RĂ©ponses aux lecteurs
@Rhino saison de fou hein. Ce finish. J’ai même cru choper l’Europa League à un moment 
@Tilo82 Merci frérot
@Sythax je suis assez d’accord en plus elle est généralement plus qu’abordable. On va la jouer en tout cas.
Qualification historique en Conference League pour le centenaire
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|---|---|---|
| Supercopa de España |
Liga EA Sport |
Copa de su majestad el rey |
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7ème | 1/4 |
| - | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| MJ | V | N | D | %V | BP | BC | Diff | BP/M | BC/M |
| 43 | 23 | 9 | 12 | 54% | 76 | 62 | +14 | 1.77 | 1.44 |
| MATCHS JOUES | 93 | BUTS MARQUES | 173 |
| MATCHS GAGNES | 58 | BUTS ENCAISSES | 102 |
| MATCHS NULS | 17 | DIFFERENCE DE BUTS | +71 |
| MATCHS PERDUS | 19 | POURCENTAGE DE VICTOIRES | 62% |
Anibal a connu une année en deça de la précédente mais c’est assez normal étant donné que le club monte à peine dans l’élite espagnole. Malgré tout les statistiques sont globalement bonne et le club se hisse même en haut du classement et remporte un nouveau trophée.
C’est une prouesse réalisé par Anibal et la Pucela. Valladolid est le 11ème club à écrire son nom au palmarès de la Supercopa. C’est même le premier club à remporter ce trophée pour la première fois depuis Séville en 2007 il y a près de 20 ans.
A la vue de la carrière d’Anibal, le coach portugais a déjà presque coachés autant de match avec la Pucela qu’avec son précédent club Vianense malgré une saison de moins passée au club. Notre coach est même en progression avec un ratio de victoire plus important.
Deux rivalités avaient été enclenchés la saison passée contre Pepe Reina et une plus d’orgeuil contre Xavi. Celles-ci s’ajoutèrent à celle bien vivace avec Ruben Amorim. Cette saison ces rivalités se sont intensifiés. Et une nouvelle est né avec le coach du Rayo Vallecano, Victor Valdès.
| RUBEN AMORIM | |||
|---|---|---|---|
| MATCHS JOUES | 5 | BUTS MARQUES | 5 |
| MATCHS GAGNES | 1 | BUTS ENCAISSES | 8 |
| MATCHS NULS | 1 | DIFFERENCE DE BUTS | -3 |
| MATCHS PERDUS | 3 | POURCENTAGE DE VICTOIRES | 20% |
| Club | L | Score | Buteurs | ||
|---|---|---|---|---|---|
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CD Alavès | |
1 - 2 | H.Barrachina (40’) |
|
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CD Alavès | |
1 - 1 | C.Echeverri (56’) |
Dure année que celle connu par Anibal contre Ruben Amorim. Il faut dire que le maître d’Anibal possède une bonne équipe qui a créé la surprise cette saison. Leur premier affrontement de l’année fut pendant la période d’acclimatation au championnat de la Pucela qui plus est. Amorim n’aura pas manqué de se glorifier d’être rester invaincu contre son ami et rival de toujours.
| PEPE REINA | |||
|---|---|---|---|
| MATCHS JOUES | 4 | BUTS MARQUES | 8 |
| MATCHS GAGNES | 3 | BUTS ENCAISSES | 3 |
| MATCHS NULS | 1 | DIFFERENCE DE BUTS | +5 |
| MATCHS PERDUS | 0 | POURCENTAGE DE VICTOIRES | 75% |
| Club | L | Score | Buteurs | ||
|---|---|---|---|---|---|
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CD Eibar | |
1 - 1 | Estevão (40’) |
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CD Eibar | |
1 - 0 | J.infante (74) |
La rivalité avec Reina s’est intensifié et la trajectoire opposée des deux clubs n’a qu’exacerbé la haine que voue Reina à Anibal. Persuadé d’être le chevalier blanc de la Liga, l’ancien portier légendaire de l’Espagne n’a de cesse de critiquer Valladolid et ses actionnaires.
Malheuresement pour Reina, tout ne s’est pas passé comme prévu pour eux et Eibar va retourner en Liga Hypermotion aussi vite qu’il était monté.
Cette rivalité va toutefois se retrouver probablement un peu mise entre paranthèse car Pepe Reina entrainera en Liga Hypermotion l’an prochain puisqu’il viens d’être nommé entraineur principal de Getafe.
| XAVI HERNANDEZ | |||
|---|---|---|---|
| MATCHS JOUES | 4 | BUTS MARQUES | 4 |
| MATCHS GAGNES | 1 | BUTS ENCAISSES | 7 |
| MATCHS NULS | 0 | DIFFERENCE DE BUTS | -3 |
| MATCHS PERDUS | 3 | POURCENTAGE DE VICTOIRES | 25% |
| Club | L | Score | Buteurs | ||
|---|---|---|---|---|---|
|
 |
FC Barcelona | |
p 1 - 1 | Andrey (35’) |
|
|
FC Barcelona | |
2 - 1 | C.Echeverri (29’, 67’) |
|
|
FC Barcelona | |
3 - 0 | - |
Cette rivalité plus d’orgeuil que sportive est né dans l’esprit du coach catalan vexé d’avoir été tenu en échec si longtemps par la petite équipe de Valladolid. Cette saison aura exacerbé cette rivalité avec la victoire en Supercopa de la Pucela après avoir éliminé Barcelone. Mais aussi à cause de la victoire en championnat en début de saison. Il suffisait de voir la tête du coach catalan lors de leur victoire dans la phase retour.
| VĂctor ValdĂ©s | |||
|---|---|---|---|
| MATCHS JOUES | 2 | BUTS MARQUES | 4 |
| MATCHS GAGNES | 2 | BUTS ENCAISSES | 1 |
| MATCHS NULS | 0 | DIFFERENCE DE BUTS | +3 |
| MATCHS PERDUS | 0 | POURCENTAGE DE VICTOIRES | 100% |
| Club | L | Score | Buteurs | ||
|---|---|---|---|---|---|
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Rayo Vallecano | |
2 - 1 | C.Echeverri (6’), A.Munin (58’) CSC |
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Rayo Vallecano | |
0 - 2 | J.Infante (8’), Estevão (25’) |
Cette nouvelle rivalité s’inscrit dans la continuité de celle avec Pepe Reina. Dès sa nomination à la tête du Rayo Vallecano, Valdès s’est opposé au Real Valladolid et son actionnariat du moyen orient contraire aux traditions espagnoles. Le catalan estime en outre que le portugais n’a guère de mérite au vu des moyens en oeuvre. Pour lui le parcours modeste de Guimarães avec ses précédents clubs ne pèsent guère face à l’adversité rencontré par les autres clubs.
Sur le terrain en revanche, Valdès n’a pu que constater que tactiquement il n’avais pas les solutions face aux stratégies d’Anibal. Il reste toutefois dans le déni sur le sujet. Cette rivalité devrait s’amplifier la saison prochaine, les deux clubs faisant partie des surprises du dernier championnat.
Pour cette seconde saison espagnole, le coach Guimarães a poursuivi la construction de son effectif qui monte toujours en puissance. Installé en Liga EA Sport, le club blanquivioleta a d’abord cru vivre une nouvelle saison difficile avec un début de saison plus que poussif. Mais l’effectif a peu a peu pris ses marques jusqu’a s’offrir un titre en Supercopa avant de finir la saison en boulet de canon et d’obtenir une qualification inespéré en Conference League devant l’Espanyol, Valencia et les rivaux de Vallecano et Alavès.
On notera notamment les excellentes saisons de Joao Infante, Estavão et Ilaix Moriba. Claudio Echeverri aura été un acteur majeur de cette saison lui aussi.
Maintenant les fans ont hâte de voir leur club retrouver l’Europe mais aussi de confirmer leur belle saison en Liga.
João Infante est probablement le joueur « chouchou » d’Anibal Guimarães et après avoir livré de grandes saisons avec Vianense et l’an passé avec la Pucela, il a confirmé cette année ses talents de goleador dans la plus grande compétition espagnole. Sa complicité avec Echeverri comme Estevão est évidente et ses 17 buts cette saison plaide pour lui.
Capable de marquer du gauche, du droit et de la tête, le buteur est polyvalent en plus d’être réaliste comme peu. Son nom commence à raisonner à tel point qu’au Portugal certains se mettent à espérer une sélection en équipe nationale.
Son but du titre en Supercopa ainsi que sa seconde partie de saison fabuleuse ont attiré les appétits. On dit que Séville et Valence notamment s’intéresse à lui tandis que Braga rêverait de le faire rentrer au pays. Lui possède encore deux ans de contrat et devrait discuter avec son club avant de décider de son futur.
- - - JoĂŁo |
Infante - - - |
|---|---|
| Ă‚ge | 23 |
| Club Formateur |   Sporting CP |
| Nationalité | Portugais |
| SĂ©lections/Buts | 14 SEL / 6 buts (U19) |
| Apparitions | 87 APP |
| Buts / Passes D | 40 B / 6 P.D |
| ANNEES | INFOS | CLUB | APP | BUTS | PASSES | ||
|
27-28 |  |
 |
Real Valladolid | 46 (2) | 23 | 4 |
|
28-29 | |
|
Real Valladolid | 39 | 17 | 2 |
| 2028-2029 | TOTAL | - - - - - - - - - - - - - - - | 87 | 40 | 6 |
L’effectif de la Pucela a beaucoup évolué l’an passé et s’est stabilisé cette année. Il va devoir encore progresser en qualité mais aussi en quantité pour affronter une saison européenne qui va pousser dans leurs retranchements les organismes. Mais qui dit saison excellente, dit intêrets divers. Et Luis Campos comme Anibal vont devoir y faire face et tenter de ne pas se faire dépouiller.
On constate que les finances progressent énormément avec la montée en Liga. Rien qu’au niveau des partenariats et des droits Télévisuels. Le stade José Zorrilla est toujours aussi plein et commence même à être petit. Le seul pôle financier qui ne progresse pas à ce jour est celui des revenus de jours de matchs probablement à cause du parcours plus modeste en Copa del Rey et du fait que la Supercopa finance principalement la RFEF.
| LĂ©gende | 28/29 | 27/28 | Tendance |
|---|---|---|---|
| club | |
|
|
| Partenariats | 14.77M€ | 3.44M€ |  |
| Evènements d’Entreprise | 1.73M€ | 9.27K€ | |
| Finances - Jour de Matchs | 1.28M€ | 1.3M€ |  |
| Revenus de diffusion | 41.51M€ | 23.37M€ | |
| Primes de Compétitions | - | - | |
| Nombre d’Abonnées | 24 925 | 24 189 | |
| Nombre de Spectateurs | 26 568 | 24 494 | |
| Nombre de Followers | 983,4K | 855.6K | |
| Ventes de produits dérivés | 2.46M€ | 2.14M€ | |
| Vente de maillots | 16 894 | 13 570 | |
On connais de bons chiffres avec un taux de remplissage qui récompense notre bonne saison et qui est exceptionnel pour un club qui remonte en Liga. Il y a une base solide pour préparer l’avenir. et cela progresse toujours.
| Année | Club | Afflu + Faible | Afflu + Elevée | Record de Recette | Afflu Moyenne | Taux de Remplissage | |||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 28/29 | |
21 851 |  |
27 618 |  |
568k€ | |
26 568 | 96% |
On peut constater que la plupart des matchs ont globalement été disputés par le même noyau de joueurs. Quelques jeunes du cru ont pu gratter un peu de temps de jeu. En revanche on peut constater que les recrues de la saison sont globalement décevante. Si Gironès, Andrey et Markovic se sont imposés tout comme le revenant Javi Sanchez redevenu indiscutable, Leny Besancon aura été quelconque et va rentrer à Braga. Hugo Felix aura été transparent. Al-Ali et Al-Dossari s’acclimate encore au football européen. Simon Moya est en revanche prometteur et découvre l’Europe lui aussi. Damian Muller est hors de propos n’ayant pu évoluer avec la Pucela à ce jour. A noter la disparition de Mario Martin arrivé l’an passé.
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|---|---|---|---|---|---|
| Nat | Nat | Identité | MJ | Buts | P.Dec |
|
Hugo Barrachina | 40 | 1 | 1 | |
|
JoĂŁo Infante | 39 | 17 | 2 | |
 |
 |
Hiroto Hiraoka | 37 (3) | 1 | 0 |
|
Pep Gironès | 34 (2) | 2 | 1 | |
 |
 |
Andrey Santos | 33 (4) | 3 | 5 |
 |
 |
Claudio Echeverri | 33 (2) | 12 | 3 |
|
Ivano Di Giacobbe | 33 | 0 | 0 | |
|
|
GĂlson Bressan | 31 (4) | 5 | 9 |
|
|
EstĂŞvĂŁo | 28 (2) | 7 | 9 |
|
Alberto Luengo | 26 (3) | 0 | 5 | |
 |
Željko Marković | 23 (18) | 0 | 4 | |
|
Javi Sánchez | 23 | 1 | 1 | |
 |
|
Ilaix Moriba | 22 (15) | 9 | 4 |
|
Tiago AraĂşjo | 20 (10) | 6 | 2 | |
|
 |
Javi LĂłpez | 14 (12) | 0 | 2 |
 |
Joel Andersson | 10 (3) | 1 | 1 | |
 |
|
Juan Diego Castillo | 10 | 0 | 0 |
|
VĂtor Ricardo | 3 (8) | 0 | 0 | |
|
 |
Lenny Besancon | 6 (21) | 0 | 3 |
|
Juli Luque | 3 (22) | 4 | 2 | |
|
Paco Corral | 4 (2) | 0 | 0 | |
|
Hugo FĂ©lix | 2 (4) | 0 | 1 | |
 |
Abdullah Al-Dossari | 1 (19) | 1 | 4 | |
|
 |
Mohammed Al-Ali | 1 (14) | 0 | 1 |
|
|
SimĂłn Moya | 1 (13) | 3 | 1 |
|
Mario MartĂn | 0 (11) | 1 | 1 | |
|
Johan Karlsson | 0 (5) | 0 | 0 | |
|
Damián Muller | - | - | - |
| - | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Nat | Nat | RAnk | Identité | APP | buts |
|
17 → 10 | Javi Sanchez | 294 | 10 |
Javi Sanchez revenu au club, il s’installe enfin dans le TOP 10 des joueurs les plus capés du Real Valladolid. Il devrait encore pouvoir gratter quelques places s’il garde son niveau.
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|---|---|---|---|---|---|
| Nat | Nat | RAnk | Identité | APP | buts |
|
- → 15 | João Infante | 87 | 40 |
Du côté des buteurs, João Infante, excellent devant les cages adverses intégre le TOP 15 des meilleurs buteurs de l’histoire du club. S’il reste cet été il devrait vite continuer à monter dans le classement.
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|---|---|---|---|---|---|
| Nat | Nat | RAnk | Identité | APP | Assists |
|
|
- → 7 | Gilson Bressan | 57 | 15 |
|
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- → 8 | Estevão | 74 | 15 |
S’il est plus délicat de tirer des conclusions côté passeurs cette statistiques ayant commencé à être comptabilisé par Opta dans les années 2000. Les deux bresiliens qui animent le côté droit de Valladolid se sont déjà fort bien installé dans le TOP 10 des meilleurs passeurs de l’histoire du club. Gilson intégre directement le 7ème rang avec sa saison fabuleuse. Estevão le suit de près. A noter la percée aussi de Echeverri qui avec 11 passes en deux saisons est à la porte du TOP 15.