Passage devant Milan au meilleur des moments avec en passant la petite Manitas au Barça. Si on excepte ton élimination en coppa, le mois est des plus réussi
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Décidément l’Atalanta est ta bête noire 
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Une bête noire tout de mêmes sortie de la CL !!
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Tu es repassé devant ! Mais ils s’accrochent.
L’Atalanta est vraiment ta bête noire. J’ai pas d’explication pour ça. Va falloir faire appel à un marabout.
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« Bonjour, bonsoir à vous tous. En effet, nous reprenons la tête du championnat au meilleur moment, alors qu’il ne reste que quelques rencontres à disputer. Ici, ça va se jouer au mental et je le reconnais volontiers, mes joueurs n’en manquent pas. Je vois par contre que certains de nos supporters ne suivent pas (Rires). Oui, l’Atalanta est notre bête noire. Oui, nous nous sommes inclinés lors de notre match en Coppa. Mais il ne faut pas oublier que c’était le retour. A l’aller, nous l’avions emporté. Je dois bien le reconnaitre, nous passons par la petite porte. Mais ce n’est pas grave. Nous sommes en finale et à peu de chose de peut-être soulever ce trophée qui nous échappe depuis toujours. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
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Il y a des fois où mai est un mois plutôt tranquille. Cette saison, ce n’est pas le cas. De nombreux matchs, dont une finale de Coppa Italia face au Milan attendent la formation sicilienne. Pourront-ils maintenir la cadence de ces dernières semaines afin de terminer le travail?
Mai commence par la réception de Salernitana. Face à une formation qui squatte la zone rouge, les siciliens déroulent et s’imposent sans aucune difficulté. Le duo infernal, Dušan Vlahović et Lorenzo Lucca, se chargent de terminer le travail et inscrivent à eux-deux les trois pions de la rencontres, trois pions pour trois points. Seule ombre au tableau, la sortie en boitant de Lucca. La sentence se révèle cruelle puisque le staff médical communique assez rapidement sur l’état du joueur. Elongation au mollet et saison terminée pour l’international italien.
Trois jours plus tard, Palerme se rend en Espagne pour le match retour de demi-finale de Ligue des champions. Après sa large victoire à l’aller (5-0), la formation de Marković est en position de force. Mais prudence. L’histoire a déjà montré par le passé qu’un bon résultat n’est pas synonyme de qualification. Paulo Dybala ouvre la marque avant le quart d’heure de jeu d’une belle frappe placée en pleine lucarne, avant que les locaux ne reprennent l’avantage par un doublé rapidement inscrit. Mais qu’importe. Les italiens ne paniquent pas et en seconde période, reviennent à la charge. Vlahović, Scalvini et Šeško viennent sceller les derniers espoirs catalans. Pour la première fois de son histoire, Palerme va en finale!
Le retour à la vie normale se fait sans encombre pour Palerme qui enchainent trois victoires en trois rencontres de Serie A. La formation de Marković inflige une lourde défaite au Genoa, sur sa pelouse, s’offre le scalp de la Roma devant leurs supporters et clôturent leur campagne de championnat par un déplacement rondement mené à San Siro. Benjamin Šeško ouvre rapidement la marque, au quart d’heure de jeu pour être précis, avant de voir le jeune milieu offensif roumain, Dan Petcu, faire revenir les siens dans la partie grâce à un coup franc magnifiquement tiré. Pas de soucis pour super Šeško qui offre la victoire à son équipe en seconde période.
Mais entre les rencontres face au Genoa et à la Roma se tient la finale de Coppa Italia. C’est le Milan qui se dresse entre Marković et le trophée. L’opposition est terrible, le match est particulièrement dur et les fautes pleuvent. Pour autant, une seule formation inscrit son nom au tableau d’affichage. Il s’agit de Palermo qui profite du talent de son secteur offensif pourtant amputé de Lucca pour prendre le large. Après sa victoire en Supercup, Palerme s’offre un nouveau trophée.
Cette saison déjà historique se clôture par la finale de Ligue des champions face à Manchester United. Le hasard est cruel pour le club italien puisque la rencontre se dispute à Old Trafford, le stade mancunien. Un problème pour Palerme? C’est ce que les premières minutes laissent penser. Portés par leurs nombreux supporters, les Red Devils ouvrent la marque dans les premières minutes de jeu. Tous enterrent déjà l’équipe italienne. Et pourtant, cette dernière fait preuve de beaucoup de caractère et renverse la situation. Vlahović permet aux siens de revenir à égalité d’une belle tête plongeante. En seconde période, Paulo Dybala, littéralement intenable tout le long de la rencontre, permet aux Rosanero de prendre l’avantage d’une frappe puissante avant de voir le buteur serbe terminer le travail après un vrai numéro en solo. Coup de sifflet final, les Rosanero sont sur le toit de l’Europe.
Pour la seconde fois de son histoire, le Palermo Football Club remporte la Serie A. Comme la saison précédente, ce sont les deux formations milanaises qui complètent le podium, avec tout d’abord l’équipe de Pioli en seconde position suivi de l’Inter sur la dernière marche. La campagne de championnat aura été particulièrement haletante tant le Milan et Palerme se seront tirés la bourre tout le long, étant sans aucun doute possible bien au-dessus du reste de la mêlée.
« Supercup, Coppa, Serie A, Ligue des champions. J’ai l’impression de rêver. Jamais de ma vie je n’aurai cru possible de remporter toutes ces compétitions la même saison. C’est juste fou! Je pense que je n’ai qu’une chose à faire pour le coup. Je remercie les gars pour le travail consenti. Ça n’a pas toujours été facile, la saison a été longue et frustrante par moment, mais nous avons toujours su réagir en équipe. Et c’est ça qui a fait la différence.
Tout ceci bouleverse un peu mon programme. Mais bon, il faut parfois sauter le pas. Je profite donc de cette conférence de presse pour vous annoncer mon départ avec effet immédiat du Palermo Football Club. Ces sept saisons ont été magnifique. Je ne pourrais jamais assez remercier toutes les personnes qui ont un jour été à mes côtés. Mais voilà, aujourd’hui, je suis fatigué de tout ça. Le football ne m’intéresse plus. Je préfère m’arrêter maintenant, plutôt que de tirer sur la corde et être totalement dégouté de ce sport. Je souhaite tout le succès du monde au club. Au revoir. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
- Dušan Vlahović a été nommé joueur de la saison en Serie A.
- Josip Marković a été nommé entraineur de la saison en Serie A.
Une fin de saison en apothéose pour Palerme qui aura soulevé pour la première fois de son histoire la Ligue des champions, en plus des trophées nationaux. Mais ce mois de mai prend une tournure tout à fait différente avec l’annonce surprise du départ du technicien croate. Comment Palerme pourra traverser ce moment? Difficile à prédire.
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Quelle magnifique saison pour clôturer ton aventure sicilienne ! Félicitations ! 
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Belle épopée Sicilienne avec Palerme ! Donc le Coach croate va prendre sa retraite où tente une autre aventure dans un autre championnat ?
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bravo. Partir en étant en haut c’est toujours la classe
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Markovic qui annonce sa démission surprise.
Le travail est fait, une étoile sur le maillot, deux titres en série A. Il part sur le toit de l’Europe au bout de 7 ans.
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perfecto !
c’est vrai que quand on a tout gagné , on n’a pas vraiment d’objectifs
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Quelle saison incroyable ! Félicitations à toi 
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Félicitations coach pour cette saison historique.
Mais la question qui est sur toutes les lèvres est la suivante :
Stop ou encore ?
Et comme le dit le grand @Malkavens partir au top c’est le top !
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Quel départ en fanfare ! C’est juste la meilleure sortie possible et ce qui pouvait arriver de mieux à Markovic. Superbe saison ! et ça laisse surtout un sacré suspense pour la suite
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Le travail est fini, Palerme est au somment, coach Markovic peut partir avec le sentiment du devoir accompli ! 
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« Bonsoir à tous. L’émotion est grande quand je lis les nombreux messages des supporters. Je sais que c’est difficile à lire pour certains, accrochés à une version bien précise de l’équipe. Mais il faut l’admettre, c’est bel et bien fini. Je n’ai plus l’envie ni la motivation suffisante pour mener à bien un club aussi ambitieux que Palerme. Ce fut sept magnifiques années. Mais il est temps d’y mettre un terme. Je souhaite beaucoup de réussite au club. Pour ma part, mes projets se limitent à profiter de ma famille prendre un long, très long repos dans ma Croatie natale. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
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La fin d’une ère
1 juin 2028
Ca y est, ce qui semblait ne jamais pouvoir se produire s’est produit. Palerme n’est plus emmené par Josip Marković. Le technicien croate a annoncé son départ à la surprise générale au lendemain d’une victoire historique en Ligue des champions. Une annonce en forme de séisme pour un club qui a su mettre son destin entre ses mains au bon moment.
Il était une fois
La carrière de Josip Marković n’aura pas été de tout repos. Débarqué en Sicile à la surprise générale en septembre 2021, prenant la place de Giacomo Filippi, le croate impose rapidement sa patte. Malgré son jeune âge, les joueurs s’imprègnent assez vite de son discours et une forme de cohésion s’installe dans le groupe au fil des semaines. En parallèle de la gestion des entrainements, Marković se construit un important réseau afin de recruter malin, les finances étant serrées. La formule fonctionne et dès sa première saison, le manager remporte la Serie C ainsi que la Supercoupe C.
La saison suivante doit être celle de la confirmation. Pour de nombreux observateurs encore, Marković a eu simplement un coup de chance. Alors que la grande majorité des observateurs ne voient pas les Rosanero aller plus haut que la seconde moitié du classement, ils déjouent tous pronostics et remportent la Serie B. Seconde saison, second championnat remporté et seconde promotion. Un succès total pour le coach!
Pour sa première saison dans l’élite depuis bien longtemps, Palerme résiste, impose son jeu offensif et étouffant et termine à une belle 8e place. Alors que Marković affine son groupe, faisant progresser de nombreux joueurs et s’appuyant sur une base stable solide, les Rosanero terminent deux saisons de suite sur la seconde marche du podium. Il faudra attendre la saison 2026-2027, la quatrième en Serie A, pour voir les siciliens soulever le scudetto.
Cette dernière saison aura ironiquement été le chant du cygne pour Palerme version Marković. Malgré le départ du buteur star, Roberto Piccoli, les Rosanero remportent l’ensemble des compétitions qu’ils disputent, une belle prouesse, d’autant plus que le Milan toujours dirigé par Stefano Pioli se révèle particulièrement performant.
Un formateur dans l’âme
Marković, ce n’est pas simplement une question de victoire ou de trophée. C’est également la construction d’un groupe, d’une identité commune. Bon nombres de joueurs se seront lancés ou relancés sous ses ordres. Citons par exemple Mattia Caldara, pourtant largement en perte de vitesse, Lorenzo Lucca, Tommaso Pobega ou encore Giorgio Scalvini. Travaillant sans relache pour transmettre ses principes de jeu à ses joueurs, Marković aura littéralement façonné un grand nombre d’homme à l’image de son football. Au point que certains en feront les frais une fois partie, la faute à des habitudes prises ne convenant pas à tout les jeux. Ivan Nevistić aura connu une saison galère à Newcastle avec seulement quatre rencontres disputées, tout comme Marco Tumminello, parti à Porto, qui est aujourd’hui en Allemagne, au FC Koln, en seconde division.
Et maintenant?
Marković a été clair, il ne souhaite pas se remettre sur un banc de touche de sitôt. Las du football, de la pression liée aux résultats, du rythme de vie effréné, le croate a décidé de poser un choix fort et de mettre « temporairement » un terme à sa carrière. Nul ne connait la réalité de la saison prochaine. Le manager pourrait un jour décider de faire machine arrière et de revenir dans le monde du ballon rond. Mais à l’heure actuelle, ce n’est pas dans ses projets. D’ailleurs, il a déjà quitté l’Italie pour sa Croatie natale.
Pour le club, ce n’est pas la même histoire. Les dirigeants de Palerme se retrouvent face à un véritable casse-tête. Qui peut remplacer Marković? Ce sera la grande question de ces prochaines semaines et nul doute que la formation sicilienne sera particulièrement scrutée afin de voir la stratégie choisie par Livia Delucci.
« Je dois bien dire que nous avons été tous surpris de cette décision. Mais voilà, c’est la vie. Il faut continuer à avancer. Nous ne pourrons pas revenir en arrière. Ce chapitre là de la belle histoire de Palerme est clot. A nous de faire en sorte que le prochain soit encore mieux. Nous allons travailler dans ce sens. Dans les prochains jours, nous établirons le profil recherché. Je sais que certains sont déjà à l’affut et prêt à se présenter à nous. Je suis impatiente de voir ce que ça va donner. D’autant plus que ça fait longtemps que je n’ai plus fait passer d’entretien pour un poste d’entraineur (Rires). »
- Livia Delucci, présidente du Palermo FC -
Note de l'auteur
Voici la fin de cette aventure sicilienne sur FM22! Merci à tous d’avoir suivi ce récit. J’espère que vous aurez pris autant de plaisir à le lire que moi à l’écrire. On se retrouve prochainement sur FM23.
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The end !
Rien a ajouter de plus.
Chapeau l’artiste
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7 saisons quand-même ! Belle épopée ! Bravo !!!
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