Hop je m’installe, bon courage au Werder.
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Ca dégraisse encore et toujours ici
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Quand tu vois ce qui se passe IRL, je crois que @Malkavens n’a pas fi ni de dégraisser !!
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c’est énorme ça
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Résumé
@Tilo82 @Rhino @Manthyz @MacDermott eh oui, c’est la crise
Maximilian Eggestein quitte le Werder Brême après 10 ans. Le milieu de terrain de 24 ans, qui a rejoint le centre de formation Werder en provenance du TSV Havelse à l’âge de 14 ans, rejoindra le club de Bundesliga SC Freiburg.
« Maximilian a exprimé le souhait de rejoindre Fribourg. Nous étions d’accord avec lui, même si nous sommes conscients qu’il est une figure importante pour le Werder. Il est venu chez nous quand il était jeune dans notre académie et a gravi les échelons pour rejoindre l’équipe première. Il est l’un des meilleurs exemples du succès de notre centre de formation au cours de ces dernières années. Nous lui souhaitons tout le meilleur à Fribourg » , a déclaré Baumann, directeur sportif du Werder.
Eggestein revient avec émotion sur son séjour à Brême : « C’est un au revoir difficile. Je suis dans ce club depuis 10 ans et malgré ces deux dernières années compliquées, j’y garde de beaux souvenirs. Je dois aussi remercier le club de m’avoir permis de rencontrer tant de personnes formidables ici. La ville de Brême et le Werder seront toujours dans mon cœur. Je souhaite le meilleur au club et je continuerai à les suivre en tant que fan. »
Maximilian Eggestein est arrivé au Werder en 2011 de TSV Havelse. Il est passé par les équipes de jeunes et les U23 ans avant de jouer dans l’équipe première. Le milieu de terrain a fait ses débuts en Bundesliga fin novembre 2014, à l’âge de 17 ans et 356 jours. Depuis lors, il a disputé un total de 179 matchs toutes compétitions confondues pour le Werder.
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Dommage qu’il parte maintenant 
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Bonjour, je suis votre nouvel entraîneur
Au revoir… 
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Et imagine ça aussi.
Bonjour je suis votre nouvel entraineur et maintenant que j’ai bien foutu la merde… je me casse… Bon courage.
Bon apres les joueurs pourraient pas lui en vouloir non plus… car ils auront tous etaient virés
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Kevin Möhwald va quitter le Werder et rejoindre l’Union Berlin, a annoncé mardi le directeur sportif du Werder Frank Baumann.
« L’Union Berlin est venue nous voir ces derniers jours pour voir si un transfert était possible. Kevin a voulu franchir le pas et nous nous sommes mis d’accord sur les conditions du transfert, donc l’affaire a été conclue. Nous souhaitons à Kevin tout le meilleur pour l’avenir, et nous le remercions pour ses services en vert et blanc » , a expliqué Frank Baumann.
Kevin Möhwald a été transféré au Werder Brême à l’été 2018 en provenance du FC Nürnberg. Le joueur de 28 ans a disputé 51 matches de Bundesliga avec les Verts-Blancs, marquant huit buts. Il a également fait une apparition pour le club en 2.Bundesliga cette saison.
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Une semaine avant la date limite des transferts, un nouvel attaquant a rejoint les rangs. Marvin Ducksch rejoint le Werder en provenance de ses rivaux de Hannover 96.
« Nous sommes très heureux que Marvin nous rejoigne. Nous le suivions depuis longtemps et notre patience et notre persévérance ont payé. Marvin a démontré sa qualité en marquant plusieurs buts ces dernières années et nous sommes convaincus qu’il peut avoir un impact immédiat ici » , a déclaré le directeur sportif du Werder, Frank Baumann.
Marvin Ducksch attend avec impatience ses prochaines matchs avec Brême. « Je suis très heureux d’être enfin ici. Le Werder est un club avec beaucoup de tradition. Je n’ai pas eu à prendre beaucoup de temps pour réfléchir à la décision une fois l’appel venu. Je suis sûr que nous pouvons réussir ensemble. »
En 109 matchs de deuxième division pour Hanovre, Holstein Kiel et St. Pauli, Ducksch a marqué 50 buts et donné 24 passes décisives.
Marvin Ducksch, un attaquant avec une riche expérience en 2.Bundesliga, présente une nouvelle option offensive pour le Werder. Le joueur de 27 ans n’a pas pu contenir son enthousiasme à l’idée de signer pour les Verts-Blancs lors de sa présentation officielle jeudi après-midi : « J’ai déjà joué pour plusieurs équipes dans ma carrière et je voulais vraiment passer à l’étape suivante. Le Werder était vraiment le bon choix pour moi ! »
En 2017-2018, ses 18 buts pour 2.Bundesliga l’ont vu gagné le titre de meilleur buteur, et son entraîneur de l’époque à Kiel n’est autre que l’actuel entraîneur du Werder, Markus Anfang. « Nous avons été en contact fréquent au fil des ans, nous avons bien travaillé ensemble pendant mes un an et demi à Kiel et j’espère que cela continuera ici. »
Le joueur de 27 ans se décrit comme un joueur très « ambitieux » qui connaît très bien la manière de travailler l’entraîneur actuel par son expérience passée. « Je veux gagner chaque match auquel je participe. J’essaie de m’impliquer et de soutenir les jeunes joueurs. » Ducksch ajoute que ses qualités offensives ne sont pas identiques à celles d’un numéro neuf classique, ce qui explique son choix du maillot numéro sept ici au Werder : « Je ne me vois pas comme un numéro neuf classique, du moins pas en match. Je me sens plus à l’aise en tant que deuxième attaquant ou en jouant derrière l’attaquant. »
Le Werder Brême a signé un autre joueur offensif. Roger Assalé a rejoint le club en prêt avec une option d’achat en provenance du FCO Dijon. Le directeur sportif du Werder, Frank Baumann, a annoncé cette décision ce matin.
« Nous avons suivi de près la carrière de Roger au cours des dernières années. C’est un attaquant rapide et puissant avec un talent pour le dribble, et il peut causer pas mal de problèmes. C’est aussi un joueur flexible : il peut jouer sur l’aile mais peut aussi jouer au milieu » , a expliqué Baumann.
Assalé lui-même attend avec impatience cette nouvelle étape de sa carrière. « Je suis ravi de relever ce défi avec le Brême. J’ai eu de bonnes discussions avec Markus Anfang et Frank Baumann, qui m’ont donné leurs idées sur la façon dont ils veulent jouer au football. Ces discussions et la philosophie du club m’ont convaincu de venir ici. »
Roger Assalé a débuté sa carrière de footballeur au SO Armée Yamoussoukro en Côte d’Ivoire. Il est venu en Europe via le Séwé FC et le Tout Puissant Mazembe et a joué pour le club suisse des Young Boys Bern, y remportant deux titres de champion. Après un prêt à l’ancien club de Liga CD Leganes, il a rejoint le FCO Dijon, alors club de Ligue 1, qui a été relégué à la fin de la saison. L’international ivoirien, qui a également joué en Ligue Europa et en Ligue des champions, a été sélectionné 20 fois pour son pays. Il portera le maillot numéro 15 au Werder.
Le Werder a ajouté Mitchell Weiser à ses rangs lors de la dernière journée du mercato estival. Le joueur de 27 ans rejoint le club en provenance du Bayer Leverkusen avec un prêt d’une saison.
« L’option de signer Mitchell en prêt s’est présentée au dernier moment. C’est un joueur de Bundesliga expérimenté qui peut jouer sur l’aile, tant en attaque qu’en défense, et sera capable d’avoir rapidement un impact ici » , a déclaré le directeur sportif du Werder, Frank Baumann.
Mitchell Weiser a hâte de rejoindre les Verts-Blancs. « Je suis très heureux que nous ayons pu finaliser les choses avant la fermeture du mercato. Le Werder est toujours un grand club, à mon avis » , a-t-il déclaré. « Je suis très heureux de ce défi et je veux jouer le plus de matchs possibles ici. Je pense que nous avons une équipe solide qui est capable d’atteindre les objectifs que le club s’est fixés. »
Mitchell Weiser a commencé sa carrière de joueur à TVE Veltenhof, avant de rejoindre l’académie du FC Cologne en 2005. Il a ensuite rejoint leBayern Munich en 2012, où il a remporté trois titres de Bundesliga et deux titres de DFB-Pokal. Weiser a ensuite rejoint le FC Kaiserslautern en prêt, avant de partir au Hertha Berlin puis au Bayer Leverkusen. Weiser a remporté l’EURO U21 avec l’Allemagne en 2017, a disputé 140 matches de Bundesliga (9 buts) et a participé à 13 matches de 2.Bundesliga (2 buts).
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Trois joueurs qui arrivent au Werder… j’ai lu deux fois pour être sur …
De très belles recrues. J’ai hâte que le championnat commence
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J’ai cru à une nouvelle vague de départ mais en fait non. Weiser & Ducksch, ça me parle bien. Assalé, je ne le connais pas vraiment, mais sur papier, il a l’air d’avoir des choses à t’apporter 
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Après un gros dégraissage, quelques arrivées.
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Oh des recrues
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L’équipe a voté ! Ömer Toprak a été élu nouveau capitaine des Verts-Blancs, avec Maximilian Eggestein et Leonardo Bittencourt comme vice-capitaines. Christian Groß et Niclas Füllkrug complètent le conseil d’équipe de cinq personnes. Le défenseur central expérimenté s’est assis pour sa première conférence de presse mercredi et a révélé à quel point il était impatient de porter ce brassard : « Je suis incroyablement fier d’être capitaine du Werder ! C’est encore plus spécial lorsque vous avez été élu par vos coéquipiers. Mes coéquipiers connaissent mon caractère et cela me stimule encore plus. »
Toprak est connu pour ses performances défensives et, avec son expérience, son élection en tant que capitaine de l’équipe n’est pas surprenante. Sur et en dehors du terrain, le joueur de 32 ans jouit d’une bonne réputation. « J’ai toujours essayé d’aider et de donner quelque chose en retour, en particulier avec les jeunes joueurs de l’équipe. Je suis impatient d’assumer plus de responsabilités que ce rôle implique. Je veux que tout le monde se sente à l’aise afin que nous puissions travailler à faire amende honorable pour la saison dernière. »
Lors de la conférence de presse de mercredi, le capitaine nouvellement élu a envisagé son avenir au club. Bien que le joueur de 32 ans ne soit pas en mesure de faire de pronostics sur la situation de l’équipe, il est certain d’une chose : « Je me donnerai toujours à 100 % pour ce club, avec ou sans brassard. Pour l’instant, l’accent est mis sur la prochaine saison de championnat. » Dans le même temps, le défenseur revient fréquemment sur l’échec de la saison dernière. « Par respect pour le Werder et la saison dernière, que nous avons ratée, c’est à nous de faire mieux. Chaque personne doit tout donner pour ce club » , souligne Toprak.
Revenant sur les dernières semaines, Toprak est satisfait de la performance de l’équipe : « Nous ne sommes pas encore à 100%. Il faut du temps pour apprendre le nouveau système de jeu mis en place par l’entraîneur. »
Le Werder continue d’être nommé par beaucoup comme favori en raison de la longue histoire du club en Bundesliga. Cependant, le nouveau capitaine du SVW s’empresse de mettre en garde contre la complaisance : « Nous avons connu deux saisons très difficiles et il y a encore beaucoup de points d’interrogation, notamment en ce qui concerne la situation de l’effectif. Tout prend du temps dans ce jeu. De toute évidence, le Werder appartient au plus haut niveau du football, mais nous ne pouvons pas faire preuve de complaisance car rien n’est garanti. »
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Bon après avec le peut de joueur qui te reste ça n’as pas du etre difficile de trouver le capitaine
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Otto Rehhagel a dirigé le Werder Brême de 1981 à 1995. Au cours de ces 14 années dorées pour le club, Rehhagel a transformé le Werder passant d’un club obscur à une équipe éblouissant les spectateurs avec un jeu puissant, rapide et une défense étouffante. Au cours de cette période, le Werder Brême s’est imposé comme l’une des principales équipes de la Bundesliga, dépassant son rival détesté Hambourg en tant que meilleur club du nord et déclenchant une intense rivalité avec le Bayern Munich.
Rehhagel a repris le poste d’entraîneur au Werder en 1981. Il a d’abord amené le club à être promu en Bundesliga, puis l’a transformée en une équipe Européenne de premier plan. Otto Rehhagel est devenu le « roi Otto von Bremen », le chef de famille du Werder. S’il était souvent dur envers les représentants des médias, il était surtout très empathique avec ses joueurs. Sa femme Beate s’occupait des soucis et des besoins des femmes des joueurs. « Il était comme un père pour les joueurs. C’était vraiment une communauté serrée. Rien n’est jamais sorti. Otto Rehhagel aimait ça et en avait besoin » , a déclaré Willi Lemke.
Au milieu des années 80, Rehhagel a souvent manqué de succès et a enregistré une série de deuxièmes places et de défaites en finale de Coupe. A cette époque, son surnom était Otto II ou Vizeadmiral (« Vice-amiral »). Cependant, Rehhagel a mené le Werder Brême à deux championnats d’Allemagne en 1988 et 1993, deux victoires DFB-Pokal en 1991 et 1994, et à remporter la Coupe des Vainqueurs de Coupe Européenne en 1992. Au cours de cette période, Rehhagel a formé une multitude de stars internationales, tels que Rudi Völler, Karl-Heinz Riedle, Dieter Eilts, Marco Bode, Mario Basler, Hany Ramzy, Andreas Herzog et Rune Bratseth. L’équipe du Werder Brême de la saison 1987-1988 était jusqu’à récemment l’équipe qui a concédé le moins de buts en Bundesliga (22), ce record a été dépassé par le Bayern Munich lors de la saison 2007-08 avec 21 buts.
Le grand art d’Otto Rehhagel au cours de ces longues années au SV Werder Bremen a toujours été de savoir comme nul autre à l’époque comment former des équipes puis les façonner selon ses idées. Et ce faisant, il a amené à plusieurs reprises dans la ville hanséatique des joueurs qui semblaient avoir depuis longtemps dépassé le zénith de leur carrière. Le meilleur exemple en est le légendaire Manni Burgsmüller, dont Rehhagel a dit un jour : « Il est l’un des meilleurs footballeurs après la Seconde Guerre mondiale. » Lorsque l’entraîneur du Werder l’a fait signer à Brême (« Je suis allé à Oberhausen déguisé avec une barbe et un chapeau mou » ), l’ancien international avait déjà 35 ans. Burgsmüller est finalement devenu champion d’Allemagne en 1988 à l’âge de 38 ans.
Après 14 années passées ensemble, les supporters du Werder étaient extrêmement réticents à laisser leur entraîneur partir au Bayern. Pleins de mélancolie, ils lui écrivirent ces vers : « Otto reste dans ta région / les lederhosen ne te vont pas ! / Comment as-tu pu te vendre / et passer au Bayern / à Brême, tu étais ton propre patron / à Munich, tu ne fais plus ça. »
Preuve que les années d’Otto Rehhagel à Brême resteront toujours dans les mémoires comme un miracle durable de la Weser. Il est temps de se souvenir de ces succès passés et de retrouver ces valeurs.
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Article bien écrit. Ca fait plaisir à lire dès le matin
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Très bel article. Un vrai plaisir avec un petit café.
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Construit en 1909 avec des fonds publics, le stade Weserbogen était initialement le stade d’accueil du club de Bremen 1860 pendant 20 ans. Au cours de la crise économique mondiale, ce dernier n’était plus en mesure d’entretenir le stade. Le SV Werder Brême est alors devenu le locataire du stade et a fondé l’association « Weser-Stadion e.V » pour assurer la sécurité financière.
Depuis lors, le Werder Brême a joué ses matchs de compétition au WeserStadion. Après l’arrivée au pouvoir des nationaux-socialistes, le WeserStadion a été rebaptisé « Bremer Kampfbahn » . Pendant la Seconde Guerre mondiale, le stade a été temporairement une base antiaérienne avec deux tours antiaériennes sur la tribune nord et une sur le toit de la tribune sud.
Dans la période d’après-guerre sous l’occupation américaine, le stade a été nommé « IKE » d’après le prénom du président américain Eisenhower. En mai 1947, le stade est rouvert sous son nom de « WeserStadion » .
Pour l’introduction de la Bundesliga en 1963, le stade a été agrandi, modernisé et la rénovation a été officiellement inaugurée le 14 août 1963, avec un match amical entre le Honved Budapest et le Werder Brême devant une foule nombreuse.
En 2019, la société a décidé de céder les droits de mécénat au groupe immobilier Fellbach Wohninvest pour trois millions d’euros par an pendant dix ans. La société immobilière a fait rebaptiser le stade Wohninvest Weserstadion le 1er juin 2019. Le contrat court jusqu’au 30 juin 2029. Ce changement de nom a déclenché d’importantes protestations des fans de Brême. 600 personnes ont manifesté avec une marche de protestation sous la devise « Weserstadion intouchable » contre le changement de nom. Un tract de protestation affirmait que l’identification n’était pas « un simple effet secondaire du secteur du football professionnel, mais la raison de son succès économique ». Depuis lors, il y a eu des protestations répétées contre le changement de nom lors des matchs à domicile.
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