L’Atalanta est la nouvelle bête noire de Palerme !
En tout cas, si la défense sicilienne est poreuse, que dire des autres, y compris Paris qui en a pris cinq en tout 
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M. Markovic s’emble s’entêter. Ses mots en disent long sur son manque de remise en question. 
Faut être moins foufou face aux gros !!
Une belle saison quand même. Le PSG explose tout en L1 ?
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la défense aux abonnés absents en LDC
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Dommage pour l’Europe… M’enfin la victoire au retour, c’est quand même bon à prendre pour la suite 
Il reste combien de matchs en championnat? Ca semble bien parti celà dit
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« Bonjour à vous. Je confirme ce qui est dit, l’Atalanta aura été notre bête noire. Une motivation supplémentaire pour les battre lors de nos prochaines confrontations. Concernant notre défaite face au PSG, il ne faut pas oublier que nous avons affronté un club de grand standing. Ils ont tout de même remporté chaque édition de Ligue 1 depuis la saison 2021-2022. On ne parle pas d’une petite équipe de seconde zone mais bien d’une grosse cylindrée. Nous aurions pu faire mieux, surtout défensivement. Mais ce n’est pas en ruminant que nous irons mieux. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
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Quatre rencontres en mai, afin de terminer cette saison en beauté et de s’assurer le titre. Mission réussie pour Josip Marković et ses hommes?
Mai commence par un déplacement sur la pelouse du Napoli, qui se bat pour une qualification européenne. Pour autant, les Rosanero ne font aucun cadeaux aux locaux. Dès les premières minutes de jeu, ils mettent une pression importante sur la surface adverse. Almici, de retour de blessure, ouvre la marque au quart d’heure de jeu. Derrière, c’est une véritable débandade que connait l’équipe de de Wayne Rooney. Paulo Dybala, plus particulièrement, se montre stratosphérique, inscrivant un triplé et délivrant une passe décisive.
Une petite semaine plus tard, Palerme retrouve le Hellas Verona, déjà en position de reléguable. Sans surprise, les hommes de Marković dominent la partie, dictant le tempo du début à la fin. C’est simple. Les visiteurs ne tirent pas une seule fois au but tandis que Palerme fait le spectacle, inscrivant quatre pions pleins de classe. Les siciliens enchainent ensuite avec un déplacement sur la pelouse de la Fiorentina qui lutte notamment avec le Napoli pour les places européenne. Mais contrairement à la première rencontre du mois, Palerme éprouve plus de difficultés à dicter son rythme. EN effet, les locaux appliquent un plan de jeu agressif, coupant un maximum de transmissions vers Dybala, asphyxiant le jeu offensif des visiteurs. Finalement, il faudra s’en remettre au talent devant le but de Piccoli, pour voir Palerme s’assurer la victoire.
Palerme termine sa saison par un dernier déplacement, sur la pelouse de Salernitana. L’occasion est belle de terminer cet exercice de haut niveau en beauté. Les Rosanero font le spectacle tout le long de la rencontre, dominant leurs adversaires malgré un rythme de jeu plus tranquille que d’habitude. Cela n’empêche pas les siciliens d’inscrire trois buts pour s’assurer une victoire anecdotique pour le classement, mais tellement importante pour l’image renvoyée.
Pour la première fois de son histoire, Palerme s’adjuge la Serie A. Avec pas moins de 9pts d’avance sur son dauphin, le Milan, la formation sicilienne a frappé un grand coup, un coup qui restera assurément dans l’histoire du club et même du championnat. C’est l’Inter qui termine sur la troisième marche du podium, après une intense bataille de nerf avec l’Atalanta. La saison aura été intense a différents niveaux, la Fiorentina, la Juventus, Sassuolo et le Napoli terminant dans un mouchoir de poche par exemple.
« Il n’y a pas de mots assez fort pour décrire ce que je ressens aujourd’hui. Je dirais un mélange de fierté et de satisfaction, une bonne grosse dose de bonheur, et tout un tas d’émotions positives avec. Nous avons réalisé une saison historique à tout niveau. Vraiment, je ne suis pas convaincu qu’on se rend compte de ce que nous avons réalisé. C’était formidable de vivre ça avec les gars, je suis fier d’avoir accompagné un groupe pareil vers la victoire. Car tous ont travaillé très dur pour obtenir ce succès. Chaque joueur a dépassé ses limites, s’est donné corps et âme pour l’équipe. Je ne peux que les remercier pour cela. Nous allons prendre maintenant un peu de repos, puis les compteurs seront remis à zéro et il faudra préparer une nouvelle saison, de nouveaux défis. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
- Avec 46 réalisations, Roberto Piccoli termine la saison comme second meilleur buteur de Serie A, bien loin derrière Erling Haaland (Milan) et ses 62 buts.
- Avec 105pts, Palerme vient de battre le record du plus grand nombre de points acquis sur une saison en Serie A.
- Josip Marković a été nommé entraineur de la saison en Serie A.
- Les U20 ont remporté la Division 1 U20.
En bref, une saison historique pour Palerme se clôture ici avec un résultat historique. Mais comme de nombreuses personnes aiment le dire, le plus dur arrive maintenant. C’est à partir d’aujourd’hui, et auréolé de ce statut de champions en titre que les Rosanero devront montrer ce qu’ils ont véritablement dans le ventre.
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Premièrement, félicitations pour ce titre tant convoité !
Par contre, je ne suis pas d’accord, le PSG est une équipe de sonde zone. Si.
Sinon, les défenses du Calcio sont-elles suisses ? Non parce que les deux premiers buteurs qui cumulent 108 buts à eux deux, doit-y avoir de sacrés gruyères vu les trous avec tout ça 
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bravo !
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105 points !! bravo belle saison. Haaland 62 buts ?! dingue
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Félicitations c’est mérité !! 
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« Bonsoir à vous tous. Merci pour les nombreux messages très gentils que nous avons reçus. Les serveurs du forum du club en sont submergés! N’oubliez jamais que c’est grâce aux gens comme vous que nous nous donnons chaque jour sur le terrain. Nous voulons vous rendre fiers et faire de ce club quelque chose d’immense. J’ai encore du mal à réaliser. Remporter ce championnat, c’est juste incroyable. Je suis si fier de mes gars.
Sinon, je vois que les performances offensives d’Erling Haaland ne passent pas inaperçues. Il faut bien reconnaitre que depuis son arrivée en Italie, c’est un véritable monstre. 49 buts la saison passée, 62 celle-ci, en ayant raté qu’une seule rencontre en plus. Je sais qu’il fait partie de nos rivaux mais quand un joueur est à ce niveau, il faut simplement le féliciter. Parce que c’est avant tout énormément de travail. Pour autant, nous ne sommes pas à plaindre. Roberto Piccoli et Lorenzo Lucca ne sont pas en reste quand il s’agit de faire trembler les filets adverses encore et encore. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
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Palerme tient son nouveau gardien!
03 juillet 2027
Deux jours après l’annonce du départ de Ivan Nevistić, Palerme vient d’annoncer par l’intermédiaire de son compte Twitter la signature du portier italien, Marco Carnesecchi, en provenance de Manchester United. Un pari, un de plus, et une curiosité pour les observateurs que nous allons regarder ici.
L’histoire classique
Natif de Rimini, c’est pourtant à une quarantaine de kilomètre de là, à Cesena pour être précis, que le petit Marco Carnesecchi commence son histoire d’amour avec le football. Placé dans les buts dès son plus jeune âge, étant à chaque fois un des plus grands de son équipe, le jeune joueur s’épanouit dans son rôle et apprend à l’aimer, bien que ses idoles de jeunesse soit plutôt des attaquants, Francesco Totti en tête. Ses performances plutôt convaincante pousse l’Atalanta à poser 1.3M € sur la table pour l’enrôler alors qu’il n’est pas encore majeur. Le début d’une success-story? Malheureusement ce ne sera pas si simple. Dans le cadre de la saison 2019-2020, il rejoint Trapani, alors en Serie B, en prêt. Là-bas, il prend une dimension importante au sein de l’équipe, jouant une trentaine de rencontres. Il enchaine ensuite avec deux saisons en prêt, toujours en seconde division, mais cette fois-ci du côté de Cremonese. Si les débuts sont plus contrastés, Carnesecchi prends la mesure de l’équipe et ses performances se révèlent de plus en plus intéressantes.
Marco Carnesecchi a 22 ans lorsqu’il revient à l’Atalanta. Si au départ, une place en équipe première lui est promis, rien ne se passe comme prévu, et le jeune gardien passe la saison en réserve. Il faudra attendre l’exercice suivant pour le voir poser ses fesses sur le banc de la Dea et disputer deux rencontres, dont une de championnat. Tout bascule enfin lors de la saison 2024-2025. Arne Slot, nouveau coach, apprécie le profil de l’italien, et lui confie le rôle de N°1 bis. A raison. Car Carnesecchi sort des performances plutôt intéressantes, au point de devenir titulaire indiscutable la saison suivante, et même d’intégrer la sélection nationale lors du rassemblement du mois de mars et d’être titularisé pour une rencontre face à la Pologne.
Eté 2026, Carnesecchi est à la croisée des chemins. Soit il reste à l’Atalanta, équipe où il est désormais choyé, soit il tente l’expérience étrangère, plusieurs gros clubs lui faisant les yeux doux. Après plusieurs semaines d’hésitation, il choisit la seconde option. Bien mal lui prends. Transféré à Manchester United contre un chèque de 20M €, l’international italien peine à se sentir bien. L’acclimatation se révèle compliqué, et s’il est titulaire pour quelques matchs lors de la phase de groupe de Ligue des champions, c’est sur le banc qu’il passe la majeure partie de son temps, ne jouant qu’une seule fois en Premier League. Las, le gardien demande à ses dirigeants un bon de sortie afin de rentrer chez lui, là où il se sent le mieux. Palerme, sans gardien titulaire pour la saison prochaine, profite de cela et saute sur l’occasion.
Un clone de Nevistić?
Marco Carnesecchi présente un profil relativement similaire à celui d’Ivan Nevistić. Grand mais malgré tout doté d’une très bonne détente, le portier est doté de superbes réflexes qui lui permette de sauver certaines situations perdues. Excellent en un contre un, notamment grâce à une prise de décision rapide, Carnesecchi est capable de se sortir dans les pieds ou dans sa surface avec autorité. Excellent communicant, il peut donner les indications nécessaires à l’arrière garde pour limiter au mieux les actions chaudes.
Ce qui a pu poser plus de soucis par le passé, c’est un léger manque de sang-froid lui faisant parfois perdre un peu ses moyens lors de rencontres à tension. Rien d’alarmant donc, mais toujours un élément à prendre en compte.
Alors, que penser de son arrivée à Palerme? C’est en tout cas un renfort intéressant sur papier, mais surtout nécessaire. Avec juste Di Gregorio comme autre gardien, le jeune espoir local, Paolo Lamonica, étant confirmé en prêt du côté de la Fiorentina, un renfort était plus que nécessaire. Maintenant, Carnesecchi a-t-il les épaules pour être titulaire? A l’heure actuelle, difficile à dire. Mais il est certain que l’international italien devra se mettre au diapason dès les premières rencontres.
« Marco est un joueur avec un profil très intéressant pour nous. Le départ d’Ivan laisse un grand vide dans l’équipe, tant il a été important lors des trois dernières saisons. Je pense que Marco a la capacité de proposer au moins aussi bien que lui. J’ai bien conscience que son expérience anglaise n’a pas été un grand succès. Mais vous le savez aussi bien que moi, ce n’est pas parce qu’un joueur ne s’impose pas dans un club, avec un contexte spécifique, qu’il ne peut donner la pleine mesure de son talent ailleurs. Je suis convaincu que nous pouvons accompagner Marco dans cette dynamique. Il est en tout cas motivé à l’idée de nous rejoindre et de se battre avec l’équipe pour continuer à engranger de beaux succès. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
« Il y a une tradition forte à Palerme depuis l’arrivée de Marković qui ne semble pas se perdre, celle de vouloir relancer des joueurs en perte de vitesse ou au parcours cabossé. Marco Carnesecchi n’est pas si vieux, mais il y a malgré tout un sentiment de gâché qui émane de sa carrière. C’est à l’image de bons nombres de portier italien de sa génération ou de celle d’avant d’ailleurs. A l’exception de Donnarumma, nous n’avons pas de référence, que des joueurs avec beaucoup de potentiel, mais qui ne confirment jamais vraiment. Maintenant, au regard de l’expérience de Palerme dans ce genre de mission, il est tout à fait légitime de penser que Carnesecchi peut se relancer de bien belle manière en Sicile. Seul l’avenir nous le dire. »
- Mario Baresi, journaliste -
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Une très bonne recrue !
Aucun point faible, avec une bonne défense devant lui, ça va devenir compliqué de marquer des buts au Palermo
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Une belle recrue !
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Les grandes manœuvres
07 juillet 2027
Ces dernières heures, les supporters palermitains seront véritablement passés par toutes les émotions. La tristesse d’abord avec l’annonce du départ du buteur vedette, Roberto Piccoli, suivi quelques heures plus tard, par l’annonce du recrutement de Dušan Vlahović.
Un parcours contrasté
C’est en janvier 2000 que Dušan Vlahović voit le jour à Belgrade. Issu d’une famille moyenne, le jeune garçon se prend rapidement une passion pour le football et aspire dès son plus jeune âge à accomplir de grandes choses dans le sport, bien loin des attentes parentales finalement. Cela ne l’empêche pas d’intégrer une école de football local et d’y briller malgré plusieurs surclassement.
Il n’a que quinze ans lorsque le Partizan Belgrade lui offre son premier contrat professionnel et une intégration à l’équipe première. Vlahović joue une vingtaine de rencontres, principalement en sortie de banc, avant de s’envoler pour l’Italie, afin de rejoindre la Fiorentina. Si c’est d’abord au sein des équipes jeunes qu’il s’adapte au football de la botte, il est rapidement propulsé chez les A. Le serbe monte gentiment en puissance, jusqu’à cette saison 2020-2021 où il explose littéralement. 21 buts en 37 rencontres, une belle performance réitérée la saison suivante puis encore celle d’après, où il inscrit 20 réalisations à chaque fois.
A l’été 2023, Vlahović se sent prêt à passer un cap et à évoluer dans une plus grosse écurie. La bataille fait rage entre de nombreux clubs, mais c’est finalement du côté de l’Inter que son choix se porte. Si les Nerrazurri sortent d’une saison plus décevante, conclue au pied du podium, le projet sportif est ambitieux et cohérent. Bien lui prend puisque pour sa première saison dans sa nouvelle équipe, il obtient le titre. Pour autant, ses performances ne sont pas aussi bonnes qu’attendu. Avec à peine une dizaine de buts pour autant de titularisations toutes compétitions confondues, le serbe ne se montre pas à la hauteur de l’investissement. Les deux saisons suivantes présentent le même schéma. Joachim Löw voit en lui un bon super-sub et le cantonne à ce rôle.
Las de sa situation, l’international serbe demande un bon de sortie à l’été 2026, refusé par le coach. Vlahović ravale alors son amertume et se remet au travail malgré tout. Une bonne décision puisqu’au fur et à mesure de la saison, il prend de plus en plus d’importance au sein de l’effectif et cela se ressent au niveau statistique. En Serie A, il inscrit 19 buts en 30 matchs (dont 17 titularisations). Pour autant, cela ne change rien à son souhait de quitter le club. En fin de saison, les premiers contacts avec Palerme se font. Malgré un vague intérêt du PSG, le choix de Vlahović est rapidement fait: Ce sera le club sicilien et rien d’autre.
Le Zlatan Ibrahimović serbe
Grand, puissant, mais particulièrement fin techniquement parlant, Vlahović a de belles similitudes avec Zlatan Ibrahimović. Pas étonnant que ce soit le premier nom qu’il cite lorsqu’il mentionne ses idoles de jeunesse. Doté d’une excellente finition, d’un contrôle de balle soyeux, d’une bonne capacité de dribble malgré sa taille et d’un sang-froid à toute épreuve, l’international serbe présente toutes les caractéristiques de l’attaquant moderne. Agressif, dans le bon sens du terme, il n’est pas du genre à se cacher lorsque les taches défensives se présentent à lui.
Alors comment expliquer sa pige décevante à l’Inter? Dušan Vlahović est ce genre de joueur à fonctionner à l’affect. Comme il a pu le dire à plusieurs reprises, il a besoin de ressentir l’importance qu’on peut lui accorder. Gageons que Josip Marković sera jouer sur la fibre émotionnelle de l’attaquant, afin de le retrouver pleinement. Avec pas moins de 55M € dépensé pour lui, soit le plus gros transfert de l’histoire de Palerme, c’est une obligation.
« Le départ de Roberto est un coup dur pour le club, c’est une évidence. Loin de moi l’idée de faire comme si cela ne change rien. Mais j’ai l’intime conviction que Dušan pourra apporter quelque chose de fort au club. Je ne veux pas qu’il se transforme en Roberto bis. Je désire simplement qu’il soit lui-même, un attaquant de classe mondiale, capable d’enchainer les buts. Je sais que les dernières saisons n’ont pas été à la hauteur des attentes. Dušan en est le premier peiné. Mais voilà, c’est le passé, et aujourd’hui, il est temps de se tourner vers le présent et l’avenir. Nous n’aurions jamais dépensé autant d’argent si nous n’étions pas convaincu du talent de Dušan. Nous ferons ce qu’il faut pour qu’il se sente à l’aise dans l’équipe, comme avec l’ensemble de mes gars, et vous verrez, il vous épatera. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
« Dušan Vlahović à Palerme, un transfert qui me laisse dubitatif. Sur papier, il est un attaquant de classe mondiale et 55M € pour ses services, ce n’est finalement pas si cher payé. Mais de l’autre côté, cela fait bien longtemps, quatre ans pour être précis, que nous avons perdu toute trace de lui. Alors oui, il sort d’une saison bien plus aboutie, avec presque 30 buts toutes compétitions confondues. Mais est-ce une garantie suffisante? Ne va-t-il pas connaitre le même problème que lors de son arrivée à l’Inter? Josip Marković devra faire marcher sa baguette à relancer les joueurs, et espérer que cela fonctionne avec lui. Car avec un investissement financier pareil, c’est une obligation. »
- Mario Baresi, journaliste -
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Un gros départ et une arrivée aussi grosse, sacré mouvement !
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ah ben, ça rigole pas
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Oh la bonne pioche ! Il est propre le Vlahovic !
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Sacré mouvement !!! Bien remplacé ! Il est parti où Piccoli ?
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Vlahovic c’est un monstre dans ma partie… qui cire le banc à Paris. Alors j’imagine pas avec du temps de jeu 
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