:storyblue: :s12: đŸ‡”đŸ‡Ÿ Chilavert Will Never Walk Alone

SL Benfica : Vers le triplé sur la scÚne nationale ?

Alors que l’on se rapproche du terme de cette saison le SL Benfica est encore en lice dans toutes les compĂ©titions, combien de titres tomberont dans l’escarcelle de JosĂ©-Luis Chilavert.

Ce mois nous voit donc dĂ©marrer notre parcours par un dĂ©placement chez le petit poucet Leixoes. Une fois de plus le suspense ne fut guĂšre de la partie et nous nous sommes imposĂ©s aisĂ©ment 3-1 Honma, le fantasque japonais avait ouvert le score avant que Allione ne double la mise. C’est ensuite Fernando Santana qui a mis le troisiĂšme avant que Leixoes ne sauve l’honneur.

C’est ensuite l’Academica Coimbra qui s’est rendu chez nous. Cette fois le travail a vite Ă©tait fait. Les buts ayant Ă©tĂ© inscrits dans le premier quart d’heure. JosĂ© Antonio puis Armando Baptista ont permis a notre equipe de nous imposer une fois de plus.

LE match retour du Taça fut plus compliquĂ© puisque nous avons concĂ©dĂ© le nul 1-1, Armando avait ouvert le score avant que Thiago Silva n’égalise en toute fin de rencontre. Toutefois nous verrons donc la finale grĂące a notre victoire au match aller.

S’en est suivis une confrontation contre Vitoria. La aussi un nul, mais le titre Ă©tant dĂ©jĂ  jouĂ© nous avions bien fait tournĂ© car beaucoup de compĂ©titions sont encore possiblement gagnable.

AprÚs les matchs contre City et la finale de Coupe de la Ligue que vous découvrirez dans un ZOOM nous avons affronter Porto lors de la 29Úme journée de Championnat

Contre le FCP les hommes Ă©tait rincĂ©s mais on est toutefois toujours invaincu en championnat puisque nous avons ramenĂ© le nul. Grace a Witoszynki qui a rĂ©pondu par deux fois a Quintero puis a Deulofeu. Le moment jubilatoire de ce match fut la haie d’honneur que nous as fait le FC Porto.


SL Benfica : Pogba Justifie l’investissement consentis par le club lisboùte

Le Benfica et Chilavert doivent se rĂ©jouir d’avoir acceptĂ© de payer une fortune pour faire venir Paul Pogba, celui-ci leur a bien rendu en plaçant le club lusitanien Ă  un pied de la finale.

Un carton jaune pour Buric, l’autre pour Martial et un coup de genou dans le dos plus tard, nous voilĂ  revenu aux sombres heures des demi finales sans football. Maintenant que la Champion’s League retrouve le Benfica en demi finale, ce sont bien les Citizens et les Aguias qui se sont rendus coup pour coup lors de cette Demi-finale aller de la Champion’s League. D’ailleurs, s’il fallait retenir des faits de jeu durant les 45 premiĂšres minutes, on parlerait plus volontiers des fautes perpĂ©trĂ©es de part et d’autre plutĂŽt que du jeu, trop rarement prĂ©sent pour un choc de cette dimension. Mis Ă  part les coups bas, certains ont aussi pensĂ© Ă  en mettre dans le ballon, comme Witoszynki, Santana ou Pogba, Ă©blouissants de justesse et de percussion dans l’entrejeu et sur les ailes. C’est d’ailleurs le deuxiĂšme citĂ© qui a servi Pogba aprĂšs un travail fantastique pour que le français adresse une frappe contrĂ©e Ă  Joe Hart, anticipateur impuissant (1-0, 68e). Finalement, l’ouverture du score, qui ne paraissait pas forcĂ©ment logique au moment des faits, s’est rĂ©vĂ©lĂ©e l’ĂȘtre par la suite. Avec 70% de possession de balle, les lusitaniens ont globalement maĂźtrisĂ© les deux actes conclu avec quelques situations plutĂŽt en leur faveur. A noter tout de mĂȘme la formidable prĂ©sence de Carlos dans les buts, auteur de deux parades salvatrices sur les deux seuls tirs cadrĂ©s des Citizen sans grande inspiration


Witoszynki et Pogba, comme une Ă©vidence


 Et mĂȘme si la tĂȘte de Sakho juste au dessus des buts lusitaniens Ă  la reprise annonçait une volontĂ© diffĂ©rente de la part des hommes de JosĂ© Mourinho, la supĂ©rioritĂ© technique du Benfica a persistĂ©, comme lors de leurs prĂ©cĂ©dentes confrontations. ComplĂštement dĂ©passĂ©s Ă  la perte – trop rapide – du ballon, les visiteurs ont subi les assauts rĂ©pĂ©tĂ©s de Pogba au milieu de terrain. Comme en premiĂšre pĂ©riode, ceux qui ont d’abord pensĂ© Ă  jouer au football ont donnĂ© l’avantage Ă  leur Ă©quipe. D’une passe monstrueusement subtile, Facundo Witoszynki a envoyĂ© Pogba sur orbite. Le jeune formĂ© au Havre, sans moins de vista, a expĂ©diĂ© une dĂ©viation de l’extĂ©rieur du pied sous les bras de Hart qui a dĂ» s’incliner pour la deuxiĂšme fois de la soirĂ©e (2-0, 82e). En dessous techniquement, les citizens n’ont pas su rĂ©pondre au pressing trop important du Benfica, plus juste dans tous les secteurs de jeu. MenĂ©s par un Witoszynki des grands soirs (deux passes dĂ©cisives), le SLB Ă©tait intouchable. D’une tĂȘte puissante de Sakho sauvĂ©e sur sa ligne par Pogba, le Benfica s’est propulsĂ© vers l’avant avec une puissance bien Ă  lui. AprĂšs une interception aux 35 mĂštres, Pogba a lancĂ© Fierro dans l’axe qui a perdu le ballon au profit de son passeur. Sans se poser plus de questions, l’international français a tentĂ© sa chance. Encore une fois contrĂ©e, la frappe du français a failli trouvĂ© le chemin des filets ce qui aurait dĂ» dĂ©finitivement clore les dĂ©bats qui auront Ă©tĂ© dĂ©sĂ©quilibrĂ©s les trois quarts du temps. En toute logique et aprĂšs un match maĂźtrisĂ© de bout en bout, le Benfica pose une trĂšs sĂ©rieuse option sur la qualification en finale qu’il faudra aller chercher le 26 Avril prochain au City of Manchester Stadium.


SL Benfica : Premier Titre officiel pour le Benfica

Au terme d’un match haletant, le Benfica remporte sa 9e Coupe de la Ligue face au Maritimo Funchal (4-2). DĂ©jĂ  le 6Ăšme trophĂ©e pour JosĂ©-Luis Chilavert avec le club lusitanien en 3 ans.

AprÚs 2020, le Benfica remporte une nouvelle fois le Taça da Liga devant le Maritimo dans un match trÚs rythmé mais globalement dominé par les hommes de Chilavert. Déjà le sixiÚme trophée au passage pour le technicien guarani.

En accueillant le Maritimo ce soir Ă  l’Estadio da Luz, une Ă©quipe contre laquelle elle n’a perdu Ă  domicile depuis 2003, le Benfica savait s’il avait un trĂšs bon coup Ă  jouer dans cette finale. Une opportunitĂ© que les hommes de Chilavert n’ont pas manquĂ©e. Dans une trĂšs belle ambiance, les joueurs de la capitale l’ont emportĂ© sur le score de 4 buts Ă  2.

JosĂ© Campos a montrĂ© la voie Ă  suivre Ă  son Ă©quipe (20e) avant que Cristiano Ronaldo (45e), Santana (70e) et une nouvelle fois JosĂ© Campos (90e) ne corsent l’addition. silveyra et Thiabaut Peyre ont sauvĂ© l’honneur pour l’équipe de Roberto Di Lorenzo. Un match bien nĂ©gociĂ© par le Benfica et qui donne donc du piment Ă  la fin de saison des aguias.

« Il faut ĂȘtre ambitieux et regarder vers le haut. C’est la seule maniĂšre d’atteindre des objectifs Ă©levĂ©s », avait confiĂ© Chilavert avant la rencontre. Le discours du technicien guarani a semble-t-il Ă©tĂ© entendu. CĂŽtĂ© madĂšre, il s’agit d’une troisiĂšme dĂ©faite de suite aprĂšs une sĂ©rie d’invincibilitĂ© qui avait pourtant durĂ© 7 matches.


SL Benfica : PremiÚre finale européene depuis 2013 !

Au terme d’une rencontre plaisante et riche en buts (5-4), le Benfica a sorti Manchester City au stade des 1/2 finale de la Champion’s League au City of Manchester Stadium.

Benfica a Ă©liminĂ© Manchester City dans des demi finales dantesque au terme d’un match Ă  suspense qui a pourtant vu les Citizen s’imposer (5-4). Les Mancuniens menaient pourtant 3-0 aprĂšs 30 minutes, comme le week-end dernier en Premier League, avant un penalty de Paul Pogba Ă  la 88e minute.

Papy Ronaldo et les Baby Aguias

Benfica alignait une Ă©quipe trĂšs jeune pour cette redite du match de poule d’Octobre dernier (3-2) qui fut entachĂ© de dĂ©cisions arbitrales que l’on pourrait traiter de polĂ©miques si l’on manie bien l’euphĂ©misme. Une Ă©quipe jeune donc mais paradoxalement, une Ă©quipe trĂšs mature, qui n’a pas Ă  rougir (sans mauvais jeu de mot) de sa performance. Comment aurait-il pu ĂȘtre autrement avec un vĂ©tĂ©ran comme Ronaldo pour les encadrer. C’est pourtant la pĂ©pite française Anthony Martial qui ouvrira le score en profitant d’une erreur de Carlos (4e).

Loin de ces considĂ©rations statistiques, la rencontre se poursuivait. Et dix minutes plus tard (13e) Benfica obtenait un pĂ©nalty aprĂšs une faute de Digne sur Santana. Un pĂ©nalty ratĂ© par Paul Pogba. Ce ne sera ni le dernier ratĂ©, ni le dernier pĂ©nalty sifflĂ© dans cette folle rencontre. D’autant que Benfica se saborde quelques peu avant la pause. Martial en profite d’abord pour porter l’estocade (20e). A ce moment les Citizen commence a croire en leur destin. Et ce qui devait arriver arriva lorsque Berardi inscrivit le but du 3-0, celui du chaos pensait on.

En seconde pĂ©riode pourtant, un corner frappĂ© par Santana fait briller Witoszynki, auteur d’une reprise puissante et limpide de la tĂȘte dans la surface mancunienne. JosĂ© Antonio redonnera mĂȘme l’espoir au Benfica Ă  l’heure de jeu (60e). Fiorentina - Celtic nous avait dĂ©jĂ  fait le coup mardi soir, mais nous verrons encore des buts jusqu’à la derniĂšre minute du temps additionnel. Berardi redonne de l’avance sur pĂ©nalty avec une frappe du pied droit, en plein centre du but lusitanien. Carlos est transpercĂ©. Le tout, aprĂšs une charge de Buric sur Martial. Le Benfica assommĂ© tente alors de rebondir et c’est par une chance incroyable qu’il revient a 4-2 lorsque Mamadou Sakho capitaine depuis 5 ans des citizen reprend un coup franc anodin dans son but (83Ăšme). Le match devient alors encore plus fou lorsque l’arbitre dĂ©cide a la 88Ăšme de siffler un nouveau pĂ©nalty pour Benfica (dĂ©jĂ  le troisiĂšme dans ce match), Paul Pogba se prĂ©sente alors devant Joe Hart.

[quote] Le geste le plus beau du monde. La Panenka. Sa folie est sĂ©rieuse. Si le geste est rĂ©ussi, il est sublime ; mais s’il Ă©choue, il est grotesque. Quelle prise de risque ! Sa rĂ©ussite n’existe que dans son Ă©clat et sa fragilitĂ©. Dedans, et c’est la classe olympienne. Dehors, et c’est la commedia dell’arte. Une Panenka est un geste insolent acceptĂ© par tous, y compris par le gardien humiliĂ©. AntonĂ­n Panenka savait fort bien ce qu’il risquait en inventant ce geste pour le compte de la TchĂ©coslovaquie face Ă  la RFA, en 1976. Un seul coup de patte et un seul verdict : hĂ©ros ou honni.

Une farce que Paul Pogba remet en jeu ce jour-lĂ , au moment le plus intense de sa carriĂšre aprĂšs les coupes du monde remportĂ© avec sa sĂ©lection. Dans ce face-Ă -face avec Joe Hart, le foot est ailleurs. C’est le quartier qui s’invite chez les riches. La douceur contre la vitesse. Le sourire en coin. Les deux hommes se connaissent par cƓur. Le gardien et l’attaquant. Ils ont jouĂ© et gagnĂ© ensemble avec la Juventus de Turin. Hart sait bien que Pogba tire presque systĂ©matiquement sur la gauche du gardien. À gauche donc. Petit filet. Souvent Ă  mi-hauteur. Jamais plus de deux pas d’élan. C’est comme cela qu’il a stoppĂ© la lĂ©gende française en dĂ©but de ce match.

On pourrait tourner les pages du livre de Peter Handke, L’Angoisse du gardien de but au moment du penalty : « Si le gardien de but connaĂźt l’avant-centre, il sait quel coin il choisit en gĂ©nĂ©ral. Mais l’avant-centre, lui, peut trĂšs bien prĂ©voir le raisonnement du gardien de but. Le gardien de but continue donc Ă  chercher et se dit que cette fois le ballon ne va pas venir dans le mĂȘme coin. Oui, mais si l’avant-centre suit toujours le raisonnement du gardien de but et se prĂ©pare Ă  shooter vers le coin habituel ? et ainsi de suite et ainsi de suite. »

Au moment du penalty, Pogba n’est pas un homme de couloir. Le voilĂ  Ă  la fois sĂ©rieux et lĂ©ger. Et ils sont tous debout maintenant, dans le studio, face Ă  ces Ă©crans qui font comme une galerie des glaces. Des miroirs oĂč se reflĂšte le nouveau spectacle du monde. et dans le stade aussi, comme Ă  l’infini, les deux Ă©crans gĂ©ants magnifient le joueur. On dirait un reportage sous-marin. C’est trĂšs beau. un grand silence emplit le stade. On se passe trĂšs bien de commentaires dans ces cas-lĂ .

Et alors, comme Pogba ne se dĂ©place mĂȘme pas – ou Ă  peine – vers le ballon, on pense qu’il exĂ©cute un petit pas de danse et pas davantage. Le corps inclinĂ© lĂ©gĂšrement en arriĂšre – trĂšs lĂ©gĂšrement – afin que le ballon s’élĂšve en douceur Ă  l’impact. Et cette lenteur. Comme un ralenti improvisĂ©. Et Hart qui est parti sur sa gauche, comme prĂ©vu, a le luxe d’assister Ă  sa propre dĂ©faite. Un rien et il plongeait de l’autre cĂŽtĂ©. S’il avait su !

Le ballon a frappĂ© la barre transversale juste avant de retomber de l’autre cĂŽtĂ© de la ligne de but. Nous, on a beau ĂȘtre debout, on hĂ©site un peu. Il est dedans, oui ou non ? Et puis on est rassurĂ©s de voir Pogba, le visage grave, lever le bras et repartir, heureux d’avoir rĂ©alisĂ© son coup.[/quote]

C’est maintenant Manchester City qui est KO debout. Et pourtant ce n’est pas fini non, Mr Pascal dĂ©cide de siffler un nouveau pĂ©nalty pour une nouvelle charge de Buric, le serbe et Martial en vienne au mains, l’arbitre est calme les deux sont expulsĂ©, Berardi s’élance alors vers le but et transforme a son tour l’aubaine. Il reste alors 1 min au compteur, et l’assitant d’annoncer 5 minutes de temps additionnels. Mais le Benfica semble transcender et rejoint non sans sourciller la Finale de la Champion’s League la 8Ăšme de son histoire.


SL Benfica : Officiellement Champion et LĂ©ger Couac

Le SLB de Chilavert enfin Champion a cependant laisser filer le Taça.

Au moment ou Chilavert s’est approchĂ© de son banc, le stade s’est mis a trembler, le public n’est pas passĂ© a cĂŽtĂ© des rumeurs remuĂ©s par la presse lusitanienne cette semaine. Chilavert pourrait quitter le banc du Benfica en fin de saison. Facundo Witoszynki capitaine et superstar de l’équipe pourrait suivre. Le public aguias pourtant ne leurs tient pas rigueur et leur rĂ©serve durant l’échauffement une clameur auquel peu de personnes au club ont eu droit dans l’histoire. En confĂ©rence de presse les deux hommes ont refusĂ© tout commentaire.

Durant le match Chilavert semblait ailleurs, comme profitant de ce potentiel dernier match dans sa maison europĂ©enne, son antre dans laquelle il ne s’est inclinĂ© que deux fois en trois saisons, avec le costume frappĂ© de l’aigle avec lequel il a remportĂ© pas moins de sept titres depuis son arrivĂ©e du Mexique en 2019.

Le moment fort du match eu lieu a la 72Ăšme minute lorsque Chilavert sortit son capitaine pour la premiĂšre fois de la saison, accrĂ©ditant un peu plus la thĂšse d’un dĂ©part pour Facundo, le capitaine est entrĂ© dans l’histoire du SLB avec 135 apparitions, 72 buts et 73 passes dĂ©cisives a ce jour. L’etreinte entre le coach et son capitaine fut Ă©mouvante, il faut dire que les deux hommes sont liĂ©s, C’est Chilavert qui a repĂ©rĂ© facundo dans les barrios de Asuncion au pays, qui l’a emmenĂ© a Velez, a Vitoria, qui la conseillĂ© a Santos puis qui l’a emmenĂ© en Europe pour le meilleur.

Les deux buts sont passĂ© inaperçue dans cette atmosphĂšre particuliĂšre qui a vu le SLB remportĂ© le titre pour la seconde fois consĂ©cutives tout en restant invaincus depuis 33 matchs en championnat soit plus d’une saison !!

La fĂȘte ne fut cependant pas totale, le SLB visiblement encore trop dans l’émotion ou dĂ©jĂ  trop focalisĂ© sur la Champion’s a laissĂ© filer le Taça au profit de l’Academica Coimbra



Champion’s League : L’UEFA nomme l’arbitre de la finale !

C’est Bjorn Kuipers, un arbitre nĂ©erlandais, qui officiera lors de la finale de la Ligue des champions.

Björn Kuipers a Ă©tĂ© choisi par l’UEFA pour arbitrer la finale de la Ligue des Champions entre le Benfica et le Celtic Glasgow le 21 mai prochain Ă  Rome. Cet arbitre nĂ©erlandais avait Ă©galement officiĂ© lors de la finale de la Coupe des confĂ©dĂ©rations l’étĂ© dernier. La derniĂšre fois qu’une finale de C1 a Ă©tĂ© arbitrĂ©e par un NĂ©erlandais, c’était dĂ©jĂ  Mr Kuipers en 2018 lors de Real Madrid - Atletico.

Kuipers a livrĂ© ses impressions sur le site de la fĂ©dĂ©ration nĂ©erlandaise : “c’est un rĂȘve qui devient rĂ©alitĂ©. Arbitrer une finale de Ligue des Champions est le plus haut niveau possible pour un arbitre. Cela nous rend trĂšs fiers et heureux.”

Champion’s League : Martins Indi ne disputera pas la finale !

Bruno Martins Indi a Ă©copĂ© d’un carton jaune et manquera la finale de la Ligue des champions.

Coup dur pour le Benfica et son expĂ©rimentĂ© dĂ©fenseur Martins Indi. L’ancien joueur de Feyenoord, coupable d’un tacle sur Aguero, a Ă©copĂ© d’un carton jaune Ă  la 38e minute de la Demi-finale retour entre le Benfica et Manchester City, alors que son Ă©quipe perdait 3-0. Un avertissement qui lui vaudra une suspension pour la finale de la Ligue des champions le 21 mai prochain et ce malgrĂ© l’appel des dirigeants du SLB.

Martins Indi finira donc sa carriùre de footballeur en tribune


Champion’s League : Facundo Witoszynki rĂ©pond Ă  la presse !

Pour Facundo Witoszynki, la finale de la Ligue des champions contre le Celtic Glasgow sera du 50-50.

« Nous sommes en finale face Ă  une grande Ă©quipe. Une Ă©quipe fantastique. Ce sera du 50-50. Ce sera une grande soirĂ©e. Nous espĂ©rons remporter le trophĂ©e », a dit Facundo dans des propos relayĂ©s par A Bola, avant de mentionner le record de meilleur buteur de C1 qu’il dĂ©tient dĂ©sormais. « J’en suis fier. Mais maintenant je veux surtout marquer en finale et la remporter ». L’ailier du Benfica, qui affirme que la Liga Sagres « est un championnat relevĂ© », a exhortĂ© ses coĂ©quipiers Ă  y croire « jusqu’au bout », car « rien n’est impossible ». Facundo parle aussi du Mondial, estimant l’Espagne et le BrĂ©sil comme favoris. « Je suis déçu de ne pas jouer cette Coupe du monde mais malheureusement avec le Paraguay nous ne nous sommes pas qualifiĂ©s. J’espĂšre que JosĂ© mĂšnera loin le BrĂ©sil. » A noter que le joueur a systĂ©matiquement boycottĂ© les rumeurs de transferts le concernant lui comme son coach.

Présentation du Celtic Glasgow

Le club

A quand la deuxiĂšme ? C’est la question qui brule les lĂšvres de tous les fans des Ă©cossais. Club le plus titrĂ© du championnat d’Ecosse avec 55 titres, avec 12 titres de champion consĂ©cutif et une prĂ©sence en demi finale depuis 3 saisons, le celtic peut viser le titre suprĂȘme.

La saison

Comme souvent le Celtic a tout ecrasĂ©, en championnat il a Ă©tĂ© sacrĂ© 5 journĂ©es avant la fin. Le club a aussi remportĂ© les trois coupes nationales et demeure a ce jour invaincu cette saison en Champion’s League.

Le parcours

11 victoires en douze rencontres, 33 buts inscrits et une qualification pour la finale
 Que dire du parcours du Celtic, si ce n’est qu’ils ont dĂ©crochĂ© leur place pour les huitiĂšmes de finale haut la main, en terminant Ă  la premiĂšre place de leur groupe. Galatasaray (6-1/4-1), la Juventus (2-1/2-2) et Copenhague (2-0/4-0) n’ont pas rĂ©sistĂ© Ă  la puissance offensive des Ă©cossais. Au tour suivant, les joueurs des Bhoys n’ont pas fait plus de dĂ©tail face aux Allemands de Schalke 04. Bilan : 9-2 sur l’ensemble des deux matches et donc une place dans le Top 8 europĂ©en.

Les confrontations

Il faut remonter a 2013 pour retrouver une confrontation entre les deux clubs, elle s’était a l’époque fini sur un terne 0-0.

Présentation du Sport Lisboa do Benfica

Le club

Le club du SLB a l’avantage de l’expĂ©rience, avec deux succĂšs dans l’épreuve mais aussi 5 finales perdus. Ainsi que deux finales perdue d’Europa League. Le SLB espĂšre enfin faire tomber la malĂ©diction.

La saison

Cette saison Benfica est invaincu en Championnat. Est sorti de son groupe aisĂ©ment, il y avait pourtant le Shaktar. Les portugais ont humiliĂ© le Paris Saint Germain en huitiĂšme, ExplosĂ© le Borussia en quart et s’est amusĂ© de City en demi ! Benfica marque souvent et prend peu de buts. En cas de victoire ce serais le 4Ăšme titre cette saison, aprĂšs le SuperTaça, le Championnat et la Coupe de la Ligue.

Le parcours

Meilleure attaque, Meilleure défense, Meilleur buteur & Meilleur passeur, le SLB a eclaboussé cette edition de sa classe.

La Malédiction de Bela Guttman

Dans un devoir de mémoire, Coach Chila a partagé a ses jeunes joueurs un événement de la vie du club et le démystifie. A quelques jours de la finale de la Ligue des Champions, Chila a choisi de vous emmener dans le monde du paranormal et du surnaturel, en vous contant la terrible malédiction qui rode sur le SL Benfica.

Mercredi soir prochain, le Celtic s’imposera face Ă  Benfica, et soulĂšvera le trophĂ©e de la Ligue des Champions. Et pour cause, une Ă©trange malĂ©diction plane sur le club portugais


La malédiction Bela Guttman

Benfica arrivera-t-il un jour Ă  conjurer le sort ? Difficile Ă  dire
 Depuis un certain soir de 1962, il semble s’acharner sur les Aigles. La faute Ă  Bela Guttman, le fantasque entraĂźneur de l’époque. En 1960, le Hongrois dĂ©barque au Portugal, et prend les rĂȘnes du club. Il en profite pour dĂ©couvrir EusĂ©bio, et porte le club jusqu’au firmament du football mondial. Guttman remporte deux championnats, une Coupe du Portugal et deux Coupes d’Europe, notamment face au grand Real Madrid de Ferenc Puskas et Alfredo Di Stefano.

Fort de ses succĂšs et attirĂ© par l’appĂąt du gain, Bela Guttman demande une revalorisation salariale Ă  ses dirigeants. Intransigeants, ils la lui refusent, avant de le remercier. Fou de rage, Guttman va alors maudire le club, et prononcer la phrase de la discorde, qui hante le club depuis lors : « A partir de maintenant, Benfica devra attendre cent ans avant de remporter une nouvelle Coupe d’Europe ».

Sept défaites de suite en finale

Quand Guttman annonce la sentence, ses dirigeants se moquent de lui, et ne peuvent s’empĂȘcher de lui rire au nez. Pourtant, force est de constater que, 60 ans plus tard, la malĂ©diction tient toujours. AprĂšs cette prĂ©diction, les LisboĂštes ont disputĂ© sept finales de Coupes d’Europe, et en ont perdu
 sept. En 1963, ils s’inclinent 2-1 face Ă  l’AC Milan. Deux ans plus tard, l’autre club milanais, l’Inter, s’impose 1-0. En 1968, c’est la rĂ©volution en France mais pas Ă  Benfica. Les Aigles perdent 4-1 face Ă  Manchester United, lors des prolongations. En 1983, Anderlecht s’impose 2-1. Cinq ans plus tard, le PSV Eindhoven soulĂšve le trophĂ©e aprĂšs une sĂ©ance de tirs au but effrĂ©nĂ©e. En 1990, l’AC Milan domine les Portugais 1-0. L’annĂ©e derniĂšre, Chelsea s’impose 2-1. Lors de cette rencontre, le nom de Bela Guttman Ă©tait d’ailleurs dans le Top 10 des tendances, sur Twitter.

En 1965, Bela Guttman tente un retour Ă  Benfica. Malheureusement pour lui, il n’avait pas prĂ©vu que sa malĂ©diction allait se retourner contre lui. Cette saison-lĂ , le club se fait sortir en quarts de finale de l’ancienne version de la Coupe d’Europe.

Les priĂšres d’EusĂ©bio

Si la malĂ©diction de Bela Guttman peut ĂȘtre Ă©ternelle, lui ne l’est pas. Le Hongrois s’éteint en 1981, aprĂšs avoir entraĂźnĂ© plus de 20 clubs et sillonnĂ© le monde. La veille de la finale face Ă  l’AC Milan en 1990, superstitieux, EusĂ©bio vient demander pardon Ă  son ancien coach sur sa tombe. « Guttman a Ă©tĂ© mon entraĂźneur pendant trois ans et nous avons tout gagnĂ© avec lui. J’ai un bon souvenir de lui, en tant qu’homme et en tant qu’entraĂźneur », raconte l’attaquant. Qu’importe, malgrĂ© la repentance du meilleur joueur portugais de l’histoire, la bande Ă  Sacchi l’emporte. Les excuses du meilleur buteur du club lisboĂšte n’auront pas suffi.

http://twitter.com/Pepelias17/status/462161074574602240

Bela Guttman, précurseur de José Mourinho

Si le nom de Bela Guttman demeure mĂ©connu pour la nouvelle gĂ©nĂ©ration, il fĂ»t un joueur et entraĂźneur de renom. L’ancien entraĂźneur de l’AC Milan possĂšde un palmarĂšs fourni, avec deux coupes d’Europe des clubs champions avec le SL Benfica, une Copa Libertadores, sept titres de championnats nationaux (Hongrie, Italie, Portugal, Uruguay et BrĂ©sil) et sept coupes nationales. Il est considĂ©rĂ© comme l’inventeur du 4-2-4, systĂšme qui aura portĂ© le BrĂ©sil jusqu’à la victoire lors des mondiaux de 1958 et 1962. Mais le Hongrois est avant tout connu pour son caractĂšre fantasque, Ă  l’image d’un certain JosĂ© Mourinho. Il disposait d’une haute opinion de lui-mĂȘme, d’un ton parfois limite, et des exigences salariales Ă©levĂ©es. Guttman n’est d’ailleurs jamais restĂ© plus de trois ans au sein d’un mĂȘme club. Charismatique et sujet Ă  diverses controverses il est souvent considĂ©rĂ© comme le prĂ©curseur de Helenio Herrera, JosĂ© Mourinho ou plus rĂ©cemment JosĂ©-Luis Chilavert.

Une statue Ă  son honneur

Pour conjurer le sort, mettre fin Ă  la malĂ©diction, et rendre hommage au personnage, Benfica, Ă  l’occasion du 110Ăšme anniversaire du club, a dĂ©voilĂ© en 2013 une statue de l’entraĂźneur, arborant ses deux Coupes d’Europe. CrĂ©Ă©e par Szatmari Juhos Laszlo, un sculpteur hongrois, elle orne la porte 18 du Estadio da Luz.

Face au Celtic, samedi soir, JosĂ© Luis Chilavert aura de nouveau l’occasion de briser la malĂ©diction. A moins qu’il faille encore attendre 60 ans


Une premiÚre mi-temps animé.
CELTIC GLASGOW - SL BENFICA

Champion’s League finale - 21 Mai 2022
Olympico, Rome
80 230 spectateurs
Arbitre: Mr B.Kuipers

PremiĂšre PĂ©riode

Une chose est certaine Ă  l’orĂ©e de cette finale, l’ambiance sera chaude. Les lusitaniens ont emmenĂ© aigles et tambours, les Ă©cossais le You will Never Walk Alone. CĂŽtĂ© terrain moins de surprises, Chilavert a choisi de faire confiance a son Ă©quipe type. Carlos international espagnol garderas une fois n’est pas coutume les cages. Devant lui ce sont les internationaux portugais et serbe Capitao et Buric qui tenteront de contenir les assauts des Bhoys. Sur les ailes Saymon, rĂ©cemment Ă©lu meilleur latĂ©ral de Liga Sagres dominera le cĂŽtĂ© gauche. A droite c’est comme souvent Nuno Campos le joueur maison qui distillera ses centres. La sentinelle devant la dĂ©fense se nomme Paul Pogba, le joueur grĂące a qui le SLB a changer de dimension, a ses cĂŽtĂ©s c’est Fernando Santana nĂ©o international argentin qui Ă©voluera. Un peu plus haut on retrouvera le trident magique du SLB, Cristiano Ronaldo s’occupera de l’aille gauche du haut de ses 36 ans et cĂŽtĂ© droit c’est la superstar du club le guarani Facundo Witoszynki qui dynamitera la dĂ©fense. Le crĂ©ateur de ce trident est comme d’habitude le brĂ©silien JosĂ© Antonio, vĂ©ritable rĂ©vĂ©lations de cette saison ou il a fini second meilleur passeur derriĂšre son capitaine. Enfin en pointe c’est l’inamovible Carlos Fierro (25b - 13a) qui aura pour mission de scorer.

CĂŽtĂ© Ă©cossais Neil Lennon, entraineur charismatique du club aprĂšs 12 ans de bon et loyaux services n’as pas beaucoup innovĂ© reproduisant son 4231 habituel avec son capitaine Fraser Forster dans les buts depuis 13 ans et son goleador l’écossais Tony Watt, 232 buts sous le maillot vert et blanc.

Les 20 premiĂšres minutes furent complĂštement a l’avantage des britanniques. Comme souvent lors des finales, les lisboĂštes semblait ailleurs, comme tĂ©tanisĂ© par l’enjeu et la malĂ©diction pesant sur le club. Chila avait beau se dĂ©mener sur le banc rien n’y faisait. Les occasions s’enchainait. Henriksen lançant d’abord Watt en profondeur mais le buteur ne cadrais pas (5e). Puis touchant la barre sur coup franc (19e). Les Ă©cossais usait pourtant d’un jeu caractĂ©ristique voyant ses milieux balançait de long ballons vers leurs tour de contrĂŽle.

Le match a tournĂ© lorsque Chilavert profitant de la blessure de Henderson pour replacer Santana un poil plus bas. DĂ©s lors les transmissions vers Watt se sont coupĂ©s et le milieu britannique s’est mis a dĂ©jouer. Le SLB a alors dĂ©ployĂ© son jeu, redoublant de passes, tantĂŽt longues, tantĂŽt courtes. La premiĂšre alerte sur les buts de Forster arriva a la 25Ăšme minutes lorsque bien servis par Cristiano Ronaldo, Fierro se dirigea seul vers le but. Mais le mexicain ne cadra pas sa frappe surpuissante. La situation empira quand Witoszynki sortit se sa torpeur pour dribbler la dĂ©fense adverse avant de remettre en retrait pour Cristiano mais lui aussi trouva la barre.

L’ouverture vient alors. Alors que Watt en dĂ©doublement avec Henriksen, Buric intercepta le cuir avec un tacle bien maĂźtrisĂ©. Pogba s’en emparra et aprĂšs avoir Ă©liminĂ© son vis-a-vis d’une roulette zidanesque lança Cristiano cĂŽtĂ© gauche qui Ă  la suite de quelques gris gris dont il a le secret donna un centre tendu en direction de Carlos Fierro ! le mexicain contrĂŽla de la poitrine avant de fusiller Forster du gauche (0-1,35Ăšme). Le jeu se dĂ©brida singuliĂšrement des lors, les britanniques se mirent a dĂ©doubler leurs passes mais la mi-temps se termina sur ce score.

Une seconde mi-temps en signe de consécration ?

CELTIC GLASGOW - SL BENFICA

Champion’s League finale - 21 Mai 2022
Olympico, Rome
80 230 spectateurs
Arbitre: Mr B.Kuipers

Seconde PĂ©riode

Fait assez rare pour le souligner, Chila avait dĂ©cidĂ© avant le match d’ouvrir son vestiaire Ă  la presse pour ce match. Ainsi durant la mi-temps on a pu se dĂ©lecter du coaching de Chilavert. Comme on le sait, le guarani n’as pas sa langue dans sa poche et tout le monde a pu s’en rendre compte. Campos a beau avoir fait une excellente mi-temps et ĂȘtre le joueur formĂ© au club. Chila l’as pris entre 4 murs pour bien lui faire comprendre qu’il ne voulait plus le voir se faire dĂ©border par Henriksen. Une fois les cas personnelles passĂ©, il a ensuite dĂ©livrĂ© ses conseils Ă  l’ensemble de l’effectif. Il faut dire que l’aura d’El Loco rĂ©sonne partout, lui qui as remportĂ© la Libertadores avec Velez puis la Champion’s League avec America veut que son Ă©quipe soit rĂ©compensĂ© comme elle le mĂ©rite.

Nous sommes ensuite revenus aux abords du terrain ou Chila a rĂ©pondu au question de l’envoyĂ© spĂ©cial de Bein Sport Portugal, Mac Proença.

Chila n’est dĂ©cidĂ©ment pas un entraineur normal. Jamais il ne se met en avant dans les interview et pourtant le Benfica lui doit tant mais ne s’en rend pas encore compte. Certes il est arrogant, Certes il est sure de sa force, mais qui ne le serait pas avec un tel palmarĂšs.

Et alors que la seconde pĂ©riode commence, ce n’est plus la mĂȘme equipe sur le terrain, le pressing est incessant. Les Ă©cossais sont dĂ©passĂ©s et ne parviennent pas a avancer. Les assauts s’enchaĂźnent, Witoszynki passe en revue la dĂ©fense et lance un lob magnifique sur Forster (45Ăšme), mais celui ci retombe derriĂšre la barre. Cristiano Ronaldo contraint le gardien gallois Ă  l’exploit en sortant un coup franc parfait qui se dirigeait vers la lucarne (48eme). Vient alors le moment de classe de ce match, Facundo rĂ©cupĂšre le ballon sur un dĂ©gagement, se dĂ©fait de un, puis deux, puis trois, puis finalement 6 joueurs avant de servir idĂ©alement Santana en retrait, l’argentin ne gĂąche pas l’offrande et envois un enroulĂ© sublime pleine lucarne, Forster est battu et Neil Lennon le sait, le Celtic ne reviendra pas. Ce Benfica la est trop fort, il possĂšde en son sein un des meilleurs ailiers du monde, le meilleur milieu du monde et surement un des plus grands coaches de l’histoire contemporaine du foot moderne.

Le temps dĂ©file, et le Benfica prend de plus en plus les commandes, le celtic n’auras pas pesĂ© bien lourd, mais l’essentiel est ailleurs, les lusitaniens remporte leur troisiĂšme C1 de leur histoire et mettent fin a une malĂ©diction longue de 60 ans. Chilavert rentre dans un cercle trĂšs fermĂ© celui de ceux ayant remportĂ© une Champion’s League sur trois continents diffĂ©rents


SL Benfica : Conférence de presse

Alors que la saison touche a sa fin et que Chilavert va bientÎt rejoindre la seleçao brésilienne en Arabie Saoudite pour préparer le Mondial 2022, José Chilavert a choisi de donner une conférence de presse pour faire le point sur sa situation.

Plus que jamais sur le dĂ©part du Benfica aprĂšs avoir remporter le championnat du Portugal et surtout aprĂšs avoir remportĂ© la Champion’s League, 60 ans aprĂšs son dernier dans la reine des compĂ©titions. Pour ce faire, la formation lusitanienne compte essentiellement sur son prĂ©stigieux coach guarani JosĂ©-Luis Chilavert pour continuer dans cette direction. Ce dernier, courtisĂ© par les plus grands clubs, a Ă©voquĂ© son avenir proche.

A seulement 56 ans, JosĂ© Luis a dĂ©jĂ  un discours de vieux briscard, il faut dire qu’en 9 ans en temps qu’entraineur il a remportĂ© des succĂšs partout ou il est passĂ©. Progressant sans cesse au fil des ans dans son approche tactique, l’ancien gardien de la Nacional est devenu en l’espace de trois saisons un incontournable Ă  Benfica mais aussi en Liga Sagres. AprĂšs avoir Ă©chouĂ© avec le Benfica tout proche du sacre lors de sa premiĂšre saison, se faisant chiper la place par le FC Porto, Chilavert a ensuite tout retourner les deux saisons suivantes jusqu’as l’apothĂ©ose du 21 mai dernier.

Ambitieux, Chilavert a listĂ© ses objectifs dans une interview accordĂ©e au quotidien A Bola: "Comme tous les entraineurs, j’aimerai gagner la Coupe du Monde des clubs. Faire le doublĂ© en Champion’s League aussi pourquoi pas. Mais les Ă©quipes les plus attendues sont toujours le Real et le Bayern notamment.

Chilavert met son avenir en pointillé.

Formant avec Facundo Witoszynki le coeur paraguayen du Benfica mais aussi le plus dangereux duo d’Europe, Chila chouchoute sa star et elle le lui rend bien, Chilavert est sous les feux des projecteurs. EpiĂ©, supervisĂ©, courtisĂ© par toutes les grosses Ă©curies, le sĂ©lectionneur de la seleçao parvient toutefois Ă  garder la tĂȘte froide en dĂ©pit de toutes ses sollicitations: “Cela fait dĂ©jĂ  deux ans que j’entends “JosĂ© par-ci, JosĂ© par-là” et je vois que JosĂ© est toujours Ă  Lisbonne et qu’il n’a pas bougĂ©. Cela fait plaisir mais je n’y porte pas attention. (
) Si j’avais eu envie de partir dans un plus grand club, je serais dĂ©jĂ  parti. J’ai un contrat jusqu’en 2023, je suis bien ici.”

Chilavert devrait donc bien honorer son contrat jusqu’au bout avec le Benfica avec qui sait peut ĂȘtre la saison de tous les succĂšs. Mais cette envie sera t’elle remise en cause par le possible dĂ©part de son poulain


Oui nous l’avions presque oubliĂ© mais chila est aussi sĂ©lectionneur de la seleçao depuis deux saisons. C’est donc le moment avant cette Coupe du Monde de revenir sur ces deux ans Ă  la tĂȘte de la sĂ©lection.

Tout avait bien dĂ©marrer avec quelques belles victoires notamment sur l’Argentine ou le Chili, mais le gros soucis aura Ă©tĂ© l’absence de vĂ©ritables stars. Neymar ne pouvant plus ĂȘtre ce joueur de classe mondiale, nous avons abordĂ© la coupe du monde avec les mĂȘmes 23 qu’il y a deux ans


Et autant le dire cette Coupe du Monde, fut catastrophique, Chila a mĂȘme voulu dĂ©missionner en Janvier devant la faiblesse de l’effectif, qui aurait cru que deux ans plus tard le BrĂ©sil ne compterais que deux stars au niveau JosĂ© Antonio et Carlos AndrĂ©. Que Doria, Marquinhos ou Neymar serait relĂ©guĂ© en tribune en club.

Le tirage en apparence n’avait pourtant rien de sorcier avec les Pays Bas, la cĂŽte d’Ivoire et le Costa Rica, cependant rien n’as fonctionnĂ©, on a mĂȘme accusĂ© trois blessĂ©s en dĂ©but de mondial sans pouvoir les remplacer.

Pour le premier match on a dĂ©marrĂ© tranquillement contre les hollandais, Carlos AndrĂ© a ouvert le score. Cependant les nĂ©erlandais eux ont des pĂ©pites et Mohmed en est une comme le montre son doublé  On s’en sort avec une Ă©galisation de l’ombre de Neymar en fin de match


Pour le second match on s’est fait surprendre par la CĂŽte d’ivoire sur un but de Bony sur le coup d’envoi, on n’a jamais rĂ©ussi a revenir malheureusement. Le vestiaire a alors eclatĂ© entre les joueurs qui m’avait dĂ©jĂ  eu par le passĂ© comme coach et ceux qui ne m’avait jamais eu. La honte s’est abattu sur la seleçao avec une grĂšve de l’entrainement suivis d’une prestation pitoyable qui nous a vu perdre 4-1 contre le Costa Rica. Et autant le dire de suite j’ai rendu mon tablier a la mi temps de ce match. Ce n’était plus possible ! J’ai toujours Ă©tĂ© intĂ©gre, j’ai toujours gagne en club, mais encore une fois le parcours avec la sĂ©lection a fini mal


Au passage troisiÚme finale de Coupe du Monde consécutive pour la France :siffle: :siffle: :siffle:

Neymar régle ses comptes avec Chilavert.

Nous vous l’annoncions tout Ă  l’heure : Doria et Neymar ont Ă©tĂ© exclues du mondial pour des raisons de comportement

Neymar n’a d’ailleurs pas tardĂ© Ă  rĂ©agir et a confiĂ© Ă  Sport Bild que ce n’était pas lui mais son sĂ©lectionneur qui l’avait insultĂ© : “AprĂšs un duel Ă  l’entraĂźnement, on a rigolĂ© avec Doria. Puis l’entraĂźneur a cassĂ© l’ambiance. Il nous a demandĂ© pourquoi on riait. On lui a dit que tout allait bien, et il nous a renvoyĂ©s aux vestiaires. AprĂšs l’entraĂźnement, je suis allĂ© demander au coach s’il avait une minute pour moi. Je lui ai demandĂ© ce qu’il avait contre moi. Puis il a commencĂ© Ă  me crier dessus et Ă  m’insulter. Il a utilisĂ© des mots comme “Va te faire foutre”. Ce matin, j’apprends que je suis suspendu. Je l’accepte mais que personne ne pense que j’ai insultĂ© l’entraĂźneur.” Des propos relayĂ©s par le site Sport.

Chilavert, le fou de retour pour rétablir quelques vérités.

L’ex-sĂ©lectionneur s’y montre sans concession avec l’attitude de certains joueurs lors du Mondial 2022. Extraits

Pour la premiĂšre fois, il rĂ©vĂšle ce qu’il a vraiment entendu de la bouche de Neymar. Il dit enfin sa vĂ©ritĂ© sur le comportement de Doria, avec lequel il se montre particuliĂšrement fĂ©roce.
Qu’a dit Neymar Ă  la mi-temps de BrĂ©sil-Costa Rica du Mondial 2022? La version de chilavert est un peu diffĂ©rente de celles parues jusqu’ici (A Bola avait titrĂ©: “Va te faire enculer, sale fils de pute!”). Il se souvient avoir dit: “J’avais demandĂ© de la profondeur et toi Neymar, sur le premier ballon, tu restes lĂ  sans bouger”. Neymar proteste. Chilavert rapporte: “Saymon a alors essayĂ© d’éteindre le feu qui couvait”, mais “Neymar ne s’est pas calmĂ© et a lancĂ©: EnculĂ©, t’as qu’à la faire tout seul ton Ă©quipe de merde! J’arrĂȘte moi
”. Et de prĂ©ciser: “Je n’ai pas tout entendu. La fin de la phrase m’a Ă©chappĂ© dans le brouhaha”.

Doria en prend pour son grade

Si JosĂ© Antonio et Carlos AndrĂ© ont les faveurs de Chilavert, Doria en prend particuliĂšrement pour son grade. “Quand j’ai voulu le remercier, il m’a envoyĂ© paĂźtre en retirant son bras: Ne me touchez pas! Tout Doria qu’il Ă©tait, je l’aurais volontiers accrochĂ© au plafond”, Ă©crit le sĂ©lectionneur aprĂšs le Pays Bas - BrĂ©sil. “Doria, lui continuait Ă  pourrir le groupe par ses attitudes de diva susceptible”, prĂ©cise-t-il Ă  la mĂȘme pĂ©riode. “Un joueur cadre de la Copa America prĂ©cĂ©dente m’avait prĂ©venu au sujet de Doria et moi je lui ai donnĂ© les clĂ©s! Quel con je suis
”, Ă©crit Chilavert aprĂšs la dĂ©faite du BrĂ©sil contre le costa Rica au Mondial 2022.

A Bola avait rĂ©vĂ©lĂ© le comportement de “caĂŻd de collĂšge” de Doria Ă  l’égard du jeune Carlos AndrĂ© lors du Mondial. Chila confirme. “Je dis Ă  Carlos : Je t’ai donnĂ© les clĂ©s, Ă  toi de jouer!. Le pire Ă  ce moment prĂ©cis est le regard de Doria: J’ai vu dans ses yeux la haine, le mĂ©pris ou la jalousie. Il ne l’aime pas c’est certain”, rapporte-t-il dans son journal aprĂšs la causerie prĂ©cĂ©dant le premier match du Mondial 2022. Autre anecdote, au lendemain de BrĂ©sil-Costa Rica: “Quand Doria et d’autres avaient tuĂ© la sĂ©ance parce que Carlos AndrĂ© se trouvait dans leur Ă©quipe: (Carlos) n’a rien vu, il a subi et je me suis dit qu’il restait dans son monde des bisounours”.

SL Benfica : Facundo Witoszynki décide de rester une saison de plus au Portugal.

AprĂšs plusieurs rebondissements, l’ailier guarani de Benfica, Facundo Witoszynki, a dĂ©clarĂ© qu’il avait dĂ©cidĂ© de rester une saison de plus au Portugal avec son coach JosĂ©-Luis Chilavert.

L’international paraguayen du SL Benfica (Liga Sagres), facundo Witoszynki, a dĂ©clarĂ©, hier, avoir « dĂ©cidĂ© de rester » dans la capitale portugaise, malgrĂ© les nombreuses sollicitations dont il fait l’objet, dans un entretien accordĂ© au magazine A bola. « J’ai mis un an Ă  m’adapter Ă  Lisbonne, et lĂ , j’ai envie de rĂ©ussir une belle saison. L’effectif dont nous disposons est capable de rĂ©aliser de belles choses et ce n’est que plus tard que j’irai lĂ  oĂč je le mĂ©riterai », a expliquĂ© le joueur de 24 ans, qui s’apprĂȘte Ă  disputer son 400e matchs en carriĂšre cette saison (376 actuellement). MalgrĂ© sa non-participation au Mondial-2022, au Qatar, la cote de Witoszynki est restĂ©e relativement Ă©levĂ©e, ce qui lui a valu de nombreuses convoitises, dont celle du Real Madrid et du Bayern Munich qui il y a encore quelques heures insistĂ© encore pour l’engager. Mais voulant Ă©viter de tout reprendre Ă  zĂ©ro, dans le cas oĂč il viendrait Ă  opter pour un autre club, l’international paraguayen a prĂ©fĂ©rĂ© privilĂ©gier la stabilitĂ© et la continuitĂ©, en restant Ă  Lisbonne au Benfica, club avec lequel il est sous contrat jusqu’en juin 2026. InterrogĂ© Ă  propos de sa (re) convocation en Ă©quipe nationale du Paraguay, Facundo s’est dit « heureux » de refaire partie de la Nacional : « J’étais dĂ©goĂ»tĂ© de ne pas participer Ă  la derniĂšre Coupe du monde, mais lĂ , c’est un nouveau cycle qui dĂ©marre et ce sera Ă  moi de mĂ©riter ma place », a conclu le joueur. Il se dit que le choix de son coach de rester une saison de plus dans la capitale lusitanienne aurait influencĂ© la dĂ©cision du joueur.

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SL Benfica : Un mercato moins compliquĂ© qu’il n’y parait.

AprÚs un été agité le SLB a beaucoup vendu pour autant cette vague de départ répond à une stratégie pré étudiée bien définie.

Au cours de ce mercato deux joueurs ont rejoint le club, le numĂ©ro 10 Amaral, formĂ© a la Juventus de Turin. C’es un des grands espoirs de la Nazionale bien qu’il possĂšde aussi un passeport brĂ©silien. Le second est un franco argentin qui rĂ©pond au nom de Neal Maupay. Ce buteur aux statistiques flatteuses, 155 buts avec Nice en 10 ans. Il sera en concurrence avec Vinicius qui revient d’un prĂȘt concluant aux Pays Bas.

A l’inverse six joueurs ont quittĂ© le club cet Ă©tĂ©. Le latĂ©ral portugais Nuno Campos a rejoint le PSG pour 54M, il s’agit d’un choix personnels de Nuno qui aprĂšs 10 ans a Benfica a choisi de vivre une expĂ©rience a l’étranger. Cela permettra aussi a Sebastian Gonzalez jeune argentin de prendre place dans le onze type. Le jeune Filipe Patrocinio qui n’as pas rĂ©pondu aux attentes cette saison rejoint lui le Real Madrid pour 39M. Agustin Allione a quant a lui choisi de rĂ©pondre a la proposition d’ĂȘtre titulaire de l’Inter Milan pour 18M. Yusuke Honma buteur japonais sur lequel le SLB ne comptait pas particuliĂšrement rejoint l’AC Milan pour 40M. Cristian Alex rejoint quant a lui le FC Barcelone pour 37M aprĂšs avoir subit de plein fouet l’émergence de JosĂ© Antonio. Enfin Antonio Oliveira qui a enchainĂ© les prĂȘts sans pour autant convaincre son entraineur rejoint l’Atletico Madrid pour 37M.

SL Benfica : Un premier trophĂ©e pour dĂ©marrer l’annĂ©e en Fanfare.

Alors que la saison débute à peine, Benfica participe a une premiÚre finale, avec le MLS All Star.

Tout a commencĂ© fin juin au Qatar lorsque le prĂ©sident de la MLS m’as abordĂ© aprĂšs ma dĂ©mission du BrĂ©sil. Il m’a demandĂ© si le club pouvait ĂȘtre intĂ©ressĂ© de participer au MLS All Star. Le MLS All Star s’inspire des autres compĂ©titions amĂ©ricaines. Il s’agit en gros d’un trophĂ©e que se dispute deux Ă©quipes. D’un cĂŽtĂ© il y’a la MLS All Star Team composĂ© des meilleurs joueurs du championnat nord amĂ©ricains et de l’autre une equipe europĂ©enne gĂ©nĂ©ralement bien cĂŽtĂ©. Cette annĂ©e ce sera donc nous !

Nous sommes arrivĂ©s a Houston avec une Ă©quipe un peu diminuĂ© tout le monde n’étant pas encore a 100% fin juillet
 Pour autant on ne s’est pas privĂ© pour remporter un nouveau trophĂ©e. On a mĂȘme fiĂąt une petite dĂ©monstration devant un public chauffĂ© a blanc. JosĂ© Antonio a ouvert le score sur coup franc avant que Fierro puis Cristiano ne parachĂšve le score. Medina a rĂ©duit le score en fin de match. Mais ce titre acquis aprĂšs un match exhibition reste une satisfaction.

SL Benfica : le Benfica et Armando atomisent l’Academica.

Et de deux !

Le Benfica Lisbonne n’a fait qu’une bouchĂ©e de l’Academica ce samedi (6-1). Avec un but marquĂ©, Facundo Witoszynki a pris part au festival offensif des aguias.

Au Portugal, la question n’est plus de savoir qui sera champion Ă  la fin de la saison, mais avec combien d’écart sur ses poursuivants le Benfica Lisbonne bouclera sa campagne. La formation de JosĂ©-Luis Chilavert n’en finit plus d’écƓurer la concurrence, en alignant les victoires et les scores fleuves. Ce samedi, lors de la rĂ©ception de l’Academica, le gĂ©ant lusitanien a Ă©tabli deux nouveaux records. En l’emportant, il s’est offert son 16e succĂšs de rang -un accomplissement inĂ©dit au Portugal-. Par ailleurs, il a rĂ©ussi le pari Ă  dĂ©passer le FC Porto comme Ă©quipe ayant inscrit le plus de buts dans un supertaça (6 contre 3). Impressionnant.

Retour gagnant de Witoszynki

Entre la 53e et la 75e minute, la dĂ©fense de l’Academica a pris l’eau de toute part. Alors que les visiteurs avaient Ă©tĂ© les premiers Ă  scorer dans cette partie, ils ont complĂštement sombrĂ© au milieu de la seconde pĂ©riode face aux assauts rĂ©pĂ©titifs des lusitaniens. Le score Ă©tait encore que de 3-1 quand le Benfica s’est dĂ©chainĂ© et a fait voler complĂštement en Ă©clats la dĂ©fense adverse. Tour Ă  tour, Armando, Vinicius et Witoszynki ont mis Ă  mal Diego Benaglio. Le Portugais s’est mĂȘme offert le luxe de mettre un triplĂ©, portant le score Ă  6-1.

En dĂ©but de partie, Armando avait Ă©galisĂ© pour le Benfica en profitant d’une partie de billard dans la dĂ©fense adverse. Le lusitanien a marquĂ© alors qu’il se remet d’une blessure. Il en est de mĂȘme pour Witoszynki. Le guarani avait trouvĂ© la faille Ă  la 73e minute sur une frappe dĂ©viĂ©e suite Ă  un bon centre d’Armando omniprĂ©sent. Il en est dĂ©sormais Ă  3 rĂ©alisations cette saison. Une belle maniĂšre de signer son retour et aussi de se rassurer par rapport Ă  son Ă©tat de forme. En somme, Ă  Lisbonne, tout va bien dans le meilleur des mondes.

SL Benfica : La Fusée est bel et bien lancée.

DĂ©but de saison tonitruant du Benfica Lisbonne !

On est donc reparti pour une saison, comme je l’ai dit en confĂ©rence j’ai dĂ©cidĂ© de rester une saison de plus Ă  la tĂȘte de ce groupe. Nous avons plein de dĂ©fis avec les titres a dĂ©fendre et de nouvelles compĂ©titions Ă  remporter. Facundo a dĂ©cidĂ© de rester aussi Ă  mon plus grand plaisir. De plus aprĂšs le fiasco de la Coupe du Monde au Qatar je ne voyais pas redĂ©marrer ailleurs pour le moment. Le onze titulaire n’as pas beaucoup changĂ©. Seul le latĂ©ral droit a changĂ© avec l’incorporation de Gonzalez.

En championnat il va falloir montrer de suite qui est le patron. Cristiano commence a pesĂ© son Ăąge, cependant pas de quoi s’inquiĂ©ter Vinicius est de retour aprĂšs un prĂȘt convaincant Ă  l’Ajax. On reprend donc en affrontant nos amis de Belenenses, et quoi de mieux qu’un carton pour reprendre une saison de plein pieds. Ca a dĂ©marrer fort avec Paul Pogba qui as transformĂ© le pĂ©nalty que nous as accordĂ© l’arbitre en dĂ©but de match.
On a ensuite vĂ©cu 5 minutes complĂštement folle lorsque Facundo a accĂ©lĂ©rĂ©. Il a commencĂ© par distillĂ© un corner sublime pour Buric Ă  la 40 Ăšme puis juste avant la pause il s’est offert un doublĂ©, un coup franc d’abord puis une mine des 25m
 Il a continuer son festival en seconde pĂ©riode en inscrivant le cinquiĂšme but de la partie.

On enchaüne avec un remake de la Supercoupe du Portugal contre l’Academica, et comme il y a deux semaines il n’y as pas vraiment eu matchs

DĂ©s les premiĂšres seconde Saymon a trouvĂ© l’ouverture. JosĂ© Antonio a doublĂ© la mise sur une jolie sĂ©quence avant que Buric ne s’offre un nouveau but sur un nouveau corner de Facundo. En seconde pĂ©riode ce fut le show Witoszynki avec pas moins de deux buts inscrit par notre top player.

C’est ensuite Braga qui est venus nous dĂ©fier et dans l’euphorie ambiante dans laquelle nous baignons, Braga n’as pas pesĂ© dans ce match encaissant lui aussi 5 buts. DoublĂ© de Witoszynki, triplĂ© de Fierro que demander de plus


Bilan du mois, 3 matchs 15 buts inscrits, 0 encaissés la saison démarre trÚs trÚs fort. Déjà 7 buts et 3 passes Décisives pour Witoszynki qui semble parti pour faire tomber quelques records cette saison. Porto semble de retour mais pour combien de temps