Bon, à faute avouée, à demi châtiée ?
On connait tous quelqu’un tête en l’air comme ça, ils sont rarement à des postes à responsabilité aussi importantes
Quoi dire à Aitor Ruibal ? « Ah bah en fait, on a juste pas vu le délai de réponse »
Bon, à faute avouée, à demi châtiée ?
On connait tous quelqu’un tête en l’air comme ça, ils sont rarement à des postes à responsabilité aussi importantes
Quoi dire à Aitor Ruibal ? « Ah bah en fait, on a juste pas vu le délai de réponse »
Ca confirme bien mes craintes lors de l’engagement de Leonardo.
Soit c’est une excuse pourrie, soit c’est un vrai boulot.
Dans les deux cas, il est insupportable.
On est pas sur le ds le plus efficace pour le coup
« Le loupé », c’était le titre pour moi en fait à cause du screen (c’est corrigé ) Nan je déconne c’est encore la faute de Leonardo…
A l’instar de @Manthyz , allez-y, balancez vos meilleurs expressions sur sa gueule à Leo Du style : « T’as pas inventé la poudre mais tu devais pas être loin quand ça a pété »
« Il est tellement loin derrière qu’il est persuadé d’être le premier »
T’es pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, mon ami Leonardo
Son QI est du niveau de sa température anale, et il n’a pas souvent de la fièvre
Après un petit sondage auprès des collègues en salle des profs, je propose ce petit florilège :
“Son chromosome est plus con que génital.”
« Quand on mettra les cons sur orbite, Léonardo aura pas fini de tourner. »
« Léonardo a une tête à savoir quel goût ont les crayons de couleur. »
« Léonardo n’est pas le fromage le plus affiné du terroir »
« Si une idée venait à traverser l’esprit de Léonardo, elle obtiendrait le record du plus court trajet jamais réalisé »
« Léonardo n’est pas le castor le plus utile au barrage »
« Léonardo ne doit pas montrer son cerveau aux gens ayant peur du vide, il y aurait des morts »
Quand on décidera de faire danser les cons, sa place ne sera pas dans l’orchestre.
Il n’a pas inventé le fil à couper le beurre celui-là !
@Manthyz En effet… Je ne vais pas sortir une nouvelle expression, vous m’en avez assez appris
@Julian-m Les débuts sont délicats on va dire…
@Tiien Je reconnais bien là ton côté US ou ton sang chaud marseillais !! Marche ou crève !!
@alexgavi Toi tu fais plus docile, un peu plus patient que @Tiien
@Heisen Oui et je crois que tu n’es pas le seul…
@Sythax Je crois qu’il a usé le capital patience de beaucoup
@Rhino Pas tout à fait, ou alors c’est qu’il débute ?
@toopil Je ne serai pas surpris de la retrouver en Nouvelle-Zélande celle ci
Vous m’avez régalé de vos expressions, j’ai bien ri Et j’en ai appris des nouvelles !
Je déclare quand même celle de @Manthyz « Leonardo a une tête à savoir quel goût ont les crayons de couleur. » meilleure expression
Un ailier avec une palette technique très intéressante. Une belle vision de jeu et une précision de passe incroyable. Luciano Rodriguez avait vraiment le profil intéressant que Leonardo avait mis en avant. Cependant, Ad ne voulait pas acheter pour acheter et empiler les joueurs. Certes, il fallait remplacer les futurs départs mais des transferts ont déjà été arrangés avec les futures signatures de Pablo Fornals, Chimy Avila, Cédric Bakambu sur le plan offensif, et Johnny au milieu de terrain.
Pourtant, il demanda à Leonardo de se positionner sur l’ailier uruguayen. Sur ce coup ci, il avait choisi de faire confiance à son directeur sportif, comme pour lui signifier qu’il était prêt à travailler main dans la main si les conditions demandées étaient respectées. C’est ainsi que quelques heures plus tard, Luciano Rodriguez débarquait du club de Liverpool FC en Uruguay contre la somme de 4,5 M€ bonus compris.
Malgré la région réputée pour la chaleur et le soleil, il faisait un froid sec en ce matin de Janvier. Les joueurs du Real Hispalis se sont réunis tôt pour partir pour Cadiz pour le match de cette 19ème journée de Liga. Ad, bien que préoccupé par le cas Aitor Ruibal, veut se concentrer sur les prochaines échéances qui arrivent. La période de retour des fêtes n’est jamais facile à gérer et s’il souhaite continuer sur la bonne dynamique lancée en fin d’année, il doit garder la tête froide et rester focus sur les matchs qui arrivent. Après avoir fait le point sur le classement, il s’est adressé à ses joueurs avant de prendre le bus :
“Messieurs, ce match à Cadiz doit nous permettre de continuer notre marche en avant ! Nous avons su redresser la tête, il ne faut pas tout gâcher aujourd’hui. Montons dans ce bus et concentrons-nous sur le match à venir. Vous ne devez penser qu’à ça, et uniquement ça.”
Malgré lui, il ne pouvait s’empêcher de penser à l’imbroglio avec l’un de ses capitaines. Cette situation l’embarassait et l’empêchait de se sentir libéré. La sensation d’avoir un poids lourd sur les épaules ne l’avait pas quitté depuis ce premier jour des vacances. D’un côté, il voulait absolument prouver à son joueur qu’il comptait sur lui, même si le faible temps de jeu indiquait le contraire, mais de l’autre, le milieu espagnol n’en démordait pas et continuait de traîner son spleen sur la pelouse, tout en restant professionnel dans ses prestations aux entraînements. Ce qui lui valut d’ailleurs de commencer le prochain match.
J19 : -
Cette équipe de Cadiz, bien que 14ème avant le coup d’envoi, n’avait pas l’intention de se laisser marcher dessus, qui plus est devant ses supporters. Et ce sont bien los Limoneros qui ont pris le contrôle du ballon et ont malmené des Verdiblancos qui semblaient au bout de leurs peines. Sans se montrer dangereux pour autant et c’est le seul regret que peuvent avoir les protégés de Mauricio Pellegrino car contre le cours du jeu, c’est bien le Real Hispalis qui a ouvert le score par l’intermédiaire de… Aitor Ruibal, à la retombée d’un centre de Abner (44’). Sans surprise puisque le football n’est qu’un enchaînement de coup du sort ou de petits signes du destin. Devant au score au retour des vestiaires, les hommes d’Ad ont essayé de garder la maîtrise du ballon tant bien que mal mais ne sont pas parvenus à alourdir le score, restant à hauteur de Cadiz. Et tout logiquement, les locaux ont profité de la passivité défensive des vert et blanc pour égaliser grâce à Ivan Alejo, seulement une minute après son entrée en jeu (73). Finalement, c’est un moindre mal que les Verderones repartent de Cadiz avec un point tant ils ont été dominés dans de nombreux compartiments du jeu.
La réception du dernier du championnat, Grenade, devait faire office de match pour se relancer. Pour cette rencontre, l’entraîneur français a décidé d’opter pour un peu de turn-over pour relancer certains joueurs et donner l’occasion à d’autres de se montrer.
J20 : -
Le match ne pouvait pas mieux commencer avec une ouverture du score dans le premier quart d’heure par Miranda, d’un coup franc délicieux déposé dans la lucarne d’un Raul Fernandez, impuissant (14’). Mais comme souvent ces derniers mois, le Real Hispalis n’est pas capable de tenir un match et il a la fâcheuse tendance à se faire reprendre. Et c’est ce qu’il s’est passé avec l’égalisation de Lucas Boyé (34’) qui vient prendre le dessus sur un Miranda trop tendre au duel aérien. Puis, très vite, les Verdiblancos se sont retrouvés une nouvelle fois à courir après le score après le second but de la lanterne rouge inscrit par Melendo, six minutes plus tard (40’). La seconde période a été à sens unique avec des Rojiblancos qui se sont battus pour préserver cette victoire Ô combien importante. Mais après un rush de Lepenant et une frappe envoyée sur la barre transversale, Ayoze Pérez a été le premier à envoyer le ballon dans les filets d’un but vide pour égaliser (72’) et éviter ainsi à ses partenaires une déconvenue qui aurait fait beaucoup de bruit.
Un match qui paraissait à la portée du Real Hispalis. Pourtant, ils ne sont parvenus qu’à se partager les points.
J17 : -
Ce match de Coupe devait permettre aux joueurs d’Ad de retrouver de la confiance et de se relancer après deux matchs nuls pour le moins frustrants. Pour l’occasion, là encore, le français a choisi de faire tourner son effectif pour affronter le petit club de Covadonga, pas seulement pour le niveau mais aussi et surtout parce que la CAN a repris ses droits et que 3 internationaux africains ont quitté le groupe pour ce mois de Janvier (Riad, Abde et Sabaly) et que quelques joueurs sont laissés au repos pour soigner des petites blessures et ne prendre aucun risques (Fekir, Lepenant, Miranda, Carvalho)
Sans surprise, le match s’est plus apparenté à une attaque-défense qu’à autre chose et à la demi-heure de jeu, après un jeu à trois initié par Isco, Hector Bellerin s’est retrouvé en position haute et ne s’est pas fait prier pour ouvrir le score (31’). Le plus dur était fait et désormais, les locaux devaient se livrer pour revenir au score. Cependant, ce n’est qu’en seconde période que la différence s’est faite par Nacho Ferri une première fois (55’) puis par Isco (79’) pour venir conclure son récital du jour.
Une qualification facile et sans accroc qui satisfait Ad qui peut désormais se concentrer sur le prochain choc qui l’attend, la réception de Barcelone. Bien que son équipe n’ai plus perdu depuis le derby de Séville, soit 7 rencontres, il se veut prudent quant à la capacité de ses joueurs à répondre présent face à de grandes écuries. Le derby remporté haut la main lui a laissé une belle impression, qu’il espère retrouver dans quelques jours face aux Blaugrana.
Pas terrible en championnat
pas de grand matchs en championnat
Pas simple ce championnat ! Même contre des équipes de bas de tableau, il n’est pas simple de prendre des points !
Dans le même temps, l’équipe ne perd pas, ce qui est très bien. Mais l’Europe semble s’éloigner pour le moment.
La coupe permet de renouer avec la victoire
Ca va mal finir cette histoire…
Tu compte gagner un jour?
@Rhino Euh, oui, en effet…
@celiavalencia Mais on ne perd toujours pas, c’est bien nan ?
@alexgavi On patine, on patine… C’est pas simple. Les changements opérés par le coach mettent du temps à se mettre en place. Espérons que la coupe fasse du bien !
@Tiien Toi tu veux voir quelqu’un se faire virer
@toopil Oui, mais que avec Sunderland je crois
Ad était arrivé à l’heure au centre d’entraînement ce matin. Le rendez-vous était fixé à 9h30 et la mission qui l’attendait était pour le moins paradoxale. D’un côté, il devait dire au revoir à Claudio Bravo et Willian José et d’un autre, il s’apprêtait à accueillir Luciano Rodriguez. En effet, le transfert de l’ailier uruguayen était finalisé depuis quelques semaines déjà mais le joueur n’est arrivé au club que mi-janvier, après qu’un accord fut passé entre les deux clubs.
A 9h35, l’entraîneur français croisa le chemin des deux partants, qui se dirigeaient vers le taxi prêt à les emmener à l’aéroport.
“Bonjour Messieurs, avant que vous ne quittiez le club, je souhaitais vous remercier pour les services rendus ici. Je suis désolé que l’histoire se termine ainsi mais cela fait partie de la vie d’un club. Plutôt que de vous garder ici et être payés à ne rien faire, il valait mieux pour vous que vous puissiez continuer à jouer.”
Claudio Bravo serre chaleureusement la main de son entraîneur , avec compassion.
“Je comprends Señor, et je vous remercie de votre sincérité. J’ai passé de belles années ici et pouvoir faire une dernière pige en Arabie Saoudite avant de rentrer au pays me ravit. Et puis, vous savez, à mon âge, réussir à trouver un contrat juteux comme celui-ci ne se refuse pas !”
Willian José, en partance pour le Mexique, paraissait beaucoup plus distant que le chilien.
“Je reste persuadé que j’aurai pu apporter à l’équipe, surtout vu les problèmes offensifs que vous rencontrez. Bonne continuation mais j’espère ne jamais vous recroiser.”
Un peu désabusé mais pas surpris pas la réponse, Ad ne su que répondre. Ce n’était pas forcément les au-revoir qu’il avait espéré mais dans ce genre de situation, ce n’était pas évident d’avoir toujours le sourire, encore plus quand le départ était provoqué par le coach lui-même. Mais il n’avait pas le temps de s’apitoyer sur son sort puisque dans moins d’une heure, un nouveau joueur fera son arrivée. Cela lui laissait le temps de passer par son bureau.
L’arrivée de Luciano Rodriguez se fit dans la plus grande des discrétions. Accompagné de sa compagne et de son agent, le jeune ailier sortit d’une voiture de location louée pour le trajet entre l’aéroport et le centre d’entraînement. Habillé décontracté, il portait une veste en jean simple et un sweat blanc, assorti d’un jean clair et d’une paire de Nike blanches et vertes. “Déjà aux couleurs du club le petit, il fait les choses bien.” pensa Ad. La première impression rassurait le français. Luciano semblait être quelqu’un de simple, qui ne se prenait pas la tête. Il était jeune et pétri de talent mais pour autant, il avait l’air d’une personne consciente de la chance d’être dans le monde professionnel. Ces pensées le rassurèrent avant d’entamer la discussion.
“Luciano, ¿cómo estás ? Tu as fait bon voyage ? Je suis ravi de t’accueillir au club ! ”
“Hola Señor ! Oui merci beaucoup. Je suis vraiment content d’être ici et j’ai hâte de visiter le centre ! ” répondit Luciano d’un ton joyeux.
“Avec plaisir, on peut y aller tout de suite si vous voulez ! ”
Après avoir visité les locaux et appris tout ce qu’il y avait à savoir, Luciano remercie son entraîneur et se dirigea vers la voiture qui les attendait pour les ramener chez lui. Un dernier signe de la main et il s’engouffra dans la voiture.
“Je sens que je vais me régaler ici chérie.” dit-il à sa femme. "Les installations, les conditions de vie, le personnel… Tout est tellement mieux qu’en Uruguay. Et la vie ici s’annonce radieuse. J’ai hâte de commencer ! ”
Si tout allait bien, sa première apparition serait contre le FC Barcelone lors de la prochaine rencontre. A cette idée, une lueur d’excitation traversa son regard. Même s’il était tout nouveau et à peine arrivé, il était bien déterminé à prouver qu’il était prêt à jouer dès que possible, sans passer par la case adaptation. Ce transfert représentait pour lui la chance de sa vie de prouver sa valeur sur le Vieux Continent, hors de question de ne pas la saisir. Rage, envie et détermination. Tels étaient les mots qui résonnaient dans sa tête lors du trajet vers son nouveau domicile.
ça à l’air être un rêve pour le petit nouveau !
Les femmes sont bien plus jolies en Uruguay
Aitor Ruibal doit être fou de rage de voir Claudio Bravo aller là où il souhaitait lui-même aller
Luciano Rodriguez va être attendu au tournant