:storygreen: :s21: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@FC_Guimaraes

@Rhino je suis pas confiant, ingame j’ai du mal à le faire signer pro, il veut pas pour le moment. Pour le moment ça bloque principalement car il a pas encore 16 ans :hoho:

@CaptainAmericka ça il fera son propre choix.

- Altair recale le FC Barcelone et Wrexham -

L’été avançait à Viana do Castelo avec cette tension douce-amère que seuls les grands clubs connaissent lorsqu’ils voient éclore, puis s’envoler, les talents qu’ils ont façonnés. Parmi eux, Altair, défenseur central de 20 ans, était devenu l’un des joyaux les plus convoités d’Europe. Après quatre saisons pleines dans l’élite, une découverte prometteuse de la Ligue des Champions, et un rôle de taulier dans l’arrière-garde de Vianense, le Brésilien semblait désormais mûr pour le grand saut.

Le FC Barcelone avait dégainé la première offre. 67 millions d’euros, un chiffre impressionnant pour un défenseur formé dans les travées bleues de l’Estádio Dr. José de Matos. Mais Vianense, fidèle à la ligne qu’Aníbal et Hugo Viana avaient fixée, tenait bon. La clause libératoire, fixée à 80 millions, n’était pas là pour faire joli. Anibal s’était fait un plaisir de le rappeler à un autre prétendant Wrexham qui avait proposé que 50M€.

« Lamar Jackson est un petit comique, s’il croit que parce que nous avons les mĂŞmes patrons nous cĂ©derons notre joyau au rabais il rĂŞve Ă©veillĂ©. C’est un manque de respect clair de sa part. Après en toute honnĂŞtetĂ© je ne suis pas surpris. Â» - Anibal GuimarĂŁes

C’était la juste reconnaissance d’un joueur au charisme rare, à la lecture du jeu hors normes et à l’attachement sincère pour son club. Le message du club était clair : personne ne partirait au rabais, pas même pour le Barça ni pour le grand Wrexham.

Mais dans les couloirs discrets des hôtels de Lisbonne, le directeur sportif catalan Andrés Iniesta activait ses réseaux. Il savait que le club nord-portugais, s’il était inflexible sur le papier, accepterait de négocier si le joueur lui-même réclamait son départ. C’est dans cet esprit qu’Iniesta s’était entretenu avec Altair, jouant la carte du rêve : le Camp Nou, les soirs de Classico, l’héritage de Puyol, la grandeur retrouvée d’un Barça en reconstruction. Il ne manquait pas d’arguments, ni de poésie.

Mais Altair n’était pas un rêveur naïf. Il avait grandi trop vite pour croire aux contes. Il voyait clair dans les effectifs, dans les jeux d’agents, dans les discours enrobés. Il savait que le Barça comptait déjà quatre centraux de niveau international, et que son arrivée pourrait se solder par une attente sur le banc, loin des responsabilités qu’il avait à Vianense. Il savait aussi que Wrexham venait de gagner la Champion’s et comptait un effectif pléthorique. Plus encore, il refusait par principe de forcer la main à son club, celui qui l’avait accueilli à l’âge de quatre ans, celui de sa grand-mère, celui de ses premiers tatouages, de ses premières douleurs et de ses premières joies.

C’est donc par la voix mesurée mais ferme de son agent que la réponse fut transmise. Altair ne solliciterait aucun départ, pas ainsi. Et si le train du Barça ne repassait pas ? “Alors j’attendrai un autre train,” avait-il dit, le regard droit, “Mais je monterai dans celui où je suis attendu. Pas dans celui où je gênerais dès le premier arrêt.”

Le message était limpide. Altair n’était pas encore parti, mais déjà, il continuait d’écrire sa légende.

- Chapitre 753 -
- Le PSG pose 26M€ sur Victor -
- Chapitre 755 -
Coming SOON - 10/07
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