:storyred: :s7: Bound For Glory

[Rhino]

Palerme perd Pobega sur blessure!

04 novembre 2027

Depuis cette après-midi, l’ambiance est morose du côté de Palerme. Et pour cause, Josip Marković, manager des Rosanero, s’est présenté en conférence de presse pour annoncer la mauvaise nouvelle. Tombé au sol sur une course anodine lors de la séance d’hier, Pobega est blessé. Rupture du tendon rotulien et au mieux, deux mois d’absence. Un vrai coup dur pour les champions en titre.

Garant de l’équilibre

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Lorsqu’il s’agit de citer le nom d’un joueur de Palerme, tout le monde pense évidemment à Paulo Dybala, Yari Verschaeren ou encore Lorenzo Lucca. Tommaso Pobega fait partie de cette catégorie de joueurs qui sont, au mieux, oublié du grand public. Pour autant, son rôle sur le terrain n’en est pas moins essentiel. Véritable chien de garde, l’international italien est littéralement le gardien de l’équilibre de la formation sicilienne. Dans un onze résolument offensif, il est celui qui vient boucher les trous. Capable de tout faire, il prête autant main forte à la ligne arrière, qu’il vient occuper le demi espace voir parfois même le flanc droit lors des chevauchées d’Adam Schmucker.

S’il est oublié de la sorte, que son apport est minimisé, c’est parce que depuis le début et certainement jusqu’à la fin de son histoire avec les Rosanero, Pobega occupe une position peu enviable, le sale rôle de l’homme de l’ombre. Ce n’est pas lui qui va accompagner les offensives. Ce n’est pas lui qui va distribuer des caviars pour le trio offensif. Ce n’est pas lui qui va agir comme un métronome en plein cœur de la défense adverse. Non, lui son rôle est de casser encore et toujours. Rouleau compresseur par excellence, il ne vit que pour une mission : Annihiler toute offensive adverse. Soyons honnête, cela fonctionne relativement bien. Sa présence est même indispensable, tant la différence entre une feuille de match avec son nom ou sans son nom, est visible.

Que faire?

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Pobega est sur la touche pour à minima deux mois, c’est un fait. Maintenant, il s’agit de voir pour Marković comment il veut pallier l’absence de son joueur de l’ombre. La solution la plus évidente reste le remplacement poste pour poste par le jeune Fausto Tesoro. Même profil, mêmes aptitudes, que demander de plus? Bien, de nombreuses choses. Tesoro qui, rappelons-le, n’a même pas sa majorité internationale, est un jeune joueur, certes talentueux, mais encore à polir. Clairement, un gap de niveau existe entre les deux hommes. Pour autant, il s’agit de la meilleure solution possible.

Sauf si Marković décide de bouleverser toute son organisation. Car qui en plus d’être un excellent défenseur est capable de joueur un voir deux cran plus haut? Il s’agit évidemment de Pietro Baldi. Si le jeune homme n’a jamais évolué dans ce registre chez les Rosanero, cela avait déjà été le cas par le passé chez les jeunes, avec grand succès. De quoi convaincre Marković de tenter l’expérience? Difficile à dire tant l’entraineur croate reste enigmatique à ce sujet. Les prochaines semaines apporteront leurs lots de réponses.

« Aie, gros coup dur pour Palerme alors que la course au titre est intense depuis le début de la saison. Cette absence pourrait faire vraiment mal aux hommes de Marković, d’autant plus que de gros matchs s’annoncent. Néanmoins, ce problème peut être aussi le début de quelque chose. Pour de nombreux supporters, il est temps de faire véritablement confiance aux jeunes du coin comme Tesoro. C’est vrai que si Palerme se distingue par son effectif résolument jeune, peu ont vraiment la chance d’avoir un temps de jeu conséquent avec l’équipe première. Fausto Tesoro doit en profiter. Et qui sait, peut-être va-t-il laisser exploser son talent. »

- Mario Baresi, journaliste -

[WarsawBucher]

@Rhino

Je ne peux que constater que certains sont dérangés par mon exigence et la hauteur de mes attentes. Pourtant, c’est comme ça qu’on peut atteindre les sommets. Si on ne repousse pas ses limites, comment faire pour tenir une saison complète?

On constate juste que Mr Markovic gagne quasiment tout les matchs sauf un, mais n’est pas encore content

[JeffZeze]

Je confirme que j’ai souvent eu le cas d’une défense sur le papier très talentueuse mais beaucoup moins forte quand l’expérience manque. Un vieux briscard dans le lot aide toujours un peu.

[Heisen]

Aie, gros coup dur pour Palerme ! Je ne connais pas le niveau exact de Tesoro mais si il est présent au club c’est qu’il affiche de belle qualités, et c’est la piste que je privilégierai pour remplacer Pobega.

[Rhino]

@WarsawBucher

On constate juste que Mr Markovic gagne quasiment tout les matchs sauf un, mais n’est pas encore content

@JeffZeze

Je confirme que j’ai souvent eu le cas d’une défense sur le papier très talentueuse mais beaucoup moins forte quand l’expérience manque. Un vieux briscard dans le lot aide toujours un peu.

@Heisen

Aie, gros coup dur pour Palerme ! Je ne connais pas le niveau exact de Tesoro mais si il est présent au club c’est qu’il affiche de belle qualités, et c’est la piste que je privilégierai pour remplacer Pobega.

« Je vois que mes attentes ne remporteront pas toujours l’adhésion de la foule. Soit, c’est comme ça.
Au niveau de ma défense, j’ai une totale confiance. Scalvini est à mes yeux un taulier, et ce, malgré son jeune âge. Il est au club depuis longtemps maintenant et a déjà disputé un grand nombre de rencontres. Il a ce petit supplément d’âme qui transforme un excellent joueur en vrai leader.
Concernant la blessure de Tommaso Pobega, c’est un vrai coup dur pour nous parce que c’est un homme de confiance, une valeur sûre au milieu de terrain. Maintenant, c’est l’occasion pour Fausto Tesoro de montrer que nous avons raison de lui faire confiance. »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

[Rhino]

En ce mois de novembre, la mission de Marković est limpide. Il faut redonner confiance aux joueurs défensifs. Si les prestations précédentes n’ont pas occasionné de dommages d’un point de vue comptable, le signal d’alarme a été tiré. Avec l’enchainement de matchs, les siciliens sont-ils capables de faire mieux défensivement parlant?

Cinq rencontres, dont deux de Ligue des champions sont au programme de ce mois de novembre. C’est d’ailleurs par la réception de Qarabağ, qui avait posé de sérieux problèmes lors du match aller, que tout commence. Contrairement au précédent affrontement, les Rosanero affichent un tout autre visage, sérieux, appliqué. Dès le coup d’envoi, le ton est donné. Tommaso Pobega récupère le ballon d’un tacle viril et bien appuyé, lançant ainsi la première offensive locale. Il ne faut d’ailleurs pas attendre longtemps avant que les filets ne tremblent, par l’intermédiaire de Vlahović, auteur d’une belle tête plongeante. Derrière, c’est la débandade pour les azéris qui encaissent sept autres pions. Une victoire éclatante pour Josip Marković et ses hommes et un beau coup de pouce au classement du groupe B.

Pas le temps de véritablement se reposer, puisque c’est une solide Juventus qui se présente en Sicile avec un groupe au complet alors que les locaux sont privés de Pobega, garant de l’équilibre. Néanmoins, Marković peut compter sur deux hommes pour mener la vie dure aux visiteurs, à savoir Dybala et Lucca. Le premier se révèle comme étant le grand artisan de la rencontre. Toujours en mouvement, capable de renverser le jeu en une touche de balle, tandis que le second fait ce qu’il fait de mieux: Créer des différences et conclure. Deux buts pour l’international italien, sur deux passes décisives du meneur argentin, pour une importante victoire dans la course au scudetto.

Une douzaine de jours après son dernier match, la faute à la trêve internationale, les Rosanero à l’Udinese, formation du ventre mou. Le match se révèle piégeux pour les palermitains puisque malgré une ouverture du score relativement rapide de Vlahović, les locaux ne lâchent pas le morceau et recollent au score juste avant le retour au vestiaire. Certainement émoussés par l’enchainement de match, les hommes de Marković font preuve d’une certaine maladresse, notamment dans les transmissions. C’est d’ailleurs sur une perte de balle au milieu du terrain qu’ils se font avoir en beauté par leurs adversaires qui prennent l’avantage à la suite d’un beau mouvement offensif. Malgré plusieurs tentatives, rien n’y fait. Les palermitains s’inclinent donc pour la première fois de la saison.

Quatre jours après sa contre-performance, Palerme se rend en Angleterre avec la ferme intention de s’offrir une nouvelle fois le scalp de Newcastle. Les échanges se révèlent musclés dès les premières minutes de jeu mais surtout relativement équilibré, aucune équipe ne prenant vraiment le dessus sur l’autre. Ce n’est qu’à quelques minutes de la fin de la première période que les siciliens trouvent la faille grâce à Benjamin Šeško, auteur d’un doublé. Après cela, les anglais sont au fond du trou. Assommés, ils ne peuvent rien face à la complémentarité affiché par le trio offensif, Šeško donc, Lucca, lui aussi auteur d’un doublé, et Dybala, auteur d’un pion sur coup franc.

Pour terminer en beauté, les Rosanero retrouvent Sassuolo pour un match plutôt intéressant. Les supporters locaux s’inquiètent d’une possible nouvelle défaite lorsqu’ils voient leurs joueurs encaissé un pion dans les premières minutes, sur une erreur de placement plutôt grossière. Mais ils sont très vite rassurés, notamment grâce à Dybala, auteur d’un match sous forme de récital. Poussés par leurs tifosis, les palermitains passent la seconde et infligent une vraie fessée à leurs adversaires. Une large victoire pour assurer dans le duel à distance qui se joue avec le Milan.

Avec sa défaite face à l’Udinese, Palerme se retrouve à un seul petit point du Milan, mais toujours devant. La Juventus occupe la troisième marche du podium et reste en embuscade, à seulement 5pts de la tête de la course. Malgré que la fin du championnat soit encore bien loin, certains enseignements peuvent déjà être tiré, et notamment dans le fond du classement où Bologna réalise une saison cataclysmique.

En Ligue des champions, Palerme est déjà assuré d’être toujours dans la compétition au printemps prochain. Les Rosanero sont en tête du groupe, 3pts devant le FC Barcelone. En cas de défaite contre les espagnols, les siciliens auraient donc le même nombre de points, mais devrait conserver la première place, ayant une bien meilleure différence de buts.

« Je suis satisfait de voir que nos entrainements défensifs portent leur fruit. Nous avons spécifiquement travaillé sur cet aspect de notre jeu et nous en récoltons les fruits. Si la défaite face à l’Udinese me tracasse? Absolument pas. Nous avons perdu dans certaines circonstances, l’équipe n’étant pas à son top à cause du retour tardif des internationaux. Il faut cependant souligner la belle performances des joueurs de Moreno Longo. Ils ont réalisé un beau match, nous ont posé de grosses difficultés et au final, repartent avec la victoire. A nous d’en tirer des enseignements. Mais non, je ne m’alarme pas. Les milanais se rapprochent au classement, mais nous avons ce qu’il faut pour tenir la cadence lors des prochains mois. »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

• Paulo Dybala, Lorenzo Lucca et Dušan Vlahović sont respectivement deuxième, troisième et quatrième au classement des meilleurs buteurs de Serie A.
• Michele Di Gregorio pourrait partir lors du prochain mercato, étant déçu de son temps de jeu.

Marković avait mis l’accent sur les prestations défensives de son équipe qui étaient plutôt contrariantes lors des précédentes semaines. Force est de constater que les Rosanero ont bien progressé en ce mois de novembre. En faisant l’exception de la défaite face à l’Udinese qui ressemble plutôt à l’accident de parcours, les prestations des siciliens ont été particulièrement solides dans ce domaine, et ce malgré l’absence de Pobega. A voir si cela pourra perdurer dans les prochains mois.

[Malkavens]

la défaite face à Udinese donne de l’espoir au Milan là

[Lincoln6Echo]

La défaite qui fait tâche.
Ça roule en ligue des champions.

[Pikouse]

En LDC ca travaille fort la différence de buts …

[xTeh]

Ah oui ! ça marche vraiment bien. Dans la lignée des deux dernières saisons en fait Dybala et Sesko sont toujours aussi violents, mais le Milan s’accroche plutôt bien, c’est pas facile de les décrocher…

[Rhino]

@Malkavens

la défaite face à Udinese donne de l’espoir au Milan là

@Lincoln6Echo

La défaite qui fait tâche.
Ça roule en ligue des champions.

@Pikouse

En LDC ca travaille fort la différence de buts …

@xTeh

Ah oui ! ça marche vraiment bien. Dans la lignée des deux dernières saisons en fait Dybala et Sesko sont toujours aussi violents, mais le Milan s’accroche plutôt bien, c’est pas facile de les décrocher…

« Bonsoir à vous. Je vois que notre défaite face à l’Udinese en travaille certains. Pas d’inquiétude cependant. Nous avons connu un petit accident de parcours face à une formation qui a joué son coup à fond. Nous en tirerons des enseignements, j’en suis convaincu.
Je vois également que les performances de plusieurs de nos joueurs sont mises en avant. Je n’ai pas envie de m’attarder sur Paulo Dybala ou encore Benjamin Šeško. Oui, ils réalisent de belles performances. Mais l’ensemble du secteur offensif est particulièrement en verve. Je suis satisfait de pouvoir compter sur tant de bons joueurs, que ce soit devant comme derrière! »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

[Rhino]

Si décembre rime avec trêve de Noël, pas moins de cinq rencontres sont au programme des palermitains. Pas le temps de vraiment se reposer, tout est casé en moins d’une vingtaine de jours.

C’est avec un déplacement sur la pelouse de Brescia, alors en dixième position au classement, que le marathon de décembre commence pour Marković et ses poulains. La rencontre débute sur un faux rythme plutôt tranquille, comme si aucune des deux équipes ne voulait prendre le jeu à son compte. Jusqu’à ce que les siciliens accélèrent passé le premier quart d’heure de jeu. Dušan Vlahović ouvre d’ailleurs la marque sur sa première frappe de la partie. Seulement, les locaux ne baissent pas les bras. Ils poussent même pour revenir au score, ce qu’ils réussissent à faire juste avant la mi-temps. De retour du vestiaire, les Rosanero montrent un visage plus entreprenant et condamnent finalement leurs adversaires à une large défaite.

Palerme enchaine ensuite avec la réception de la Fiorentina, une formation toujours difficile à manœuvrer malgré des résultats en dent de scie. Face à une équipe bien regroupée et avec un plan de jeu défensif extrêmement bien huilé, les hommes de Marković peine à atteindre la surface adverse et à se montrer véritablement dangereux. Josip Marković ne panique cependant pas et encourage ses hommes à poursuivre leurs efforts. Il faudra attendre la seconde période et avoir dépassé l’heure de jeu pour voir les joueurs siciliens exulter de joie. En effet, c’est grâce à une frappe bien placée, juste sous la transversale, que Lorenzo Lucca ouvre la marque. Un pion seulement, mais suffisant pour aller chercher la victoire et les points.

Trois jours plus tard, les italiens clôture leur phase de groupe de Ligue des champions par un dernier match face au FC Barcelone. Pas de surprise dans la physionomie du match, chaque équipe se rendant coup pour coup. Si les palermitains ouvrent la marque grâce à un coup franc magnifiquement bien tiré par Paulo Dybala, les catalans reviennent au score dans la foulée. Ce n’est qu’en seconde période que les Rosanero parviennent à se défaire des barcelonais, d’abord grâce à l’inévitable Vlahović, ensuite par l’intermédiaire du piston belge, Yarne Hendrikx.

De retour au pays, Palerme retrouve l’équipe de Salernitana. Malgré un onze relativement remanié, avec notamment Adel Vinčić titularisé en lieu et place de Dybala, soit un cran plus bas qu’habituellement, les hommes de Marković dominent aisément la rencontre. C’est simple, on ne voit qu’une équipe sur le terrain. Le trio offensif, composé du coup de Vlahović, Lucca et Vinčić se régale, donnant le tournis aux locaux par leurs nombreuses combinaisons. Le score final est lourd et sans appel. En bref, un vrai match de champion en pleine défense de son titre.

Enfin, le dix-neuf du mois, Palerme termine sa première moitié de saison par la réception du Genoa. Contrairement à la précédente rencontre, les siciliens se montrent plus empruntés, en difficulté pour faire le jeu. Il faut dire que la météo peu clémente n’aide en rien au jeu technique, les trombes d’eau s’abattant sur le terrain gênant toute transmission courte. Les visiteurs se montrent d’ailleurs plus à l’aise, ouvrant même la marque avant la pause. Cependant, pas de raison de paniquer pour Marković. Dès la reprise du jeu, ses hommes montrent plus d’agressivité dans le jeu, ce qui conduit quelques minutes seulement après le lancement de la seconde mi-temps d’une belle situation chaude conclue avec succès par Lorenzo Lucca. Passé l’heure de jeu, l’international italien double la mise, permettant aux siens de terminer l’année sur une note positive.

Pas de changement au classement, Palerme passera à la nouvelle année en tête du championnat, avec un seul petit point d’avance sur Palerme. On commence à y voir plus clair, plusieurs groupes étant formés sur divers objectifs. Dans la lutte pour le titre, il y a évidemment Palerme, mais aussi son dauphin, le Milan. Derrière, plusieurs clubs se disputent la troisième marche du podium. Il s’agit de la Juventus, de l’Atalanta, de l’Inter, de la Roma, et dans une moindre mesure, de Sassuolo et de la Fiorentina. Au fond du classement, tout reste possible même si Bologna semble déjà enterré.

Concernant la Ligue des champions, Palerme termine très logiquement en tête du groupe B et se qualifie pour le tour suivant où la puissance formation anglaise de Manchester City les attendra de pied ferme. Un tirage compliqué, alors que le FC Barcelone, pourtant second, hérite du Borussia Dortmud, une équipe, sur papier, plus faible.

« C’est une très belle manière de clôturer cette année incroyable pour le club. Nous avons travaillé pendant tant d’années pour arriver là où nous sommes. Je suis particulièrement fier de mes gars. Maintenant, prenons un peu de repos, profitons de Noël en famille et revenons à l’entrainement en pleine forme et avec l’envie d’en découdre. Les prochaines échéances sont excitantes. Car le mois prochain, nous aurons la Supercup à disputer, un match toujours important pour les supporters. Notre ambition est claire, nous voulons l’emporter et nous allons nous préparer pour. »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

• Dušan Vlahović a été nommé joueur serbe de l’année.
• Salvatore Sirigu (Entraineur des U18) quitte le club pour s’engager comme coach de Stuttgart. Andrea Barzagli, passé comme joueur entre 2004 et 2008 le remplace.
• Adam Schmucker a été nommé Golden Boy européen. Il succède à Marvin Wattiau (Tottenham).
• Yari Verschaeren a été nommé meilleur joueur belge évoluant à l’étranger.
• Benjamin Šeško a été nommé joueur slovène de l’année.

Quelle meilleure manière de terminer l’année qu’avec une belle série de victoires, tout aussi importantes les unes que les autres. Palerme termine son année en tête du championnat, qualifié pour la suite de la Ligue des champions après des matchs aboutis, toujours en lice en Coppa Italia et déterminée à remporter la Supercup.

[kevos]

Toujours aussi immersif.
Ce style de storie est vraiment une réussite avec une qualité de rédaction au top.
Je suis fier de toi « la relève »

[xTeh]

Manchester City en 1/8e ! Sacré morceau. Repos nécessaire, vous avez raison coach !

[Rhino]

@xTeh

Manchester City en 1/8e ! Sacré morceau. Repos nécessaire, vous avez raison coach !

« Bonsoir, je vous rejoins totalement. Manchester City n’est vraiment pas un tirage facile. C’est vrai que la saison passée, ils ont été moins bons en Premier League, en terminant à cette 4e place. Mais ils ont tout de même remporté la Carabao Cup. Quand je vois la densité du championnat anglais, je me dis que ce n’est pas rien. Il nous faut du repos, histoire d’attaquer les prochaines semaines de compétitions de la meilleure des manières possible. »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

AUTRES QUESTIONS

@kevos

Toujours aussi immersif.
Ce style de storie est vraiment une réussite avec une qualité de rédaction au top.
Je suis fier de toi « la relève »

Ça me va droit au cœur ça, d’autant plus que je me suis toujours inspiré de tes réçits, d’Aston Villa à Sunderland

[Rhino]

On le sait tous, janvier est un mois compliqué, et ce, pour plusieurs raisons. Déjà, la trêve de noël est trop souvent synonyme de relâchement chez les joueurs qui peuvent revenir dans des états de forme aléatoires. De plus, la fenêtre des transfert hivernaux est propice aux rumeurs et mouvements pouvant déstabiliser un club tout entier. Voyons aujourd’hui ce qu’il en est pour Palerme.

On peut dire que cela commence mal. C’est par un déplacement à Rome que les Rosanero ouvrent 2028. Les corps semblent être un peu rouillés, en difficulté au moment de répondre à l’intensité physique imposée par la formation locale. Si ce sont finalement les hommes de Marković qui ouvrent la marque grâce à l’inévitable Vlahović, derrière, c’est la débandade. Les siciliens encaissent le but de l’égalisation au retour des vestiaires, ce qui semble leurs mettre un coup certain au moral. Après cela, Nicolò Zaniolo fait le show et inscrit même un doublé pour une large victoire romaine et une déception pour les champions en titre.

Une poignée de jours plus tard, Palerme retrouve son rival milanais pour la Supercup, bataille entre le tenant du titre en Serie A et le vainqueur de la Coppa Italia. Dès le début de la rencontre, les siciliens se montrent en difficulté face à des adversaires plus agressifs, mieux organisés, qui mettent une grande pression sur la surface adverse à chaque occasion. Vers la demi-heure de jeu, les palermitains encaissent deux pions coup sur coup. Le premier sur un corner mal défendu tandis que le second est sur penalty, conséquence d’un tacle dangereux de Fausto Tesoro lui valant au passage une carte rouge et donc un retour prématuré au vestiaire. Si rien n’a filtré de la part des joueurs, nul doute que Marković a dû passer un sacré savon à ses joueurs. Car au retour sur la pelouse, c’est un tout autre visage qu’ils affichent. Notamment porté par Lorenzo Lucca, les siciliens passent la seconde et mettent une pression folle sur la défense milanaise. Rapidement, les Rosanero font craquer leurs adversaires, grâce à un doublé de Lucca remettant les compteurs à zéro, puis par un frappe puissante de Paulo Dybala offrant la victoire aux siens.

Fort de leur succès en Supercup, les palermitains reçoivent l’autre club milanais dans le cadre de la Serie A. Avec un onze remanié, à l’exception du trio offensif, à l’instar des intéristes, ils mettent dès les premières touches de balle beaucoup de rythme. Vlahović ouvre le score d’une tête puissante, mais dans la foulée, les visiteurs reviennent au score. En seconde période, rebelote. Dybala permet aux palermitains de reprendre l’avantage sur coup-franc mais une nouvelle fois, l’Inter revient. En fin de match, Lucca permet aux tifosi d’espérer à une victoire. Mais dans les arrêts de jeu, Marco Carnesecchi se troue sur une sortie et encaisse un but largement évitable. Un match nul qui ne fait les affaires de personne, même si les supporters neutres ont certainement apprécié.

Les poulains de Marković sont piqués au vif. Car derrière, ils enchainent avec trois larges succès face à Bologna en Coppa Italia, au Torino et Venezia pour la Serie A. Trois victoires remplies de buts, sans aucune errance défensives face à des adversaires d’un calibre inférieur contre qui les contre-performances étaient à exclure. Enfin, Palerme termine son long mois de janvier par un déplacement sur la pelouse de Parma. Grâce à Lucca, Vlahović et Ljubec, les hommes de Marković s’assurent une nouvelle victoire, la quatrième de rang. Seule ombre au tableau, un pion encaissé dans les arrêts de jeu, qui aurait largement pu être évité par l’arrière garde sicilienne.

Malgré les deux couacs du mois, Palerme reste leader du championnat et reprend même un peu d’avance sur son rival milanais. La Juventus reste solidement accroché à la troisième marche du podium, tout en étant malgré tout talonné par l’Atalanta qui ne semble rien vouloir lâcher. En Coppa Italia, les Rosanero retrouveront la Roma en quart, un match piège par excellence au regard de la dernière confrontation entre les deux formations.

« Nous avons connu des hauts et des bas ce mois-ci. Mais globalement, je suis satisfait. Nous avons su traverser les moments difficile ensemble, comme une vraie équipe. Puis, nous venons tout de même de nous offrir un nouveau trophée. Je suis fier des gars. Ils peuvent être félicité pour cela. Oui, pour certains, ce n’est que la Supercup. Mais c’est une compétition exigeante, entre deux grandes équipes. Cette coupe a autant de valeur à nos yeux que le championnat ou la Coppa. Maintenant, nous devons nous concentrer sur la suite. De grosses rencontres nous attendent. Nous allons affronter d’excellentes équipes qui ont faim de nous faire tomber. A nous de nous montrer meilleurs. »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

• Paulo Dybala a marqué l’histoire de la Supercup en devant le buteur le plus âgé de la compétition, à 34 ans et 58 jours.
• Tilen Ljubec a signé un nouveau bail. Il est désormais lié à Palerme jusqu’en 2032.
• Dušan Vlahović a été nommé joueur du mois en Serie A pour la seconde fois de la saison.
• Pour la première fois depuis l’arrivée de Marković, il n’y a eu aucun mouvement lors du mercato.

En bref, une bonne manière de lancer la nouvelle année. Les petits couacs n’auront finalement pas eu d’incidence au classement, que du contraire. Maintenant, il faut garder le cap et tenir le rythme en affichant le même niveau que lors des dernières rencontres.

[Lincoln6Echo]

Une défaite et un nul qui pour moi font office de retour à la réalité. Si les joueurs avaient décidé de s’emballer cette défaite face à la Roma les oblige à se remettre au travail.

Milan est la seule équipe à suivre le rythme imposé.

[Rhino]

@Lincoln6Echo

Une défaite et un nul qui pour moi font office de retour à la réalité. Si les joueurs avaient décidé de s’emballer cette défaite face à la Roma les oblige à se remettre au travail.

Milan est la seule équipe à suivre le rythme imposé.

« Bonsoir à vous. Je ne peux que vous rejoindre. Cette défaite en guise d’inauguration de la nouvelle année est un rappel bien utile que rien n’est jamais acquis. A nous de montrer plus d’envie et de sérieux, que ce soit à l’entrainement comme en match, afin de minimiser les risques de se faire piéger de la sorte à l’avenir. »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

[Rhino]

Février ou le pire mois de l’année selon Josip Marković. En effet, le calendrier qui attend l’équipe sicilienne est simplement dantesque, entre championnat, Coppa Italia et Ligue des champions.

La première rencontre de ce second mois de l’année n’est autre qu’un déplacement dans le Piémont. Lors de la première période et le début de la seconde, on ne voit qu’une équipe sur la pelouse, celle de Palerme. Dominants dans le jeu, les siciliens font tourner en boucle leurs adversaires. Pourtant, tout bascule lors du dernier quart d’heure de jeu. Le jeune Pietro Baldi se fait expulser pour un tacle dangereux et derrière, c’est la débandade. Réduits à dix, les Rosanero ne peuvent résister et voient la Juventus revenir au score.

Quelques jours après, Palerme retrouve l’Atalanta pour une nouveau match au sommet. Heureusement pour eux, cela se passe mieux cette fois-ci que lors de la rencontre du troisième au classement. Car malgré un but rapide des hommes de la Dea, c’est bien les Rosanero qui dominent la rencontre et donnent la meilleure impression aux observateurs. Plus percutants, plus rapides, plus techniques, il ne manque qu’un soupçon de réalisme pour conclure. Il faudra attendre le début de la seconde période pour les voir revenir au score avant que l’inestimable Dušan Vlahović ne vienne offrir la victoire aux siens dans le dernier quart de jeu.

Quatre jours plus tard, c’est la Roma qui se dresse sur le chemin des siciliens dans le cadre du quart de finale de la Coppa Italia. Marković est tendu, comme en témoigne son interview pré-rencontre. Il le sait, les romains sont de gros adversaires, capable de les mettre à terre comme lors de leur affrontement du mois passé. Pour autant, rien de tout ça ici. Les siciliens écrasent les visiteurs sont aucune compassion, et ce, malgré un effectif remanié. En effet, Vlahović, Dybala, Verschaeren, Frabotta et Scalvini commencent la rencontre sur le banc. Pas un problème pour Palerme puisque comme à chaque match depuis son replacement en tant que meneur de jeu, Adel Vinčić brille. S’il se met en avant évidemment par son doublé, son activité, son sens du jeu et son touché de balle exemplaire, auront conquit les observateurs.

Derrière, c’est pourtant les montagnes russes en championnat. Palerme retrouve le Napoli et ne peut faire mieux qu’un triste partage sans aucun but et seulement quelques frappes cadrées. Même chose face à Empoli. Il n’y a que la rencontre entre les deux, la réception de Bologna, qui fait office d’arc en ciel au milieu de la grisaille de ces quelques jours. Face à un onze complètement dépassé par les évènements, les joueurs de Marković s’en donnent à cœur joie et font tourner en bourrique leurs adversaires. Le trident offensif Dybala - Lucca - Vlahović se montre particulièrement en forme et juste dans la moindre de ses touches de balle. Un régal pour les spectateurs.

Alors que la fin du mois approche, c’est le retour des matchs européens. Un gros morceau attend Palerme puisque c’est un déplacement en Angleterre, plus particulièrement du côté de Manchester, qui attend Marković et ses hommes. Si City a connu une saison précédente plus quelconque, conclue à la quatrième place, cela n’en reste pas moins une grosse équipe, toujours difficile à manœuvrer. D’autant plus que la formation dirigée par Jürgen Klopp sort de deux saisons où ils auront atteint la finale de la Ligue des champions, à chaque fois perdue contre le Bayern Munich. Une référence donc sur la scène européenne. Pour autant, la rencontre tourne progressivement mais surement à l’avantage des italiens. Après l’ouverture du score de Paulo Dybala à la demi-heure de jeu, but un peu chanceux il faut bien l’admettre, les Rosanero grignotent de plus en plus de terrain sur les locaux qui craquent deux fois de plus. Seule ombre au tableau, la réduction du score des Citizens lors des arrêts de jeu.

Palerme termine enfin son mois de février dantesque par la réception de la Sampdoria en championnat. Un match tranquille, où les palermitains font le job, dominent aisément leurs adversaires, et inscrivent pas moins de cinq pions. Mais, car oui, il y a un mais, les Rosanero craquent de manière inattendue lors des cinq dernières minutes de jeu. C’est l’effondrement total. La Sampdoria, qui jusqu’à présent n’avait pas cadré le moindre tir, inscrit deux beaux buts coup sur coup. Anecdotiques puisque la victoire et les points vont malgré tout aux siciliens, mais révélateurs de quelque chose.

Avec trois partages sur le mois, il ne pouvait en être autrement. Palerme perd la tête du classement au profit du Milan de Pioli. Si le retard est pour l’instant minime, le match en retard des nouveaux leaders peut peser lourd dans la balance, d’autant plus que les Rossonero affichent une forme olympique depuis plusieurs mois, et ne semblent vouloir en aucun cas lâcher du lest. Derrière eux, à la troisième marche du podium, se trouve toujours la Juventus. Pour les observateurs, il est clair que nous avons le podium de Serie A déjà décidé. Reste à savoir quel sera l’ordre.

« C’est quoi ce calendrier? Je suis fatigué, et mes joueurs le sont encore plus. On ne s’arrête plus. Ce n’est pas un rythme tenable sur la durée. Heureusement, nous n’avons pas déploré de grosses blessures, surtout des petites gênes musculaires ici et là. Mais non, à un moment, il faut dire stop. On joue avec la santé des joueurs, avec la santé du staff. Honnêtement, je suis las de cela. Je me bats depuis des années pour dénoncer une situation qui recommence saison après saison à la même période, mais c’est dans le vent. Rien de plus déprimant. Sinon, au niveau du championnat, bien sûr que je suis déçu. Nous aurions pu conserver notre avance au classement. Mais non, nous avons fait tout le contraire de ce qu’il fallait. J’attends de mes gars qu’ils se réveillent. On ne peut pas l’emporter si nous faisons preuve de tant de nonchalance. »

- Josip Marković, manager du Palermo FC -

• Yari Verschaeren et Giorgio Scalvini ont prolongé son contrat jusqu’en 2032.
• Michele Di Gregorio rejoindra le Napoli à la fin de son contrat.

Février où le mois des enfers pour Josip Marković et ses joueurs. Le technicien est apparu particulièrement agacé de cette situation et de la forme de son équipe. Pour autant, tout n’est pas perdu, la saison n’est pas terminée. Il va cependant falloir que le manager croate trouve les clés pour faire bouger les choses, sous peine de connaitre une grosse désillusion.

[celiavalencia]

ha shit, tu as perdu la 1ere place.