Ah oui, grosse saison que tu nous sort là, un peu innatendu à mes yeux !
Costaud le Tumminello !
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« Bonsoir messieurs. Je suis ravi de voir que notre belle saison déclenche la passion chez des tifosi comme vous. Comme vous le dites, nous réalisons un excellent exercice, bien loin de la zone rouge qu’on nous promettait. Etre déjà dans la première moitié du classement, c’est une grande fierté pour le club. Après tout ce que l’équipe a connu comme infortune, c’est un retour aux affaires plutôt réussi. Nous allons faire de notre mieux sur les dernières rencontres pour conserver notre classement actuel, je vous le garantis. Tout le monde est déterminé. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
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Un programme chargé pour Palerme en ce mois d’avril avec deux matchs face au leader interiste et à la Juventus.
Avril commence par la réception du Genoa. Un match globalement maitrisé pour les Rosanero qui dominent assez facilement la rencontre, inscrivant deux pions mais qui auraient pu être plus nombreux avec un peu plus de réussite dans le dernier geste. De quoi préparer au mieux le match face aux leaders? Pas vraiment non. Car face à une très solide équipe, les hommes de Marković n’y arrivent pas. S’ils tentent bien de résister, ils ne peuvent rien face à la puissance des intéristes.
La semaine suivante, un autre gros morceau attend les siciliens puisqu’ils se déplacent du côté de Turin. Si lors de la rencontre face à l’Inter, ils avaient essayé de faire quelque chose, ici, ce n’est en aucun cas le cas. Les Rosanero enchainent les erreurs et approximations. La tension monte. Le long de la touche, Josip Marković s’excite de plus en plus tandis que ses poulains montrent des signes d’agacements. En seconde période, tout bascule. Josip Gačić se fait exclure pour un tacle par derrière avant que Giovanni Crociata ne lui emboite le pas à la suite d’un geste d’humeur. A neuf, Palerme ne peut faire que le dos rond et attendre que le match se termine.
Après deux résultats décevants, les siciliens se doivent de se reprendre face à l’Udinese. Mission réussie grâce à Florian Ayé, auteur d’un très beau but à la suite d’une combinaison dans la surface avec Antista. Un petit but seulement mais difficile d’en demander plus à Marković alors qu’il est privé de nombreux joueurs (Croaciata, Gačić, Tufegdžić et Pobega suspendus).
Au classement, pas de changement pour Palerme qui continue d’occuper la huitième position. Alors que la fin de saison approche, les jeux sont déjà fait (ou presque fait) pour certains. Au fond du classement, Empoli et la SPAL sont assurés de retourner en Serie B tandis que devant, l’Inter a déjà acté sa qualification pour la prochaine édition de Ligue des champions. Le titre n’est mathématiquement pas encore assuré mais ça n’en est pas loin.
« Suis-je toujours en colère de notre prestation désastreuse face à la Juventus? Oui. C’est tout à fait inacceptable de faire preuve de si peu de professionnalisme. Je ne vais pas pointer un joueur en particulier mais bien rappeler la dimension collective de ce sport. C’est ensemble qu’on gagne, et c’est ensemble qu’on perd. Alors voir les gars se désolidariser ainsi, ne pas faire corps tous ensemble, cela me met hors de moi. Que le match soit compliqué, que ce soit un jours sans, oui, je comprends. Tout ce que j’attends, c’est qu’on affronte ça ensemble. Ca n’a pas été le cas et la note fut sévère. J’espère sincèrement que cela servira de leçon à tout le monde, moi y compris. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
- Plusieurs jeunes très prometteurs de l’académie ont intégré les U18. Tilen Ljubec, Sergio Nuzzi ou encore Dennis Acasandrei sont certainement les plus prometteurs de leur génération.
En bref, un mois plutôt décevant, surtout au niveau de l’attitude. Il faudra se reprendre pour les dernières rencontres de la saison afin d’assurer ce classement.
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rien d’affamany à perdre face à 2 monstres, tu es bien à ta 8e place ^^
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« Bonsoir. Comme vous dites, l’Inter et la Juventus sont de très grosses équipes. Perdre contre eux alors que nous venons d’être promu n’a rien d’illogique. Ce qui m’embête le plus, c’est l’attitude affichée face à la Juventus. Nous devons montrer un meilleur visage à l’avenir pour espérer la moindre chose. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
Fin de saison pour Palerme. Et il est temps. Comme l’ensemble des joueurs le disent, la saison a été longue et tous sont content de bientôt pouvoir souffler. Mais pas tout de suite. Car il reste encore quatre matchs à disputer pour terminer cette première saison dans l’élite italienne.
Mai commence par un petit derby face à Cagliari. Si l’entame se fait plutôt en douceur, il faut attendre la demi-heure de jeu pour voir les choses s’emballer, notamment par l’intermédiaire de Florian Ayé, intenable en pointe. L’attaquant ouvre d’ailleurs le score d’une belle tête plongeante. En seconde période, c’est le box-to-box, Giovanni Crociata, qui double la mise à la suite d’une percée prodigieuse au milieu d’une défense adverse dépassée.
Une petite semaine après, Les Rosanero enchainent avec la réception de Napoli. Malgré les enjeux de fin de saison, les napolitains ne peuvent se présenter avec leurs onze titulaires, la faute à plusieurs blessures. Pas de problème pour les hommes de Marković qui s’engouffrent dans cette brèche et donnent une vraie leçon de football aux Azzurri. Entre Lazar Tufegdžić et Florian Ayé, le ballon circule et donne le tournis à tout le monde. Les deux hommes facturent d’ailleurs cinq réalisations à eux-deux. Finalement, le seul fait notable du Napoli sera ce but, pour l’honneur, dans les arrêts de jeu.
Le classement étant désormais fixé, Marković fait tourner ses hommes pour les deux dernières rencontre, face à la Fiorentina et l’Atalanta. Néanmoins, pas de surprise pour les palermitains puisqu’à chaque fois, ils rentrent aux vestiaires avec la victoire. Des rencontres logiquement plus poussive mais tout de même positive en cette fin de saison.
Palerme, huitième. Qui aurait-pu croire cela en début de saison? C’est en tout cas un très beau classement pour les promus. Devant, le combat aura été rude jusqu’au bout car à l’exception du champion Interiste face au reste de la meute, les écarts sont presque inexistants. Pas de surprise non plus pour les dernières positions avec Venezia, Empoli et la SPAL qui retournent en Serie B.
« Ce mois de mai aura été une très belle conclusion pour notre saison. Jusqu’au bout, nous avons cru en nous. Nous nous sommes donnés les moyens de nos ambitions et nous en récoltons le fruit de ce travail. Je suis fier de mes joueurs et de ce que nous avons pu accomplir cette saison. Désormais, il est temps de prendre un peu de repos car un été chargé nous attend. Nous avons fait figure de surprise tout au long de l’exercice. Ce ne sera plus le cas. Nos performances vont nous coller à la peau pendant un moment maintenant. Il va falloir dépasser la surprise pour s’imposer grâce à notre football, à nos capacités pures. Mais bon, pas d’affolement. D’abord du repos. Tout le monde au club en a grandement besoin. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
- Blessure à la hanche pour Carmelo Antista. Le jeune joueur devrait être éloigné des terrains pour à minima deux mois
- Michael Pavlović va disputer l’Euro 2024 avec la Slovénie
- Voici le classement des meilleurs buteurs, toutes compétitions confondues :
- Voici le classement des meilleurs passeurs, toutes compétitions confondues :
- Adel Vinčić a été nommé meilleur jeune de Serie A de la saison
En bref, une conclusion digne de la saison que les Rosanero ont connu. Comme le coach l’a souligné, il est désormais temps pour tous de prendre un repos bien mérité avant de déjà attaquer la préparation de la prochaine saison. Un exercice où Palerme sera sans aucun doute attendu au tournant. Il ne faudra pas se louper.
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Ca a finit fort la saison ! Bien joué !
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Quelle saison mama mia !
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superbe première saison, c’est de bon augure pour la suite
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« Bonsoir messieurs, je vous remercie de vos retours. Je suis heureux de la saison que nous venons de sortir. Nous avons su rester concentré du début à la fin pour proposer la meilleure version de nous même match après match. Il y a bien sûr eu des couacs, des jours sans, comme chaque équipe connait finalement. Mais globalement, c’est un exercice fondateur. Nous avons ramené ensemble Palerme sur la carte du football italien en jouant notre jeu à fond et c’est sur cette base que nous devons construire l’avenir. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
Mannsverk est palermitain!
05 juillet 2024
Palerme lance enfin son mercato estival. Et c’est le prometteur milieu norvégien, Sivert Mannsverk, qui a l’honneur d’ouvrir le bal. Qui est-il? Que vaut-il? C’est ce que nous allons voir ici.
Jeunesse novégienne
Mannsverk fait partie de cette prometteuse génération de footballeur norvégien, à l’instar de Rønningen Jørgensen, Ødegaard et bien entendu Erling Haaland. Natif d’Årdal, le jeune garçon se lance très vite dans le football. Doté d’une excellente qualité balle au pied, il intègre dès son plus jeune âge l’académie du Sogndal. Là-bas, sa progression se révèle linéaire mais importante, ce qui lui ouvre rapidement les portes, tout d’abord de l’équipe B, en 2017 et 2018, puis des A pour la saison 2019. Sans faire de vague, le jeune joueur cartonne et devient un élément important de la rotation. Il enchaine avec une seconde saison en guise de confirmation avant de connaitre quelques turbulences, liés à des difficultés relationnelles avec son coach de l’époque. Finalement, Molde vient le chercher en 2021 pour renforcer son entrejeu et la sauce prend. Malgré quelques blessures, le norvégien explose et devient lors de la saison 2022 un élément important de l’équipe.
Ses bonnes prestations attirent le regard de plusieurs clubs européens et finalement, c’est en Italie que Mannsverk pose ses valises, et plus précisément du côté de la Juventus, passée maître dans l’art d’aller chercher des jeunes talents. S’il enchaine de bonnes prestations chez les U23, à aucun moment, il n’obtient sa chance avec l’équipe première. En janvier 2024, il demande à être prêté et atterri à la Sampdoria. Si l’international espoir joue beaucoup, il ne parvient pas à faire preuve de la même régularité que par le passé.
De retour à Turin et las de sa situation sportive, le norvégien demande à obtenir un bon de sortie, acceptée par le board des Bianconeri.
Milieu polyvalent
Si Mannsverk est tout à fait capable d’évoluer un peu partout, comme lors de son prêt à la Sampdoria où il a été utilisé comme milieu central, défenseur et même ailier droit, c’est dans un rôle de box-to-box, au cœur du jeu donc, que le jeune joueur dit se sentir le plus à l’aise et où il met le plus en avant ses aptitudes. Agressif comme il faut, doté d’un bon sens de l’anticipation, le joueur de 22 ans brille également par son bon volume de jeu, couplé à une endurance assez importante, lui permettant d’enchainer les courses pendant toute une rencontre. Mais le résumer à ses capacités physico-mentales ne rendent pas hommage à ses capacités techniques. Car oui, nous n’avons pas qu’affaire à un marathonien. Balle au pied, Sivert Mannsverk se révèle être un joueur au toucher de balle plutôt soyeux et élégant. Bon passeur, techniquement pas mauvais du tout, il est amateur de déclencher le mouvement par des prises de risque, lors de transition vers l’avant.
Comme toujours avec de jeunes joueurs, tout n’est pas non plus parfait. Ce qui a pu frapper les observateurs du jeune norvégien, c’est avant tout son manque de sang-froid. Comme lors de la rencontre face à Venezia, la saison passée, où titillé par un adversaire, Mannsverk s’énerve et se fait exclure pour un tacle absolument pas maitrisé. De plus, le joueur a tendance également à oublier les autres, et à se montrer individualiste, peut-être par envie de se mettre en avant. Ce qui en résulte, des situations intéressantes gâchées par des mauvais choix.
Néanmoins, il ne faut pas oublier que Sivert Mannsverk n’a que 22 ans. A son âge, il est tout à fait normal d’être perfectible. Sa marge de progression en tout cas un facteur intéressant et qui a sans nul doute, jouer dans la volonté de Josip Marković de le faire venir en Sicile.
« Je suis très content de pouvoir compter sur Sivert pour la saison à venir. Tout n’a pas été facile pour lui depuis son arrivée en Italie mais j’ai bon espoir qu’avec l’ensemble du club, nous arrivions à l’aider à exploiter la pleine mesure de son talent. C’est un joueur avec de grandes qualités, qui a une marge de progression intéressante et surtout beaucoup d’envie. Et ça, c’est important pour moi. J’ai été très clair avec. Il ne vient pas pour être titulaire. Nous avons déjà un milieu performant qui me donne satisfaction. Mais avec du travail et de la motivation, il aura sa chance comme tout le monde. Il fallait renforcer le cœur du jeu suite au départ de Dante Rigo, c’est désormais chose faite. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
« Josip Marković ne change pas une recette qui lui réussit (pour l’instant) très bien, à savoir, aller chercher des profils en situation d’échec dans leur club afin de les relancer. Sivert Mannsverk n’a que 22 ans, mais il peut avoir un goût de déception en regardant son parcours italien jusqu’à présent. Est-ce que ce départ à Palerme peut l’aider à montrer l’étendue de son potentiel? Je ne sais pas. Tout dépendra de sa motivation et de son implication. Marković n’hésite pas à écarter un joueur qui n’a pas le goût du travail comme lui le veut et donner sa chance à tous. En se montrant sérieux, Mannsverk a clairement une carte à jouer, surtout avec le départ de Dante Rigo et celui presque actée de Luperini. »
- Mario Baresi, journaliste -
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Un nouveau portier à Palerme!
06 juillet 2024
Au lendemain de l’arrivée de Sivert Mannsverk en Sicile, voilà que les Rosanero annoncent l’arrivée d’un nouveau gardien en la personne d’Ivan Nevistić.
Le géant croate
Ivan Nevistić ne passe pas inaperçu. Avec son mètre 95, il est particulièrement difficile de le louper. Et déjà gamin, c’était le cas. Lui, ce mordu du ballon rond était déjà dès son plus jeune âge le gardien attitré, dans l’ensemble des clubs amateurs traversés. Sûr de sa force, il intègre les équipes jeunes du HNK Rijeka lors de l’été 2015. C’est encore un enfant, mais on lui promet déjà un bel avenir dans les cages. Nevistić se montre sérieux et progresse assez rapidement, ce qui pousse son club à le prêter à différentes formations du pays. Là, il montre un aperçu de son talent, mais, lors de la saison 2020-2021, il explose littéralement dans le goal de son club formateur et pousse le Dinamo Zagreb à miser sur lui pour l’avenir.
Nevistić devra se montrer patient et repartir en prêt pour prouver sa valeur avant de revenir plus fort pour l’exercice 2022-2023 et devenir titulaire en cours de saison. Depuis, le joueur est indiscutable aux yeux de son coach, ce qui lui permet d’intégrer l’équipe nationale et d’honorer trois sélections. Mais le croate en veut plus. Et avant la fin de saison, manifeste son envie de se lancer dans un nouveau défi. A seulement un an de la fin de son contrat, le club n’a pas le choix et se montre disposé à le céder. Si plusieurs formations comme le Real Betis ou Wolfsburg se montrent intéressé, le joueur pousse pour rejoindre l’Italie et son compatriote, Josip Marković, au sein du Palermo FC.
Monsieur réflexes
L’atout N°1 de Nevistić? Ses réflexes. L’international est capable de sortir des frappes que de nombreuses personnes voyaient au fond. Combiné à de bonnes capacités en un contre un et un sens du placement plutôt bon, cela en fait un gardien plutôt bon et intéressant pour Palerme. S’il n’est pas mauvais du tout balle au pied et peut tout à fait évoluer avec un rôle de libéro, cela n’est pas une priorité pour Marković qui veut plutôt que ce soit la défense qui gère la relance. De plus, malgré son jeune âge (25 ans), c’est un joueur déjà expérimenté. Avec presque 200 matchs au compteur, il peut de plus se targer d’une belle expérience européenne, ayant déjà disputé une quinzaine de rencontre en Ligue des champions et Ligue Europa.
Finalement, là où le bat blesse, c’est au niveau de la détermination. Nevistić est le genre de personne à plutôt se laisser abattre quand les difficultés sont trop importantes. Mais nul doute que Marković pourra donner la confiance nécessaire à son nouveau gardien pour que celui-ci ne continue à briller en Sicile.
« Ivan est un joueur talentueux, bon travailleur, motivé et disponible pour l’équipe. Voilà pourquoi j’ai coché son nom au moment de faire un choix. C’est une première expérience hors de son pays pour lui, je suis bien placé pour savoir que ce n’est pas évident de quitter les siens, mais je suis convaincu qu’il pourra continuer à briller chez nous. Quid de Di Gregorio? Michele va bien entendu rester chez nous pour la saison à venir. C’est un joueur avec beaucoup d’importance dans l’effectif. Alors non, je n’ai pas encore fait de choix pour savoir qui serait mon N°1 et qui serait mon N°2. Les matchs amicaux vont m’aider à me décider. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
« Ivan Nevistić arrive avec une solide expérience, tout à fait ce que Palerme a besoin. C’est un joueur talentueux à n’en pas douter. Reste à voir maintenant s’il s’adaptera au championnat italien et s’il donnera la pleine mesure de son talent comme il pouvait le faire en Croatie. En tout cas, je pense sincèrement que c’est lui qui sera le N°1 de Marković. La somme dépensée pour le recruter (on parle de 5M €) n’est pas incroyable non plus, bien que ce soit le plus gros investissement des Rosanero depuis des années, mais j’ai beaucoup de mal à l’imaginer s’asseoir tranquillement sur le banc et attendre le temps passer. La concurrence s’annonce rude avec Michele Di Gregorio. »
- Mario Baresi, journaliste -
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Le recrutement est vraiment sympa !
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1.95m c’est un vrai géant pour tout arrêter !
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Tu arrives vraiment à trouver des super pépites quand même ! Des joueurs quasi inconnus (enfin, ça dépend pour qui) avec des super profils, ça bosse bien à Palerme !
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Ils n’ont pas l’air miteux, ces Palermitains 
Dégoter des perles méconnues ou sous-cotées, voilà le type de recrutement qui fait tout le sel des mercatos dans FM. Curieux de voir ce que ça donne sur un terrain 
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« Merci à vous! Nous travaillons très dur avec la cellule de recrutement pour aller cherche des joueurs qui ont quelque chose à apporter à l’équipe. Empiler les joueurs, ce n’est pas dans notre intérêt. Non, il faut aller chercher le rouage qui permettra à l’équipe d’améliorer son rendement. C’est en tout cas comme ça que je fonctionne. Et comme nous ne pouvons pas nous permettre de dépenser des sommes folles, nous n’avons pas le choix de nous mettre à la recherche de joueurs moins connus du grand public. C’est comme ça, mais moi j’adore. Cela rend nos étés plus excitants encore je dois dire (Rires). »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
AUTRES QUESTIONS
Tout ce que j’aime faire sur FM résumer en une phrase 
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La filière Atalanta
09 juillet 2024
L’Atalanta, une filière qui fonctionne bien pour Palerme et Josip Marković. Car après les arrivées de Giorgio Scalini, Ludovico Gelmi ou encore Simone Muratore, voilà que les Rosanero recrutent une nouvelle fois là. Cette fois-ci, l’heureux élu n’est autre que le jeune attaquant Roberto Piccoli.
Bergame je t’aime
Natif de Bergame, Roberto Piccoli a l’Atalanta dans le sang. Fils et petit fils de supporters, il voue dès son plus jeune âge une admiration toute particulière pour la Dea. Si ce n’est évidemment pas là qu’il dispute ses premières minutes sur un terrain de football, c’est au sein de son académie que le jeune italien se construit et développe l’attaquant qu’il est. Lors de la saison 2018-2019, il est appelé pour la première fois chez les A. D’abord uniquement à l’entrainement avant d’être convoqué en match. Il faudra cependant attendre la fin de saison pour qu’il connaisse ses premières minutes chez les professionnels. La saison suivante, s’il s’impose chez les U20, il ne parvient cependant pas à convaincre le staff de miser plus sur lui.
Un an plus tard, alors qu’un certain Josip Marković débarque pour devenir le nouvel adjoint de Gian Piero Gasperini, Piccoli s’envole en prêt pour la Spezia. Là, il sort une saison globalement positive, bien qu’il éprouve des difficultés à se montrer tueur devant le but adverse. De retour dans son club de cœur, le jeune italien passe trois longues saisons à errer, entre banc et U20 où il cartonne. En équipe première, il subit la défiance et une mise à l’écart franche, de l’extérieur, pas justifié. C’est d’ailleurs la lassitude et le sentiment de tourner en rond qui poussent le joueur a demandé son transfert, comme il a pu le mentionner sur les réseaux sociaux.
Attaquant moderne
Sur papier, Rberto Piccoli a toute de la bonne pioche. 23 ans seulement, grand, doté d’un superbe jeu de tête, pas mauvais techniquement, le jeune italien a surtout pour lui de grandes capacités athlétiques. Mais c’est sans tenir compte de son jeu collectif et de son sang-froid important. De plus, son nom est régulièrement cité lorsque qu’on parle (parlait) des futurs grands. Pourquoi ne pas encore avoir explosé? Piccoli semble souffrir des maux du football moderne, ceux des joueurs plus inquiets par leur image que par les résultats de l’équipe. Il est clair que c’est un fin psychologue qu’il lui faut afin de passer les barrières qui le bloquent actuellement et lui permettre de répondre à son destin. Josip Marković pourra-t-il être l’homme de la situation?
« Je suis heureux de l’arrivée de Roberto. C’est un joueur avec un grand potentiel. Il a ce qu’il faut pour devenir un grand attaquant, le talent, la motivation. Ce qui lui manque maintenant, c’est ce petit déclic si important mais si compliqué à avoir. Nous allons faire tout notre possible avec le staff pour qu’il ait ce fameux déclic. Son arrivée en lieu et place de Florian Ayé qui a énormément apporté pendant ces deux saisons doit le marquer suffisamment. »
- Josip Marković, manager du Palermo FC -
« Roberto Piccoli s’attaque à un sacré défi en prenant la suite de Florian Ayé. Car ce dernier, c’est tout de même plus de cinquante réalisations en seulement deux saisons. Il va falloir batailler sec pour le remplacer dans le cœur des supporters. Est ce que Piccoli en est capable? Là est la question. Pour l’instant, il n’a pas montré grand chose du côté de l’Atalanta. Que ce soit de sa faute ou de celle du club, peu importe. La réalité au jour d’aujourd’hui, c’est que c’est Palerme qui a posé une majeure partie de son budget sur lui (On parle de 11M €. Reste à voir si le board des Rosanero ne s’en mordra pas les doigts. »
- Mario Baresi, journaliste -
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très bon choix ce picolli, il a tout pour se faire une place dans le 11
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Le meilleur attaquant que j’ai eu sur le dernier opus FM ! Je l’aime ! A chaque fois qu’il marquait je faisais toujours le même geste et du coup madame savait qu’il fallait crier « Piiiccoliiiiiii » 
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