:storyred: :s7: Bound For Glory

Manchester City en 1/8e ! Sacré morceau. Repos nécessaire, vous avez raison coach !

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Forum

« Bonsoir, je vous rejoins totalement. Manchester City n’est vraiment pas un tirage facile. C’est vrai que la saison passée, ils ont été moins bons en Premier League, en terminant à cette 4e place. Mais ils ont tout de même remporté la Carabao Cup. Quand je vois la densité du championnat anglais, je me dis que ce n’est pas rien. Il nous faut du repos, histoire d’attaquer les prochaines semaines de compétitions de la meilleure des manières possible. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

AUTRES QUESTIONS

Ça me va droit au cœur ça, d’autant plus que je me suis toujours inspiré de tes réçits, d’Aston Villa à Sunderland :wink:

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On le sait tous, janvier est un mois compliqué, et ce, pour plusieurs raisons. Déjà, la trêve de noël est trop souvent synonyme de relâchement chez les joueurs qui peuvent revenir dans des états de forme aléatoires. De plus, la fenêtre des transfert hivernaux est propice aux rumeurs et mouvements pouvant déstabiliser un club tout entier. Voyons aujourd’hui ce qu’il en est pour Palerme.

Rencontres

Matchs_01

On peut dire que cela commence mal. C’est par un déplacement à Rome que les Rosanero ouvrent 2028. Les corps semblent être un peu rouillés, en difficulté au moment de répondre à l’intensité physique imposée par la formation locale. Si ce sont finalement les hommes de Marković qui ouvrent la marque grâce à l’inévitable Vlahović, derrière, c’est la débandade. Les siciliens encaissent le but de l’égalisation au retour des vestiaires, ce qui semble leurs mettre un coup certain au moral. Après cela, Nicolò Zaniolo fait le show et inscrit même un doublé pour une large victoire romaine et une déception pour les champions en titre.

Une poignée de jours plus tard, Palerme retrouve son rival milanais pour la Supercup, bataille entre le tenant du titre en Serie A et le vainqueur de la Coppa Italia. Dès le début de la rencontre, les siciliens se montrent en difficulté face à des adversaires plus agressifs, mieux organisés, qui mettent une grande pression sur la surface adverse à chaque occasion. Vers la demi-heure de jeu, les palermitains encaissent deux pions coup sur coup. Le premier sur un corner mal défendu tandis que le second est sur penalty, conséquence d’un tacle dangereux de Fausto Tesoro lui valant au passage une carte rouge et donc un retour prématuré au vestiaire. Si rien n’a filtré de la part des joueurs, nul doute que Marković a dû passer un sacré savon à ses joueurs. Car au retour sur la pelouse, c’est un tout autre visage qu’ils affichent. Notamment porté par Lorenzo Lucca, les siciliens passent la seconde et mettent une pression folle sur la défense milanaise. Rapidement, les Rosanero font craquer leurs adversaires, grâce à un doublé de Lucca remettant les compteurs à zéro, puis par un frappe puissante de Paulo Dybala offrant la victoire aux siens.

Fort de leur succès en Supercup, les palermitains reçoivent l’autre club milanais dans le cadre de la Serie A. Avec un onze remanié, à l’exception du trio offensif, à l’instar des intéristes, ils mettent dès les premières touches de balle beaucoup de rythme. Vlahović ouvre le score d’une tête puissante, mais dans la foulée, les visiteurs reviennent au score. En seconde période, rebelote. Dybala permet aux palermitains de reprendre l’avantage sur coup-franc mais une nouvelle fois, l’Inter revient. En fin de match, Lucca permet aux tifosi d’espérer à une victoire. Mais dans les arrêts de jeu, Marco Carnesecchi se troue sur une sortie et encaisse un but largement évitable. Un match nul qui ne fait les affaires de personne, même si les supporters neutres ont certainement apprécié.

Les poulains de Marković sont piqués au vif. Car derrière, ils enchainent avec trois larges succès face à Bologna en Coppa Italia, au Torino et Venezia pour la Serie A. Trois victoires remplies de buts, sans aucune errance défensives face à des adversaires d’un calibre inférieur contre qui les contre-performances étaient à exclure. Enfin, Palerme termine son long mois de janvier par un déplacement sur la pelouse de Parma. Grâce à Lucca, Vlahović et Ljubec, les hommes de Marković s’assurent une nouvelle victoire, la quatrième de rang. Seule ombre au tableau, un pion encaissé dans les arrêts de jeu, qui aurait largement pu être évité par l’arrière garde sicilienne.

Classement_01

Malgré les deux couacs du mois, Palerme reste leader du championnat et reprend même un peu d’avance sur son rival milanais. La Juventus reste solidement accroché à la troisième marche du podium, tout en étant malgré tout talonné par l’Atalanta qui ne semble rien vouloir lâcher. En Coppa Italia, les Rosanero retrouveront la Roma en quart, un match piège par excellence au regard de la dernière confrontation entre les deux formations.

« Nous avons connu des hauts et des bas ce mois-ci. Mais globalement, je suis satisfait. Nous avons su traverser les moments difficile ensemble, comme une vraie équipe. Puis, nous venons tout de même de nous offrir un nouveau trophée. Je suis fier des gars. Ils peuvent être félicité pour cela. Oui, pour certains, ce n’est que la Supercup. Mais c’est une compétition exigeante, entre deux grandes équipes. Cette coupe a autant de valeur à nos yeux que le championnat ou la Coppa. Maintenant, nous devons nous concentrer sur la suite. De grosses rencontres nous attendent. Nous allons affronter d’excellentes équipes qui ont faim de nous faire tomber. A nous de nous montrer meilleurs. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Paulo Dybala a marqué l’histoire de la Supercup en devant le buteur le plus âgé de la compétition, à 34 ans et 58 jours.
  • Tilen Ljubec a signé un nouveau bail. Il est désormais lié à Palerme jusqu’en 2032.
  • Dušan Vlahović a été nommé joueur du mois en Serie A pour la seconde fois de la saison.
  • Pour la première fois depuis l’arrivée de Marković, il n’y a eu aucun mouvement lors du mercato.

bref

En bref, une bonne manière de lancer la nouvelle année. Les petits couacs n’auront finalement pas eu d’incidence au classement, que du contraire. Maintenant, il faut garder le cap et tenir le rythme en affichant le même niveau que lors des dernières rencontres.

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Une défaite et un nul qui pour moi font office de retour à la réalité. Si les joueurs avaient décidé de s’emballer cette défaite face à la Roma les oblige à se remettre au travail.

Milan est la seule équipe à suivre le rythme imposé.

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Forum

« Bonsoir à vous. Je ne peux que vous rejoindre. Cette défaite en guise d’inauguration de la nouvelle année est un rappel bien utile que rien n’est jamais acquis. A nous de montrer plus d’envie et de sérieux, que ce soit à l’entrainement comme en match, afin de minimiser les risques de se faire piéger de la sorte à l’avenir. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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02

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Février ou le pire mois de l’année selon Josip Marković. En effet, le calendrier qui attend l’équipe sicilienne est simplement dantesque, entre championnat, Coppa Italia et Ligue des champions.

Rencontres

Matchs_02

La première rencontre de ce second mois de l’année n’est autre qu’un déplacement dans le Piémont. Lors de la première période et le début de la seconde, on ne voit qu’une équipe sur la pelouse, celle de Palerme. Dominants dans le jeu, les siciliens font tourner en boucle leurs adversaires. Pourtant, tout bascule lors du dernier quart d’heure de jeu. Le jeune Pietro Baldi se fait expulser pour un tacle dangereux et derrière, c’est la débandade. Réduits à dix, les Rosanero ne peuvent résister et voient la Juventus revenir au score.

Quelques jours après, Palerme retrouve l’Atalanta pour une nouveau match au sommet. Heureusement pour eux, cela se passe mieux cette fois-ci que lors de la rencontre du troisième au classement. Car malgré un but rapide des hommes de la Dea, c’est bien les Rosanero qui dominent la rencontre et donnent la meilleure impression aux observateurs. Plus percutants, plus rapides, plus techniques, il ne manque qu’un soupçon de réalisme pour conclure. Il faudra attendre le début de la seconde période pour les voir revenir au score avant que l’inestimable Dušan Vlahović ne vienne offrir la victoire aux siens dans le dernier quart de jeu.

Quatre jours plus tard, c’est la Roma qui se dresse sur le chemin des siciliens dans le cadre du quart de finale de la Coppa Italia. Marković est tendu, comme en témoigne son interview pré-rencontre. Il le sait, les romains sont de gros adversaires, capable de les mettre à terre comme lors de leur affrontement du mois passé. Pour autant, rien de tout ça ici. Les siciliens écrasent les visiteurs sont aucune compassion, et ce, malgré un effectif remanié. En effet, Vlahović, Dybala, Verschaeren, Frabotta et Scalvini commencent la rencontre sur le banc. Pas un problème pour Palerme puisque comme à chaque match depuis son replacement en tant que meneur de jeu, Adel Vinčić brille. S’il se met en avant évidemment par son doublé, son activité, son sens du jeu et son touché de balle exemplaire, auront conquit les observateurs.

Derrière, c’est pourtant les montagnes russes en championnat. Palerme retrouve le Napoli et ne peut faire mieux qu’un triste partage sans aucun but et seulement quelques frappes cadrées. Même chose face à Empoli. Il n’y a que la rencontre entre les deux, la réception de Bologna, qui fait office d’arc en ciel au milieu de la grisaille de ces quelques jours. Face à un onze complètement dépassé par les évènements, les joueurs de Marković s’en donnent à cœur joie et font tourner en bourrique leurs adversaires. Le trident offensif Dybala - Lucca - Vlahović se montre particulièrement en forme et juste dans la moindre de ses touches de balle. Un régal pour les spectateurs.

Alors que la fin du mois approche, c’est le retour des matchs européens. Un gros morceau attend Palerme puisque c’est un déplacement en Angleterre, plus particulièrement du côté de Manchester, qui attend Marković et ses hommes. Si City a connu une saison précédente plus quelconque, conclue à la quatrième place, cela n’en reste pas moins une grosse équipe, toujours difficile à manœuvrer. D’autant plus que la formation dirigée par Jürgen Klopp sort de deux saisons où ils auront atteint la finale de la Ligue des champions, à chaque fois perdue contre le Bayern Munich. Une référence donc sur la scène européenne. Pour autant, la rencontre tourne progressivement mais surement à l’avantage des italiens. Après l’ouverture du score de Paulo Dybala à la demi-heure de jeu, but un peu chanceux il faut bien l’admettre, les Rosanero grignotent de plus en plus de terrain sur les locaux qui craquent deux fois de plus. Seule ombre au tableau, la réduction du score des Citizens lors des arrêts de jeu.

Palerme termine enfin son mois de février dantesque par la réception de la Sampdoria en championnat. Un match tranquille, où les palermitains font le job, dominent aisément leurs adversaires, et inscrivent pas moins de cinq pions. Mais, car oui, il y a un mais, les Rosanero craquent de manière inattendue lors des cinq dernières minutes de jeu. C’est l’effondrement total. La Sampdoria, qui jusqu’à présent n’avait pas cadré le moindre tir, inscrit deux beaux buts coup sur coup. Anecdotiques puisque la victoire et les points vont malgré tout aux siciliens, mais révélateurs de quelque chose.

Classement_02

Avec trois partages sur le mois, il ne pouvait en être autrement. Palerme perd la tête du classement au profit du Milan de Pioli. Si le retard est pour l’instant minime, le match en retard des nouveaux leaders peut peser lourd dans la balance, d’autant plus que les Rossonero affichent une forme olympique depuis plusieurs mois, et ne semblent vouloir en aucun cas lâcher du lest. Derrière eux, à la troisième marche du podium, se trouve toujours la Juventus. Pour les observateurs, il est clair que nous avons le podium de Serie A déjà décidé. Reste à savoir quel sera l’ordre.

« C’est quoi ce calendrier? Je suis fatigué, et mes joueurs le sont encore plus. On ne s’arrête plus. Ce n’est pas un rythme tenable sur la durée. Heureusement, nous n’avons pas déploré de grosses blessures, surtout des petites gênes musculaires ici et là. Mais non, à un moment, il faut dire stop. On joue avec la santé des joueurs, avec la santé du staff. Honnêtement, je suis las de cela. Je me bats depuis des années pour dénoncer une situation qui recommence saison après saison à la même période, mais c’est dans le vent. Rien de plus déprimant. Sinon, au niveau du championnat, bien sûr que je suis déçu. Nous aurions pu conserver notre avance au classement. Mais non, nous avons fait tout le contraire de ce qu’il fallait. J’attends de mes gars qu’ils se réveillent. On ne peut pas l’emporter si nous faisons preuve de tant de nonchalance. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Yari Verschaeren et Giorgio Scalvini ont prolongé son contrat jusqu’en 2032.
  • Michele Di Gregorio rejoindra le Napoli à la fin de son contrat.

bref

Février où le mois des enfers pour Josip Marković et ses joueurs. Le technicien est apparu particulièrement agacé de cette situation et de la forme de son équipe. Pour autant, tout n’est pas perdu, la saison n’est pas terminée. Il va cependant falloir que le manager croate trouve les clés pour faire bouger les choses, sous peine de connaitre une grosse désillusion.

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ha shit, tu as perdu la 1ere place.

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Et surtout c’est quoi cette équipe de Milan qui tient un rythme encore plus abusé que le tien :dizzy_face:

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Milan qui passe Palerme, allez il faut se remotiver !

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Forum

"Bonjour à vous tous. Voir nos rivaux repasser en tête est évidemment une déception vu le travail accompli jusqu’ici. Nous nous sommes relâché lors de ce gros mois de février et nous en subissons actuellement les conséquences. Le Milan a une grosse équipe, de nombreux joueurs de qualité. Il va falloir batailler pour tenir le choc tout au long de la saison, c’est un fait. Mais j’ai confiance. Les qualités sont là, c’est évident. Il suffit de voir notre début de saison pour le remarquer. "


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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300 matchs

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2 mars 2028

Hier soir avait lieu le match aller de la confrontation tant attendu entre l’Atalanta et Palerme, dans le cadre de la demi-finale de Coppa Italia, compétition remportée par la Dea lors de la saison 2024-2025 (et il avait terminé finaliste la saison dernière), mais qui échappe depuis toujours à l’équipe sicilienne. Si c’est une courte mais précieuse victoire par 1-0 en faveur de ces derniers qui a cloturé la rencontre, l’essentiel était ailleurs pour certains. Josip Marković, à peine 33 ans, a fêté son 300e match sur le banc de son club de cœur, son 300e même en tant qu’entraineur. Retour sur cette épopée.

Retour en arrière

Lorsque Marković débarque pour la première fois du côté de Palerme, nous sommes en 2021, le 13 septembre plus précisément, il est un parfait inconnu. Enfin, pas tout à fait. Malgré son jeune âge, le croate a déjà bourlingué pas mal, entre Allemagne et Italie, où il a été préparateur dans plusieurs clubs, et surtout le RB Leipzig et l’Atalanta, où les coachs en place, respectivement Julian Nagelsmann et Gian Piero Gasperini, l’aident à faconner son identité de jeu.

Si son arrivée à sucister beaucoup d’incompréhension, le manager a su rapidement répondre présent, relancer un groupe dans le besoin et terminant même la saison au sommet de la Serie C. Depuis, Palerme vit un conte de fée. les Rosanero sont remontés en Serie A, remportant au passage la Serie B lors de leur unique saison dans l’antichambre de l’élite, puis donc la compétition reine en Italie lors du précédent exercice. Adepte d’un jeu résolument offensif et sans concession, maître dans l’art de faire éclore de jeunes talents et de relancer d’autres profils plus expérimentés, Marković a résolument marqué l’histoire récente du football italien. Adoubé par un certain nombre de pairs, le croate a également reçu plusieurs récompenses individuelles comme le titre de l’entraineur de la saison en Serie B par trois fois celui de la Serie A, lors des trois derniers exercices.

L’avenir

Si cette saison n’est pas de tout repos, Palerme se bat encore pour conserver le titre en championnat, pour accéder à sa première finale de Coppa Italia et est toujours dans la course à la Ligue des champions. De plus, la Supercup est déjà remportée, un nouveau trophée, inédit même, pour une équipe d’affamées. Mais de quoi est fait l’avenir de Josip Marković? A l’heure actuelle, c’est plus trouble. Si jusqu’à présent, le croate n’a jamais donné suite aux appels de grands clubs désireux de l’engager, la situation pourrait prochainement changer. En effet, il se murmure dans l’entourage du jeune entraineur que ce dernier pense de plus en plus avoir fait le tour de la question en Sicile, et serait prêt à se lancer dans un nouveau défi. Mais où? Les rumeurs parlent d’un départ en Allemagne, où il pourrait retrouver sa famille, ou en Angleterre, là où la puissance financière des clubs permet de faire des miracles. Mais jusqu’à présent, le technicien a toujours balayé ces questions d’un revers de la main.

« Je suis ravie de voir que nous avons fait un choix audacieux mais payant il y a quelques années. Depuis son arrivée au club, Josip Marković a montré tout son potentiel, une aubaine pour une formation ambitieuse comme la nôtre qui a pu profiter de sa motivation et de ses idées pour grandir. Je vois l’avenir avec optimisme. Je pense que notre collaboration fructueuse peut encore continuer pendant de longues années. Nous avons bâti ensemble un projet sur le long terme dans lequel chacun peut se retrouver. De plus, nous avons encore beaucoup de choses à accomplir. Un jour, nous remporterons la Ligue des champions, j’en suis convaincue. Nous avons les armes pour. Ne manque que de l’expérience dans ce domaine. Mais j’ai confiance en nos joueurs et dans le staff. Chaque jour, nous montrons que nous progressons et que nous prenons la route vers l’accomplissement de l’ensemble de nos objectifs. »


- Livia Delucci, présidente du Palermo FC -

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Hola @Rhino, je viens de récupérer tout mon retard. Toujours très agréable de te lire.
Bravo pour ce premier titre en Série A. C’est totalement mérité ! Et quelle armada offensive.
Tu en as mis quelques raclées :astonished:
Heureusement que l’AC est là pour garder un peu de suspense.

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Forum

« Un tout grand merci. Nous avons énormément travaillé ces dernières années et nous en avons récolté les fruits il y a quelques mois. Maintenant, à nous de reproduire cet état d’esprit conquérant afin d’aller chercher de nouveaux succès. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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03

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Palerme sortait d’un mois de février dantesque, avec de nombreuses rencontres au programme, et des désillusions. Mais pas le temps de s’apitoyer sur leur sort, les palermitains ont quatre rencontres, dont deux de championnat, pour repartir convenablement en avant.

Rencontres

Matchs_03

Mars commence sur les chapeaux de roue avec en guise d’entrée la réception de l’Atalanta dans le cadre de la manche aller de la demi-finale de Coppa Italia. Si la Dea n’est pas l’équipe la plus dangereuse en championnat, ayant quelques difficultés à passer un certain pallier malgré de nombreux investissements, elle n’en reste pas moins une redoutable épreuve, d’autant plus dans un calendrier bien chargé en rencontre à haute intensité. Palerme joue à se faire peur, mais finalement, Palerme l’emporte, grâce à une belle frappe croisée de son milieu gauche, Frabotta. Prudence, car tout peut encore basculer lors de la prochaine rencontre, mi-avril.

Quelques jours plus tard, les Rosanero se déplacent en capitale italienne, afin d’y affronter la Lazio. Le match se révèle être un long fleuve tranquille pour Marković et ses hommes, puisque les locaux ne se montrent à aucun instant véritablement dangereux. Tout le contraire de Manchester City en somme, que Palerme accueille une dizaine de jours plus tard. Les anglais sont au pied du mur, du fait de leur défaite lors du précédent affrontement, et donnent absolument tout pour se qualifier pour la suite de la Ligue des champions. Une situation qui paradoxalement profite aux siciliens. En effet, profitant des espaces laissés par les visiteurs, les Rosanero déroulent et inscrivent trois pions pour solder une autoritaire victoire.

Moins d’une semaine plus tard, un match décisif a lieu en Serie A. Le Milan se déplace en Sicile afin d’affronter son dauphin. L’affrontement est âpre, tactiquement intéressant puisque malgré un engagement important, d’un côté comme de l’autre, les manieurs de ballon se font plaisir tout au long du match. C’est Paulo Dybala, l’idole de Palerme, qui ouvre la marque en fin de première période. Si l’inévitable Haaland permet aux siens de revenir au score un peu avant l’heure de jeu, l’expulsion du milieu serbe, Sergej Milinković-Savić, fait basculer la rencontre dans le sens des locaux. Dušan Vlahović permet aux siens de reprendre leur avance au tableau d’affichage, avant de voir Dybala, de nouveau lui, enterrer tout espoir milanais.

Classement_03

Grâce à sa victoire lors de leur affrontement direct, Palerme se rapproche de nouveau des milanais qui occupent la tête du classement. L’écart reste le même que fin février, mais les deux formations ont désormais disputé le même nombre de matchs. Il reste donc huit journées aux Rosanero pour faire basculer le sort en leur faveur. En Ligue des champions, la hasard a fait en sorte que Palerme retrouve l’Atalanta en quart. Il y aura donc trois matchs entre les deux formations le mois prochain. Une double confrontation de C1 et une rencontre de Coppa Italia.

« Est ce que je suis satisfait de ce que nous avons montré ces dernières semaines? Oui, totalement. Nous avons fait preuve d’une plus grande constance dans notre jeu et ça se ressent dans les résultats. Pour l’instant, nous sommes encore en course partout et c’est un vrai motif de satisfaction. Maintenant, il ne faut pas s’enflammer non plus. Tout ne dépend pas de nous, comme en championnat. Concentrons-nous sur notre jeu, sur les victoires que nous voulons aller chercher et nous verrons bien après ce que ça donne. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Les U20 se sont inclinés sur penalty face à l’équipe U20 de la Roma à l’occasion de la finale du tournoi Espoirs Italiens.
  • Ardian Muça (En prêt à l’ACR. Messina), Ardian Muça (En prêt au Zagłębie Lubin) et Irakli Kopaliani (En prêt à l’ACR. Messina) font partie du classement des cinquante meilleurs joueurs de moins de 19 ans.
  • Lorenzo Lucca a été nommé joueur du mois en Serie A.

bref

Quatre matchs, quatre victoires. Que demander de plus? Les palermitains sont en tout cas sur une dynamique positive. Charge à eux de la maintenir le plus longtemps possible car il est indéniable que lorsque cette équipe joue ainsi, elle est intouchable ou presque.

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Un mois de mars parfait !
Quelle victoire face à City. Plus personne n’arrêtera Palerme !!!

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bien joue ce mois-ci

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Ils sont toujours devant. Mais ça va le faire.

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un super mois et malgré ta victoire face à eux, Milan est toujours devant. Ils sont quand même bien armé!

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Excellente réaction face à Milan sur ce mois. Sacré beau duel tout de même ! Pour le spectacle, il n’y a que ça de vrai

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Forum

"Bonjour à vous tous. Comme vous pouvez le relever, la satisfaction que je mentionnais précédemment et également au sein de nos supporters. Et ça, disons que c’est un vrai plaisir! Nos rivaux milanais sont effectivement bien équipé pour avoir de bons résultats. Mais nous allons continuer à travailler aussi dur que possible, à maintenir le même niveau de concentration que durant ce mois de mars, et nous irons chercher le plus de victoires possibles. On fera le bilan en fin de saison. "


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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