:storyblue: :s12: 🇵🇾 Chilavert Will Never Walk Alone

[Groot]

Liverpool - Witoszynki crée la surprise et remporte un second ballon d’or consécutif.

France Football vient de révéler les 23 joueurs nominé pour recevoir le ballon d’Or récompensant le meilleur joueur du monde pour l’année écoulée. Au programme 3 Reds.

L’ailier paraguayen de Liverpool Facundo Witoszynki a été sacré lundi 3 janvier Ballon d’or 2024, devant le belge Eden Hazard et son coéquipier l’espagnol Sergio Martinez. Pour le meilleur entraîneur de l’année, la distinction est revenue pour la troisième fois consécutive à José-Luis Chilavert, auteur du doublé Ligue Europa/Championnat d’Angleterre la saison dernière avec Liverpool.
Il s’agit du deuxième Ballon d’or consécutif pour Witoszynki, 26 ans, qui a été distingué avant tout pour ses exploits avec les Reds de Liverpool, alors qu’il a effectué une prestation en demi-teinte avec le Paraguay lors de la Copa America cet été en Argentine.

“Je ne pensais absolument pas gagner aujourd’hui. Mes amis (Eden et Sergio) méritaient également de l’emporter”, a déclaré le prodige guarani, qui a dit vouloir “partager ce trophée avec tous mes amis, tous les fans de Liverpool et tous les guaranis”.

La récompense consacrant Witoszynki aura d’autant plus d’écho qu’elle résulte cette année de la fusion de deux distinctions, celle décernée par un jury de 208 journalistes sélectionnés par le magazine France Football et celle attribuée par la FIFA sur la base des votes des sélectionneurs et capitaines des 208 équipes nationales affiliées à la Fédération internationale.

La victoire de Facundo Witoszynki est également un pied-de-nez aux tenants de la puissance physique et des grands gabarits dans le football, aucun des trois joueurs distingués ne dépassant les 180 centimètres.

Les récompenses attribuées illustrent par ailleurs la mainmise actuelle des européens.

SIX REDS DANS LE ONZE MONDIAL

Pas moins de six joueurs de Liverpool (Luke Shaw, Kevin Ten Heuvel, Neil Powell, Carlos Vera, Facundo Witoszynki , Sergio Marintez figurent en outre dans le onze mondial choisi par le jury. Complètent la composition de l’équipe deux joueurs évoluant dans des clubs espagnols, Carlos (Real Madrid) et Kurt Zouma (Barcelone), ainsi que trois joueurs de la Juve, Marini, Dagoberto et Wesley said.

Eden Hazard, auteur du but vainqueur en demi-finale de l’Euro contre les Pays-Bas, et Sergio Martinez incarnent parfaitement en tant qu’ élément offensif très technique, fait de passes redoublées qui suscitent le délice des puristes et le cauchemar des défenseurs adverses. Facundo Witoszynki apporte de son côté la touche de folie et le sens du dribble et du but qui le caractérisent.

[Groot]

Liverpool - Raheem Sterling de retour à Anfield

Le Liverpool FC est fier de vous annoncer le retour au club de l’international anglais Raheem Sterling après 10 saisons à Manchester City.

Selon le site de Liverpool, Raheem Sterling vient de quitter Manchester City pour rejoindre son club formateur pour un peu moins de quinze millions d’euros. Très peu utilisé en Premier League cette saison par José Mourinho, le manager des citizen, avec seulement six apparitions en tant que remplaçant, le joueur âgé de 30 ans doit passer sa visite médicale ce jeudi et signer dans la foulée un contrat de deux ans et demi. Il espère même être enregistré à temps pour pouvoir affronter Chelsea ce week-end, pour le compte de la 20ème Journée de BPL. L’international anglais (120 sélections pour 18 buts) revient donc dans son club de cœur, du côté d’Anfield Road, où il a été formé et où il a débuté sa carrière sous les ordres de Brendan Rodgers à la fin des années 2010, avant de partir en 2014 pour les SkyBlues de Manchester City. L’actuel manager de Arsenal a d’ailleurs cherché à le faire intégrer son équipe, mais l’offre de Liverpool était impossible à refuser pour l’ancien SkyBlues.

Avec les SkyBlues, Sterling aura disputé 312 rencontres et aura inscrit 47 Buts et donné 58 buts à ses coéquipiers. Son importance chez les Skyblues aura été moindre face à la pléthore de joueurs composant l’effectif de José Mourinho peu réputé pour son sentimentalisme. Du côté de Liverpool il aura a coeur de prouver sa valeur et d’encadrer les jeunes comme Steven Gerrard avait pu le faire pour lui. Il sera en concurrence a gauche avec Markus Muller mais devrait surtout permettre a son coach de faire souffler sa superstar Facundo Witoszynki, double ballon d’or. J

osé-Luis Chilavert a aussi incorporé le jeune Luis Rio formé en France au LOSC et qui signera son premier contrat pro avec les Reds d’ici quelques semaines. Rio est présenté comme un cracs en puissance, battant les records de précocité en France, Premier match pro a 15 ans et 1 mois, Premier but en Ligue 1 a 15 ans et 3 mois.

Enfin dans un soucis d’anglisciser son groupe Chilavert a permis au latéral Mick Gallagher de revenir au pays après une expérience a Monaco ponctué de deux titres de champion de France en 4 saisons. Devenu une référence mondiale à son poste ce liverpuldiens de naissance a débuter dans le Football par l’académie d’Everton. Mais le manque de réussite sportive de son club formateur combiné a la réussite de son club de coeur, l’ont achevé de venir enfin dans son club, Cervin Ongenda profite de la transaction pour rentrer en France après un début d’exercice délicat, ou il a perdu sa place dans la rotation au profit des jeunes Brown et Perreira.

[twitter]https://twitter.com/chilafme/status/524579805757702144[/twitter]

[Groot]

Liverpool - 2025 commence comme avait fini 2024

Les Reds sont véritablement redevenus une superpuissance anglaise depuis l’arrivée de Chilavert, mais combien de temps cela durera t’il ?

Il est donc temps de finir avec ce boxing day, et pour finir en beauté nous recevons notre dauphin au classement les blues de Chelsea. Dans ce match que tous le Royaume attendait tout a démarré fort. Sur le coup d’envoi Sergio Martinez déclenché un missile de 25m pour tromper thibault Courtois. A peine dix minutes plus tard Kevin Ten Heuvel convertissait un corner de Facundo. La rencontre gagné encore en intensité lorsque Bjorkelangen remettait les blues en scelle. Cocci se heurta plusieurs fois a la solidité de Hermann, notre jeune portier allemand surprend son monde en remplaçant avec brio au pieds levé le titulaire habituelle. Et pendant qu’il sort des parades en veut tu en voila. Facundo nous redonne un peu d’avance avec une nouvelle action de classe, comme pour fêter son nouveau ballon d’or. C’est Sergio Martinez qui termine le travail en soffrant un nouveau doublé.

Par la suite un grand moment de ma carrière allait arriver avec ma première opposition contre les Toffees d’Everton, notre ennemi juré, même si pour beaucoup la rivalité avec Manchester est plus forte. Il faut dire qu’il doit y avoir a tout casser 300m entre Anfield et Goodison Park. Nous les affrontons donc en FA Cup pour nos débuts. Mais le choc n’en est plus un. Pendant que nous trustons les premières places Everton végète en Championship…
Le match fut déséquilibré et nous nous sommes qualifiés sans forcer. Nos natifs était surmotivé. Jerome Sinclair a ouvert le score. Adam Smith qui monte en régime dans l’ombre a signé un doublé. Pas mal pour le natif de la Mersey. Iker Muniain a montré que petit a petit il retrouvé ses sensations en inscrivant le quatrième but.

De suite nous nous rendons au Pays de Galles pour aborder la demi finale Aller de Capital One Cup contre Swansea. Et dans un Liberty Stadium plein nous avons peiné, nous inclinant même en fin de match…

Mais nous nous sommes vites repris en championnat contre Forest. Le match fut tendus Facundo ouvrit le score en début de partie avant que Graham n’égalise. Il aura fallu attendre le dernier quart d’heure pour voir Sergio Martinez nous offrir la victoire.

On retrouvé ensuite Anfield pour accueillir Huddersfield. Et la machine tourne toujours aussi bien, il faut dire qu’avec un Facundo Witoszynki en feu c’est tout de suite plus facile. Il a d’ailleurs inscrit un doublé dans ce match avant de servir en profondeur Ben Brown pour le 3-0.

C’est ensuite Southampton qui s’est rendu a la maison. et encore une fois Facundo nous mis sur la bonne voie, mais cette fois nous n’avons pas réussi, Grabovski a égalisé et nous n’avons pas réussi a reprendre l’avantage.

De retour a Anfield encore une fois pour le match retour de Carling Cup. Et cette fois nous n’avons pas pavané. Facundo a ouvert le score sur coup franc cette fois avant que Sergio Martinez ne nous envois en finale. Nous y retrouverons les Blues de Chelsea.

Et comme nous aimons les Coupes c’est cette fois Sheffield que nous affrontons en FA Cup. Jason Cox nous a surpris en ouvrant le score mais nous avons gagné le droit de disputer un match d’appuis dans deux semaines grâce a un nouveau but de Facundo inaltérable ce mois ci.

On finit le mois par un déplacement a Cardiff soldé par une nouvelle victoire en championnat. Markus Muller a fété son retour de blessure en ouvrant le score. C’est ensuite Carlos Vera qui s’est offert un doublé.

[Groot]

Liverpool - Un léger coup de mou, pour quelles conséquences ?

Avec un mois de Février plus délicat, les Reds semblent redevenus une équipe banale capable de perdre des matchs…

Ce mois coincide avec le retour de la Champion’s League, mais avant ça place aux compétitions nationales. On retrouve donc Sheffield en match d’appuis. Cette fois ci on ne s’est pas laissé intimidé et les buts sont tombés. C’est Sergio Martinez qui a ouvert le score en fin de première mi-temps grâce une splendide reprise de volée. Ensuite c’est le revenant Raheem Sterling qui a signé un doublé pour son grand retour chez les Reds. De quoi assurer sereinement la qualification pour le tour suivant.

On a retrouvé Arsenal d’abord en Championnat, le match ne fut pas simple contre le troisième de Premier League. Markus Muller a ouvert le score avant de voir Dennis Beck egalisé. En seconde période on a repris l’avantage par l’intermédiaire de Carlos Vera puis de Bruno Cabral. Haramustek a remis Arsenal a porté mais c’etait déjà trop tard.

On a ensuite subis notre seconde défaite de la saison en championnat contre West Brom, les Baggies nous ont surpris par deux fois, Azeri puis Watt on réussi a trouver la faille.

Avant d’aller a Munich un autre match crucial nous attendait avec la recepion de Manchester City en FA Cup, dans ce qui aurais pu être une finale. Mais avec la grosse equipe on aura pas trop laissé espérer les citizen. Notre duo paraguayen a fait la différence en première période par Facundo d’abord puis par Vera. Alors que Desmet permettais au Citizen de continuer a y croire, Sergio Martinez allais rapidement calmer les ardeurs des skyblues. En fin de match Iker Muniain a ajouté un but a son match.

C’etait donc le match du mois mais la ballade contre City a pas mal couté aux organismes. On a donc du logiquement s’incliné a l’Allianz Arena, heureusement ce but à l’extérieur de Sergio Martinez nous permet d’espérer.

A peine remis qu’on retrouve City mais en championnat cette fois, mais encore une fois on s’est imposé. Johnson a ouvert le score en début de seconde période avant que Besson le maestro français n’égalise. Ce n’est qu’en fin de match que Jerome Sinclair nous permis de prendre l’avantage et de repasser devant Chelsea au classement.

Le mois s’est achevé contre Brighton, avec un match mythique. Ben Brown avait pourtant ouvert le score mais dans la foulée Paul Spencer a égalisé avant de pousser Carlos Vera a la faute en prenant l’avantage. Mené au score, c’est poussé par Raheem Sterling en feu qu’on est revenu, par deux fois le feu-follet jamaiquain a score nous permettant de revenir puis de prendre l’avantage. Adam smith calmant en fin de match les ardeurs de Paul Spencer qui pensait tenir le nul pour Brighton.

[Groot]

Liverpool - Un nouveau titre pour Chilavert !

En finale de Carling Cup contre Chelsea, Chilavert remporte un nouveau trophée, le troisième de la saison pour les Reds après le Community Shields et la Supercoupe d’Europe.

On s’en doutait qu’une telle affiche entre deux tenors de la Premier League qui sont dans une lutte acharnée pour le titre et deux équipes rivales risquait d’être alléchante cette saison. Mais l’intensité dans les actions imprimée et parfaitement illustrée en début de match fut aussi égale aux attentes qui ont précédé la rencontre. Excepté Eden Hazard côté blues, toutes les stars étaient présentes aujourd’hui pour ce duel à Wembley. Le plus surveillé et le plus attendu des tous, fut le paraguayen Facundo Witoszynki, un novice pour les finales britanniques. Suspendu quatre matchs, on se demandait si sa forme et son envie seront là pour un match de reprise aussi important. Les réponses n’ont pas tardé à venir, dès la vingtième minute sur un de ces longs centres du côté gauche, il trouva l’anglais Johnson, qui profita de son élan et d’une défense encore mal organisée pour aller tromper Courtois d’un tir broissé (22e, 0-1). C’était la stupeur à Wembley. Une entame que personne ne redoutait malgré une certaine crainte au tour du trident offensif des Reds.

Une entame à couper le souffle

Mais cette ouverture de score a eu le mérite de lancer les festivités et de libérer les espaces dans cette rencontre. Chelsea haussa le ton en imposant un rythme infernal dans la circulation du ballon qui aboutissant rapidement à des occasions en fanfare. Dennis s’illustra en premier avec trois occasions en quelques minutes (26e, 31e par deux fois), sa tête sur un centre de Marcelo heurta la transversale avant de revenir sur ses pieds, la seconde tentative sur une frappe passa au dessus. S’ensuivait des occasions un peu trop timides pour tromper la vigilance de Erik Hermann, à l’instar des tirs de Rasto (16e) et Bjokaslen (19e) qui faisaient écho à des occasions plus concrètes chez les hommes de Chilavert par Witoszynki (22e, 23e), Sergio Martinez (27e) et Muller (31e). Il a fallu aux blues, la vivacité de Dennis et son activité prépondérante sur le couloir gauche pour basculer la rencontre. Son centre à ras de terre dans la surface trouva la main de Powell qui provoqua un penalty exécuté par Dennis (65e, 1-1) et le premier but encaissé par Hermann cette saison.

Dès lors, la confiance redoublée et les espaces retrouvées, les blues ont trouvé une meilleure cohésion et beaucoup plus de fluidité dans le jeu. Mais il en faut plus pour battre la motivation des Reds et les blues sont encore faiblard. L’illustration parfaite de ces nombreuses hésitations fut sur le corner de Witoszynki (72e), le gallois Powell ajusta une tête parfaite dans les buts de Courtois pour le 1-2 (72e). Cet avantage sema définitivement le doute chez les blues, notamment chez Ward Prowse qui perda un ballon primordial devant Witoszynki, qui aboutissa à une superbe offrande de Muller pour Witoszynki, le guarani n’avait plus qu’à ajuster son tir croisé pour réaliser le break et enfoncer un peu plus les londoniens (1-3, 85e).

Ce qui donna un nouveau trophée dans l’escarcelle de l’infatigable José-Luis Chilavert, véritable chef d’orchestre capable de sublimer ses equipes. C’est le troisième trophée de la saison des Reds et peut être pas le dernier.

[Groot]

Liverpool - Un mois de Mars conforme aux ambitions.

Après un mois de Mars intéressant les Reds restent présent dans toutes les compétitions engagés.

ce mois allais commencer par un déplacement à l’Emirates en FA Cup, tout juste auréolé du titre en Capital One Cup et le champagne absorbé qu’il faut repartir au front. Avec une equipe remanié avant le match retour contre le Bayern, Chilavert ne comptait pas laisser le match au Gunners et cela s’est vu. Les Reds ont fait la différence d’entrée, le jeune Powell ouvrant le score sur corner après seulement 4 minutes. A peine 10 minutes plus tard Facundo Witoszynki dribblait la défense des baby Gunners comme du beurre pour inscrire le second but. La différence faite les reds se sont contenté de gérer et cela même après la réduction du score de Mc Garry en début de seconde mi-temps avec au bout une nouvelle qualifications.

Il fallait ensuite se préparer psychologiquement pour le choc contre le Bayern. Nous avions un but de retard après le match aller. Mais pour le retour a Anfield les gars était surmotivé. L’idée était de revenir le plus vite possible. Ce fut fait lorsque Carlos Vera ouvrit le score après 20 minutes, dés lors les bavarois semblait beaucoup moins serein. Il faut dire que notre puissance offensive est connue désormais. Rien ne se passa plus avant la seconde période. Alors que les munichois se réveillait et pousser pour inscrire le but qui les qualifierais, nous les crucifions en doublant la mise par Sergio Martinez. et alors que Kurkovic trouvais la barre et rater l’occasion d’emmener les deux équipes en prolongation, c’est scott Johnson qui mis un coup sur la tête des allemands en inscrivant un troisième but sur le contre suivant, synonyme d’élimination pour le Bayern. Jerome Sinclair ajouta un quatrième but en toute fin de match mais l’affaire était déjà plié. Au prochain tour en quart de finale c’est le FC Barcelone qui se dressera sur la route des Reds.

On recevit par la suite Q.P.R en championnat, et les londoniens profitèrent de notre fatigue pour nous contraindre au nul, Gonzalez répondant a Pelovic.

On allait se reprendre contre Norwich, a Carrow Road nous voulions envoyé un message au blues de Chelsea qui nous colle au train. Je pense que celui ci fut reçu. Sergio Martinez ouvrit le score.De Bree doubla rapidement la mise avant que Facundo puis Carlos Vera n’ajoute de l’ampleur au score dans une première mi temps dantesque. En seconde période Facundo s’offrit un doublé en ajoutant un nouveau but…

On a finit ce mois en écartant Reading 2-0 sur des buts des ailiers Muller et Witoszynki. Au classement on a 4 points d’avance Chelsea n’ayant pas jouer sa 31eme journée encore, cela reste serré.

[Groot]

Liverpool - Les Reds lancent leur sprint final avec un nouveau trophée

Alors que certains voyait Liverpool vaciller, le club emmené par Chilavert dompte Swansea pour remporter sa 9ème FA Cup et lance parfaitement son final-season.

Liverpool a donc remporté la Coupe d’Angleterre après un match ébouriffant où les hommes de José-Luis Chilavert ont remonté un handicap de deux buts pour l’emporter au bout du suspense.

Les Swan’s débutaient la rencontre tambour battant et étaient récompensés dès la 13ème minute. Une reprise de Redmond sur un corner venu de la droite était dévié par Petkovic dans les filets de Hermann (1-0, 13ème). Dépassés, les joueurs de Liverpool étaient spectateurs tandis que des vagues blanches et noir s’abattaient sur le but de Hermann. C’est à partir de l’aile droite que les joueurs de Steve Bruce se procuraient les plus belles occasions, grâce à un Redmond exemplaire. Cinq minutes plus tard, sur un nouveau coup de pied arrêté, c’est Redmond (joueur de la saison côté Swansea) qui s’illustrait avec un but qui assommait Liverpool (2-0, 18ème). Les Swans étaient dominateurs et manquaient même d’inscrire un troisième but sur une tête de Bruce dégagée sur sa ligne par Moro. Empruntés dans le jeu, les joueurs de José Luis ne pouvaient réagir que par l’intermédiaire de Facundo Witoszynki, omniprésent. Celui-ci obtenait un bon coup-franc et transformait lui-même la sentence pour garder son équipe dans le match (2-1, 45ème).

Les débats étaient dès lors bien plus équilibrés, même si les reds gardaient constamment le monopole du ballon. Plusieurs interventions, sur Martinez, puis Muller, méritaient un penalty pour les Reds que M. Probert se refusait d’accorder. Qu’à cela ne tienne, c’est sur un corner inexistant que Liverpool recollait au score après une bonne séquence de Muller (2-2, 67ème). Quelques instants plus tard, à la 79ème minute, Moro ratait une balle de match après s’être retrouvé tout seul au point de penalty. Liverpool continuait de dominer mais Swansea arrachaient une prolongation. Muller, excellent, permutait bien avec Witoszynki et ouvrait de nombreuses brèches dans la surface des gallois. Sur une action d’école, Sterling suivait et bénéficiait d’une talonnade lumineuse de l’international allemand pour crucifier McGregor (2-3, 92ème). Chili, frénétique, pouvait célébrer sa 1ère FA Cup. Pour la quatrième fois cette saison, le capitaine des Reds Facundo Witoszynki soulevait un trophée !

[Groot]

Liverpool - Les Reds lancent leur sprint final avec un nouveau trophée

Alors que certains voyait Liverpool vaciller, le club emmené par Chilavert dompte Swansea pour remporter sa 9ème FA Cup et lance parfaitement son final-season.

Liverpool a donc remporté la Coupe d’Angleterre après un match ébouriffant où les hommes de José-Luis Chilavert ont remonté un handicap de deux buts pour l’emporter au bout du suspense.

Les Swan’s débutaient la rencontre tambour battant et étaient récompensés dès la 13ème minute. Une reprise de Redmond sur un corner venu de la droite était dévié par Petkovic dans les filets de Hermann (1-0, 13ème). Dépassés, les joueurs de Liverpool étaient spectateurs tandis que des vagues blanches et noir s’abattaient sur le but de Hermann. C’est à partir de l’aile droite que les joueurs de Steve Bruce se procuraient les plus belles occasions, grâce à un Redmond exemplaire. Cinq minutes plus tard, sur un nouveau coup de pied arrêté, c’est Redmond (joueur de la saison côté Swansea) qui s’illustrait avec un but qui assommait Liverpool (2-0, 18ème). Les Swans étaient dominateurs et manquaient même d’inscrire un troisième but sur une tête de Bruce dégagée sur sa ligne par Moro. Empruntés dans le jeu, les joueurs de José Luis ne pouvaient réagir que par l’intermédiaire de Facundo Witoszynki, omniprésent. Celui-ci obtenait un bon coup-franc et transformait lui-même la sentence pour garder son équipe dans le match (2-1, 45ème).

Les débats étaient dès lors bien plus équilibrés, même si les reds gardaient constamment le monopole du ballon. Plusieurs interventions, sur Martinez, puis Muller, méritaient un penalty pour les Reds que M. Probert se refusait d’accorder. Qu’à cela ne tienne, c’est sur un corner inexistant que Liverpool recollait au score après une bonne séquence de Muller (2-2, 67ème). Quelques instants plus tard, à la 79ème minute, Moro ratait une balle de match après s’être retrouvé tout seul au point de penalty. Liverpool continuait de dominer mais Swansea arrachaient une prolongation. Muller, excellent, permutait bien avec Witoszynki et ouvrait de nombreuses brèches dans la surface des gallois. Sur une action d’école, Sterling suivait et bénéficiait d’une talonnade lumineuse de l’international allemand pour crucifier McGregor (2-3, 92ème). Chili, frénétique, pouvait célébrer sa 1ère FA Cup. Pour la quatrième fois cette saison, le capitaine des Reds Facundo Witoszynki soulevait un trophée !

[Groot]

Liverpool - Champion au bout du suspense…

Alors que les choses était mal engagé, l’enchainement de match contre United, Chelsea, Sheffield et Swansea aura été bénéfique, il faut dire que Chelsea a complétement craqué contre les Reds mais aussi contre Liverpool.

Ce sprint finale a donc commencé, une nouvelle rencontre a Old Trafford. Mais cette fois United a chargé sa défense, il faut dire que la récente claque 6-1 a Anfield a calmé les ardeurs mais leur a aussi donné l’obligation de bloquer au maximum nos joueurs.
C’est l’infatigable Mario Pugliese qui a ouvert le score très rapidement d’une frappe du gauche imparable. On a obtenu le nul par un but de Kevin Ten Heuvel en seconde période sur un corner de Facundo Witoszynki. Nous permettant donc de revenir a cinq points de Chelsea, les Blues ayant 1 match d’avance.

C’est donc l’heure du grand moment. L’affrontement contre les blues de Chelsea, visiblement perturbé par son avance et sa confrontation en Ligue Europa. Les Blues ont perdu du poids en perdant contre West Brom. Contre nous Facundo a été omniprésent et a fait tomber une nouvelle fois le leader du championnat. Henricks avait bien ouvert le score dés le coup d’envoi. Facundo a d’abord égalisé a la 25ème minute d’un coup franc envelloppé. Puis en dribblant la défense avant de fusiller Courtois du droit. Décidément sur de sa force, Facundo a signé un triplé puis un quadruplé d’abord sur un une deux avec Sergio Martinez, avant de signer un second coup franc en lucarne. Histoire de parachever son oeuvre le double ballon d’or paraguayen a ensuite transformé un penalty et mis fin au cauchemar des Blues. On revient donc a deux points des blues a deux journées de la fin.

On enchaine donc avec un match contre Sheffield United. Sergio Martinez et Powell ont fait la différence en première mi-temps. En seconde Facundo s’est offert un nouveau doublé. On revient donc avec un point d’avance sur les blues a une journée de la fin du championnat.

On a conclut par un nouvelle affrontement contre Swansea, mais cette fois le match n’as pas été serré. Alors que Chelsea s’etait imposé 3-2 a Manchester City nous devions nous imposé pour remporter le titre. cela a été fait par l’intermédiaire de Carlos vera et de Neil Powell chacun auteur d’un doublé. Sebastian Gonzalez a aussi un inscrit un joli but. On remporté donc notre second titre de champion d’Angleterre consécutif et le 20ème de l’histoire du club. Reste maintenant a affronter l’Atletico Madrid pour la finale de la Champion’s League.

[Groot]

Liverpool - Chilavert clot la saison avec une Ligue des Champions !

Chilavert entre donc un peu plus dans l’histoire remportant sa troisième champion’s League personnelle, sa cinquième tout continent confondus(2 C1 avec Benfica, 1 avec Liverpool, 1 CLAN avec America et 1 Libertadores avec Velez), et sa 13ème compétitions continentales.

Pas de buts entre l’Atletico et le FC Liverpool dans cette finale de Champion’s League, mais ce sont les anglais qui remportent leur sixième titre après ceux aux tirs au but (0-0, 6-5).

L’Atletico ne réalisera pas le quadruplé fantastique auquel il était promis. Les espagnols s’inclinent contre le FC Liverpool en finale de la Champion’s League à Munich, sans avoir perdu un seul match dans cette compétition. Les hommes de Diego Simeone ne pourront s’en prendre qu’à eux-mêmes, après avoir eu les meilleures occasions du match, sans jamais concrétiser. Ils pourront peut-être se réfugier derrière l’arbitrage de Monsieur Brych qui aurait pu siffler un penalty pour une faute sur Batota en toute fin de première période.

Mais force est de constater que les anglais ont fait preuve de courage et ont courbé l’échine devant des matelassiers volontaires. Volland, Lamela ou encore Molano, se sont heurtés à Hermann à plusieurs reprises. Balanta a même failli ouvrir le score à la 10e minute mais le portier allemand annonçait la couleur de sa séance de fin de soirée. La fin de la première période est toute à l’avantage des espagnols, qui continuent inlassablement de butter sur une défense solide.

Les anglais ne sont pas en reste, Martinez et surtout Witoszynki, se procurent plusieurs occasions, le guarani, très volontaire, tombe lui aussi régulièrement sur un très bon Jan Oblak. Muller a la meilleure occasion des 90 premières minutes côté Reds quand il reprend en force du plat du pied un centre venu de la droite, finalement capté par le gardien slovène.

Pas de buts, les prolongations sont donc sifflées par Monsieur Brych. L’entrée de Jerome Sinclair fait du bien à une attaque de Liverpool qui commence à perdre pied. Il se procure un très belle occasion mais ne trouve que le petit filet extérieur d’Oblak (110e). Volland, lui part seul et manque son duel, après que son extérieur pied droit ne passe à côté du cadre. Petit à petits, les joueurs de L’Atletico perdent le rythme et se mettent à douter. Quand arrive la séance fatidique, les anglais ne tremblent pas… tous transforment sans broncher, tandis que Cavenaghi, entré en jeu un peu plus tôt, manque son penalty, comme un symbole, lui le buteur de la finale perdue l’an passé déjà. Tandis que Matia Moro transforme ce qui devient le neuvième trophée européen du club de la Mersey. l’Atletico court après un nouveau sacre depuis près d’une décennie désormais.

Au bout de la nuit, les britanniques privent donc Madrid du possible quadruplé. Il reste tout de même la coupe d’Espagne à aller chercher dimanche contre le Real Madrid. La SuperCoupe d’Europe l’été prochain, quant à elle, opposera deux équipes anglaises

[Groot]

Liverpool - Chilavert surprend et rend son tablier au sommet…

Le coach des Reds a annoncé son départ après deux saisons de succès total avec le club de la Mersey. Le Times évoque des “divergences” sur la gestion de l’effectif.

Le Guarani José-Luis Chilavert a démissionné de son poste d’entraîneur de Liverpool, double champion d’Angleterre et champion d’Europe en titre, a annoncé ce mardi le club de la Mersey, via un message vidéo posté sur son site internet officiel. Dans cette vidéo, l’ex-entraîneur des Reds affirme qu’il doit communiquer “la décision prise d’un commun accord de mettre fin à son contrat avec la Liverpool qui courait encore jusqu’à la fin de cette saison”, 2025-2026.

Chili, 59 ans, était en poste depuis deux ans à la tête des Reds de Liverpool, avec qui il a remporté deux Premier League consécutifs, mais aussi et surtout une Ligue Europa et une Champion’s League. Après la victoire en championnat, réalisée grâce à un record de points, Chila avait mis la pression sur son club concernant le recrutement à venir. En effet Chila croyait son effectif trop habitué au succès et demandé une refonte de l’effectif pour permettre au club de continuer a gagner.

Un bilan parfait

Chila avait rappelé que ses dirigeants connaissaient ses “pensées” et que le club avait “eu tout le temps de digérer ce (qu’il) avait à dire” au sujet des renforts nécessaires. Son bilan parfait à la tête de la Liverpool laissait pourtant penser que les dirigeants anglais, le président en tête, ne le lâcheraient pas. La Gazetta dello Sport évoque des divergences sur le recrutement estival.
La saison dernière, les Reds ont tout gagné dans chaque compétitions engagés. Elle avait vu culminer l’expression collective bâtie par José Luis Chilavert, avec l’explosion de Markus Muller, les performances toujours très sûres de Facundo Witoszynki double ballon d’or, et le bonus de la meilleure recrue de la saison avec “le Rojo” Sergio Martinez, auteur de 69 buts en deux ans.

[Groot]

Voici le bilan de Chilavert à la tête des Reds

[Groot]

Alors que Chilavert a récemment démissionné de son poste de Liverpool, tout le monde se demande ce qui se cache derrière cela.

En effet alors que tout tourné parfaitement entre les Reds d’Anfield et José-Luis Chilavert, le coach aux multiples facettes, vainqueur de moult trophées, le deuxième entraineur le plus titré et le plus réputé derrière Sir Alex Ferguson annonce prendre sa retraite. Le grand rival de Roy Keane et de José Mourinho devrait s’expliquer prochainement. Skysports annonce en ce sens que Chilavert répondra prochainement aux questions de Youki, journaliste de talents, dans une interview sans concession, sans faux semblants et ou toute la vérité sera dévoilé.

[Groot]

Cela fait désormais quelques semaines que José-Luis Chilavert célèbre gardien puis coach paraguayen a décidé d’arrêter sa carrière après un passage mythique chez les Reds de Liverpool. Aujourd’hui il a accepté une interview pour revenir sur sa carrière et expliquer pourquoi. Et c’est Daniel Riolo (XaviRubio) et Phillippe Lucas (Youki) qui mèneront cette interview.

José Chilavert,bonjour et merci d’avoir bien voulu m’accorder cette interview en exclusivité. Revenons très brièvement sur votre carrière de footballeur… Vous avez évolué au poste de gardien de but mais démontriez des qualités de buteurs notamment lorsque vous tiriez les coups franc ou encore des penalty. Vos entraineurs aimaient ça ?

Merci Phillippe c’est un plaisir de vous recevoir. En effet j’ai été un gardien plutôt prolifique dans ma carrière, certains entraineurs ont apprécié d’autre trouvé cela risqué, mais je n’ai pas été le seul vous savez. Il y a eu Rogelio Ceni qui a marqué énormément de buts au Brésil. Plus récemment j’ai entendu parler du nigérian Vincent Enyeama qui est capable lui aussi de scorer. Je trouve cela intéressant. Après c’est sur qu’il vaut mieux avoir un entraineur qui a des couilles.

Bref…Cela a surement dû peser en votre faveur car vous avez été élu 3 fois Gardien de but de l’année…En 1995 ,1997 et 1999.Vos meilleurs années en tant que footballeur ?

Oui ce fut une des plus belles périodes de ma première carrière, cela correspond a mon passage au Velez Sarsfield en Argentine. Durant cette période j’etais en feu, on a tout gagné à l’époque. Velez était la meilleur équipe sud-américaine. On a remporté le championnat 3 fois, la Libertadores, la Sudaméricana… En 9 ans avec Velez j’ai joué 341 matchs le record du club et inscrit 48 buts… C’était vraiment une période folle.

Bon,après,vous avez aussi connu des moments plus difficiles ! Comme ce passage au RC Strasbourg à 35 ans ! Surement le plus mauvais choix de carrière,puisque vous n’étiez que l’ombre de vous-même n’est-ce pas ?

En effet, je n’etait plus tout jeune. Ce passage en France j’en ai eu envie après la Coupe du Monde 98, qui fut une magnifique expérience. Ce qu’il s’est passé c’est que lorsque je suis arrivé Strasbourg était au plus mal soyons honnête, et les dirigeants ont voulu que je fasse tout, je devais tout arréter, marquer les péon et même tirer les CF. Surtout j’ai été assez mal acceuilli à l’époque car j’arrivé d’Argentine pour 50 Millions de Francs ce qui était beaucoup en france à l’époque qui plus est pour un gardien. Je prenais la place du cadre de l’époque Debès, un homme charmant au demeurant. Le contexte était plutôt difficile. Au final je notais pas dans une bonne période et au club personne ne m’as aidé, pas mm mes coéquipiers. Ca reste un de mes pires souvenirs de footballeurs.

Heureusement , vous avez su rebondir ,en vous improvisant…pardon,non .En embrassant une carrière d’entraineur ! Et là !! Mama !
Quel palmarès ! Et cela commence par le Velez Sarsfield où vous remportez une Copa Libertadores et 2 Sud-America .On dit souvent que la première fois est la meilleure …Est-ce le cas ?

Oui, j’ai arrété ma carrière en 2004, après quelques passages en politique chez moi au Paraguay, on m’as proposé de devenir coach. C’est même mon mentor Carlos Bianchi qui m’as dit de foncer. Il m’as aidé les six premiers mois a passer mon diplôme. Peu après en 2013 Velez m’as contacté, le club était pas très bien et voulais lancer une politique de jeunes. Cela m’as emballé et j’ai foncé, mais loin de moi l’idée de faire une telle carrière. Au début on a eu un peu de mal, puis quand ça s’est mis en place ce fut magistrale. On était inaltérable. Comme a la belle époque. On a tout gagné pendant 3 ans. Mais mon meilleur souvenir ne viendra que plus tard.

Ce club argentin a lancé véritablement lancé votre carrière de coach.Pourquoi avoir ensuite choisi des clubs pas vraiment médiatisés comme Portland ,le CF America (Mexique) où vous remportez à nouveau bon nombres de titres nationaux et continental ;alors que déjà l’Europe vous tendez les bras ? La peur de ce continent après l’échec strasbourgeois ?

Peut être y avait t’il un peu d’appréhension, mais j’ai surtout répondu aux offres que j’avais. Au moment de partir au Brésil a Vitoria, j’avais eu une approche de Boca Junior, mais dans mon coeur ce n’était pas possible. Au brésil ce fut tout de même une très belle aventure. Puis j’ai une approche des Reds Bulls. J’etais tout excité il y avait encore Thierry Henry a l’époque. Mais alors que j’avais déménagé aux USA. le président a changé d’avis. JE me suis alors promis de me venger et de remporter la MLS. Ca n’as pas été facile car Vitoria ne voulais pas me lâcher et il a fallu que Adidas le sponsor de Portland paye ma clause pour que je puisse quitter le Brésil. Ce fut une expérience intéréssante même si encore aujourd’hui je n’ai pas tout compris (éclats de rire.) Puis en accord avec Adidas j’ai choisi le Benfica pour mon retour en Europe. J’ai donc fini la saison au Mexique ou nous avons tout gagné.

Benfica Lisbonne justement … Vous avez fait renaître de ces cendres, ce grand club d’Europe en réussissant à lui faire remporter la Champions League ! Quelle différence entre ce titre avec ce club et avec ceux remportés avec les autres ?

Ce fut un véritable pari, Je m’en rappelle encore lorsque le président vient me voir a Portland, il me dit Jorge Jesus va prendre sa retraite dans six mois, nous aimerions que vous le remplaciez. LA première saison fut dur, puis Facundo a transcendé le jeu de l’équipe et nous as permis de survoler le championnat, puisqu’on a finit sur deux saisons sans défaite en championnat et même une saison avec 30 victoires en 30 journées. Sans compter les deux Ligues des Champions. Ce fut énorme. Ces titres furent différent de ceux de mes clubs précédent dans le sens ou le public portugais était vraiment passionné, chaque titre fut fort émotionnellement.

S’en suit la destination à Liverpool . On a senti à ce moment , une véritable envie de votre part de prouver au monde entier que le José pouvait réussir dans le meilleur championnat au monde ,la Premier League et cela sans forcément être à la tête de la meilleure formation du moment ! Je ne me trompe pas,n’est-ce pas ?

En effet, pendant 4 ans au Benfica, j’ai tout gagné pourtant on ne m’as jamais élu coach du championnat quand bien même la FIFA m’honoré… Et José Mourinho ne s’empêchait jamais de critiquer le jeu de mon équipe clamant a qui voulait l’entendre qu’au Portugal c’était facile que j’avais eu de la chance. De ce fait lorsqu’il a signé a City et qu’on m’as proposé le poste a Liverpool, je me suis dit je vais le faire taire, et je ne partais pas avec une equipe championne en titre comme lui, mais avec une equipe a reconstruire, a peine qualifié en Europa…

Finalement,diriger une équipe à temps complet,c’est plus jouissif donc qu’une sélection nationale ,non ? Vous aimez cette proximité d’avec un groupe,n’est-ce pas ?

C’est vrai que ce sont deux métiers complétement différents, je n’ai d’ailleurs jamais été sélectionneur sans être en club en même temps, ce n’étais pas concevable pour moi. La sélection on ne se voit que rarement, peut être pour cela que ça n’as jamais fonctionné.

D’ailleurs , n’êtes-vous pas amer concernant ces postes de sélectionneur ? 3 sélections , 3 échecs ! Passes encore votre première expérience qui concernait votre pays natal ,le Paraguay pays natal; mais diriger la sélection brésilienne a été une erreur de casting,non ?

ce furent trois expériences différentes. Avec le paraguay, j’avais beaucoup de pressions, la génération magique était passé, la nouvelle avec les Facundo Carlos Vera était encore trop jeune. C’etait vraiment compliqué. En qualifications ça allait mais pas en compétitions. Mais je reste amer car quart de finalistes de Copa America avec l’équipe disponible c’était déjà pas mal. Avec le Brésil c’était encore plus frustrant, On sortait de qualifications magiques, et juste avant la coupe du Monde les trois meilleurs joueurs Neymar, Oscar et Gabriel se sont blessé. A partir de la c’était compliqué.

Plus encore donc que la sélection argentine … ?

J’ai toujours eu un rapport particuliers avec le peuple argentin. On avait une équipe imbattable sur le papier. Mais sur le terrain c’était compliqué, la retraite de Messi était encore trop présente… Et la défaite 3-0 contre le BResil a Bueno Aires m’aura été fatale. A un an de la coupe du Monde c’est dommage.

Et les joueurs ? Lequel ou lesquels ,vous auront marqué le plus ? Même si je connais la réponse …En Facundo Witoszynki ,vous avez eu toute votre carrière d’entraineur ,un fils spirituel à vos côtés , un témoin de vos concepts footballistiques,non ?

Avec Facundo c’etait assez spéciale, je l’ai découvert dans le barrio ou je suis né, il avait a peine 15 ans. Je l’ai emmené a Velez avec moi, a 16 ans il joué en professionnels. Il a peu joué pendant mes années a Velez car je le protégé, il était très jeune. En partant a Vitoria j’ai réussi a le faire venir en prêt il avait été pas mal, mais Vitoria n’avais pas les moyens de le signer. Je l’ai ensuite amené avec moi a Benfica, il sortait de deux saisons intéressantes avec Santos. Ils nous l’avait laché pour 22Millions à l’époque je crois, c’était un pari, mais je ne l’ai jamais regrétté. Au Portugal il aura tout déchiré inscrivant une centaine de but et autant voir plus de passes en 4 ans. Il aura été l’élément central. C’est pour ça qu’en discutant avec le président de Liverpool je lui ai demandé de le signer. C’était une condition non négociable… Et a Liverpool il a continué a flamber, espère qu’un jour il gagnera la Coupe du Monde avec le Paraguay. Mais j’ai eu d’autres chouchou, comme Victor Andrade, Luciano Vietto , Lucas Romero, Carlos Fierro ou encore Paul Pogba notamment. et les autres, ce serait compliqué de tous les citer.

Plus facile pour vous ,de débarquer dans un nouveau club avec un tel joueur comme soutien,non ?

C’est sur que cela aide. A Benfica j’en ai fait mon capitaine comme a Liverpool, vous savez c’est un joueur très talentueux, un condensé de Messi et de Ronaldo, il a la science du premier et le professionalisme du second.

J’omets de mentionner des joueurs comme Lucas Romero ; Vietto ; Andrade,que vous avez révélé au monde entier …Prouvant au passage que vous aussi ,pouvez être spirituel en devenant leur “père” footballistique !

Pere Spirituel je ne sais pas mais quelque soit mon club j’ai toujours voulu découvrir des jeunes et essayer de les mener en haut, j’ai réussi avec ceux que vous avait cité et rater avec d’autres.

Coach Chila, mon collègue et ami a donc deja lancer les sujets sur votre carrière d’entraineur, de sélectionneur de découvreur de talents. J aimerai aborder un autre thème, la science tactique. L entraineur ne peut pas etre uniquement un recruteur de genie ou un meneur d hommes. Il doit aussi avoir une connaissance éguisée du jeu. Quels ont été vos mentors tactiquement?

Mes mentors, je dirais Carlos Bianchi qui m’as tout appris mais aussi Luiz Felipe Scolari et Jorge Jesus qui m’ont accompagné durant ma carrière et qui m’ont beaucoup appris. Tactiquement j’ai vite trouvé le système qui me correspondait.

José Mourinho, quand il arrive dans un club, se documente sur la ville, les supporters et l histoire du club pour établir une philosophie de jeu.
Vous pensez que le coach doit mettre en place une tactique par rapport à l adversaire ou installer sa “marque de fabrique”?

Mais moi aussi je me documente beaucoup avant d’arriver dans un club. Avant d’accepter Benfica j’ai étudié l’effectif pendant 2 mois et j’avais défini le recrutement avant même d’arriver. Après j’avais un systmème en tête et j’ai souvent pu l’appliquer cela m’a aidé…

Enfin, avez vous des regrets? Pas sur le plan trophées, car vous avez tout raflé, mais un club que vous auriez aimé entrainer. Un joueur que vous auriez aimé coacher…"

J’aurais beaucoup aimé entrainer Strasbourg mais ce n’était pas possible, lorsque j’ai rejoint l’Europe le président de l’époque ne voulait pas alors que je serais venu même en Ligue 2. J’ai proposé mes services cette année aussi après avoir décidé de quitter Liverpool, mais le club en difficulté en national n’as pas voulu tenter par peur de la réaction des supporters. J’aurais bien aimé coacher en Italie, en Allemagne et au Japon mais cela n’as pas été possible.

Et maintenant José ? Allez-vous totalement décrocher de ce monde là ? Ou comme bon nombre de vos collègues,allez devenir chroniqueur ? Et ainsi ,profiter de régler quelques comptes envers d’anciens coachs ,comme …

Je commenterais la Coupe du Monde pour les médias argentins et paraguayen, mais je peux vous confirmer que vous ne me reverrez pas sur un banc de touche. Je n’aime pas regler mes comptes sur la place publique, mais ce n’est pas une surprise de dire que j’ai eu des relations tendus avec certains coachs. Notamment José Mourinho, mais je ne suprendrais personne en disant que c’est un pervers narcissique et ego centriste… Mais au final qui de nous deux a le plus beau palmarés…

José ,vous resterez quoiqu’il arrive comme une des plus grandes figures que le ballon rond ait connu … En avez-vous conscience ?

C’est un honneur que l’on dise cela de moi, mais je ne pense pas que ce soit a moi de dire cela… Merci a vous deux

Merci sir Chilavert.