:storyred: :intro: Eric Cantona, loin du Beach Soccer :s1: :milan:

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Blog de la fnac


Eric Cantona est né à Marseille, le 24 Mai 1966 et son destin a fait de lui l’un des meilleurs joueurs français de l’histoire a avoir foulé les pelouses de Premier League avant de se faire connaître d’un public moins mordu de ballon rond au travers de ses nombreux rôles dans des œuvres cinématographiques. Ses frasques en dehors des terrains, retentissantes, à l’image de ce high kick bien senti à un supporter anglais l’ayant traité de « sale français » n’ont pas empêché le frenchy d’être sacré champion d’Angleterre avec Leeds United puis quatre fois avec l’incontournable équipe des Red Devils emmenée par Sir Alex Ferguson. Cette partie de sa vie le fait entrer dans le club très fermé des joueurs de United ayant porté le légendaire n°7 de l’équipe au maillot rouge et au diablotin. Il est entré dans le cœur des supporters et a même été élu meilleur joueur de l’histoire du club et de Barclay’s Premier League via un sondage commandé par la banque sponsor de la plus illustre compétition anglaise. Avant d’écrire l’œuvre qui suscite notre intérêt, le Carnet Rouge et Noir, Eric the King n’avait qu’une légère expérience d’entraineur : il a essentiellement aidé à promouvoir ce sport mésestimé qu’est le football de plage puisqu’il reprend l’équipe de France de football de plage en 2005 et l’emmène jusqu’au sacre mondial en tant que sélectionneur-joueur.

Ses talents et ses diplômes, passés sous les conseils de Zinédine Zidane et Paolo Maldini, lui ont permis d’être intronisé à la tête de l’AC Milan le 10 Août 2019. Maldini, alors faisant partie intégrante de l’équipe dirigeante des Rossoneri était allé au clash par presse interposée avec Stefano Pioli, au sujet du budget alloué aux transferts pour la saison suivante. Pioli voulait en effet un large budget transfert afin de renforcer des postes clés sans prendre le risque de devoir seséparer de joueurs cadres. Au cours d’un mois terrible pour le sport italien, les deux fortes personnalités se sont affrontées par médias interposés, rendant l’ambiance houleuse au sein du club, les joueurs eux-mêmes ne sachant à quoi s’attendre de la part de leur entraîneur et de leurs dirigeants. Cette suite d’événement a conduit Maldini, légende du club, soutenue par le Président du club, Paolo Saroni à pousser l’entraineur en place à quitter son poste et ont intronisés Eric Cantona en tant que nouvelle entraineur du club. Cantona ajoute son nom à la liste des entraîneurs du Milan AC ayant été jouer au ballon rond durant leur carrière, comme Seedorf ou bien Gattuso. Il est arrivé au club avec une forte pression sur ses épaules, d’autant plus qu’il n’est pas un pur rouge et noir comme ses prédecesseurs.

Suite à l’écriture de ses pensées les plus libres dans son ouvrage « Mon carnet » publié chez Flammarion le 8 Novembre 2017, l’ex-entraineur, publie ce 30 Novembre 2029 son « Carnet rouge et noir » où il revient sur son expérience chez les Rossoneri, de manière assez libre, enchaînant tantôt entre les réflexions personnelles sur sa situation au sein du club, ses états-d’ âmes ainsi que ses relations avec les joueurs, ses tactiques ou encore sa stratégie et ses frasques en tout genre.

Pour la modeste somme de 13,99 €, vous vous plongerez dans l’esprit de l’un des plus grands joueurs de ce siècle et découvrirez tout de ses pensées, de l’intronisation du King sur l’un des plus illustres trônes d’Italie, jusqu’à la fin de sa carrière milanaise d’entraîneur.

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Communiqué de presse de Paolo Maldini :


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« Eric Cantona est un homme illustre, son glorieux passé en Angleterre ne l’empêchera pas de réussir ici en Italie, bien au contraire. J’ai confiance en lui, il a confiance en notre institution, qu’il place au centre de sa vision du football. Pour lui, rien n’est plus important que de redorer le blason du Milan AC, rien. Je m’en suis assuré personnellement et je le redis, il a toute ma confiance. Pioli ne l’avait plus, et ne l’aura plus jamais. Ses déclarations et ses attaques personnelles, notamment sur ma femme, sont une honte pour le football italien et nuisent à mon image et à l’intérêt de ma famille et mes enfants. Si je n’ai pas porté plainte, c’est en raison de la proportion qu’ont pris les choses pendant cette trentaines de jours que je qualifierai des plus difficiles de ma carrière et du ton qui est monté, tant dans la part des Ultras du Milan que de Pioli et bien évidemment de moi-même, qui ait laissé traîné les choses un bon mois avant de réagir. Aujourd’hui, Pioli n’existe plus à mes yeux, c’est triste mais c’est comme ça. Son seul mérite aura été de démissionner de son poste, sans réclamer d’indemnité, son attitude a été des plus dignes sur la fin. Dommage qu’elle ne l’ait pas été tout du long. Gloire à Milan ».
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CARNET ROUGE ET NOIR


MA PHILOSOPHIE


J’ai commencé à écrire ce carnet à mes début à la tête du Grand Milan, qui à l’époque de mon intronisation n’était encore qu’un petit Milan ensommeillé. J’ai du gérer la pression médiatique liée à la pression inhérente à mon intronisation après l’affaire Pioli. Au vu de mon amitié avec Maldini, il ne faisait aucun doute pour moi que mes relations avec Pioli allaient être difficiles, peu importe le club avec lequel il allait être engagé. Cela dit, j’étais arrivé au Milan AC avec des ambitions bien précises bien que peu originales, je l’avouais déjà sans mal à l’époque.

Mes dirigeants m’ont donné comme objectif de nous qualifier en Euro Cup, la nouvelle appellation post-moderne de l’Europa League. Ce nom est déjà bien plus appropriée, cette compétition se rapprochant plus d’une coupe que d’une ligue à proprement parler. Il était bien évidemment clair à mes yeux que mon objectif était de rétablir le club en Coupe des Champions dès que possible, c’est-à-dire dès la première saison, loin de la 6ème place que nous pronostiquaient les médias italiens. Vous savez déjà ce que je pense des médias italiens.

En coupe d’Italie, notre objectif était de parvenir en finale. Une tâche largement à nôtre portée si l’ensemble de l’effectif se mettait en ordre de marche rapidement.

Voici mes priorités en ce début de pré-saison 2019 qui aura vu ma carrière d’entraîneur prendre son envol :

  • Equilibrer et épurer les membres du staff technique, que ce soit en équipe de jeune, en réserve ou en équipe première.
  • Cibler les joueurs friables et qui ne m’apparaissent pas assez compétent ou en fin de carrière au sein de l’équipe première et faire appel à des joueurs de qualité au sein de l’équipe première.

Il est clair qu’à l’époque, je pensais que les dirigeants avaient fait de grossières erreurs de jugement, ils avaient vendu Piatek, qui ne demandait que de la confiance pour pouvoir briller, mais encore envoyer en prêts des joueurs cadres tels que Rodriguez, Silva ou Suso. Ce dernier représentant à mes yeux la plus grosse perte au sein de l’effectif, puisque j’avais pour préférence de faire évoluer mon 11 type avec un attaquant intérieur en attaque sur le côté droit.

A côté de cela, des joueurs ne méritaient plus leur place dans le Grand Milan que je souhaitais bâtir. Calhanoglu… quel gâchis, un joueur de si grand talent si irrégulier… dès ma première prise de contact avec le groupe, j’ai vu dans ses yeux qu’il n’avait pas le mental adéquat pour faire partie de cette équipe, malgré ses qualités techniques. Biglia, un leader. Je voulais le vendre et l’ai vendu. Sa fragilité physique ayant eu raison de son utilité à mes yeux, tout comme celle d’Andrea Conti. Saelaemakers : que dire de ce joueur si ce n’est qu’il ne méritait absolument pas son statut de titulaire régulier au sein de l’équipe et qu’il représentait un très mauvais investissement pour le club. Je n’irai pas jusqu’à critiquer Pioli, qui en avait fait une condition essentielle à sa venue, mais disons que son intelligence n’a d’égal que sa longévité au sein du club. Je comptais à l’époque également vendre Donnaruma, enfin le frère de Donnaruma, Antonio. Il a rejoint l’AEK Athènes.

Ma tâche s’annonçait au final bien plus périlleuse que je ne l’estimais à l’époque. C’était à moi de faire mentir les Dieux du Football (les médias, à la botte de la Juve en lieu de place de servir la Grande Botte). A l’instar d’une tragédie grecque, on prédisait au club l’enlisement lent et régulier dans le ventre-mou du championnat italien. Tous les journalistes et les supporters ennemis souhaitaient que le club, fragilisé et à l’agonie, meurt dans un bain de sang rouge et noir, un poignard porté dans les flancs de la bête Rossonera par une Vieille Dame aux aguêts.

But I’m against the gods.

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MA PHILOSOPHIE TACTIQUE



J’étais un attaquant. Même en tant qu’entraîneur, je le suis encore, et ce pour toujours.

Mon idée était d’installer un jeu basé sur des passes courtes de manière générale, avec un bloc équipe assez compacte. A l’intérieur de ma formation, les joueurs les plus créatifs avec des capacités de passes certaines seront chargés d’administrer des ballons longs à l’attaquant intérieur droit et à l’avant-centre. Ce travail de passe va commencer par la paire de défenseurs centraux, tous des relanceurs chargés de garder la possession de balle dans notre camp en cas de manque de solution offensive et de transmettre à des joueurs plus créatifs. Plus haut, le milieu défensif ne sera pas un meneur de jeu en retrait, pour autant, il devra avoir les qualités adéquates pour protéger tout le bloc défensif et relancer proprement le ballon directement sur les joueurs offensifs.

Pendant les phases de transition, le rôle le plus important sera jouer par le meneur de jeu avancé avec une tâche offensive qui sera le fer de lance des attaques, il sera lui aussi chargé de jouer long sur l’avant-centre ou l’attaquant intérieur droit et devra effectuer des percées au cœur de la défense tout en profitant des incursions au milieu de terrain de l’ailier intérieur gauche. Tout ce beau petit monde devra également être capable de tirer au but et de mettre une occasion au fond aussi souvent que possible. Enfin, l’avant-centre, en fonction de ses qualités jouera soit attaquant de pressing, soit attaquant en retrait soit attaquant complet, tous en tâche d’attaque.

Toute l’équipe sera chargé de défendre avec un pressing plus intensif. Ce qui nécessitait pour moi, à l’époque, de réduire au fur et au mesure de ma carrière au sein du club, les joueurs ayant une tendance particulière à se blesser. J’avais prévu également pour l’équipe un rythme de jeu assez rapide, afin de faciliter une transition fluide du ballon vers les zones dangereuses et marquer des buts rapidement, sans laisser le temps à l’adversaire le temps de se repositionner et profiter des appels d’airs laissés à mes attaquants. Passer dans les espaces sera alors inévitable.

Il nous fallait être imprévisibles, harceler l’adversaire et redonner espoir aux supporters du club de revoir un jour renaître ce géant d’Europe et ce, dès la première saison. Envoyer un signal fort à l’Europe, la faire trembler de nous revoir en Coupe des Champions. Voilà ma philosophie. J’appliquerai ceci à toutes mes formations, bien que la première organisation d’équipe sera un 41221 classique à 4 défenseurs, 1 milieu défensif et deux centraux, deux joueurs sur les ailes et un avant-centre. Nous partirons ensuite sur un bon vieux 4231 offensif des familles ainsi qu’une troisième tactique à 3 défenseurs, basé sur un jeu de contre-attaque rapides afin d’exploiter au mieux l’instinct de buteurs des deux attaquants de pointe. Autrement dit, cette tactique sera utilisée contre la bête noire du championnat les premières saisons : la Juventus.

Bien, il est maintenant temps de se plonger dans mon Carnet Rouge et Noir. Bonne lecture à toi, manant, signé

Eric the King.

Ps : Mon style d’écriture sera assez libre, il mélangera le commentaire que je ferai maintenant, avec le recul nécessaire, et les notes que j’avais prises à l’époque où j’avais commencé à rédiger ce carnet.

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MES PREMIERS PAS D’ENTRAÎNEUR


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Je n’aime pas que l’on me photographie. Le jour de mon arrivée, l’attaché de presse du club m’a pris en photo à la dérobée. Les médias m’ont reproché mon regard coléreux, de trop vouloir en faire avec ma veste noire et ma cravate rouge. Les juventini… Le dress-code nous a été imposé par les dirigeants, il fallait recréer une identité de marque au sein du club. L’institution s’était trop perdue dans les rachats successifs et l’essence même du club a été diluée dans des considérations qui n’ont pas leur place au sein du mythique Milan AC. Pourquoi un regard aussi dur ? Maldini me demandait si je comptais faire jouer son fils… il a failli suivre Pioli le pauvre.

Anecdote : Les trois maillots que l’on peut voir au fond sont ceux de Calhanoglu, Conti et Bonaventura. Ils finiront tous les trois par quitter le club lors du début de saison 2019.

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CE QUE JE PENSAIS DU MILAN AC

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Milan est l’une des plus illustres équipes d’Italie, j’ai déjà hâte de remporter les « derby della Madonina » contre le rival intériste. Les dirigeants m’ont fait un petit topo sur le club, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il fallait avoir des épaules assez larges pour supporter cet héritage immense :

• 18 titres de champion d’Italie, 5 Coupes d’Italie, 7 Supercoupes d’Italie, 7 Coupe des Champions…

• 1ère équipe à avoir remporté le Championnat d’Italie de football en étant invaincue (saison 1991-1992) sans compter l’exploit d’enchaîner 58 matches sans défaite en Serie A, un record toujours inégalé à ce jour.

• 3ème club le plus titré au monde avec 21 trophées internationaux : 1 Coupe du monde des clubs, 3 Coupes intercontinentales, 7 Coupe des Champions, 5 Supercoupes de l’UEFA (record européen), 2 Coupes d’Europe des vainqueurs de Coupe, 2 Coupes latines et 1 Coupe Mitropa. Le club lombard n’est actuellement devancé par le Real Madrid et le FC Barcelone.

• Milan a été 11 fois en finale de Ligue des champions (1958, 1963, 1969, 1989, 1990, 1993, 1994, 1995, 2003, 2005 et 2007) ce qui en fait la 2e équipe à en avoir le plus disputé et gagné, juste derrière le Real Madrid.

• Dans son traditionnel classement des meilleurs clubs du monde, l’IFFHS sacre l’AC Milan comme étant la première équipe ayant passé le plus grand nombre de mois (42) au sommet du football international, devant le FC Barcelone (40).

• Selon une enquête, l’équipe dirigée par Arrigo Sacchi lors de la saison 1989/1990, est couronnée comme étant la meilleure équipe de club de tous les temps dans l’histoire du football.

Tout ça, sans compter les anciennes gloires du club et les multiples ballon d’or qu’il a abrité.

Voilà le trône qu’occupait le King Eric à son arrivée, je n’avais plus qu’à dépoussiéré ce vieux fauteuil mal entretenu et asseoir une domination sans partage. Et pour cela, je pouvais compter sur mes nouveaux dirigeants, prêts à rendre au club son lustre d’antan, loin des déclarations de Madame Berlusconi et sa famille de corrompus : " nous voulons faire passer une idée forte. Les champions sont très importants. Mais, ils vont et viennent. Quel est le véritable emblème du club ? Le maillot. Et pour le supporter, il doit être plus important que le joueur phare du moment. La valeur de fond, c’est la marque ". Maldini, les dirigeants et moi-même nous sommes entretenus à l’époque. Il fallait mettre fin à cette gestion d’équipe digne d’une start-up prête à se vendre au moindre investisseur car elle a des actifs à vendre. Les dirigeants veulent mettre la main à la poche, retrouver la gloire passée du club et ce, sans délais. Silvio Berlusconi, à l’époque du Grand Milan, était un mécène généreux, prêt à mettre le prix pour attirer les meilleurs stars au sein du club et faire perdurer une génération de gagnants et de battants. Il était temps de retourner à cet âge d’or, plutôt que de voir le club se vautrer dans les ventes insipides de joueurs cadres afin d’éponger les dettes du club. Désormais, les dettes et autres dividendes aux actionnaires seront payés grâce aux succès du club sur le terrain et non sur un modèle d’achat/vente comme celui du FC Porto ou de Monaco post-Rybovlev… voyez où en était Monaco en 2019…

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LE RECRUTEMENT


Vente


Je m’étais séparé de beaucoup de joueurs, de manière à dégager suffisamment de liquidités afin d’en attirer de meilleurs et moins fragiles.
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52 millions d’euros environs dégagés par la vente de joueurs en fin de carrière, irréguliers ou sujets aux blessures ou les trois à la fois. Au final, pas besoin d’appeler au boycott des banques pour en mettre une au système ! Le budget salarial en est également substantiellement affecté puisque chacun de ces joueurs plafonnaient en moyenne à 5 millions d’euros par an.
Maintenant, venons-en à MES recrues, ceux que j’ai choisis (enfin dans la limite des budgets disponibles et des différents refus essuyés).
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LE RECRUTEMENT


Achat


KRISTOFFER AJER :

Voilà le nouvel homme fort du Milan AC, un joueur polyvalent et discipliné que j’apprécie tout particulièrement, il est jeune, dynamique et motivé, un véritable compétiteur. Sa polyvalence sera un atout en cas de blessure, utile en défense comme au milieu de terrain et ce, à tous les postes, il m’a impressionné dès son arrivée au club. A coup sûr le prochain capitaine ou vice-capitaine du club. Il aura une importance capitale dans la reconquête des premières places qualificatives pour la Coupe des Champions.

MARCOS LLORENTE :


Un prêt de deux ans, que dire de plus si ce n’est que c’est le milieu défensif technique parfait pour remplacer à faible coût Lucas Biglia et nous laisser une marge de manœuvre dans ce marché des transferts. Il sera en concurrence à son poste avec Ismaël Bennacer et pourra pallier sa tendance à se blesser.

ZEKI CELIK :


Venu tout droit de Ligue 1, de Lille plus précisément pour un prix relativement faible 11 millions d’euros payés en plusieurs tranches. Son gros salaire n’aura d’égale que sa présence sur le terrain, il vient remplacer numériquement Andrea Conti.

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THIAGO ALMADA :


Jeune joueur prometteur, payé pas plus de 2,5 millions d’euros grâce à un prêt à l’option levée immédiatement après son arrivée (ce joueur est à n’y rien comprendre, son agent et son club sont des incompétent, ils réclamaient beaucoup plus d’argent en transfert et en salaire, alors qu’en prêt ces prétentions baissaient drastiquement). Un futur crack qui peut dépanner autant au poste d’ailieur intérieur gauche qu’au poste de meneur de jeu avancé en doublure de Paquetà.

Marrony :


Il vient en rotation, en doublure de l’autre espagnol qui jouera Attaquant Intérieur gauche en Attaque… je ne parviens pas à me souvenir son nom mais il a une étrange crète blonde. Ah oui, Samuel Castilllejo, il va falloir qu’il parte un jour celui-là.

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NOAH KATTERBACH:


Je pensais recruter un joueur en prêt pour suppléer Diego Laxalt au poste de Latéral Gauche en attendant le retour de Lucas Hernandez… euh de Théo Hernandez son frère pardon… dommage. C’était sans compter sur le clash ayant opposé Noah à son entraîneur, l’ayant conduit sur la liste des transferts et à un prix tout à fait correct pour un espoir de son calibre malgré sa propension à se blesser. Il n’a pas intérêt à broncher avec moi.

MATIAS PALACIOS :


Un joueur méconnu, mais un grand espoir, très inspiré et au jeu de passe léché et technique. Il nous rejoindra la saison prochaine car il n’a que 17 ans. Un petit bonus en somme.

ACHATS TAPE A L’ŒIL :


ANDREA BELLOTTI :

Avec le départ de Piatek et le rôle vieillissant et le départ programmé du grand Zlatan, il nous fallait recruter un attaquant capable de mettre le maximum d’occasions au fond. C’est chose faite avec Andrea.

DOUGLAS COSTA :

En prêt, il nous rejoint pour faire le nombre, comme une recrue de luxe, un message fort aux supporters, on ne reculera devant rien pour revenir sur le devant de la scène. Un joueur clutch, un joker de luxe. Et des jambes extrêmement fragile. Il sera chouchouté.

Certains joueurs ont été sondés durant ce marché des transferts et notamment Jonathan Ikoné, que l’on aurait recruter en lieu et place de Marrony mais ses prétentions salariales étaient trop élevées et les négociations n’ont pas abouties. Enfin, Vinicius Junior, placé sur la liste des transferts ne rejoindra ni définitivement, ni en prêt le club alors qu’il était sur la liste des transferts et ce, en raison des places de joueurs extra communautaires déjà occupées cette saison. Si un budget se débloque en cours de saison et que l’occasion se représente, une nouvelle offre sera faite pour qu’il nous rejoigne définitivement la saison prochaine.

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Voilà le code de conduite du club, en accord avec la direction, nous avions délibérément choisis de le rendre plus sévère que celui iniatilement prévu.

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Voilà l’équipe-type que j’avais en tête dès le début de saison, mon petit doigt me disait à l’époque qu’Ante Rebic allait me fire m’arracher les cheveux… je ne sais pas, quelque part, je vois dans ses yeux le reflet de Calhanoglu, dommage qu’il soit venu ici en prêt, il serait reparti par le premier jet-privé en direction de Francfort. J’ai toujours eu le nez creux et je pense aussi que Castillejo ne tardera pas à céder sa place à Marrony, ce petit jeune qui en veux.
En dehors de ces considérations quelques peu inquiétantes, l’effectif semble pour le moins équillibré.
Dieu merci, Donnaruma sera notre ange-gardien en attendant que notre système défensif déploie ses ailes et protège le nid.

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Nos matchs amicaux se sont avérés prometteurs. En vérité, sans la pression inhérente au résultat, il est normal que les joueurs se mettent au diapason et veulent se montrer. Au vu de la faiblesse des équipes affrontées, l’objectif de la pré-saison n’était ni plus ni moins que de donner du liant à l’équipe et laisser l’équipe assimiler une nouvelle manière de jouer.
Autrement dit:

DEFAIRE LE TRAVAILLE DE STEFANO PIOLI

Comme vous pouvez le constater, le début du saison a été un véritable enfer, les joueurs n’ont été capables de rien, ils n’ont rien produit et les buts marqués tombaient littéralement du ciel. Aucune action véritablement construite et l’équipe se reposait énormément sur le talent individuel de Paqueta, de Ibra et… DOUGLAS COSTA.
  • Douglas Costa a été très performant très tôt… l’espace de deux matchs avant que SA FOUTUE MALADIE DES OS DE VERRE ne prenne le pas.
    J’ai été également très déçu par le rendement offensif de Belotti et comme prévu Rebic, qui n’a pas été le leader technique de l’équipe comme je m’y attendais.
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A partir du match avec la Fiorentina, l’équipe s’est enfin mobilisée pour porter le club en championnat.
L’effet des séances d’esprit d’équipe a porté ses fruits, leur cohésion s’est manifestée sur le terrain, le positionnement des joueurs ressemblait plus à une attaque de CRS bien organisée qu’à un attroupement de Gilets Jaunes épars.

Les succès se sont construits autour de buts cruciaux, Krunic, Kessié, Ibrahimovic, Paqueta, Belloti et Douglas Costa et Laxalt ont été les artificiers principaux en ce début de saison.

Le succès 2-0 contre l’Inter de Milan grâce à un coup franc magistral d’Ibra de loin et une frappe similaire de Kessié à l’entrée de la surface m’a permis de prendre l’avantage sur le rival intériste.

J’ai pris Rebic entre quatre yeux pour lui signifier qu’il n’avait ni le niveau en équipe première ni une implication suffisante à l’entraîment… sa première réaction a été de me snober. Une autre réaction comme celle-ci et il quittera définitivement le 11 de départ pour l’équipe réserve.

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Zlatan, meilleur buteur du club ce 8 Décembre 2019. Je lui ai d’ors et déjà proposer de créer un club de beach-volley dans laquelle il sera entraîneur-joueur lorsqu’il prendra sa retraite.
Franck Kessié est un leader au sein du terrain, sa vision du jeu pour un joueur aussi physique est un véritable atout au poste de milieu box to box
Lucas Paqueta est tellement bon cette saison qu’il est supervisé par Chelsea, buteur, passeur, meneur de jeu et un des premiers défenseurs au vu de ces stats défensives. La saison prochaine, il sera un pilier de l’équipe. Peut-être le nouveau Kàkà?
La paire Mussachio-Romagnoli en défense central est l’une des meilleurs paires de défenseurs du championnat. Alliés à un Donnaruma se reposant plus sur son talent naturel que son mental d’acier à un si jeune âge (très souvent nerveux), cette triplette défensive nous assure une défense d’acier et une relance très propre et efficace.
OBJECTIFS DE DEUXIEME PARTIE DE SAISON 2019/2020

Il s’agira tout d’abord de consolider nôtre deuxième place.

Il s’agira également de donner plus de temps de jeu à Marrony, Castillejo est vraiment décevant offensivement, pas assez créatif, pas assez efficace, pas assez intelligent et je pourrais continuer comme cela. Pourtant, loin d’être catastrophique, il est toujours moyen et je commence à perdre patience au vu du temps de jeu conséquent que je lui accorde.

Texte
Le KING EST MISÉRICORDIEUX, mais le KIng aime former les jeunes écuyers. Marrony à la place de Castillejo et Maldini pourrait bien creuser la tombe de Rebic (qui se montre cependant ponctuellement efficace). Rebic, en plus de son insolence, est une version plus mobile et moins intelligente et qui gagne moins bien sa vie que Mesut Özil à Arsenal. En défense central, les quelques fois où il a joué, Léo Duarte a été intraitable et s’est bien mieux distingué que Simon Kjaer, son partenaire plus expérimenté au poste de défenseur central. Gabbia n’a pas eu une minute à se mettre sous la dent. Vu que l’équipe est plus stable offensivement comme défensivement, il pourra prétendre à quelques matchs en équipe première.

Tenter de recruter Vinicius Junior pour la saison prochaine pourrait être un objectif majeur de la seconde partie de saison, nous on avons discuté avec la cellule de recrutement, son prix baisse à vu d’oeil sur le marché des transferts, les dirigeants madrilènes sont prêts à s’en séparer et je pourrai toujours donner un coup de fil à mon copain Zizou pour obtenir des facilités de paiement. 9 millions d’euros sur 23 à payer immédiatement et le reste en différé. Merci ZZ, mais je n’ai pas les fonds tout de suite. Mais ton offre rencontrera sûrement ma demande en cours de saison, en espérant que le PSG, à l’affût, ne nous le ravisse ppas au prochain Mercato.

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