J’ai rattrapé mon retard ! Quelle saison canon. C’est fou parce que tu recrutes à petit prix, pas des superstars mais ça semble super bien marcher. Le PSG à 4 défaites ça doit pas arriver souvent ça 
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Salut @Rhino. Oui, lorsque Metz est revenu au score, j’ai cru à un retour mais j’avais la possession et ils n’ont pas eu de grosses occasions.
Salut @JeffZeze En fait, j’ai beau avoir 90 millions dans les caisses, j’ai énormément de mal à me dire que je peux en mettre 40 ou 50 sur un joueur. J’ai toujours cette mentalité de « petit club » qui regarde aussi bien le prix du transfert que le salaire du joueur. Par exemple, j’hésite toujours à donner 200 000 euros de salaire mensuel à un joueur (déjà 100 000, j’ai du mal…). Avec Raphinha qui arrivera l’été prochain, j’ai pas trop hésité. Le recrutement à petit prix reste toutefois mon objectif. Je dépenserai une grosse somme lorsque j’aurai la certitude d’avoir un joueur qui va changer drastiquement les objectifs.
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Opposé à Saint-Etienne pour son quart-de-finale de CDF, le VAFC alignait cinq habituels titulaires (Meslier, Simakan, Kalulu, Kravets, Gerard) et une flopée de remplaçants (Michelin, Gakpa, Sissoko) ou de joueurs arrivés récemment au club (Nourafkan, Bobichon, Pehlivan).
Rapidement devant grâce à un chef d’oeuvre de reprise de volée d’Omir Nourafkan (qui jouait là son troisième match avec Valenciennes… le troisième en Coupe de France), le leader de Ligue 1 tenait le cuir et laissait passer l’orage stéphanois (18 tirs, 9 cadrés) avant de faire le break après l’heure de jeu par l’ancien angevin Antonin Bobichon, auteur d’un match plein (1 but, 1 passe décisive, une note de 8.3 et la récompense d’homme du match).
Dans les autres rencontres, le PSG et Montpellier ont eu besoin d’aller jusqu’à la séance de tirs au but pour se qualifier devant Monaco et Angers. De son côté, Auxerre a longtemps cru surprendre Rennes mais la prolongation aura été fatale aux auxerrois, qui encaisseront trois buts en l’espace de quatorze minutes.
Les demi-finales opposeront le PSG à Montpellier et Valenciennes à Rennes.
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La venue de l’OM (8ème, 36 pts) au Stade du Hainaut, pour ouvrir la 25ème journée de Ligue 1, était l’occasion pour le VAFC (1er, 63 pts) de prendre huit longueurs d’avance sur le PSG, qui jouait plus tard dans la soirée.
Alignant le trio Sambia-Fulgini-Diaz pour la première fois depuis l’arrivée de l’argentin au club, le leader valenciennois tenait le cuir et se créait de bonnes occasions. Au final, un doublé de Serhou Guirassy et un but en toute fin de rencontre sur une bien triste action (voir plus bas) conclue par Deniz Pehlivan offraient du spectacle aux supporters.
Malgré les trois points, les joueurs, le coach, le staff et les supporters valenciennois avaient la mine des mauvais joueurs à la fin du match. En effet, à la 95ème minute, la jeune pépite Gregory Gerard se faisait tacler par Nsoki sur l’action qui continuera jusqu’au but de Pehlivan. Pas de faute mais l’attaquant belge reste alors à terre.
La triste nouvelle de la soirée arrivait quelques temps après : Fracture du tibia - 6-7 mois d’indisponibilité.
La belle saison de Gregory Gerard s’arrête là.
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Outre la victoire valenciennoise, le PSG s’est facilement imposé à Montpellier et reste à cinq points du leader. Derrière, le RC Lens continue de lâcher des points en s’inclinant à domicile devant Rennes tandis que Lyon est allé l’emporter à Lille. Victorieux à Strasbourg, Monaco en profite pour intégrer le Top 5.
Reims concéde le nul à Saint-Etienne tandis que Nîmes et Metz s’inclinent respectivement devant Angers et Bordeaux. Nice s’impose à Troyes tandis que Nantes et Amiens se neutralisent.
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Deux jours après la lourde blessure de Gregory Gérard, c’est au tour du portier Illan Meslier de se blesser pour plusieurs mois et d’être ainsi forfait pour le duel face au Bayern Munich dans une semaine. La rage…
Privé de ses grands blessés (Gerard & Meslier) mais aussi de Simakan (suspendu), le VAFC (1er, 66 pts devait également se passer d’un grand nombre de joueurs importants (Guirassy, Fulgini, Nuñez, Kravets, Sambia, Schuurs, Sissoko ou encore Díaz) pour son déplacement à Lyon (3ème, 53 pts) en raison de son match face au Bayern Munich dans quatre jours.
Dominés de bout en bout, les valenciennois repartaient avec une lourde défaite.
Heureusement pour le VAFC, le PSG ne faisait mieux qu’un nul au Parc face à Lille et restait à quatre longueurs du leader. Lyon a consolidé sa troisième place mais Lens a retrouvé le chemin de la victoire en infligeant une lourde défaite à Reims. Monaco complète le Top 5 après sa victoire sur Montpellier.
Derrière, Rennes continue d’y croire en s’imposant devant Nantes. Marseille bat Bordeaux et reprend des couleurs et revient dans la lutte à l’Europe.
Dixième, Metz concède un nul à domicile face à Troyes, toujours dernier de Ligue 1, à un point d’Amiens, qui a encore perdu, cette fois à domicile devant Strasbourg. Nice a confirmé sa bonne forme en mettant quatre buts à Nîmes, qui n’est plus dans le rythme ces derniers temps. Enfin, Angers et Bordeaux se neutralisent. Les girondins restent à distance de la place de barragiste occupée par les nantais.
Après les lourdes blessures de Gerard et Meslier, Nicolas Moulin vient d’apprendre que son défenseur Peter Schuurs, qu’il avait laissé au repos pour la match à Lyon afin de pouvoir compter sur lui face au Bayern Munich, ne sera pas disponible.
Si son absence est beaucoup moins grave que celle de ses coéquipiers, Schuurs sera absent une semaine en raison… d’une intoxication alimentaire.
Privé de deux joueurs importants (Meslier & Gerard), Valenciennes recevait le Bayern Munich de Zinedine Zidane. Face à un adversaire privé de Kimmich (suspendu) et qui mise cette saison sur ses jeunes talents (les titulaires Bulut et Schubert n’ont que 19 ans) pour accompagner les vétérans de l’équipe qui ont entre 25 et 31 ans, l’objectif était d’éviter un mauvais résultat avant le match retour en Allemagne.
La domination était largement allemande mais leur manque de réalisme devant le but allait profiter aux français le temps d’une action. Sur un contre bien mené à l’heure de jeu, le centre de Kravets trouvait la tête d’Angelo Fulgini, totalement oublié dans la surface. Le leader valenciennois propulsait le cuir au fond des filets du jeune portier Bulut et inscrivait ainsi le seul but de la rencontre. Un très bon résultat avant le match retour dans trois semaines en Allemagne!
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Deux jours après sa victoire surprise à domicile sur le Bayern Munich, le VAFC (1er, 66 pts) recevait son dauphin en Ligue 1, le PSG (2ème, 62 pts). La donne était simple pour l’équipe nordiste : une victoire pouvait lui donner sept longueurs d’avance en tête du classement, une défaite permettait aux parisiens de revenir à une petite longueur à onze journées de la fin. Dès lors, le nul semblait être l’objectif principal pour Nicolas Moulin, surtout que se profilait la demi-finale de Coupe de France face à Rennes à peine trois jours plus tard…
À cette occasion, Moulin optait pour un dispositif tactique similaire à celui adopté quelques jours plus tôt en Ligue des Champions (4-1-3-1-1 ce soir vs 4-1-3-2 face au Bayern) avec notamment un milieu de terrain talentueux (Diaz-Fulgini-Jordao), Gakpa en faux neuf et Guirassy seul en pointe.
On jouait à peine depuis neuf minutes lorsque le parisien Morelos était coupable d’un tacle violent (les deux pieds en avant) sur Bruno Díaz et se voyait indiquer le chemin des vestiaires par l’arbitre. Une expulsion rapide qui changeait le cours de la rencontre car les parisiens étaient beaucoup moins dangeureux en attaque tandis que Valenciennes sortait un peu plus. Et juste avant la pause, un corner d’Angelo Fulgini trouvait la tête de Serhou Guirassy, qui inscrivait le seul et unique but de la rencontre.
Comme face au Bayern, Valenciennes partait sans conviction, visant plus le point du nul qu’autre chose et finalement, le leader de Ligue 1 obtenait une victoire importantissime dans la course au titre face à son concurrent direct, relégué ce soir à sept longueurs.
Dans les autres rencontres, Lyon a pris trois points importants à Bordeaux et conserve son avance sur Lens, qui s’est imposé de son côté devant Angers. Cinquième, Monaco a concédé le nul à Lille, tout comme Rennes devant Reims. Surprise du côté de Troyes où le désormais 19ème de Ligue 1 s’est imposé devant Marseille. Victorieux à Nîmes, Metz reste dans la première partie du tableau.
Nice et Saint-Etienne se sont neutralisés tandis que Strasbourg s’est imposé à Nantes. Désormais dernier du championnat, Amiens a pris un point sur la pelouse de Montpellier mais se rapproche chaque jour un peu plus de la Ligue 2.
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Les matches s’enchaînent pour Valenciennes. Pour la venue de Rennes au Stade du Hainaut à l’occasion de la demi-finale de Coupe de France, le double vainqueur en titre de la compétition alignait son 12ème match en 42 jours… Une folle série (un match tous les trois-quatre jours) qui a compté Lyon (x2), Marseille (x2), le Bayern Munich ou encore Paris ces dernières semaines.
Depuis le début de saison, Rennes a démontré ses qualités, porté par le futur valenciennois Raphinha mais aussi Schlager, Dragomir, Suleimanov (prêté par M’gladbach à la mi-janvier), Paulo Díaz ou encore Mostafa Ibrahim. Ce dernier, ainsi que les défenseurs centraux Caldara et Lyanco, titulaires réguliers, étaient toutefois absents ce soir, entre blessures (pour les deux premiers) et suspension (pour le dernier nommé).
De retour avec un 4-3-2-1 habituel, le VAFC réalisait un match très solide. Dès le début de la rencontre, Serhou Guirassy profitait d’une mésentente dans la défense rennaise pour ouvrir le score avant que son remplaçant Antonin Bobichon n’offre le but du break en toute fin de rencontre à Marley Aké, qui croisait sa tête parfaitement à bout portant.
Bizarrement, les rennais n’arrivaient à rien faire ce soir. Raphinha était transparent. Il faut dire que la défense valenciennoise était impeccable. Même Luca Días, loin d’être rassurant pendant l’indisponibilité de Meslier, réalisait les deux seuls arrêts nécessaires. Un match proche de la perfection pour l’ensemble des joueurs valenciennois (à part Núñez et son manque de finition, bien évidemment).
Avec ce douzième match de suite sans encaisser le moindre but en Coupe de France, le VAFC continue d’écrire l’histoire.
Le lendemain, le PSG et Montpellier avaient rendez-vous pour se disputer l’autre place en finale de la compétition…
Et incroyable ! Certainement la tête dans le sac après sa défaite à Valenciennes en championnat quatre jours plus tôt, le PSG s’est incliné aux tirs au but (5-4) suite à un raté de l’ailier argentin Ángel Correa. Alors que les parisiens ont dominé la rencontre (27 tirs, 16 cadrés, 62% de possession vs 15 tirs, 7 cadrés), Mbappé, Neymar et leurs coéquipiers sont tombés sur un grand William Bagnack, jeune portier international camerounais de 21 ans qui occupe le poste de titulaire à plein temps cette saison.
Ce sera donc un duel Valenciennes-Montpellier en finale de Coupe de France 2024 !
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Victime d’une double hernie à la veille du match de championnat à Monaco, Pierre Kalulu (DC, 23 ans) sera indisponible quatre à six semaines.
Un nouveau coup dur pour une formation valenciennoise qui vient de perdre son attaquant de pointe (Grégory Gerard), son gardien (Illan Meslier) et donc son capitaine et défenseur le plus utilisé cette saison en l’espace de trois semaines.
Pour suppléer l’absence de Kalulu, Moulin aura le choix dans sa charnière centrale entre Perr Schuurs, Félix Eboa Eboa, Harisson Marcelin ou encore Mohamed Simakan en championnat (plus souvent aligné comme arrière droit mais capable de passer dans l’axe pour faire démarrer Michelin sur le côté). Reste à savoir s’ils parviendront à se surpasser pour occuper la place de Kalulu (25 titularisations pour 2 buts, 3 hdm et 7.16 de moyenne en Ligue 1 - 5 titularisations et 7.04 de moyenne en Coupe de France - 7 titularisations pour 7.04 de moyenne en Ligue des Champions).
En revanche, en Ligue des Champions, Moulin ne pourra compter que sur Schuurs, Eboa Eboa et Simakan, Marcelin n’étant pas qualifié pour la Coupe d’Europe.
Avant d’avoir une semaine pleine de repos, le VAFC (1er, 69 pts) avait rendez-vous à Monaco (5ème, 45 pts). Sans leur capitaine Pierre Kalulu, les valenciennois souffraient en première mi-temps mais parvenaient à tenir le choc grâce à une défense solide, portée par un énorme Félix Eboa Eboa notamment. Après la pause, un penalty transformé par Serhou Guirassy et un but d’Antonin Bobichon, auteur d’un match énorme, permettaient au leader de prendre trois points de plus dans sa course au titre !
Dans les autres rencontres, le PSG s’est imposé difficilement devant Bordeaux tandis que Lyon et Lens l’ont emporté respectivement contre Nice et Troyes. Derrière, Rennes n’a pas profité de la défaite monégasque et a concédé le nul à Angers, tout comme l’OM face à Nîmes tandis que Lille s’est incliné sur le terrain d’Amiens. Enfin, Montpellier s’est imposé à Strasbourg, et Saint-Etienne en a fait de même à Metz.
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Après une bonne semaine de repos, le VAFC (1er, 72 pts) recevait à Amiens (19ème, 19 pts) avec une formation composée de nombreux remplaçants habituels.
Dans « l’obligation » de l’emporter (bien qu’ayant de l’avance au classement) sur le PSG, vainqueur à Troyes la veille, le leader valenciennois livrait une première mi-temps sublime, conclue par deux buts signés Ignatius Ganago et Antonin Bobichon, encore une fois excellent avec un but donc mais aussi une passe décisive, une note de 9 et le titre d’homme du match. La fin de match était plus difficile pour les locaux, qui laissaient plus d’espaces en défense et « laissaient » Jack Lahne réduire la marque mais l’essentiel était préservé.
Avec cette 24ème victoire en 29 journées de Ligue 1, Valenciennes conservait sept longeurs d’avance sur son dauphin parisien et continuait à rêver d’un improbable second doublé national de suite. Ayant déjà rencontré la plupart des « gros » du championnat (seuls Lille et Lens restent au programme d’ici la fin de saison), le chemin est plus que jamais dégagé pour les nordistes.
Dans les autres rencontres, le PSG l’a donc emporté à Troyes. Lyon s’est imposé proprement à Nîmes et conserve ainsi quatre points d’avance sur Lens, qui s’est imposé à domicile contre Metz dans leur lutte pour la troisième place. D’ailleurs, on notera que les lyonnais ne sont qu’à trois petites longueurs (évidemment la différence de buts est autre chose…) de la seconde place et peuvent continuer à y croire.
Toujours cinquième, l’AS Monaco a pu compter sur un triplé d’Icardi pour s’imposer difficilement à Bordeaux. Reims et Angers ont offert un super spectacle offensif (huit buts !) pour finalement se neutraliser.
Derrière, Rennes a battu Nice tandis que Lille a concédé le nul à domicile face à Strasbourg. De son côté, l’Europe continue de s’éloigner pour l’OM. Battus cette fois à Saint-Etienne, les marseillais accusent respectivement huit et sept points de retard sur les 5ème et 6ème places.
Sorti de la zone rouge suite sa victoire à Reims une journée plus tard, le FC Nantes confirme en s’imposant à domicile devant Montpellier. C’est Bordeaux qui reste ainsi dix-septième et barragiste !
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La nouvelle flopée de jeunes pousses vient d’être annoncé en ce 17 mars 2024. Aucun futur grand joueur à l’horizon cette année.
Les jeunes Delaroche, Hadj Youcef, Leblanc, Lefeuvre, Rongier, Delaunay, Aydin, Iluz et Stoichita ont été invités à rejoindre l’effectif U19 du VAFC.
Le VAFC est un club qui aime prêter de nombreux joueurs. Si la plupart des joueurs prêtés occupent un rôle important au sein de leur club actuel (Letica, Pamart, Fuakala, Sangaré, Niakaté, Thomas, Anderson, Ruggeri, Burner, Moltenis, Bakker, Adrianao, Medley, Verronneau, Lucas, Bazzy, Jacobs, Ressa et Seung-Woo), d’autres n’échappent pas à la conccurence et n’ont pas autant de temps de jeu qu’espéré.
Prêté depuis le 31 janvier à une formation troyenne en grande difficulté en championnat, Arnaud Nordin (MOG, 25 ans) n’a jusqu’ici évolué qu’à deux reprises avec l’ESTAC : deux titularisations pour un but et 7.40 de moyenne. Outre les très bonnes performances de l’ancien stéphanois, l’équipe auboise a obtenu quatre points lors de ses deux apparitions en Ligue 1.
Mécontent de son utilisation, Nicolas Moulin l’a fait savoir auprès de l’entraineur Willy Sagnol, ancien membre du staff valenciennois, qui ne semble pourtant pas être préoccupé par cela.
Le problème ici pour Moulin est que, même s’il décidait de rappeler son ailier gauche, celui-ci ne pourrait évoluer en équipe première en raison de la fin de la date d’enregistrement de joueurs en championnat.
On notera enfin que Nordin n’est pas le seul à connaitre un triste prêt. Envoyé à Bruges depuis l’été dernier dans l’opération permettant au VAFC de s’offre la jeune pépite Gregory Gerard, Nolan Mbemba (MDEF/MC, 29 ans) n’a jusqu’ici participé qu’à un match de championnat de D1A belge et un autre de Coupe de Belgique. Pire encore, le club n’avait pas intégré de clause de rappel de prêt et Mbemba doit ainsi ronger son frein sur le banc jusqu’à la fin de saison.
Je viens de rattraper mon retard. T’as plein de blessures mais ça enchaîne encore bien
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Après sa courte mais importante victoire 1-0 au Stade du Hainaut trois semaines plus tôt, le VAFC se déplaçait en Allemagne pour y affronter le grand Bayern Munich avec à la clé, une place en quarts-de-finale de la Ligue des Champions.
Privé de son trio Meslier-Kalulu-Gerard, le club valenciennois alignait un groupe solide sur le papier en 4-1-3-2 équilibré.
Solide en première mi-temps, les nordistes encaissaient deux buts dans les vingt dernières minutes. L’aventure du VAFC en Ligue des Champions s’arrêtaient donc dès les huitièmes.
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Oui, ça va pour le moment mais je viens justement de voir face au Bayern que les absents étaient difficile à remplacer. Malgré tout, on a un groupe sympa.
Ah ouais dommage car ça se joue à rien