:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Kevos C’est vrai mais les conditions n’étaient pas réunis. Mais c’est cool de voir que le coach commence à attirer des clubs.

@Nehoc @Rhino c’est exactement ça. L’effectif se monte bien. On joue enfin l’Europe c’est pas pour partir pour moins bien.

- Ruben Amorim, nouveau coach du Sevilla FC -

Anibal, allongé sur une chaise longue en rotin, savourait les rayons chaleureux du soleil de Zanzibar. Le bruit apaisant des vagues et le doux murmure des palmiers le berçaient dans une torpeur agréable. Ses vacances étaient une parenthèse bien méritée après une saison de football intense, où il avait mené son équipe au titre en Supercoupe et à une improbable qualification en Conference League. Cependant, même à des milliers de kilomètres de l’agitation des stades, le football n’était jamais loin de ses pensées.

Alors qu’il s’apprêtait à plonger dans un sommeil léger, son téléphone vibra sur la petite table en bois à côté de lui. L’écran s’illumina, affichant une notification de son application de sport préférée. Anibal plissa les yeux pour lire le message, puis se redressa soudainement, un sourire se dessinant sur ses lèvres.

Le FC Séville avait enfin annoncé son nouveau coach : Ruben Amorim. Anibal resta un moment pensif, son regard perdu dans l’horizon. Ruben avait été son mentor, un guide qui l’avait aidé à se frayer un chemin dans le monde impitoyable du football professionnel. Leur relation avait connu des hauts et des bas, oscillant entre camaraderie et compétition acharnée. Pourtant, malgré les rivalités, un respect mutuel indéfectible les liait.

Sans perdre une seconde, Anibal composa un message. Son esprit taquin ne pouvait résister à l’envie de piquer gentiment son ami. Il tapota rapidement sur l’écran :

« Félicitations pour ton nouveau poste, coach ! J’espère que tu réalises que tu me dois une fière chandelle. Si j’avais accepté la proposition d’Alberto Berta il y a quelques jours, tu serais encore en train de scruter les offres. Prêt pour une nouvelle rivalité ? »

Anibal relut le message, satisfait, puis appuya sur « envoyer ». Il imagina la réaction de Ruben en lisant ces mots, peut-être un mélange de rire et de fausse indignation. En attendant une réponse, il se laissa retomber sur la chaise longue, un sentiment de satisfaction l’envahissant.

Quelques minutes plus tard, son téléphone vibra à nouveau. Ruben avait répondu :

« Merci, Anibal. Toujours aussi modeste à ce que je vois ! Je suis prêt pour cette nouvelle aventure. On se voit sur le terrain, et prépare-toi à perdre comme toujours. »

Anibal éclata de rire, attirant l’attention de quelques vacanciers alentour. Il aimait ce genre de défi, cette énergie compétitive qui ne cessait jamais de les pousser l’un et l’autre à se surpasser. Ruben était maintenant à la tête du FC Séville, une équipe avec une histoire prestigieuse et un avenir prometteur. La prochaine saison s’annonçait palpitante.

Il ferma les yeux, se laissant à nouveau emporter par la tranquillité de l’île. Ses vacances n’étaient pas encore terminées, mais il savait que bientôt, il retournerait à l’entraînement, plus motivé que jamais. La nouvelle rivalité avec Ruben Amorim ajoutait une dimension excitante à la saison à venir. Sur le sable fin de Zanzibar, Anibal se promettait de donner le meilleur de lui-même, comme toujours. Après tout, c’était pour ces moments de gloire, ces rencontres épiques, qu’il vivait.

Le soleil continuait de briller haut dans le ciel, et Anibal, avec un sourire aux lèvres, se sentait prêt à relever tous les défis que l’avenir lui réservait.

- Chapitre 159 -
- GuimarĂŁes refuse Berta et Seville -
- Chapitre 161 -
Coming SOON - 30/05
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