Anibal Guimarães, entraîneur passionné et dévoué de Vianense, était plongé dans l’effervescence de la finale tant attendue de la Ligue des champions entre Liverpool et Newcastle. Dans ce moment de frisson et de tension sportive intense, son téléphone sonna, brisant brusquement l’atmosphère électrique du match. Son frère, l’air inquiet, lui fit part d’une nouvelle troublante : un article circulait sur Internet, affirmant que Anibal quittait Vianense avec effet immédiat suite au rachat imminent du club.
La surprise figea Anibal, assis au bord de son canapé, les yeux rivés sur l’écran de son téléphone. Quittait-il vraiment Vianense ? C’était une nouvelle totalement inattendue et déconcertante. Son esprit fut submergé par un tourbillon d’émotions contradictoires : l’inquiétude, la confusion, et une pointe d’irritation face à ce déferlement soudain de rumeurs.
Après avoir remercié son frère pour l’alerte, Anibal appela immédiatement son agent de confiance, José Soares. La voix chargée d’urgence, il exposa la situation, espérant trouver des réponses à ce mystère.
« José, as-tu entendu parler de ces rumeurs selon lesquelles je quitterais Vianense ? Nelson m’a remplacé sans un mot ? Après tout ce que j’ai fait pour le club ? », demanda-t-il, essayant de dissimuler son anxiété croissante.
La réponse de José fut une énigme supplémentaire : « Non, Anibal, je n’ai rien vu. Mais je vais vérifier immédiatement. »
Dans l’attente fébrile d’une réponse, Anibal se retrouva à scruter frénétiquement les articles en ligne, cherchant désespérément des indices pour démêler cette situation confuse. Chaque minute écoulée semblait interminable, chaque instant alimentant davantage son inquiétude grandissante.
Finalement, José rappela, ses paroles empreintes de sérieux et de préoccupation. « Anibal, je n’ai pas trouvé grand-chose pour le moment, mais je vais contacter Nelson dès que possible pour en savoir plus. »
Anibal sentit un mélange de soulagement et d’agacement. Il voulait des réponses concrètes, une clarification sur cette annonce soudaine qui menaçait de bouleverser tous ses plans.
« Fais ça », répondit-il, sa voix trahissant une tension palpable. « Je veux savoir ce qui se passe. »
Après avoir raccroché, Anibal se retrouva à naviguer frénétiquement sur son téléphone, les yeux fixés sur chaque ligne d’article, espérant trouver une explication à cette tempête médiatique qui avait soudainement envahi sa tranquillité.