@LindexV Roooh soit pas mauvaise langue, il a juste été un peu malchanceux et puis peut-être aussi que les ratés d’Higuain ont pesé dans la balance
@Wasyl Je crois me souvenir que Anderlecht raflait tout, du coup…voilà, c’est tout ce que j’ai à fournir
@Bast971 Content que ce jeu de mots vous ait plu cher collègue
Mes chers lecteurs, bienvenue au Bnei Yehuda, en deuxième division israélienne !
Allez, je vous fais visiter. Le Bnei Yehuda étant le club du quartier Hatikva de Tel Aviv (à l’instar de Chelsea qui ne représente qu’un quartier de Londres), je devrais vous montrer ce quartier, mais le fait est que…bah, il est moche, du coup c’est pas génial
En revanche Tel Aviv en elle-même est plutôt jolie et ressemble à s’y méprendre à une de ces plages paradisiaque de Floride ou de Californie, du coup je préfère vous montrer ça :
C’est beau hein ? Beh profitez bien de la vue, parce que la suite sera moins sexy
En effet, sportivement, ça va pas fort :
Il n’y a pas si longtemps que ça, le Bnei Yehuda était une forte tête du football israélien. Et puis, presque du jour au lendemain, ce club est tombé en déliquescence.
Cette saison, l’instabilité du club atteint son paroxysme : le Bnei Yehuda n’est même plus en première moitié de tableau en D2 Le navire a besoin d’être réparé rapidement, sinon quoi il sombrera bientôt dans les ligues amateures…et c’est à moi, Loozar Loozarowitz, qu’est confiée cette mission périlleuse.
Les infrastructures sont correctes et le staff est au grand complet, c’est déjà ça. Au Vietnam, c’était extrêmement relou de passer une saison à l’aveuglette à cause du manque de personnel
Quant à mes joueurs, je ne sais pas quoi en penser. Si le club est mal barré, c’est que quelque chose ne va pas…mais en même temps, on est tous bien placés pour savoir qu’un changement en apparence anodin peut drastiquement changer la dynamique d’un effectif. Donc…il y a matière à réfléchir.
Le club a 1.5 MILLION d’euros de dettes, et le trou continue de se creuser Jusqu’à présent, j’ai réussi à gérer les finances de mes clubs d’une façon satisfaisante…mais là, si je pars de ce club en ayant résorbé l’intégralité de la dette, je mérite un putain de légion d’honneur.
A l’heure où j’écris ces lignes, il reste 3 rencontres à disputer pour mon équipe avant la fin de cette saison. Je ne peux plus monter ni descendre, mais le faible écart de points entre le Bnei Yehuda et ses plus proches concurrents autorise encore beaucoup de mouvements…
Voilà. Un nouveau chapitre de ma folle histoire s’ouvre : Loozar Loozarowitz prend en main le Bnei Yehuda, actuellement en crise, coincé au fin fond de la D2 israélienne. Moi qui suis habitué aux projets casse-gueule, en voilà un qui va m’en faire baver
A bientôt