:storyred: :s7: Bound For Glory

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Forum

« Bonsoir messieurs. Je me répète, je le sais, mais nous aurions pu espérer mieux de ces rencontres de janvier. Nous avons fait preuve de certaines lacunes, principalement défensives, et cela nous a couté des points comme face à la Fiorentina. Le niveau est élevé en Italie, la moindre erreur, le moindre faux pas peut nous couter cher. Nous ferons les comptes en fin de saison. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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Transferts

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Si rien n’avait filtré sur un potentiel souhait de Josip Marković de faire des affaires lors de la fenêtre de transfert hivernale, le technicien croate a cependant fait chauffer la carte bancaire du club en signant la plus grosse arrivée de l’histoire de Palerme.

Départs

Départs_hiver

Arrivées

Arrivée_hiver

« Depuis son arrivée, on me demande pourquoi avoir fait venir Gianluca alors que nous avions à ce moment trois joueurs évoluant sur le flan gauche, dont Michael, auteur de belles performances. La réponse est pourtant simple. Nous sommes un club ambitieux, nous voulons progresser encore et toujours. Entre le championnat, la Coppa Italia et notre qualification pour la suite de la Ligue des champions, nous avons encore un grand nombre de matchs à disputer d’ici la fin de saison. Nous avons peut être une belle équipe, mais nous manquons d’expérience dans ce genre de situation. Gianluca a cette expérience. Il a tout de même remporté trois championnats et a disputé un certain nombres de matchs européens. C’est clairement un atout mental pour l’équipe. Et plus encore même. Parce que c’est un renfort qui amène autre chose sur la pelouse, d’autres qualités. Riccardo et Tonino sont jeunes, ils ont besoin de plus de temps pour être au niveau des rencontres les plus importantes. C’est pourquoi j’ai laissé Tonino aller chercher de l’expérience en Serie B. Riccardo aurait pu aussi être en prêt mais le joueur a préféré rester ici. C’est son choix, je le respecte. »


- Josip Marković, entraineur du Palermo FC -

« Soyons honnête, Michael Pavlović n’a pas la carrure pour être titulaire dans une équipe qui vise le titre. D’accord, ses performances en match, en Serie A du moins, sont plutôt bonnes. Le joueur récolte régulièrement de bonnes notes des journaux sportifs. Mais c’est surtout son apport offensif qui est intéressant. Parce que défensivement, ce n’est pas vraiment ça. Quand l’équipe prend l’eau, c’est principalement via le flan gauche où il n’apporte pas un soutien suffisant à Giorgio Scalvini. Le recrutement de Gianluca Frabotta est pour moi signe que Marković a bien cerné le problème et qu’il veut installer un profil plus défensif. Pour l’instant, on assiste plutôt à un système de rotation entre les deux hommes mais je pense que l’international italien va gagner en temps de jeu au détriment de son homologue slovène dans les semaines à venir. Attention, tout n’est pas à jeter pour Pavlović. Je pense simplement que son profil correspond mieux pour des rencontres où Palerme domine que celles où le rapport de force est équivalent ou simplement inversé. »


- Marco Baresi, journaliste -

bref

Pas de nombreuses arrivées à Palerme, mais un mercato financièrement et sportivement parlant assez important. Ce n’est pas tout le monde qui signe un potentiel titulaire, en battant au passage un record financier, en plein hiver alors que les prix sont potentiellement revu à la hausse. A voir maintenant si Frabotta répondra aux attentes et si le jeune Ferrara saura progresser à l’échelon inférieur. Réponse prochainement.

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Tjrs aussi classe et agreable.
Ravi de voir Palerme sur le toit de la Serie A

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tu te fournis assez souvent chez la juve, non ?

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Forum

« Bonsoir à tous. Merci de ce soutien qui me va droit au cœur et droit au cœur des joueurs. Par rapport à votre remarque cher @Malkavens, Sivert Mannsverk est le dernier joueur de la Juventus a nous avoir rejoint. Et c’était déjà à l’été 2024. Si vous comptez Gianluca comme joueur de la Juventus pour son passé à Turin, je comprends alors. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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02

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Février est peut être le mois le plus court de l’année, c’est également le plus chargé de cette saison! Pas moins de sept rencontres sont au programme des siciliens avec un enchainement de gros matchs. Comment vont-ils s’en sortir face à ce calendrier infernal?

Rencontres

Matchs_02

Si dans le cadre de la Coppa Italia, Palerme avait cartonné la Sampdoria, la victoire est cette fois-ci moins grande, mais pas moins belle pour la cause. Les siciliens s’en remettent au talent du serial buteur, Roberto Piccoli pour prendre le large d’un doublé, et à l’opportunisme du jeune Antista qui reprend en force une frappe déviée par la défense adverse. Seule ombre au tableau, le cafouillage incompréhensible dans la défense, permettant le but des visiteurs. Palerme enchaine ensuite avec la réception de la Juventus. Face à la formation toujours menée par Didier Deschamps, les hommes de Marković peinent à faire exister leur football offensif. Le seul but de la rencontre est d’ailleurs inscrit sur la seule occasion franche du match, une belle frappe croisée de Lorenzo Lucca qui trompe le portier bianconeri.

Trois jours plus tard, la Coppa Italia reprend ses droits et les Rosanero se retrouvent à San Siro afin d’affronter l’Inter. La rencontre est intense, le combat tactique omniprésent. Il faut attendre l’heure de jeu pour voir Palerme ouvrir la marque par l’intermédiaire de l’inévitable Piccoli, avant que ce dernier ne double le score d’une frappe puissante. Mais derrière, c’est le drame. Fausto Tesoro, qui venait de monter au jeu, se fait expulser pour un tacle non maitrisé. En infériorité numérique, Palerme souffre et encaisse deux buts coup sur coup. Alors que les siciliens espère tenir jusqu’au prolongations, Lautaro Martinez crucifie leurs espoirs en inscrivant le but de la victoire à la 90+5’. Scénario cruel pour une équipe combative qui n’aurait pas volé la victoire. La dure loi du football.

Considérablement affaiblie (Almici, Grociata, Verschaeren et Piccoli blessés; Pobega suspendu), les Rosanero retournent à San Siro quatre jours plus tard, cette fois-ci pour affronter le Milan. Rapidement menés, les siciliens souffrent considérablement malgré toute la bonne volonté de l’équipe et surtout de l’arrière garde qui tente de tenir la barque en place. Mais ce sera clairement insuffisant. La défaite et lourde, et le but pour l’honneur de Lazar Tufegdžić ne pourra qu’avoir un goût amer. Et c’est avec une équipe toujours affaiblie et un gros manque de confiance que les palermitains reçoivent Chelsea dans le cadre de la Ligue des champions. Les italiens partaient peut être déjà perdant avant même le coup d’envoi, car sur la pelouse, c’est un massacre. Lukaku s’en donne à cœur joie, ouvre la défense adverse dès les premières minutes de jeu et inscrit même un doublé en moins de quinze minutes. Menés de trois buts au retour au vestiaire, les hommes de Marković ne font pas les fiers. Et même si la seconde période est un peu meilleure, le score est néanmoins sans appel. Pour la première fois depuis longtemps, des huées se font entendre des tribunes, et c’est mérité.

L’heure est grave à Palerme et les trois défaites consécutives, bien que dans trois compétitions différentes, n’inspirent pas à l’optimisme. Pour autant, pas question de rester sur cela. Les deux rencontres qui suivent sont face aux derniers du classement. Il est impératif de gagner pour retrouver la confiance. Le message de Marković est en tout cas entendu puisque la formation sicilienne enchaine deux larges succès, aux accents offensifs, quatre pions inscrits à chaque fois, mais également défensifs puisque les filets ne tremblent aucunement lors des matchs.

Classement_02

La défaite face au Milan aurait pu coûter cher aux palermitains. Il n’en est finalement rien puisque Palerme grignote même un petit point d’avance sur son principal concurrent au titre. Derrière, la bataille fait rage et malgré tout, les Rosanero ne sont pas à l’abri en cas de vraiment mauvaise série de voir revenir illico presto d’autres équipes dans la lutte pour la couronne.

« Un mois à oublier, c’est certain! Nous avons été mauvais dès le début. Défensivement, ça a été catastrophique! Je ne suis pas content, je pense que cela se voit. Néanmoins, il faut aussi reconnaitre ses tords. Et pour le coup, j’en ai aussi un certain nombre. Je n’ai pas su remobiliser mes hommes lorsque nous étions dans le dur, une vraie déception pour moi. Maintenant que nous ne sommes plus en course en Coppa et que la Ligue des champions me semble plutôt bien compromise, nous devons nous reprendre durablement pour aller chercher une performance historique en championnat. Nous en sommes capable, je veux le faire! »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Carmelo Antista et Matteo Volpe ont prolongé leur contrat jusqu’en 2030.
  • Roberto Piccoli s’est blessé à une jambe lors du match face à l’Inter. Il a été absent pendant une dizaine de jours.

bref

En bref, un mois (sur)chargé pour Palerme et cela se ressent sur les résultats. La fatigue, les blessures, l’énervement, de nombreux éléments ont posé soucis aux Rosanero ces dernières semaines. Même si les deux derniers matchs montrent déjà un visage plus positif, il faut rester méfiant du côté de Palerme. Un coup dur peut très vite revenir.

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Dur retour sur terre !

Le mois n’est pas si mauvais avec quand même 4 victoires en 5 matchs de Serie A !

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ouille la série de défaite ! tu es toujours 1er quand même

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Forum

« Bonsoir à vous. Effectivement, on ne peut pas dire que ce soit catastrophique d’un point de vue comptable. Mais là où nous avons été en défaut, c’est dans le jeu. Ici, nous ne perdons qu’une fois en championnat finalement. Mais demain, combien de matchs seront perdus? C’est pour éviter au maximum les conséquences désastreuses sur le classement. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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Caldara, stop ou encore?

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17 mars 2026

L’histoire entre Palerme et le printemps européen n’aura pas été plus loin que le stade des huitièmes de finale. Balayés par Chelsea, les Rosanero n’ont su que constater la différence de classe entre eux et le gratin européen. Et s’il y a bien un homme qui a le mieux représenté les maux des siciliens, que ce soit lors du match aller comme au retour, c’est bien Mattia Caldara.

Retour en arrière

Mattia Caldara, c’est le premier gros poisson arrivé à Palerme, le symbole d’un changement d’envergure. Mais il ne faut pas oublier que l’international italien était en perdition depuis des années, entre blessures et manque de confiance.

Marković l’a convaincu de signer, lui a témoigné une grande confiance en lui confiant la responsabilité de mener la ligne arrière et aussi simplement que cela, Caldara a su se relancer. Pendant deux saisons, il enchaîne les excellentes performances face aux autres équipes de Serie A.

Mais voilà. Cette saison, c’est le retour de la Ligue des champions. Alors qu’il est attendu comme un des leaders de l’équipe, de part son expérience internationale, voilà qu’il traverse la phase de groupe comme un fantôme. L’italien ne réalise pas vraiment des mauvais matchs, mais il n’est pas non plus décisif comme attendu. Pour la suite de la compétition, Palerme tire Chelsea, une valeur sûre outre-Manche. Ca y est, c’est le moment pour lui de se comporter comme un leader, comme en championnat. Et pourtant. Lors du match aller, alors que les Rosanero subissent encore et encore les assauts adverses, l’international italien reste silencieux. A aucun moment, il ne donne de la voix pour guider ses partenaires, motiver ou quoi que ce soit d’autre. Pire, c’est le jeune Giorgio Scalvini, à peine 22 ans, qui sort le meilleur match de la ligne arrière, avec une vraie attitude de patron. Le niveau technique n’était peut être pas là, mais le cœur si.

A domicile, pour un match pour du « beurre », c’est la même histoire qui se répète. Caldara se montre transparent, commet plusieurs erreurs techniques inhabituelles et est même remplacé par le jeune Volpe peu après l’heure de jeu. Le regard adressé par Josip Marković à son joueur ne laisse peu de place au doute. Le technicien croate est déçu de son trentenaire.

Que faire?

Si la saison est encore loin d’être terminée, il est déjà important de garder en tête quelques idées pour la prochaine, d’autant plus qu’une nouvelle qualification pour une coupe d’Europe se profile de plus en plus pour Palerme. Globalement, Marković a deux possibilités. Soit, il tente de se séparer de son joueur, quitte à le laisser partir pour pas grand chose, afin de le remplacer par une pointure, soit, il tente de relancer Caldara sur la scène européenne du moins. S’il se murmure qu’Al-Jazira voudrait signer le joueur, lui offrant ainsi une pré-retraite dorée, la question du remplacement de l’italien est bien plus épineuse. A l’heure actuelle, qui pourrait venir et représenter le leader recherché par Marković? Les candidats aux indemnités de transfert et aux exigences salariales raisonnable ne sont pas légion.

« Je pense qu’il est temps de tourner la page Caldara. Soyons honnête, c’était une belle surprise. Lorsqu’il est arrivé libre de tout contrat, il sortait d’une saison ignoble au Milan, où il n’avait disputé qu’une poignée de rencontres. Oui, il a été un joueur important des réussites récentes de Palerme. Oui, il a été un modèle pour les jeunes défenseurs. Mais soyons honnête. Caldara fait bien plus que son âge. Ce gars n’a que 31 ans mais on dirait qu’il est en fin de course. En Serie A, il arrive encore à tenir le choc, notamment grâce à sa science du placement et son utilisation astucieuse par Marković qui lui permet de ne pas multiplier les courses. Mais sur la scène européenne, ce n’est pas suffisant. Je serais Marković? Je lui dirais merci mais la porte est là. C’est aussi simple que cela. »


- Mario Baresi, journaliste -

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Ouch, la sulfateuse était de sortie pour Caldara, le voila plus troué que ta défense certains jours :smiley:

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Oh l’enchainement de 3 défaites consécutives fait mal, heureusement que tu as bien géré le coup en championnat pour être encore devant. La fin de saison s’annonce bouillante !

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Forum

« Bonsoir à vous. Je vois que l’article sortie il y a quelques jours et traitant d’un soi-disant problème avec Mattia fait réagir. Au risque de vous décevoir, je ne ferai aucun commentaire aujourd’hui. Nous avons des choses plus importantes à faire que de se concentrer sur ce que peut écrire la presse. La mauvaise passe que nous avons traversé en février n’est pas à prendre à la légère. Nous devons continuer de travailler pour nous améliorer. Je ne compte pas viser un joueur ou l’autre car c’est toute l’équipe, moi y compris, qui a failli. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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03

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La saison avance doucement mais surement et s’approche de plus en plus de son terme. Pour autant, de nombreuses choses peuvent encore se passer et Palerme n’est assuré de rien.

Rencontres

Matchs_03

Pour débuter ce mois de mars, les hommes de Marković se rendent du côté de la surprise de la saison, Sassuolo. Si l’équipe menée par Alessio Dionisi a globalement du mal face aux grosses cylindrées, sa régularité lui permet d’occuper le haut du classement depuis le début de l’exercice. Dès le début de la rencontre, les siciliens peinent à mettre en place leur jeu offensif, leurs transitions étant systématiquement coupé juste après la ligne médiane. Peu inspiré, Lazar Tufegdžić peine à fluidifier le jeu des siens et à initier le danger. Alors qu’on se dirige vers une rencontre vierge de but, Matteo Cancellieri monte au jeu pour les cinq dernières minutes et inscrit l’unique pion de la partie sur une reprise en force du pied droit.

Trois jours plus tard, les Rosanero reçoivent Chelsea. S’il y a peu de doute de l’élimination des italiens à la suite du match aller, Marković et ses hommes sont déterminés à laver leur honneur. Le trident offensif Tufegdžić - Lucca - Piccoli se montre redoutable dans les déplacements et chaque touche de balle amène le danger dans le camp adverse. Sur les flans, Almici et Frabotta réalisent un travail de sape important, multipliant à outrance les courses. Au centre, si Verschaeren se montre en retrait, Tommaso Pobega se révèle être un vrai chien enragé, dans la plus pure lignée des milieux agressifs milanais. Mais cela ne suffit pas face aux anglais. Car s’il y a bien un secteur qui se met en défaut, c’est l’arrière garde. Si Mattia Caldara devait être un guide pour ses partenaires de part son expérience, c’est Lautaro Valenti qui réalise la seule bonne performance de la ligne arrière. Et à chaque but inscrit, les Blues répliquent et marquent.

Peu après, c’est un nouveau match au sommet qui attend Palerme puisque l’équipe à Marković se déplace sur le terrain de l’Atalanta. Malgré un pion de Piccoli juste avant la mi-temps, les palermitains prennent l’eau en seconde période, Scalvini provoquant d’abord un penalty pour un coup de coude dans la surface avant de réaliser une mauvaise transmission permettant à Khvicha Kvaratskhelia de doubler la mise.

Palerme termine ce mois compliqué et décevant par la réception de Venezia, déjà en très mauvaise posture. Face aux avant-derniers, pas d’hésitation. les Rosanero déroulent et font parler la poudre pour une large victoire, importante dans une idée de reprise de confiance.

Classement_03

Pas de secret, avec ces mauvais résultats, Palerme se voit reprendre la tête de Serie A par les champions en titre. Pour autant, avec seulement quelques points de retard et huit rencontres à disputer, tout peut encore arriver. Mais méfiance. Car si Palerme peut encore rêver au titre, il faut garder un œil dans le rétro. Car l’Atalanta pourrait rapidement jouer un mauvais tour aux siciliens en cas d’enchainement de mauvais résultats comme ces derniers temps.

« Je ne vais pas faire de secrets. Pour l’instant, nous sommes un peu dans le dur. En championnat, nous commençons à tirer la langue. La saison a été longue et épuisante pour nous. Mais je crois au second souffle. Nous avons les capacités mentales de renverser ces barrières et de repartir en avant dans une dynamique conquérante. Ce n’est pas parce que nous sommes en difficulté pour l’instant que nous ne pouvons plus inverser la tendance. Concernant la Ligue des champions, est-ce que quelqu’un peut honnêtement reprocher à Palerme d’avoir été sortie par Chelsea? Nous n’avons pas su nous montrer à la hauteur lors du match aller mais ici, devant nos supporters, nous avons prouvé que nous pouvions tenir tête. C’était une découverte pour la plupart des joueurs, et moi y compris, cette Ligue des champions. Et je suis fier du parcours que nous avons réalisé. Peu importe le score ici. Nous avons été à un niveau que peu de monde nous promettait. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Lors de la rencontre face à l’Atalanta, Josip Marković a fêté son 200e match sur le banc de Palerme.
  • Lorenzo Lucca a été nommé joueur du mois en Serie A.

bref

En bref, un mois décevant, frustrant, démotivant peut être pour Marković et ses hommes. Mais attention, le technicien croate ne semble pas avoir dit son dernier mot. Si ses joueurs affichent le même état d’esprit que lors des saisons précédentes, ils se battront jusqu’au bout pour le titre.

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Je vais faire mon Nabil Djellit, mais cette équipe de Palerme semble un peu craquer sous la pression. D’un autre côté, Milan est hyper fort et les rencontres jusqu’ici ont toutes été de haut niveau et donc, difficiles à négocier. Ça, c’est juste pour parler de la Serie A. En Ligue des Champions, le parcours reste très bon.
Au moins, ça forge l’expérience ! Les résultats vont tourner à l’avantage dell’Aquila, c’est certain !

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Dur à tenir, ce rythme
Mais dis donc, je me souvenais pas que tu avais choke comme ça par le passé :thinking:

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Dur dur ! Les défaites qui gâchent tout pour la 1ere place.
Lâche rien !

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Un peu dans le dur là, maus courage, ca va revenir :wink:

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« Bonsoir à tous. Effectivement, comme vous le dites tous, nous sommes actuellement dans le dur. Mentalement, nous avons pris une belle claque. Nous nous sommes peut-être laissé grisé par les bons résultats, la confiance s’est installée, trop même, et aujourd’hui, nous en payons le prix. Mais je ne veux pas rester sur une vision si pessimiste. Nous avons les armes pour reprendre notre marche en avant. Levons la tête, concentrons nous sur notre football, et nous retrouverons sans aucun doute la route du succès et de la régularité. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

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04

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Avril, le printemps s’installe et les différents clubs voient doucement mais surement l’issue du championnat s’approcher. En effet, quatre matchs sont au programme, dont des rencontres importantes face à la Roma et l’Inter.

Rencontres

Matchs_04

C’est un déplacement en capitale italienne qui ouvre le quatrième mois de l’année. Malgré une grosse activité des siciliens, une erreur de marquage de Gianluca Frabotta permet à Abraham d’ouvrir le score pour les locaux après une très belle incursion en solitaire. Tufegdžić, incandescent depuis le début de la partie, manque de peu de revenir au score en début de seconde période. Ce n’est que partie remise. Car juste avant l’heure de jeu, le serbe réduit la marque d’une frappe puissante du gauche. Malheureusement, les Rosanero ne parviennent jamais à prendre véritablement l’ascendant sur leurs adversaires.

Une semaine plus tard, Palerme reçoit le Genoa. Autoritaires, les siciliens mènent la danse dès les premières minutes de jeu. Lucca et Antista, combinant très bien ensemble, inscrivent chacun un pion avant que le score ne soit alourdit en seconde période. Pour autant, les locaux montrent d’inquiétants signes de fragilités défensives dans les cinq dernières minutes de jeu puisqu’ils encaissent coup sur coup deux buts.

Palerme enchaine avec une nouvelle rencontre à domicile, cette fois-ci face au Torino. Si le score se révèle être le même qu’une semaine auparavant, la physionomie du match se révèle bien différente. Car ici, les visiteurs mettent le pied sur le ballon dès les premiers instants et mènent la vie dure aux palermitains. Ils inscrivent d’ailleurs deux pions en première période. La soufflante dans le vestiaire doit être importante, car lorsque les Rosanero reviennent sur la pelouse, ils affichent un tout autre visage. Rapidement, ils reviennent au score par l’intermédiaire de Lucca et de Tufegdžić avant que ce dernier n’inscrive deux buts supplémentaires afin de permettre aux siens de sécuriser les points.

Avril se termine par un déplacement à San Siro car l’Inter se dresse face à l’équipe de Marković. Le combat se révèle rude, les espaces étant inexistants d’un côté comme de l’autre. Si Tufegdžić ouvre finalement le score à la demi-heure de jeu sur la première frappe cadrée des Rosanero, les intéristes reviennent au score dans la foulée par l’intermédiaire d’Otávio. En seconde période, ce schéma se répète à deux reprises, et ce malgré un rythme de jeu de plus en plus élevé.

Classement_04

Pas de changement au classement avec Palerme qui occupe toujours la place de dauphin. A noter que le Milan grapille encore deux points aux Rosanero. Derrière, l’Atalanta conserve sa troisième place, à une poignée de points des seconds.

« Je le remarque bien, la fatigue s’installe. Cette saison est éprouvante à plusieurs niveaux. Mais en même temps, c’est aussi le prix à payer lorsqu’on veut se montrer ambitieux. Maintenant, les résultats obtenus ce mois-ci ne sont pas mauvais pour la cause. On peut toujours espérer mieux, mais je suis tout de même satisfait. Les gars affichent une vraie mentalité de guerrier et font preuve d’un sens du collectif que j’apprécie énormément. Il nous reste quatre matchs. Quatre rencontres où il faudra continuer à se battre comme des lions. »


- Josip Marković, manager du Palermo FC -

News

  • Josip Gačić quittera le club en fin de saison. Le club n’a pas voulu négocier avec le défenseur croate pour une prolongation.
  • Roberto Piccoli a été nommé joueur du mois en Serie A.

bref

Palerme titube légèrement, mais Palerme avance encore. Nombreux étaient ceux à ne pas croire à ce type de scénario, et pourtant, les Rosanero sont encore mathématiquement parlant dans la course au titre. Il reste désormais quatre rencontres à Josip Marković pour aller chercher une première couronne tout simplement historique. Il faudrait un sérieux coup de pouce du destin, c’est certain. Mais tout reste possible.

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