:fm23: 5 clubs à ramener de l'enfer

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Bonjour chers @forumeurs. Maintenant que la date de sortie de la prochaine édition de Football Manager a été annoncé, il est désormais temps de réfléchir au club que vous conduirez au sommet. Vous voulez jouer dans l’un des cinq grands championnats européens mais ne pas commencer directement au sein de l’élite? Alors voici une sélection faite pour vous! Ici, vous retrouverez des formations ayant connu les joies de la première division et de la relégation lors de la saison 2021-2022.

:england: :burnley: Angleterre - Burnley FC


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Burnley est bien connu des amateurs du football anglais. Mené d’une main de maître par Sean Dyche pendant presque dix ans, le club du nord de l’Angleterre a connu des hauts et des bas depuis sa promotion en Premier League en 2016. Malheureusement sur une pente descendante, les Clarets n’ont jamais su hausser le niveau de jeu lors de cette longue saison et le départ du manager anglais n’y aura rien changé. De retour au second échelon national, avec l’ancien international belge, Vincent Kompany aux manettes, l’objectif est clair. Le board ne se satisfera que de d’une promotion. L’effectif a largement été remanié avec plusieurs gros départs (Nick Pope, Maxwel Cornet, Nathan Collins, …), mais est en tout cas plutôt intéressant avec plusieurs jeunes à gros potentiels comme Ian Maatsen (prêté par Chelsea) ou Jordan Beyer (prêté par le Borussia Mönchengladbach). Il faudra se montrer ingénieux et capable de transcender un groupe qui n’attend que ça. Mais attention, la Championship est un championnat particulièrement long et difficile à manœuvrer. De nombreux entraineurs s’y sont cassés les dents.

:spain: :granada: Espagne - FC Granada


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Le FC Granada peut l’avoir mauvaise, son maintien lors de la saison 2021-2022 s’étant joué à un tout petit point. De retour au sein de l’élite espagnole depuis 2019, ayant connu deux belles saisons conclues dans la première moitié du classement, avec même une qualification européenne à l’issue de la saison 2019-2020, les Rojiblancos ont connu un exercice galère, ne levant les bras que huit fois. Piqués au vif par cet échec, les dirigeants du club andalou n’attendent qu’une chose de cette saison, un retour rapide en Liga. Lors du mercato estival, plusieurs joueurs importants ont quitté le navire, tel que Luís Maximiano, Luis Suárez ou encore Luis Milla. Le recrutement opéré par le board s’est voulu malin avec les arrivées en prêt de Erick Cabaco et Jonathan Silva, ou encore en fin de contrat de Óscar Melendo et Yann Bodiger. Avec un effectif taillé pour un 4-2-3-1 létal, plusieurs pépites tel que Matías Arezo, et des joueurs d’expérience comme José Callejón, transfuge de la Fiorentina, la matière première est intéressante. Reste à mettre cela correctement en musique.

:italy: :venezia: Italie - Venezia


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Il est loin le vent de fraicheur que la planète football avait ressenti il y a un an maintenant, lors du retour en Serie A du club de Venise. Présentation de maillot moderne et détonante, communication sympathique, ferveur populaire importante, que des choses pour faire vibrer la corde sensible des observateurs. Malheureusement, sur le terrain, ce ne fut pas la même soupe. Les Arancioneroverdi auront enchainé les mauvais matchs, collectionnant les défaites, et se retrouvant définitivement en zone rouge à une douzaine de rencontres de la fin de saison. De retour en Serie B, le pessimisme a dévoré les travées du stade. Mercato jugé décevant, mauvais résultats en ce début de saison, le Venezia est dans la tourmante. Il faudra un technicien fort, une personne à poigne pour arriver à remobiliser le groupe et repartir de l’avant afin de ne pas stagner outre-mesure dans l’antichambre de l’élite italienne.

:germany: :bielefeld: Allemagne - Arminia Bielefeld


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Il est toujours compliqué de briller quand on présente l’un des budgets les plus faibles de son championnat. L’Arminia Bielefeld en a fait les frais. Revenus en Bundesliga à l’issue de son titre en seconde division lors de la saison 2019-2020, les Arminien ont connu deux saisons compliquées, dont la dernière fut fatale au club. Habitué à ce genre d’histoire, le club faisant régulièrement le jump entre le troisième et le premier niveau national, le board a travaillé cet été à revoir assez considérablement son effectif. Douze arrivées dont trois prêts sont à relever. Mais à côté, les pertes ont été importantes. Entre Stefan Ortega parti du côté de Manchester City et Patrick Wimmer, c’est la soupe à la grimace pour les supporters. D’autant plus que le nouveau technicien, celui qui a pour mission de ramener le club de Bielefeld en Bundesliga, Daniel Scherning, n’est arrivé qu’à la mi-août et ne fait déjà plus l’unanimité, la faute à des résultats plus que décevants. Un licenciement de ce dernier serait déjà sur la table. Il faudra avoir les nerfs solides et de belles compétences managériales pour remplir les objectifs du board, tout en faisant avec les faibles moyens mis à disposition.

:france: :sainte: FRANCE - AS Saint-Étienne

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Il y avait du beau monde dans le fond du classement de Ligue 1, version 2021-2022. Entre le FC Metz, Bordeaux, et les verts, que de sacrés clients, aux prestations désastreuses. A Saint-Etienne, c’est la soupe à la grimace depuis trop longtemps maintenant, entre niveau de jeu abyssal, effectif pas à la hauteur des ambitions et mise en vente du club. Dans ce marasme, peu ou pas de motif de satisfaction. L’été s’est révélé pitoyable pour de nombreux amoureux du club, avec un recrutement particulièrement décevant. Les résultats de ce début de saison font d’ailleurs déjà craindre le pire aux supporters. Et il y a de quoi! Relever ce géant endormi du football français est une belle mission. Mais une mission périlleuse et particulièrement complexe. Il faudra faire preuve d’ingéniosité pour bricoler un onze cohérent et capable de tenir le coup afin de réussir à ce maintenir en Ligue 2, avant d’envisager plus loin. Un Jean-Philippe Krasso ou un Etienne Green peuvent bien aider pour cela, mais il faudra les mettre dans les meilleures conditions possible pour briller.

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Je trouve que la situation de Nancy correspond davantage à la définition « d’enfer » que ces 5 clubs.

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Le National avec un effectif en bois et pas de thune c’est un autre genre de délire encore. On démarre doucement :smiley:

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Du coup il y a quel qualificatif qui soit pire que « enfer »?

Nancy :sac:

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simple, sobre, efficace !

Sinon c’était un choix délibéré de ne prendre que des clubs qui étaient en première division la saison passée :wink:

Par la même occasion, ramenez-moi Parme en Serie A par pitié !

J’aurais bien vu le FC Nürnberg, second club le plus titré d’Allemagne, qui est en 2.Liga.
Sinon les Girondins de Bordeaux me semble être un choix tout aussi sympa.
Le fameux défi avec les Black Cats, un classique (malheureusement).
En Italie, j’aurais vu un défi de taille en Serie C avec le FC Pro Verceil 1892, sept fois champion d’Italie.
Le Genoa en Serie B pour moins de difficulté autrement.

Les gros défis ne manquent pas !

J’suis déçu @Rhino !

Vu que l’article vient de toi je m’attendais à y trouver le Standard :sac:

Très bel article @Rhino

Magnifique j’adore…

Je suis fier de toi la relève :star_struck::rofl:

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On a parlé des 5 gros championnats, la jpl en est très loin :grin:

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Salaud. :joy:

Je serais plutôt partisan pour Palerme dans la continuité de leur remonter vers l’élite après être tombé très bas

Cagliari Calcio aussi.

La Sardaigne perd son club phare, avec un public hors du commun (et hors des hooligans racistes et anti sémites) et qui a vu passer Cragno, Zola, Nainggolan, Diego Lopez). De quoi donner envie de remettre la Sardegna Arena au centre du village de la Série À.

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@Rhino faut faire un article des clubs a ramener d’outre tombe…

Nancy
Munich 1870
Sète
Farense
Wimbledon

Je dis ça je dis rien

1860 plutôt non ? :grin:

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Oui moi c’etait la version remasterisée