:storyred: :s7: Bound For Glory

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Les ambitions sont importantes en Sicile. Le début de saison réussie des Rosanero leurs donne des ailes. Mais comme toujours, la vérité du football se trouve sur le terrain. En ce mois d’octobre, est ce que les palermitains sont capables de maintenir la même dynamique à succès?

Rencontres

Matchs_10

C’est par un déplacement à Sassuolo que Palerme démarre son dixième mois de l’année. Les Neroverdi sont eux-aussi sur une très belle dynamique et l’affrontement promet d’être intéressant à différents niveaux. Dès le début de la rencontre, les promesses sont tenues. Chaque équipe tente d’approcher la surface adverse et d’ouvrir le score. Le jeu est offensif, débridé, mais toujours résolument tactique et de qualité. Peu avant le retour au vestiaire, les locaux réussissent à faire craquer la ligne arrière sicilienne et Jesper Karlsson trompe Ivan Nevistić du frappe de l’extérieur du pied droit. En seconde période, les palermitains ne lâchent pas le morceau, et reviennent au score grâce à une belle tête de Lorenzo Lucca à l’heure de jeu. Quelques minutes après, l’international italien offre un but à son compatriote, Frabotta, un pion synonyme de victoire pour Palerme avant la trêve internationale.

De retour de leurs sélections respectives, les Rosanero retrouvent l’Atalanta, en difficulté depuis le début de l’exercice. Pour autant, les hommes de Arne Slot posent de grosses difficultés aux Rosanero. Si ce sont bien les visiteurs qui ouvrent le score, les locaux réduisent la marque dans les minutes qui suivent, bien aidé par une prestation défensive inhabituellement fébrile. Finalement, la lumière viendra de Paulo Dybala. La Joya, relativement discret tout au long de la rencontre, profitera de son seul éclair du match pour tromper le portier adverse du plat du pied et ainsi offrir la victoire aux siens.

Quelques jours plus tard, les Rosanero enchainent avec un déplacement européen. L’Ajax ne peut rien face à la force offensive déployée par l’équipe italienne qui voit Lorenzo Lucca briller de milles feux. Les palermitains enchainent avec la réception de l’Udinese, formation du ventre mou. Et pourtant, les visiteurs posent de gros soucis à Josip Marković. Puisque malgré l’ouverture du score de Piccoli en fin de première période, ils maintiennent la pression sur le camp local avant de faire céder le verrou dans les dernières minutes de jeu, assurément une déception pour Palerme.

Palerme termine son mois d’octobre par la réception de Cagliari. Désireux de se rattraper après l’accroc de la dernière rencontre, les poulains de Marković montrent les dents dès les premières touches de balle. Le trident offensif Dybala - Piccoli - Lucca laisse exploser toute sa classe, monopolisant le jeu et faisant souffrir les visiteurs par leurs nombreuses combinaisons en plein coeur du camp adverse. Après l’ouverture du score du meneur argentin, Piccoli y va de son triplée, trois pions de son pied droit, avant de voir le capitaine, Alberto Almici alourdir le score grâce à un coup franc bien botté puis enfin Lucca cloturer en beauté une nouvelle rencontre de haut niveau.

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Au classement, aucun changement pour Palerme qui reste à deux encablures de l’Inter dont le début de saison est stratosphérique. Il apparait au fil des journées que la moindre erreur, comme ce partage largement évitable face à l’Udinese, sera immédiatement sanctionné.

« Globalement, nous pouvons être satisfait. Offensivement d’abord, c’est réussi. Nous arrivons à nous procurer un nombre important d’occasion et je dois dire que la présence de finisseurs tels que les nôtres est un grand plus pour l’équipe. Maintenant, défensivement, c’est plus compliqué. Attention, tout n’est pas à jeter, loin de là, et je ne suis pas en train de dire que nous sommes décevants. Je pense simplement que nous avons les capacités d’aller encore un cran au-dessus en terme de qualité défensive. Nous avons montré des limites évidentes lors du match face à l’Atalanta. A nous désormais d’axer notre travail sur ces fameuses limites afin de les gommer, de les corriger. Car le niveau est assez haut en Serie A, et nous ne pouvons pas nous permettre de faire trop d’erreurs. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Avec treize et huit réalisations, Piccoli et Dybala sont respectivement second et troisième meilleur buteur de Serie A. Le classement est outrageusement dominé par Erling Haaland (21 buts en 10 matchs).
  • Les jeunes Sergio Nuzzi et Filippo Chiodo ont rejoint l’entrainement des A. Cependant, ils continuent d’évoluer chez les U20.

bref

Octobre aura été un mois réussi pour Palerme. Quatre victoires et un nul en cinq rencontres, c’est, d’un point de vue comptable, une très bonne chose. Pour autant, cela ne semble pas encore totalement convenir à Josip Marković. Ambitieux, le manager croate semble vouloir mener ses hommes encore plus haut. Seulement, en-sont-ils capables?

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En sortant d’un mois d’octobre presque parfait, Josip Marković et ses hommes avaient cœur à réitérer l’expérience en novembre. Seulement, le football peut toujours en décider autrement. Petit tour d’horizon de ce onzième et avant-dernier mois de l’année.

Rencontres

Matchs_11

Novembre commence mal. Le premier match du mois n’est autre que la réception de l’Ajax, dans le cadre de la Ligue des champions. Avec une solide victoire à l’aller, les locaux semblent assurer d’aller chercher les points à la maison. Et pourtant, rien ne se passe comme prévu. Rapidement menés au score, les palermitains égalisent juste avant la pause grâce à Lorenzo Lucca, auteur de sa cinquième réalisation en C1. En seconde période, les néerlandais assument un pressing toujours plus important, récompensé à dix minutes du terme de la rencontre, par un but de la tête de Timo Werner. Douche froide pour les italiens!

Pas le temps de ruminer, deux rencontres de Serie A attendent les hommes de Marković, deux matchs à trois jours d’intervalle. Si Empoli et la Sampdoria ne sont pas, sur papier, de redoutables adversaires, le manager croate sait qu’il faut se méfier et que seuls des victoires sont acceptables. Face à Empoli, les Rosanero montrent quelques signes de flottement défensivement parlant, encaissant un but assez rapide, mais reviennent dans la partie dès la demi-heure de jeu. Lors de la seconde rencontre, la solidité et la confiance qui vont de pairs sont retrouvées. Palerme déroule, impose son football offensif, rapide, et oppressant sur une pauvre Sampdoria qui n’a rien demandé.

Une poignée de jours plus tard, nouvelle rencontre en C1, et nouveau match de prestige puisque les siciliens se déplacent en capitale espagnole. Malgré une réalisation rapide de Benjamin Šeško, Palerme prends rapidement l’eau. Verschaeren et Nevistić sortent rapidement sur blessure, et l’équipe perd pied. La fessée est importante et bien représentative de la différence de classe qu’il y a entre la formation palermitaine et le gratin européen. Seul motif de soulagement, Nevistić et Verschaeren ne sont pas lourdement blessés.

Enfin, novembre se termine par une rencontre essentielle dans la course au scudetto. Dès le début de la rencontre, Palerme veut effacer l’affront madrilène et ça se voit. Les hommes de Marković se révèlent intenables et imposent un rythme dingue tout au long de la partie. A aucun moment, les intéristes ne semblent pouvoir véritablement rivaliser. Ils se contentent juste de subir le jeu imposé par les locaux. Et cela paie. Puisqu’après l’ouverture du score du serbe, Nikola Milenković, Verschaeren, pourtant diminué, alourdi le score d’une frappe puissante sur un coup franc à l’entrée de la surface. Muet depuis plusieurs rencontres, Piccoli y va de son doublée tandis que Paulo Dybala, littéralement inarrêtable dans le cœur du jeu offensif, conclu le travail. Le but, pour l’honneur, inscrit par Lautaro Martínez, inscrit dans les arrêts de jeu, sera simplement anecdotique.

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Grâce à ses bons résultats contre Empoli et la Sampdoria, mais surtout sa victoire décisive face à l’Inter, Palerme reprend la tête de la Serie A! Un trio se dégage nettement dans la course au titre en la présence des Rosanero donc, du Milan et de l’Inter. Derrière, le trou est déjà fait avec les outsiders puisque pas moins de onze unités séparent l’Atalanta, au pied du podium, des siciliens. En Ligue des champions, Palerme occupe la seconde place du classement malgré ses deux défaites. Avec un seul match encore à jouer, face à Anderlecht, tout reste possible.

« Que dire, que dire. Il y a eu du positif, comme cette importante victoire face à l’Inter, un match référence dans notre saison, où nous avons su nous appuyer sur nos forces pour frapper l’adversaire en plein cœur et prendre le dessus, mais aussi du négatif, beaucoup trop même. Les défaites en Ligue des champions font mal, toutes les deux. Contre l’Ajax, nous ne devons pas perdre. Sans vouloir leurs manquer de respect, nous avons battu les néerlandais sur leur terrain au match aller, et largement en plus. Comment pouvons-nous laisser filer le match ainsi? Face au Real Madrid, c’est une situation différente. Je savais que nous allions souffrir. Notre victoire au match aller était une anomalie honnêtement. Les évènements n’ont pas été en notre faveur. Voir deux joueurs sortir coup sur coup, ça fait un coup au moral, je suis bien d’accord. Mais à aucun moment, nous n’aurions dû nous écrouler de la sorte! Avec mon staff, je travaille actuellement sur l’aspect mental que nous devons inculquer au joueur. Nous avons encore beaucoup de boulot. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Actuellement, Palerme présente la seconde meilleure attaque (47 buts en 13 matchs) et la seconde meilleure défense (11 buts en 13 matchs) de Serie A.
  • Roberto Piccoli et Paulo Dybala sont respectivement deuxième et troisième meilleurs buteurs de Serie A tandis que le meneur de jeu argentin est également le meilleur passeur du championnat.

bref

En bref, un mois frustrant, composé de hauts et de bas. Si Palerme est actuellement dans la course au titre en Serie A, de nombreux aspects, notamment mentaux, sont encore à travailler. En esperant que Josip Marković trouvera les ressources nécessaires pour faire progresser ses poulains.

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Etrange ce mois : des déceptions en LDC (tu es classé comment ?) mais en championnat tu prends la tête !

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Ca déroule bien en championnat, un peu plus compliqué en LDC (ca donne quoi au classement de la poule ?)

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Forum

« Bonsoir messieurs. Effectivement, nous avons connu un mois étrange, avec en point d’orgue, cette mauvaise défaite face au Real Madrid. Cela fait des mois que je le dis, il n’y a pas de secrets. Nous rencontrons des équipes talentueuses, et il ne faut jamais baisser le rythme, lever le pied, si nous voulons l’emporter. Actuellement, en Ligue des champions, nous sommes seconds. Mais tout peut encore basculer. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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Décembre ou comment finir l’année en beauté. Si les joueurs attendent certainement avec impatience la trêve hivernale afin de souffler quelques jours en famille, il y a cependant du travail à effectuer avant.

Rencontres

Matchs_12

Après une large victoire face à l’Inter, Palerme se déplace sur la pelouse de la Roma, qui alterne le bon et le moins bon en Serie A. Malgré une bonne résistance locale tout au long de la première période, la sentence est irrévocable. De retour du vestiaire, Roberto Piccoli punit la formation romaine dès sa première incursion offensive d’une frappe puissante et imparable. Derrière, la machine est lancée. Lorenzo Lucca double la mise d’une belle tête avant que leur troisième comparse du trident offensif ne vienne conclure la rencontre d’une frappe en pleine lucarne. Victoire nette, sèche, et sans bavure.

Quelques jours plus tard, nouveau déplacement, un peu plus au nord encore puisque Palerme s’apprête à affronter le Torino, alors que son entraineur, l’ancien international belge, Jan Vertonghen, vient d’être démis de ses fonctions. Malgré l’ouverture du score de Frabotta sur une incursion plutôt incisive, c’est bien les locaux qui réalisent la meilleure première mi-temps. Il faut attendre la seconde mi-temps et la montée au jeu de Šeško pour que les Rosanero montrent un bien meilleur visage. La formation de Marković enchaine avec la dernière rencontre de Ligue des champions. Alors seconds, et suivi de prêt par l’Ajax, l’objectif est clair: Il faut gagner. Une défaite, combinée à une victoire des néerlandais face au real Madrid pourrait tout changer. Malgré l’ambition d’Anderlecht de jouer les troubles fêtes, l’équipe belge ne peut rien face aux siciliens. Dans un stade littéralement bouillant, ils imposent sans trop de difficulté leur jeu, leur rythme, pour une large victoire.

De retour en Serie A, Palerme enchaine avec deux rencontres avant une trêve bien méritée. La première est un déplacement sur le terrain du Hellas Verona. Malgré une vaine tentative de résistance des locaux, les hommes de Marković dominent aisément la rencontre, bien aidé il faut le reconnaitre par un duo Piccoli - Lucca littéralement intenable. Seule ombre au tableau, un pion encaissé dans le temps additionnel, venant faire tache dans les statistiques de l’équipe. La dernière rencontre se révèle être la réception du Napoli. Si la formation coaché par Wayne Rooney sort de deux saisons catastrophiques (14e à chaque fois), il faut bien dire qu’ils sont actuellement sur une bien meilleure dynamique. Pour autant, et comme lors de la dernière rencontre de novembre, Palerme déroule. Forts de leurs convictions, les Rosanero imposent un jeu rapide, offensif, et relativement débridé. Roberto Piccoli soigne ses statistiques en inscrivant un triplé, Verschaeren montre à tous qu’il est un formidable tireur de coup franc, inscrivant un but tout en puissance depuis l’extérieur de la surface avant que Šeško ne termine le travail dans les derniers instants du temps réglementaire. Le but encaissé sera anecdotique finalement, puisqu’arrivé dans les arrêts de jeu, alors que Palerme joue à dix depuis un bon quart d’heure suite à l’exclusion de son capitaine pour deux cartes jaune.

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C’est en tête que Palerme s’apprête à basculer dans la nouvelle année. Si l’ordre des principaux concurrents de cette saison, à savoir les deux formations milanaises, ne change pas, l’écart grandit petit à petit. Pour l’instant, ce n’est qu’une poignée d’unités, mais l’espoir est grand en Sicile. Concernant la Ligue des champions, tout a basculé lors de la dernière journée. Avec sa large victoire, Palerme se qualifie pour la suite de la compétition. Mieux encore, à la suite de la défaite surprise de Madrid face à l’Ajax, c’est l’équipe de Marković qui se retrouve en tête, précédant les néerlandais. Cela permet donc aux siciliens de tirer les actuels seconds de Bundesliga, à savoir Wolfsburg.

« Je pense très sincèrement qu’il n’y a pas meilleure façon de mettre un terme à une année que comme nous venons de le faire. Oui, tout n’a pas été parfait dans le jeu. C’est une évidence, n’importe quelle équipe aura toujours un petit quelque chose à améliorer. Mais en terme de résultats, nous avons simplement donné le maximum pour aller chercher toutes les victoires que nous voulions. Maintenant, profitons-en pour prendre quelques jours de repos. Parce que la seconde moitié de saison s’annonce plutôt excitante. Nous allons avoir beaucoup de travail pour maintenir cette belle dynamique. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Paulo Dybala est actuellement le meilleur passeur de Serie A.
  • Les jeunes Yarne Hendrikx et Tilen Ljubec, en fin de contrat en 2028, ont accepté de prolonger leur aventure en Sicile respectivement jusqu’en 2030 et 2031.
  • En Serie A, Josip Marković a été nommé par ses pairs entraineur de l’année 2026.
  • Roberto Piccoli a fini second au Ballon d’or, derrière l’attaquant milanais, Erling Haaland.

bref

Existe-t-il meilleure manière de clôturer une année? Avec cinq victoires en autant de matchs, Palerme a largement dominé ses rencontres de décembre. Maintenant, que cela ne soit pas prétexte à un excès de confiance. Car les concurrents des Rosanero, et notamment en Serie A, sont prêt à saisir la moindre opportunité qui se présentera.

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belle série de victoire !!
Pauvres belges … :rofl:

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dybala le chainon manquant pour faire de l’équipe un très grand d’europe et d’italie bien sûr (mais tu l’étais déjà)

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Quelle belle série ! Ca fait la différence au classement :clap:

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Forum

« Bonsoir à vous. Je suis tout à fait d’accord avec vous. C’est une très belle série qui nous permet de remplir nos objectifs. Si nous continuons à enchainer ce genre de performances, nous pouvons aller loin, très loin.
Je constate d’ailleurs que le recrutement de Paulo Dybala vous fait particulièrement plaisir. Effectivement, il représente l’élément qui nous manquait. Sans faire offense aux joueurs présents au club avant lui, c’est un joueur de classe mondiale, doté d’une expérience incroyable. Sa bonne humeur et son talent rejaillissent sur l’équipe. »



- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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Marković complète son effectif!

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09 janvier 2027

Leader de Serie A et qualifiée pour la suite de la Ligue des champions, Palerme n’avait nul besoin de recruter cet hiver. Pour autant, le club sicilien n’a pas chômé et vient d’annoncer l’arrivée du jeune Baldi, en provenance du Napoli. Une nouvelle pépite dans l’effectif de Marković, une de plus.

Sur le tard

Pietro Baldi n’a pas toujours voulu être footballeur. Le natif de Naples a d’abord été initié à la pratique sportive par l’athlétisme durant son enfance, avant de se diriger vers la natation. Rapidement, le jeune italien montre de belles dispositions, et même en compétition face à d’autres adolescents pourtant mieux entrainés que lui. Pour autant, tout cela ne plait pas plus que cela à Baldi qui se lance dans le football sur le coup de ses treize ans. Finalement, il abandonne définitivement les bassins pour les terrains vert et intègre un petit club amateur en banlieue napolitaine.

Deux ans plus tard, Pietro Baldi participe à une rencontre visionnée par un recruteur du club de sa ville natale. Aligné au milieu de terrain, le jeune joueur brille par son activité et sa vision du jeu. Rapidement, il lui est proposé d’intégrer l’académie des Partenopei. Là-bas, il y découvre un tout autre monde, bien plus exigeant et compliqué que ce qu’il a pu connaitre jusque là. Pourtant, cela ne l’empêche pas de progresser de manière rapide et de s’imposer comme un élément clé, des U18 puis des U20 du club.

Lors de la saison 2024-2025, alors que le Napoli est dans le dur en championnat, Pietro Baldi est appelé, à l’instar de plusieurs coéquipiers, chez les A, afin de numériquement palier les blessés. Son attitude discrète mais professionnelle tape dans l’oeil de son coach, Rafa Benítez, qui décide de lui donner ses premières minutes de jeu à seize ans. Aligné à un inhabituel poste de défenseur central, le jeune Baldi réalise dix bonnes minutes. L’italien le comprends de suite. S’il veut jouer plus régulièrement, c’est à ce nouveau poste qu’il aura le plus de possibilités. Finalement, le napolitain reste toute la saison dans l’équipe, malgré le retour de l’infirmerie de certains joueurs, et prend part à une vingtaine de rencontres.

La saison suivante commence bien pour Pietro Baldi, qui est titularisé lors des deux premières journées, réalisant même une passe décisive sur une belle passe en profondeur. Mais c’est là que sa situation se gâte. Le jeune joueur se blesse en match, est absent trois mois, revient, et se blesse à nouveau peu après sa montée au jeu, une nouvelle fois pour une longue période. Lorsqu’il est enfin opérationnel, l’entraineur a de nouveau changé. Hong Myung-Bo qui avait pris la suite de Benítez a été limogé en janvier, et remplacé par la légende, Wayne Rooney. Avec l’anglais, Baldi n’y arrive pas. Humainement parlant, le courant ne passe pas. De plus, son temps de jeu devient simplement famélique.

Las, Baldi décide de refuser la proposition de prolongation de son club et choisit d’attendre juillet 2027 pour partir libre. Alors que tout le gratin italien et même européen fait les yeux doux au jeune défenseur, Palerme double tout le monde en proposant un transfert dès le mois de janvier. Tout le monde en sort gagnant, puisque le Napoli récupère une indemnité pour son joueur, et Baldi la possibilité de se relancer ailleurs.

Polyvalence

Pietro Baldi fait partie de cette catégorie de joueurs qui s’adaptent assez rapidement à un nouveau poste, à de nouvelles responsabilités. S’il était initialement plutôt un milieu de terrain, il n’a fait que reculer au fur et à mesure des besoins, au point d’être aujourd’hui totalement à l’aise au sein de la ligne arrière. Extrêmement déterminé, l’international espoir n’est pas du genre à lâcher le morceau. Sur le terrain, il se bat du début à la fin, et avec la même intensité. Doté d’une bonne qualité de tacle, et capable de défendre debout, Baldi est également un joueur relativement technique. S’il ne se revendique pas du tout comme un meneur de jeu, sa qualité de passe et son sang-froid lui permette d’initier des mouvements offensifs depuis l’arrière.

Cependant, sa vision du jeu reste perfectible. Ne levant pas toujours la tête, l’italien a tendance à ne pas voir des solutions de passe plus sécurisante et prend dès lors des risques inutiles. De plus, son jeu de tête, bien que pas mauvais, n’est pas encore au niveau de ce qu’on pourrait attendre d’un joueur aussi grand (il mesure 1m90). Ce sont assurément deux points qu’il faudra travailler à Palerme.

« Concrètement, nous n’avions pas un besoin impérieux de recruter un nouveau défenseur cet hiver. Mais dans le monde du football, tout est question d’opportunité. Pietro est un joueur que nous suivons depuis un moment déjà. Malgré son âge, il a déjà une certaine expérience de la Serie A, ce qui ne peut qu’être un atout pour nous. Je pense qu’en continuant de travailler comme il le fait, avec humilité et soif d’apprendre, il deviendra rapidement un grand joueur. Nous allons faire ce qu’il faut pour l’aider dans ce sens en tout cas. Maintenant, et il le sait, il ne faut pas s’attendre à le voir titulaire indiscutable dès le prochain match. Pietro a peu joué cette saison et est en manque de rythme. Nous allons le laisser reprendre le fil gentiment puis il devra batailler pour avoir sa place dans l’équipe, comme tout le monde. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

« 8M € pour un joueur avec le potentiel de Pietro Baldi, c’est presque cadeau. Certains feront remarquer que son contrat prenait fin en juin de cette année et c’est une remarque pertinente. Mais il était nécessaire pour Palerme de devancer ses concurrents dans ce dossier afin de maximiser ses chances de le signer. Même en étant en tête du championnat et sur une excellente dynamique depuis plusieurs saisons, Palerme n’a pas le même pouvoir de séduction que l’Inter, la Juventus, ou l’Atletico pour parler à l’international. Maintenant, le casse tête va être pour Marković. Car il y a du beau monde pour peupler sa ligne arrière. Entre Valenti, Scalvini, Romagnoli, Milenković, Mangraviti et Volpe, les places sont déjà chères. »


- Mario Baresi, journaliste -

Fiche joueur

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Il est bien sympathique le petit dernier :slight_smile:

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Super recrue ! 18 ans, encore un gros potentiel, déjà de très bonnes stats là où il faut :+1:

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Quelle équipe de fou, quelle saison de malade ! C’est un plaisir de venir ici et de voir que la story est toujours aussi séduisante !

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Elle sent très très bon cette saison. Petit écart en Serie A qui fait bien plaisir :slight_smile:
Dybala meilleur passeur c’est donc un super choix de l’avoir positionné meneur de jeu !

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Petit à petit, Palerme devient injouable :poggers:

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Forum

"Bonjour, bonsoir. Je suis ravi de voir que le recrutement de Pietro fait plaisir à une grande majorité d’entre vous. C’est en effet une belle plus-value pour notre équipe. Il est jeune, mais il a tout pour devenir très grand, j’en suis convaincu. A nous maintenant de l’accompagner sur le chemin de la réalisation de tout son potentiel. "


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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Janvier est un tournant de la saison. Entre la reprise du championnat, le début de la Coppa Italia et surtout, le mercato hivernal, de nombreuses choses peuvent perturber l’équilibre d’une équipe.

Rencontres

Matchs_01

Neuf jours après la nouvelle année, Palerme reprend le chemin de la compétition en recevant dans son antre la formation de Salernitana. Dès les premières minutes, les hommes de Marković mettent le feu sur la pelouse. Carmelo Antista se montre intenable dans le cœur du jeu offensif. Le jeune italien inscrit un doublé tandis que son comparse, Benjamin Šeško y va de son triplé. En fin de match, Roberto Piccoli vient terminer le travail pour une victoire aussi éclatante que possible.

Palerme enchaine ensuite avec une nouvelle rencontre à domicile, cette fois-ci face à la Fiorentina. Si c’est un adversaire d’un calibre supérieur, cela ne change rien pour Palerme. Les Rosanero, portés par Dybala de gala, font mal à leurs adversaires à chacune de leurs incursions offensives. Le résultat est sans appel. Nouvelle large victoire, et nouvelle prestation aussi réussie dans le secteur offensif que défensif.

C’est dans la seconde moitié du mois de janvier que Palerme ouvre sa campagne en Coppa Italia. Dans un stade plein à craquer, c’est une équipe locale largement remanié qui bute face à une courageuse formation de la Sampdoria. Après une première période plutôt compliquée, tout se débloque au retour des vestiaires. Antista ouvre la mise d’une frappe puissante mais les visiteurs égalisent dans les minutes qui suivent. Alors que la perspective de disputer les prolongations se rapprochaient de plus en plus, Adel Vinčić permet aux siens de prendre l’avantage dans les arrêts de jeu.

Après cette rencontre face à la Sampdoria, trois rencontres de championnat en huit jours attendent les Rosanero. Le sprint débute avec la réception de Benenvento. Les Stregoni ont l’espoir de réaliser un bon coup, espoir cependant rapidement douché par les locaux. Nouvelle large victoire, par cinq buts, nouveau clean-sheet, que demandez de plus? Les tifosi sont en tout cas en feu dans les tribunes. Les palermitains affrontent ensuite la Lazio, match marqué par la première apparition de la recrue de l’hiver, Pietro Baldi. Enfin, les hommes de Marković terminent le mois par un déplacement sur la pelouse du Genoa. Les locaux donnent le change pendant les quatre premières minutes, puis terminé. Il n’y a plus qu’une équipe sur le terrain, celle des visiteurs.

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En tête du classement, Palerme continue de grapiller des points sur ses poursuivants. Au passage en février, les Rosanero comptent six unités de plus que le Milan, et neuf de plus que l’Inter qui occupe la troisième marche du podium. Derrière, la bataille fait rage pour les places européennes tandis que la Lazio, pourtant équipe plutôt stable du championnat, ne cesse de dégringoler, au point de se retrouver en zone rouge.

« Six matchs, six victoires, et même une série de douze victoires consécutives. Je dois bien avouer que je suis très satisfait de la forme que nous affichons. Je vois que certains parlent déjà du titre. Pour moi, c’est trop tôt. Tout peut encore arriver, la saison est longue et nous pouvons connaitre une baisse de régime fatale. Je préfère me concentrer sur l’instant. A l’heure actuelle, nous avons un rythme exceptionnel. Nous devons travailler pour maintenir cela. Les joueurs sont motivés et moi aussi. Pour les trophées, on verra plus tard. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • En fin de contrat en juin, Riccardo Corelli a refusé une proposition de prolongation par Palerme.
  • Filippo Chiodo, Dennis Acasandrei et Sergio Nuzzi ont intégré l’équipe première. cependant, ils restent disponible pour les matchs des U20.

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En bref, un mois dans la lignée du précédant. Le rythme tenu par les Rosanero est impressionnant, tout comme la régularité affichée. Reste à savoir combien de temps Marković et ses hommes arriveront à poursuivre leurs efforts si intense.

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24 buts pour 1 encaissé, c’est le rouleau compresseur et malgré tout tu n’est que 6 pts sur Milan

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ça pète le feu de l’enfer !

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