les bonnes méthodes, tout est possible.
Après avoir obtenu un master en gestion du sport, j’ai pris la décision de me consacrer totalement au football. Le coaching est devenu mon obsession, avec l’idée d’amener les équipes que je guiderai à maximiser leur potentiel.
Aujourd’hui, je suis à la recherche d’un club, en France ou à l’étranger, où je pourrais amener ma passion, mon sens du détail et ma rigueur tactique pour faire évoluer l’équipe sur le long terme.
Merde, Leo Castis me fait penser à Giovanni Castaldi… Ca va être compliqué pour l’apprécier
Story Inception !
Tellement prenant que je me demande si c’est ta vraie vie ou une histoire sortie de ton imagination ?
En tout cas je reste bien assis à ma place pour suivre cette aventure qui s’annonce plus que passionnante
J’allais l’écrire, c’est Inception
Le diplôme ressemble à celui que j’ai : Management du Sport aussi
Bonjour,
Merci à tous pour vos retours.
Ravi de voir que la redaction vous plait…
Je vais continuer un peu en ce sens avant de rentrer dans la logique terrain.
A bientôt
La semaine dans mon entreprise de nettoyage commence toujours par une routine bien rodée. En tant que responsable marketing, mon rôle est essentiel pour faire connaître nos services et attirer de nouveaux clients.
Tous les matins, je me connecte pour analyser les performances de nos campagnes publicitaires en ligne. Je regarde de près les statistiques des réseaux sociaux, les clics sur nos publicités, et je prépare des rapports pour améliorer notre stratégie.
Après cette première analyse, je passe à la conception de nouveaux visuels pour nos brochures et flyers. L’idée est de rendre nos services attrayants, en mettant en avant notre efficacité et notre professionnalisme. Je coordonne avec l’équipe de vente pour être sûr que nous ciblons bien les entreprises locales et les particuliers susceptibles d’être intéressés par nos offres. Parfois, je dois aussi assister à des réunions avec des partenaires pour négocier de nouvelles collaborations.
Mais au fond de moi, j’attends toujours le samedi avec impatience. Pourquoi ? Parce que le samedi, c’est mon moment pour me plonger dans ma vraie passion : le football.
Même si je n’ai pas encore trouvé de poste dans ce milieu malgré mes nombreuses recherches, je continue de m’y consacrer par tous les moyens possibles. Et cela passe par l’analyse tactique des matchs que je publie sur mon blog.
Ce week-end, j’ai passé des heures à décortiquer un match à enjeu crucial : le barrage pour l’ascension en Ligue 1 entre le Paris FC et Rodez. Ce genre de confrontation est toujours fascinant pour moi car la tension est palpable et chaque détail compte.
Le match commence en trombe, avec le Paris FC qui prend l’avantage dès la 4e minute grâce à un but de Dicko. Une ouverture du score fulgurante, résultat d’un pressing haut et d’une erreur défensive exploitée à la perfection. Rodez, pourtant sous pression, reste calme et provoque un pénalty à la 8e minute, que Banger convertit avec sang-froid. Tout s’équilibre, et l’intensité du match monte d’un cran.
La deuxième mi-temps est plus tactique, les deux équipes serrent les lignes. Rodez joue avec prudence, attendant une erreur, tandis que le PFC tente de casser les lignes avec des passes rapides. À la 82e minute, Rodez trouve enfin l’ouverture avec Corredor qui, d’une frappe chirurgicale, trompe la défense parisienne. Un coup dur pour le Paris FC, mais ils ne baissent pas les bras.
C’est alors que Dabila surgit à la 97e minute, au bout du temps additionnel, pour marquer un but inespéré. Le stade explose, les prolongations sont une réalité, et tout est possible à ce moment-là.
Mais aux tirs au but, la pression est trop forte. Rodez garde son calme et s’impose 3-2, arrachant la victoire au PFC, qui voit son rêve de Ligue 1 s’effondrer. Ce sont ces moments dramatiques, où la psychologie joue autant que la tactique, qui rendent ce sport si captivant à analyser.
Après le match, je m’installe devant mon ordinateur, rassemblant mes notes. J’analyse chaque moment clé : la gestion des émotions des joueurs, les choix tactiques des entraîneurs, et surtout, les faiblesses exploitées par Rodez.
Pourquoi le PFC a-t-il semblé perdre de son mordant après l’heure de jeu ? Qu’est-ce qui a permis à Rodez de trouver ces espaces dans la défense ?
Chaque détail a son importance, et je m’efforce de les décortiquer dans mon article.
Une fois satisfait de mon analyse, je la publie sur mon blog. J’y ajoute quelques graphiques pour illustrer les moments critiques du match, espérant que mes lecteurs apprécieront cet éclairage tactique.
Mon rêve reste intact : un jour, je parviendrai à faire carrière dans le sport.
En attendant, chaque article est pour moi une nouvelle opportunité de me rapprocher de cet objectif.
Le marketing en semaine, le football le week-end : c’est ainsi que je continue d’allier mes compétences professionnelles à ma véritable passion, avec l’espoir qu’un jour, mes efforts finiront par payer.
Coup dur pour cette montée loupé.
Notre analyste semble avoir une double vie, espérons qu’il n’ai pas de bâche plastique qui traîne au garage sinon le récit va prendre une autre tournure ^^
Toujours à me demander si tout est vérité dans ce récit ou s’il y a du fictif ?
Un membre de l’organisation du Paris FC qui tombe sur le blog, ou un autre club intéressé par la finesse des analyses
C’est un matin comme un autre.
Mon café refroidit sur la table, et je suis là, devant mon ordinateur, à encore une fois peaufiner une énième lettre de motivation. Je suis à ce point où je pourrais probablement les rédiger les yeux fermés. Chaque mot pèse, chaque phrase est calculée, et pourtant, malgré toutes ces tentatives, l’issue est toujours la même : le silence.
L’envoi de candidatures est devenu une routine. Chaque semaine, je scanne les sites d’offres d’emploi, les réseaux, et je postule partout où je vois une opportunité dans le sport, ou même dans d’autres domaines liés. Marketing sportif, gestion d’équipe, analyste de performance… Je suis flexible, je m’adapte, j’accepte presque n’importe quelle mission qui pourrait me rapprocher du terrain de jeu. Mais après l’excitation d’une candidature bien envoyée, le vide s’installe. Un ou deux accusés de réception automatiques, si j’ai de la chance, et ensuite plus rien.
Il y a aussi ces quelques entretiens qui, au départ, redonnent espoir. Le premier appel d’un recruteur, les questions qui fusent et auxquelles je réponds avec sincérité, passion. "Parlez-nous de vous.
Pourquoi ce poste ?" Je donne tout.
J’explique ma passion pour le foot, mes projets personnels, ma capacité à faire des analyses pointues, ma formation en gestion du sport… *
Chaque fois, je m’accroche à l’idée que cette fois-ci, c’est peut-être la bonne.
Mais les réponses ne viennent jamais. Ou pire, ce sont des refus génériques : « Après examen de votre profil, nous avons décidé de donner suite à d’autres candidatures plus en adéquation avec notre recherche. » Plus en adéquation… C’est la phrase qui tue, celle qui reste dans la tête.
Puis il y a ce moment de doute où je me demande si c’est moi qui ne fais pas ce qu’il faut. Est-ce que je manque d’expérience ? Est-ce que ma passion ne suffit plus ? Est-ce que je devrais me tourner vers autre chose, lâcher ce rêve de travailler dans le sport ? Parce qu’à chaque refus, c’est un petit coup porté à ma motivation.
Mais au fond de moi, je sais que c’est ce que je veux faire.
Et c’est cette conviction qui me pousse à continuer. J’accepte les petits boulots en attendant : le nettoyage, des missions de marketing ici et là. Ça paye les factures, mais ce n’est pas ce qui me fait vibrer. Le samedi, je redeviens moi-même, je fais des analyses tactiques, je les poste sur mon blog, je continue d’espérer que quelqu’un finira par le remarquer, que mon travail finira par payer.
En attendant, je reste à guetter ma boîte mail, à envoyer encore et encore des CV, en croisant les doigts pour que le prochain soit peut-être celui qui fera la différence. Mais la réalité, c’est que la recherche d’emploi est souvent ingrate. L’attente, les espoirs déçus, et ce sentiment d’être invisible dans un monde où tout semble tourner trop vite pour te voir. Mais malgré tout ça, je continue. Parce qu’au final, je me dis que persévérer est ma seule option.
Le sport est une question de résilience, et pour l’instant, c’est le seul match que je joue.
Imagine, jamais il trouve de job la dedans ?
Une story sur la galère professionnelle d’un fan de foot …
Dur dur pour lui de trouver un poste
En effet, il faut tellement « rentrer dans les codes » pour espérer un mini-poste dans le monde du foot pro aujourd’hui, surtout en France… Certains talents qui proviennent du monde amateur ne pourront jamais éclater au grand jour à cause de ça…
Pour ma part, c’est pareil avec les femmes en ce moment
C’est exactement ça
Ne pas perdre espoir ! Je suis sûr que Léo va trouver prochainement un club
Bonjour à tous,
Après une (très) longue période de recherche, Léo va signer dans un nouveau club.
A très vite