Comme la presse le montre, La Rochelle sort d’une saison absolument folle avec un titre en N3 et une finale de coupe de France contre le PSG survolée par ces derniers, mais qui laissera des souvenirs inoubliables
Le quatuor de tête est resté le même avec les deux réserves des clubs professionnel juste derrière. Les Genêts Anglet n’ont pas réussi à maintenir son impérialisme dans cette division avec 3 défaites en deuxième partie de saison. Trélissac et la Jeunesse Villenavaise auront suivi sans trop y croire en posant problème au Genêts
Le Stade Montois, l’Aviron Bayonnais, le JA Isle et Mérignac n’auront pas eu un grand rôle cette saison en s’inclinant contre le top 4-6 mais en obtenant de bons résultats tranquillement contre les relégable.
Bressuire aura tout donné jusqu’au bout pour sauver sa peau en s’imposant contre Mérignac avec un but à l’heure de jeu pendant la dernière journée laissant l’US Lège Cap-Ferret et Arcachon à 1 point derrière les condamnant à la descente. La victoire dans cette dernière journée pour Arcachon ne changera rien tendis que la réserve de Pau s’est contenté d’exister cette année avec une unique victoire contre Arcachon. L’équipe première qui finis au passage dernière de National avec seulement 4 victoires et 19 points
Une deuxième partie de saison parfaite avec un accroc contre la jeunesse villenavaise mais dans l’ensemble la machine à parfaitement bien tournée. Un Toufiqui en forme et un Nollenberger monstrueux permet de passer devant nos trois rivaux de la mi-saison. La défense est aussi à saluée avec seulement 10 buts encaissés.
Il faut noter la très bonne opération contre les Genêts avec une victoire 5-1 et la victoire 2-1 puis 3-0 contres deux réserves. Des 4-1 contre le Stade Montois et le Bassin d’Arcachon qui sont conformes aux attentes
L’ES La Rochelle monte une deuxième fois en deux ans grâce au travail de Tino
Stéphane Privat et Baïdy Dia termine devant Pérez avec respectivement 22 et 16 buts. Pérez aura eu une trop longue période de mutisme devant les buts qui lui aura coûté le soulier d’or de N3.
Brice Maso termine 1er avec 3 passes décisives de plus que Toufiqui mais qui ne représente en rien l’apport au collectif et à la qualité de jeu dont à fait preuve Sabri tout au long de la saison
Je comptais attendre le plus possible avant d’en parler et continuer à faire durer le suspense (en tout cas le peu qui reste
) mais ce n’est plus trop possible
L’Ouest Tourangeau aura posé beaucoup de soucis dans ce match en revenant au score puis en prenant l’avantage alors que Cannes est venu prendre sa taule
un 5-0 rondement mené où Cannes n’a pas vu le jourEt la première surprise est ce match complètement fou contre Brest. Le tirage ne nous à pas épargnés, mais les joueurs ne se résignent pas à la défaite. Dosso (13’) et Lecygne (19’) inscrivent les deux premiers buts de cette rencontre mais Brest reviens au score en 6 minutes et envoie le match aux prolongations. Prolongations où Brest n’existe plus et Lecygne (104’) et Youssef Zidane (118’) crucifient Brest qui marque à la 120’+1 mais il est déjà trop tard.
Une nouvelle Ligue 1 mais l’équipe tourne à plein régime et a fait douter longtemps cette équipe avant de marquer à la 63’ grâce à Lecygne. Le roc fait son travail ensuite et Nice ne parviens pas à revenir, au prochain !
Un match absolument fou où Monaco n’a que très peu sorti la tête de l’eau contre cette équipe de La Rochelle complètement déchaînée. Alors que Golovin marque dès la 4è minute et où l’on commence à prédire un massacre… C’est là que le réveil de Pérez survient ! Lui, qui n’avait pas marqué depuis plusieurs semaines, transperce les filets Monégasque à la 17e minute. Kindsvater fait encore plus douter Monaco en inscrivant un but à la 43e. Et dès le retour Toufiqui enfonce encore plus cette équipe en y allant de son but à la 47e.
Pellegri débarque à la 63e en portant le score à 3-2, mais Nollenberger se créer une occasion de but à lui seul dès le coup d’envoi suivant le but. Un but magistral dont Monaco ne se remettra pas, enfoncé par un second but à la 66e de Kindsvater. Le match se termine sur la surprise de la compétition, Monaco, 2e de Ligue à ce moment, prend un 5 - 2 contre une N3.
Il faut tout de même préciser que quelques joueurs avaient été mis au repos et que Moreno s’est fait renvoyer une semaine auparavant. (Même si encore maintenant je comprends toujours pas comment j’ai réussi à faire ça
)
La marche était trop haute, le score logique, mais l’ESR s’en va avec des souvenirs inoubliables !
(et surtout les 1,5M qui vont avec
)
Le miracle de la coupe de france fait passer nos finances d’un club de campagne comme Guingamp
à un club de National/Ligue 2 voir certains club de Ligue 1 comme Bordeaux 
Journaliste : Bonjour, alors… Par où commencer ? (rire)
T.K : (rire) Par là où vous le souhaitez !
Journaliste : D’accord (rire) Eh bien commençons par le championnat si vous le voulez bien. Comment expliquez-vous cette saison qui ne laissait en rien entrevoir une accession à la division supérieure et qui pourtant à déjouée un grand nombre de pronostics ?
T.K : Pas de soucis (rire) Simplement le travail et la continuité de notre saison 2019/2020 qui fût tout aussi incroyable ! L’effectif à gagné en qualité et en cohésion, des cadres ont naturellement émergé et l’arrivé de Nollenberger nous a fait beaucoup de bien. On a absolument rien lâché comme on a pu le montrer en deuxième partie de saison où on ne concède que 2 points à la Jeunesse Villenavaise. On a pu s’appuyer sur une défense solide et une attaque à toute épreuve consolidée par un entre-jeu de grand niveau.
Journaliste : Vous êtes passé d’un effectif très jeune à un effectif plus expérimenté, en quoi cela à t-il pu jouer sur la réussite de cette saison ?
T.K : Sur beaucoup de points. Tout d’abord, on sait que ce championnat est réputé pour être dur et éprouvant physiquement. On passe dans un autre niveau que celui de la Régional et il faut pour ça s’entourer de joueur expérimenté qui connaissent pour la plupart ce niveau. Ensuite, parce que beaucoup de nos jeunes n’avaient pas les épaules et le niveau techniques ou la promesse d’un temps de jeu concret pour continuer avec nous. Il a fallu faire des choix qui se sont montrer payant.
Journaliste : Comment abordez-vous cette montée ? Va t il falloir recruter ? Ou alors maintenir une souche de l’effectif ? L’objectif de la saison prochaine, est-elle le maintien ?
T.K : Oh là, ça en fait des questions ! (rire) On va d’abord profiter de cette montée et prendre quelques jours de repos pour fêter le titre ! Mais oui, l’objectif est clair pour la saison prochaine, c’est le maintien. Dans une division qui propose un niveau technique toujours plus supérieur avec des clubs qui ont connu le monde professionnel. On va devoir travailler notre effectif pour la saison qui arrive, mais il est encore trop tôt pour se prononcer sur un quelconque départ ou une quelconque arrivée.
Journaliste : Maintenant la Coupe de France, félicitation ! Racontez-nous cette épopée, comment le club, l’effectif et le staff, les dirigeants et surtout vous avez vécu cette compétition ?
T.K : Merci beaucoup (rire) Eh bien à 200%. On a tout fait à fond sans se soucier du lendemain, en jouant tous les coups en se disant que ce n’était que du bonus et que tout ce qu’on accomplirai serait bénéfique pour le futur. Les joueurs ne se prenaient pas la tête en craignant l’effectif adverse et en travaillant avec acharnement à l’entraînement. On a réalisé beaucoup de matchs référence, Nice dans le jeu et Brest dans la tête mais surtout Monaco où on a combiné les deux en revenant au score et en donnant une leçon de jeu ! Les supporters ont vécu ça avec passion et on su se faire un petit nom dans le football français.
Journaliste : Et l’ambiance de la finale comment était-elle ?
T.K : Incroyable, c’est le rêve de tous les coach et de tous les joueurs ! (rire)