Ah oui ça rigole pas, ça envoie des sacrées cartouches !
Puis Vlahovic, je crois qu’il va réussir à prendre sans problèmes la place de Piccoli à ce rythme la.
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ça marche bien devant mais derrière ça à l’air plus léger
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9ème masse salariale mais archi favori pour le titre. Ca s’accroche côté Milan, vivement les confrontations directes !
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Milan s’accroche mais tu reste devant pour le moment.
9e masse salariale c’est vrai que c’est assez loin des autres. Et au niveau du budget c’est dans la moyenne ou en dessous ? Même si les bonnes ventes ont dû bien renflouer les caisses.
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« Bonsoir à vous. Merci pour vos nombreux retours. Comme j’ai pu précédemment le dire, je ne suis pas vraiment satisfait de ce que nous montrons. Il y a des lacunes qui ne peuvent pas exister. Je sais que notre défense est assez jeune, mais ce n’est pas une raison à mes yeux. Nous devons travailler ensemble pour mieux faire bloc.
Concernant la masse salariale, effectivement, nous sommes en-dessous de nos concurrents. Je ne vais pas parler d’argent ici, je n’en ai pas envie. Sachez simplement que je pense que nous avons plus qu’assez pour les idées que nous avons. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
AUTRES QUESTIONS
Le budget est pas mal mais un peu en deça des autres. J’avais 110M € disponible pour les transferts. Mais vu que j’ai bien vendu 
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L’automne s’installe doucement mais surement en Italie, et Palerme continue son petit bout de chemin. Pour autant, rien n’est simple quand on est l’équipe championne en titre et Palerme le découvre.
En ce dixième mois de l’année, la première rencontre au programme des siciliens est un déplacement sur la pelouse du Napoli. Si les locaux ont connu quelques exercices compliqués par le passé, c’est aujourd’hui une équipe ambitieuse, avec un nouveau projet en construction. Pour autant, cela n’inquiète pas outre mesure les visiteurs qui dès leurs premières touches de balles, mettent une grosse pression sur le camp adverse. Cette faculté à étouffer le jeu d’autrui porte rapidement ses fruits puisque Lorenzo Lucca ouvre la marque avant la demi-heure de jeu. La formation napolitaine ne baisse pour autant pas les bras et résiste tant qu’elle le peut. Mais rien n’y fait, elle craque une seconde et dernière fois en seconde période, une nouvelle fois sous l’inspiration géniale de Lucca, à l’origine et à la conclusion de ce pion.
Les Rosanero enchainent ensuite avec la réception de la Lazio, formation de seconde moitié du tableau. Malgré une ouverture rapide du score de l’inévitable Vlahović, ce sont bien les locaux qui se retrouvent mener à la demi-heure de jeu, ayant encaissé deux buts coup sur coup. Heureusement, l’attaquant serbe remet les compteurs à zéro juste avant le retour au vestiaire, d’une superbe frappe croisée. En seconde mi-temps, motivé par le discours de Marković, les siciliens passent la seconde et inscrivent quatre buts tout en faisant preuve d’une plus grande solidité défensive. L’essentiel, à savoir les points, sont assurés, mais quelques questions commencent néanmoins à germer dans les esprits.
Trois jours plus tard seulement, déplacement européen, en Azerbaïdjan. Pourtant considéré comme la formation la plus faible du groupe B, Qarabağ impose sa loi et ouvre le score assez rapidement, profitant d’une défense italienne apathique. les locaux se permettent même de doubler la mise avant que Vlahović, piqué au vif, réduise l’écart d’une tête rageuse. Puis, comme lors du match précédent, l’international serbe remet les compteurs à zéro, profitant d’une belle combinaison avec Frabotta, auteur d’une percée sur la gauche. En seconde période, les siciliens essaient de présenter meilleur visage, mais cela reste compliqué. Sur le banc, Josip Marković a la tête des mauvais jours. Il faudra attendre la montée au jeu de Dybala à dix minutes de la fin, pour voir la tendance s’inverser. Alors qu’on se dirigeait vers un partage finalement mérité, l’argentin sort de sa boite et inscrit d’une frappe sous la barre, le but de la victoire, dans les arrêts de jeu. Une réussite insolente pour Palerme, et un soulagement pour l’équipe.
Pas le temps de se reposer, les Rosanero enchainent leur long déplacement par un nouveau, bien plus court cette fois, puisqu’ils affrontent la Sampdoria sur sa pelouse. Peut-être que les hommes de Marković ont été piqué au vif par leurs récentes performances en demi-teinte. Toujours est-il que pendant nonante minutes, on ne voit qu’une formation, qu’une couleur, la rose. Victoire éclatante, et un maximum de confiance pour les leaders du championnat en prévision de la rencontre au sommet qui les attend, un déplacement à San Siro.
Palerme clôture son mois d’octobre par une rencontre face à son dauphin, la grande équipe du Milan. Comme il fallait s’y attendre, le combat est intense, rude pour les corps comme pour les esprits. Vlahović, encore lui, ouvre la marque avant de voir Haaland lui répondre dans la foulée. S’en suit une période de domination importante pour les milanais qui étouffent littéralement des Rosanero en souffrance. Rentré au vestaire avec trois pions de retard, les visiteurs sont au fond du trou et leur coach, particulièrement en colère. Que s’est-il dit lors de la mi-temps? Nous ne le savons pas. Le discours de Marković a cependant dû être percutant car en seconde période, les siciliens présentent un tout autre visage, celui de la conquête, de la rage de vaincre, celui qui leurs a permis d’aller chercher tant de succès. But par but, ils remontent au score, jusqu’à arracher le match nul. Un score fleuve qui aura certainement séduit les observateurs neutres, mais qui ne fait pas forcément les affaires de Marković ou de Pioli.
Au classement, pas de changement. Palerme occupe toujours la tête de la Serie A, avec 2pts d’avance sur son dauphin, le Milan. C’est encore la Juventus, qui enchaine de solides résultats, qui occupe la troisième marche du podium, à une poignée de points des poursuivants que sont Sassuolo, l’Inter, la Roma et l’Atalanta. Ces derniers ne réalisent d’ailleurs pas une saison à la hauteur des attentes des dirigeants, et le coach, Diego Simeone, pourrait même être prochainement remercié.
« Nous avons un problème, un sérieux problème même. Défensivement, ça ne va pas. Difficile d’être satisfait quand je vois les prestations que nous réalisons dans ce secteur de jeu. Nous avons les moyens de faire bien plus. Les matchs face au Napoli ou la Sampdoria sont là pour en témoigner. J’ai identifié deux difficultés. La première est que nous ne nous montrons pas assez agressif à la perte de balle. Nous avons tendance ces derniers temps à laisser un peu trop d’écart. Ce n’est pas bon. Un adversaire à le ballon? Je lui saute à la gorge directement, je le choppe et ne le lâche pas. C’est comme ça que nous devons jouer. La seconde difficulté est d’ordre individuel. Certains joueurs ne se montrent pas au niveau qui est normalement le leur. Je compte sur eux pour se réveiller et commencer à jouer au football. Parce que ma patience a des limites. Les conclusions seront tirés avec le staff en fin de première moitié de championnat, et nous prendrons ensemble les décisions qui s’imposent. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
- Avec douze réalisations chacun, Paulo Dybala et Dušan Vlahović sont respectivement deuxième et troisième au classement des meilleurs buteurs de Serie A, classement dominé par l’inévitable Erling Haaland. Lorenzo Lucca est quatrième avec dix pions.
- Paulo Dybala a été nommé joueur du mois en Serie A.
- Filippo Chiodo, en fin de contrat en 2028, a prolongé de quatre ans.
En bref, un mois réussi d’un point de vue comptable mais où certaines questions, aperçues auparavant, font surface. A charge de Marković et ses hommes de dissiper les doutes qui peuvent parfois entourer l’équipe.
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Je trouve le coach Markovic terriblement exigeant.
Si je calcule bien, en dix matchs de Serie A, on a 42 buts inscrits et 8 encaissés.
On est sur du un but par match pris, pour plus de 4 marqués, qui d’autres en Europe peut se vanter d’un tel rendement ? Probablement pas grand monde, que du très très lourd surement. Peut être même personne.
En Europe, Palerme n’a pas rencontré des équipes de peintres non plus. Et en plus le bilan est positif avec trois victoires en trois matchs.
Coach Markovic, ne faites-vous pas un peu la fine bouche devant d’aussi beau résultats ?
N’êtes-vous pas aussi trop exigeant, même si à votre niveau elle est attendue bien entendue ?
Oui, la presse est dithyrambique ce soir avec vous coach, mais aussi réaliste devant votre (trop) grande exigence 
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tu est l’éclateur ! aucun ne te résiste !!! sauf milan…
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Quand Markovic passe, les adversaires trepassent.
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Encore un début de saison très solide !
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Quel est la moyenne d’âge de la défense ? Il manque peut-être un taulier
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« Je ne peux que constater que certains sont dérangés par mon exigence et la hauteur de mes attentes. Pourtant, c’est comme ça qu’on peut atteindre les sommets. Si on ne repousse pas ses limites, comment faire pour tenir une saison complète?
Concernant notre défense, je reconnais qu’elle est jeune. Presque 24 ans de moyenne, ce n’est pas énorme pour ce poste. Mais à côté de ce chiffre, les joueurs qui composent la ligne arrière sont talentueux et certains même plutôt expérimenté pour leur âge. Ce n’est pas un problème pour moi. Nous devons juste travailler plus efficacement. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
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Palerme perd Pobega sur blessure!
04 novembre 2027
Depuis cette après-midi, l’ambiance est morose du côté de Palerme. Et pour cause, Josip Marković, manager des Rosanero, s’est présenté en conférence de presse pour annoncer la mauvaise nouvelle. Tombé au sol sur une course anodine lors de la séance d’hier, Pobega est blessé. Rupture du tendon rotulien et au mieux, deux mois d’absence. Un vrai coup dur pour les champions en titre.
Garant de l’équilibre
Lorsqu’il s’agit de citer le nom d’un joueur de Palerme, tout le monde pense évidemment à Paulo Dybala, Yari Verschaeren ou encore Lorenzo Lucca. Tommaso Pobega fait partie de cette catégorie de joueurs qui sont, au mieux, oublié du grand public. Pour autant, son rôle sur le terrain n’en est pas moins essentiel. Véritable chien de garde, l’international italien est littéralement le gardien de l’équilibre de la formation sicilienne. Dans un onze résolument offensif, il est celui qui vient boucher les trous. Capable de tout faire, il prête autant main forte à la ligne arrière, qu’il vient occuper le demi espace voir parfois même le flanc droit lors des chevauchées d’Adam Schmucker.
S’il est oublié de la sorte, que son apport est minimisé, c’est parce que depuis le début et certainement jusqu’à la fin de son histoire avec les Rosanero, Pobega occupe une position peu enviable, le sale rôle de l’homme de l’ombre. Ce n’est pas lui qui va accompagner les offensives. Ce n’est pas lui qui va distribuer des caviars pour le trio offensif. Ce n’est pas lui qui va agir comme un métronome en plein cœur de la défense adverse. Non, lui son rôle est de casser encore et toujours. Rouleau compresseur par excellence, il ne vit que pour une mission : Annihiler toute offensive adverse. Soyons honnête, cela fonctionne relativement bien. Sa présence est même indispensable, tant la différence entre une feuille de match avec son nom ou sans son nom, est visible.
Que faire?
Pobega est sur la touche pour à minima deux mois, c’est un fait. Maintenant, il s’agit de voir pour Marković comment il veut pallier l’absence de son joueur de l’ombre. La solution la plus évidente reste le remplacement poste pour poste par le jeune Fausto Tesoro. Même profil, mêmes aptitudes, que demander de plus? Bien, de nombreuses choses. Tesoro qui, rappelons-le, n’a même pas sa majorité internationale, est un jeune joueur, certes talentueux, mais encore à polir. Clairement, un gap de niveau existe entre les deux hommes. Pour autant, il s’agit de la meilleure solution possible.
Sauf si Marković décide de bouleverser toute son organisation. Car qui en plus d’être un excellent défenseur est capable de joueur un voir deux cran plus haut? Il s’agit évidemment de Pietro Baldi. Si le jeune homme n’a jamais évolué dans ce registre chez les Rosanero, cela avait déjà été le cas par le passé chez les jeunes, avec grand succès. De quoi convaincre Marković de tenter l’expérience? Difficile à dire tant l’entraineur croate reste enigmatique à ce sujet. Les prochaines semaines apporteront leurs lots de réponses.
« Aie, gros coup dur pour Palerme alors que la course au titre est intense depuis le début de la saison. Cette absence pourrait faire vraiment mal aux hommes de Marković, d’autant plus que de gros matchs s’annoncent. Néanmoins, ce problème peut être aussi le début de quelque chose. Pour de nombreux supporters, il est temps de faire véritablement confiance aux jeunes du coin comme Tesoro. C’est vrai que si Palerme se distingue par son effectif résolument jeune, peu ont vraiment la chance d’avoir un temps de jeu conséquent avec l’équipe première. Fausto Tesoro doit en profiter. Et qui sait, peut-être va-t-il laisser exploser son talent. »
- Mario Baresi, journaliste -
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On constate juste que Mr Markovic gagne quasiment tout les matchs sauf un, mais n’est pas encore content
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Je confirme que j’ai souvent eu le cas d’une défense sur le papier très talentueuse mais beaucoup moins forte quand l’expérience manque. Un vieux briscard dans le lot aide toujours un peu.
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Aie, gros coup dur pour Palerme ! Je ne connais pas le niveau exact de Tesoro mais si il est présent au club c’est qu’il affiche de belle qualités, et c’est la piste que je privilégierai pour remplacer Pobega.
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« Je vois que mes attentes ne remporteront pas toujours l’adhésion de la foule. Soit, c’est comme ça.
Au niveau de ma défense, j’ai une totale confiance. Scalvini est à mes yeux un taulier, et ce, malgré son jeune âge. Il est au club depuis longtemps maintenant et a déjà disputé un grand nombre de rencontres. Il a ce petit supplément d’âme qui transforme un excellent joueur en vrai leader.
Concernant la blessure de Tommaso Pobega, c’est un vrai coup dur pour nous parce que c’est un homme de confiance, une valeur sûre au milieu de terrain. Maintenant, c’est l’occasion pour Fausto Tesoro de montrer que nous avons raison de lui faire confiance. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
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En ce mois de novembre, la mission de Marković est limpide. Il faut redonner confiance aux joueurs défensifs. Si les prestations précédentes n’ont pas occasionné de dommages d’un point de vue comptable, le signal d’alarme a été tiré. Avec l’enchainement de matchs, les siciliens sont-ils capables de faire mieux défensivement parlant?
Cinq rencontres, dont deux de Ligue des champions sont au programme de ce mois de novembre. C’est d’ailleurs par la réception de Qarabağ, qui avait posé de sérieux problèmes lors du match aller, que tout commence. Contrairement au précédent affrontement, les Rosanero affichent un tout autre visage, sérieux, appliqué. Dès le coup d’envoi, le ton est donné. Tommaso Pobega récupère le ballon d’un tacle viril et bien appuyé, lançant ainsi la première offensive locale. Il ne faut d’ailleurs pas attendre longtemps avant que les filets ne tremblent, par l’intermédiaire de Vlahović, auteur d’une belle tête plongeante. Derrière, c’est la débandade pour les azéris qui encaissent sept autres pions. Une victoire éclatante pour Josip Marković et ses hommes et un beau coup de pouce au classement du groupe B.
Pas le temps de véritablement se reposer, puisque c’est une solide Juventus qui se présente en Sicile avec un groupe au complet alors que les locaux sont privés de Pobega, garant de l’équilibre. Néanmoins, Marković peut compter sur deux hommes pour mener la vie dure aux visiteurs, à savoir Dybala et Lucca. Le premier se révèle comme étant le grand artisan de la rencontre. Toujours en mouvement, capable de renverser le jeu en une touche de balle, tandis que le second fait ce qu’il fait de mieux: Créer des différences et conclure. Deux buts pour l’international italien, sur deux passes décisives du meneur argentin, pour une importante victoire dans la course au scudetto.
Une douzaine de jours après son dernier match, la faute à la trêve internationale, les Rosanero à l’Udinese, formation du ventre mou. Le match se révèle piégeux pour les palermitains puisque malgré une ouverture du score relativement rapide de Vlahović, les locaux ne lâchent pas le morceau et recollent au score juste avant le retour au vestiaire. Certainement émoussés par l’enchainement de match, les hommes de Marković font preuve d’une certaine maladresse, notamment dans les transmissions. C’est d’ailleurs sur une perte de balle au milieu du terrain qu’ils se font avoir en beauté par leurs adversaires qui prennent l’avantage à la suite d’un beau mouvement offensif. Malgré plusieurs tentatives, rien n’y fait. Les palermitains s’inclinent donc pour la première fois de la saison.
Quatre jours après sa contre-performance, Palerme se rend en Angleterre avec la ferme intention de s’offrir une nouvelle fois le scalp de Newcastle. Les échanges se révèlent musclés dès les premières minutes de jeu mais surtout relativement équilibré, aucune équipe ne prenant vraiment le dessus sur l’autre. Ce n’est qu’à quelques minutes de la fin de la première période que les siciliens trouvent la faille grâce à Benjamin Šeško, auteur d’un doublé. Après cela, les anglais sont au fond du trou. Assommés, ils ne peuvent rien face à la complémentarité affiché par le trio offensif, Šeško donc, Lucca, lui aussi auteur d’un doublé, et Dybala, auteur d’un pion sur coup franc.
Pour terminer en beauté, les Rosanero retrouvent Sassuolo pour un match plutôt intéressant. Les supporters locaux s’inquiètent d’une possible nouvelle défaite lorsqu’ils voient leurs joueurs encaissé un pion dans les premières minutes, sur une erreur de placement plutôt grossière. Mais ils sont très vite rassurés, notamment grâce à Dybala, auteur d’un match sous forme de récital. Poussés par leurs tifosis, les palermitains passent la seconde et infligent une vraie fessée à leurs adversaires. Une large victoire pour assurer dans le duel à distance qui se joue avec le Milan.
Avec sa défaite face à l’Udinese, Palerme se retrouve à un seul petit point du Milan, mais toujours devant. La Juventus occupe la troisième marche du podium et reste en embuscade, à seulement 5pts de la tête de la course. Malgré que la fin du championnat soit encore bien loin, certains enseignements peuvent déjà être tiré, et notamment dans le fond du classement où Bologna réalise une saison cataclysmique.
En Ligue des champions, Palerme est déjà assuré d’être toujours dans la compétition au printemps prochain. Les Rosanero sont en tête du groupe, 3pts devant le FC Barcelone. En cas de défaite contre les espagnols, les siciliens auraient donc le même nombre de points, mais devrait conserver la première place, ayant une bien meilleure différence de buts.
« Je suis satisfait de voir que nos entrainements défensifs portent leur fruit. Nous avons spécifiquement travaillé sur cet aspect de notre jeu et nous en récoltons les fruits. Si la défaite face à l’Udinese me tracasse? Absolument pas. Nous avons perdu dans certaines circonstances, l’équipe n’étant pas à son top à cause du retour tardif des internationaux. Il faut cependant souligner la belle performances des joueurs de Moreno Longo. Ils ont réalisé un beau match, nous ont posé de grosses difficultés et au final, repartent avec la victoire. A nous d’en tirer des enseignements. Mais non, je ne m’alarme pas. Les milanais se rapprochent au classement, mais nous avons ce qu’il faut pour tenir la cadence lors des prochains mois. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
- Paulo Dybala, Lorenzo Lucca et Dušan Vlahović sont respectivement deuxième, troisième et quatrième au classement des meilleurs buteurs de Serie A.
- Michele Di Gregorio pourrait partir lors du prochain mercato, étant déçu de son temps de jeu.
Marković avait mis l’accent sur les prestations défensives de son équipe qui étaient plutôt contrariantes lors des précédentes semaines. Force est de constater que les Rosanero ont bien progressé en ce mois de novembre. En faisant l’exception de la défaite face à l’Udinese qui ressemble plutôt à l’accident de parcours, les prestations des siciliens ont été particulièrement solides dans ce domaine, et ce malgré l’absence de Pobega. A voir si cela pourra perdurer dans les prochains mois.
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la défaite face à Udinese donne de l’espoir au Milan là
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La défaite qui fait tâche.
Ça roule en ligue des champions.
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