Enoooorrmmmme ce post 
J’adore !
Juste dommage pour la finale de CDM 
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@LindexV J’avais déjà entendu des choses bien sur ces séries dans une vidéo de PhantomStrider que je galère à retrouver, quand j’aurai un peu de temps devant moi (genre cet été, entre deux parties de TF2), peut-être que je regarderai. J’ai déjà trouvé le site de streaming pour ça
Mais j’espère que ça ne me transformera pas en un insupportable kikoojap qui fantasme sur les japonaises et qui s’imagine devenir mangaka à temps plein 
@Missille Remasterisée, je dirais même toute nouvelle
Et oui le truc des Sims c’est déstabilisant, mais j’admire le fait qu’il ait réussi à faire quelque chose de ressemblant pour beaucoup des filles qu’il a tenté de recréer 
@Mr-T Houla mais c’est pas une larme ça, c’est une goutte de sueur
@Wasyl Je me suis fait mal en refaisant mon parcours, comme à chaque fois que je tombe sur le but d’Eder dans une compilation de buts historiques sur Youtube
En revanche…y’a des expressions bannies maintenant ? 
@luigimario12 Si cette maison d’édition existe…je ne donne pas cher de sa pérennité
@Alexmilano @Gil-Galad51 Merci public
Salut bande de déchets qui picolent pour supporter les réunions de famille.
Après avoir frôlé l’Éternité, moi et mes tchèques devons admettre ce constat qui me rend déjà mélancolique : nous ne revivrons pas une épopée aussi palpitante que cette dernière Coupe du Monde avant un long moment 
Alors, histoire de ne pas tomber dans une monotonie où tout ce qui n’est pas une phase finale de Coupe du Monde me paraîtra fade, j’annonce mon départ de la sélection tchèque, et la transmission de ma Zlata Generace à un technicien qui a encore soif d’adrénaline.
Comme on dit, il vaut mieux mourir en héros que vivre assez longtemps pour devenir le méchant 
Mais comme ces six ans à la tête de la Tchéquie ont été riches en émotions, permettez-moi, avant de tirer ma révérence, de faire une petite retrospective de mon mandat avec la Narodni Tym.
Si la Tchéquie n’a pas soulevé de titre sous mon égide, mes années en tant que coach de cette équipe se sont conclues sur une solide sixième place au classement FIFA. Et quand bien même ce ne serait pas, techniquement, le meilleur classement de son histoire (qui est une 2e place acquise en 2006), la République Tchèque aura atteint une finale de Coupe du Monde, chose qu’elle n’avait encore jamais faite.
Mais enfin Loozar, c’était PREVISIBLE ! La Tchéquie est une nation ABUSÉE dans Football Manager 2015 !
Hey bah pas tant que ça !
D’une équipe qui se tient entre la 20e et la 40e place du classement mondial, nous sommes arrivés à une top nation, qui trouve chaque année sa place dans les 10 meilleures sélections de la planète. Il y a fort à parier que l’équipe qui a été au Mondial 2034 était la meilleure formation tchèque jamais alignée sur un terrain.
Cette équipe en acier restera dans l’histoire, AUSSI, comme celle qui a vu briller Martin Sterba, maintenant meilleur buteur de l’histoire de la sélection.
Voilà ça arrive un peu comme un chien dans la soupe mais fallait que je le case
Mais qu’en est-il de MOI ? De mon bilan personnel ? Hey bien il est pas mal.
68% de victoire, c’est quand même honorable 
Pour moi, ces six ans ont été une longue aventure, dont le climax a été une bien frustrante finale de Coupe du Monde. Ce cockblock des Enfers.
Parlons maintenant de l’AVENIR de cette sélection. Cet été, après avoir donné ma démission, les tchèques ont eu l’occasion de prendre leur revanche sur la Roja, puisque cette dernière s’est retrouvée dans leur groupe en Ligue des Nations…
Et devinez quoi ? Pour la grande première de mon successeurs, mes joeuurs ont mis l’Espagne à genoux :
Ce bon vieux Lukas Dosedel a encore fait parler la poudre. Je sens qu’on va beaucoup en entendre parler dans les prochaines années.
Malheureusement, ce sera la seule performance notable de mes anciens joueurs dans cette compet’…
…puisqu’ils seront relégués en n’ayant jamais été foutus de batter la Pologne.
Je ne m’inquiète cependant pas pour eux. Je sens que la génération qui arrive n’a pas fini de nous fournir son lot de talents…
Tandis que l’équipe première descend en Division B de LDN, la U19 met à l’amende la France puis l’Allemagne, et s’octroie un titre continental inédit pour cette catégorie 
J’ai très envie de voir ce que ça va donner dans les années à venir…enfin, à condition que l’équipe soit mise entre les mains d’un grand chef qui saura la faire cuire à point 
Voilà, je peux m’en aller tranquille. Mes aventures aux commandes de la République Tchèque sont maintenant terminées, c’était fun, désormais il est temps de couper le contact…
Voir toi espace vachegarçon. Et merci pour tous ces souvenirs footballistiques, en espérant que le sentiment est réciproque.
J’accorde décidément beaucoup trop d’attachement émotionnel à ces joueurs complètement virtuels, qui n’existent que dans une table de hachage quelque part dans la mémoire vive de mon PC.
À bientôt 
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Il est temps de prendre une autre sélection en main et de se viander avec 
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C’est en accès gratuit sur france TV (avec la VF), pas besoin de prendre des risques avec Hadopi
T’inquiète, y’a pas que des waifus ‹ japonaises ›, y’a aussi de l’inuit, du coréen…
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Life is Strange aurait été meilleur avec un Loozar débile dans le jeu
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@Wasyl Je ne vois pas de quelle autre sélection tu pourrais bien parler…allez, célébrons la fin de mon mandat avec un shot de vodka, si tu le veux bien
@LindexV Ah tiens c’est bon à savoir ça, surtout si la VF est bien faite
@Missille La prochaine fois que j’aurai envie de faire un post GIMP, fais-moi penser de faire une parodie de LiS
Salut bande de fiottes qui écoutent du Vanessa Carlton en secret
Après avoir parcouru l’Europe et bravé mille dangers, Hoffenheim rentre à la maison. Finies les folies aux quatre coins du Vieux Continent : cette année, l’équipe de Sinsheim devra redevenir prophète en son pays, si elle veut en traverser les frontières.
Pour cette saison 2034-2035, l’objectif est de poser les bases pour une nouvelle qualification européenne. Et comme nous ne participons plus à la C1 ou à la C3, mon emploi du temps est désormais vide de toute échéance internationale, ET DONC, le champ est libre pour repartir à la conquête de la Bundesliga…
La Bundesliga justement, parlons-en. Derrière ce nom qui sent bon les stades pleins à craquer et les scores fleuve se cache une réalité assez terne : celle d’un championnat qui perd de sa superbe au fil des années.
J’arrive dans un pays, et au même moment, ledit pays se casse la gueule au classement UEFA…ça ne peut pas être une coïncidence
Mais là n’est pas l’essentiel, car l’Europe ne nous concerne pas cette année. Ce qui nous concerne, c’est ça :
D’après les pronostics des journalistes, Hoffenheim va une fois de plus patauger dans la fange infâme et sans saveur du milieu de tableau. Les prédictions semblent raccord avec les attentes de mes dirigeants…
…mais personnellement, je m’autorise à être un poil plus optimiste, pour la simple raison que ces pronostics, c’est ceux qu’on avait quand on devait composer avec une compétition continentale dans le calendrier.
Mais là, je n’aurai plus besoin de faire tourner l’effectif, je peux me permettre de mettre mon Onze type à toutes les rencontres Donc il n’est pas complètement absurde, pour moi, de vouloir viser plus haut.
Ah, apparemment si, c’était absurde de vouloir viser plus haut.
Là c’est le moment où @Segmann aurait casé un petit « En fait non lol » s’il ne s’était pas fait tapé sur les doigts
Bilan étrangement symétrique de 8 victoires, 8 défaites et un nul, qui tranche complètement avec une saison au déroulé aussi bancale que l’argumentation des anti-vaxx.
Car oui, cette saison m’en a fait voir de toutes les couleurs ! D’un départ tout pourri et désespérant, à peine digne d’un relégable, nous sommes arrivés à une équipe qui a empoché 6 victoires en 8 rencontres, portée par sa fougue offensive et son arrogante réussite. Hoffenheim aime l’Innatendu avec un grand I.
Et comme signe que cette équipe a un rapport assez bizarre avec sa propre chance, on peut parler de la Coupe d’Allemagne.
Non seulement nous ne sommes pas éliminés, mais en plus, nous tirons le petit poucet de la compétition en 8e de finale. Miaou. Qui sait, peut-être que ce sera le début de quelque chose de balèze 
Plus balèze, je l’espère, que notre recrutement, qui fut d’un chiant considérable et qui m’a surtout vu faire des économies de salaire.
Plusieurs joueurs vieillissants se sont vu délaissés par le club du Kraichgau, et à part pour Rodriguez, j’ai assez peu de regrets quant à leurs départs.
Pour ce qui est des achats, ils sont tous l’oeuvre de mon staff :
Notez que mon club a spontanément re-recruté Yildrim, avant de le prêter à un autre club, ce qui fait que son nom apparaît TROIS FOIS sur le screen des transferts. C’est pas banal.
Mais enfin Loozar ! Tu ne fais aucun recrutement, évidemment que ton équipe n’évolue pas !
Oui, mais cette saison, nous pouvions le supporter, car deux jeunes de ma U19 ont intégré l’équipe première, et à eux seuls, ils constituent des renforts suffisants…
Y’a-t-il de l’or véritable derrière ces étoiles, ou tout ceci n’est-t’il qu’un cache-misère de principe, à l’instar d’un push-up bra sur une anorexique ?
Je pense qu’on tient quelque chose de pas dégueulasse.
Le secteur offensif est incroyablement bien fourni, et presque tous mes attaquants ont le potentiel pour impacter une rencontre. Y compris des mecs comme Gavrila, qui sont pourtant sur le point de raccrocher les crampons…
Ça fait plaisir de ne pas dépendre d’un seul gars. Si bien que le choix du joueur de l’année pour l’an prochain risque d’être plus serré que cette année :
Parlons tout de même des déceptions, et surtout d’une : Ricardo Rojas, mon ex-meilleur défenseur qui, cette année, multiplie les interventions foireuses comme un pet un lendemain de cuite. Il se pourrait qu’il dégivre le banc cet hiver.
Pour ce qui est de la tactique, j’ai voulu expérimenter le 3-1-2-1-3 que j’avais vu passer en D2 italienne il y a quelques années, sans grand succès. Alors je suis revenu à mon 3-2-3-2 habituel. Et comme j’ai oublié de prendre un screen et que j’ai la flemme de démarrer le jeu juste pour deux images, vous attendrez gentiment le prochain post bande de connards
Les plus perspicaces d’entre vous diront que je m’accroche VRAIMENT à cette tactique suicidaire, mais la vérité, c’est que c’est la seule tactique « de secours » qui me vient à l’esprit quand tout va mal. Ou, comme dirait un chanteur que vous auriez voulu tous oublier :
Sans les revenus européens, c’est sûr que la machine ronronne moins fort. Mais il y a assez d’essence dans le réservoir pour tenir un moment.
Une chose est sûre : malgré l’absence de compétition européenne à proposer à nos fans, ces derniers sont toujours présents en nombre.
Et puis on continue à brasser un chiffre d’affaire aussi énorme que la liste des coïncidences étranges qui entourent la mort de Jeffrey Epstein, donc on n’a pas à se plaindre.
Hoffenheim a des finances « prospères », et c’est peut-être la première fois que j’arrive à faire tenir à flot l’économie d’une club aussi gros.
Saison bizarre, qui a très mal commencé, mais dont la dynamique en fin d’année semble encourageante pour la suite. Il va m’être difficile de faire une prédiction pour l’avenir, tant cette équipe regorge de surprises, aussi bien bonnes que mauvaises.
On se revoit très bientôt pour connaître le dénouement de cette saison 2034-2035, à bientôt
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Zulic ! 
Un futur grand joueur celui là 
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Si vous commencez tous à me confondre avec d’autres, je vais avoir une dépression à force 
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@Wasyl En effet, ses stats font rêver, d’ailleurs il faudrait que je jette un coup d’oeil à sa carrière un de ces quatre, pour voir comment il a évolué
@LindexV Mon Dieu, comment ai-je pu laisser un lapsus pareil
Oui évidemment, je voulais parler de mon fidèle montpellierain 
Salut, c’est Loozar, l’homme qui aide ta grande soeur à se découvrir de nouvelles zones érogènes.
Aujourd’hui, on conclut la saison 2034-2035 d’Hoffenheim. Cette édition devait être celle de la renaissance, mais elle avait assez mal commencé ; cependant, un regain d’énergie à l’approche Nouvel An avait remis mon équipe sur les bons rails…
Maintenant, reste à savoir si nous saurons continuer sur cette lancée. Qui sait, peut-être que l’Europe nous attend au coin de la rue ?
7 victoires, 4 nuls, 6 défaites : cette phase retour n’a pas été aussi intense que ce à quoi je m’attendais, et le bilan final n’est pas beaucoup plus reluisant. Malheureusement pour mes ambitions de retour en force, et malgré quelques résultats sympathiques, on dirait bien qu’Hoffenheim va encore finir en milieu de tableau 
Neuvième ! Les pronostics avaient vu juste. La seule petite surprise de cet exercice 2034-2035, c’est la chute du Bayern Munich : l’ogre bavarois a trébuché de son piédestal, supplanté par le duo Dortmund - Schalke. Enfin du renouveau outre-Rhin, dommage que ça n’implique pas une certaine équipe du Kraichgau…
En Coupe d’Allemagne, notre cavale à dos de tirages chanceux prend fin contre Leverkusen, que nous avions pourtant battu en championnat ce mois-ci. Mais qu’à cela ne tienne, atteindre les quarts, c’est pas si mal.
La saison est donc terminée, et cette année non plus, Hoffenheim ne créera pas la surprise. On dirait bien que, passée l’onde de choc et l’effet de surprise, les équipes dont Loozar Loozarowitz a la contrôle sont vouée à retrouver une forme de stabilité et de chiantitude.
Du coup il serait peut-être VRAIMENT temps de mettre la trésorerie dans la merde pour renouveler l’effectif !
D’ailleurs, la Grande Dilapidation a commencé cet hiver.
Pour la première fois depuis le début de ce récit, j’effectue des transferts majeurs lors du mercato hivernal. Tout d’abord, il y a un départ : celui de Maruyama, mécontent de son salaire, qui part plumer un trésorier à Stuttgart. Cette perte aurait pu nous causer du tort, mais à Hoffenheim, les attaquants à peu près sortables ne manquent pas 
En revanche, il y a un trou à combler en défense. Et ce trou, c’est Heredia qui le rebouche.
Jeune, à peu près mature et disposant de suffisamment de qualités pour intégrer immédiatement l’équipe première, Heredia s’est déjà imposé comme un élément incontournable de mon trio défensif.
Lukic domine, les arrière latéraux adverses s’inclinent.
Mon ailier serbe fait des étincelles, et avec une attaque comme la nôtre, porté par Rittenauer, Dolling, Zulic, et autres, le pelouse s’embrase très vite. Cependant, la finition pourrait être meilleure, et je ne compte plus les défaites évitables où mon équipe a sur-dominé.
ET AUSSI, cette saison aura vu mes deux pépites s’encastrer à merveille dans ma formation. Mention spéciale à Ferretti, qui avait décidément très envie de se faire remarquer à son poste…
Ça sent le wonderkid harcelé par le PSG cet été.
Petit changement tactique qui m’a permis de me sortir d’une mauvaise passe, mais qui n’empêche pas mes attaquants de taper dans une taupe quand il faut conclure. Ça part vraiment en couille sur le tableau noir Pour continuer à faire fonctionner ce genre de système, je vais devoir renforcer le poste d’ailier gauche, entre autres…
Circulez, y’a rien à voir. À part une très très grosse QUANTITÉ DE POGNON AHAHAHAH
Bon alors là en revanche, préparez les sacs à vomi.
Si Dosedel et Korinek étaient les éléments les plus emblématiques de la Zlata Generace tchèque vice-championne du Monde, et que Ferretti et Lukic appartiennent à une future Génération Dorée, eh bien cette année, mon centre de formation m’a sorti une Génération de Caca, dont les deux meilleurs joueurs sont eux.
Sinon c’est toujours Mayence qui a la meilleure école de notre groupe.
Plus qu’une fin de cycle, cette saison a surtout représenté une extinction : celle de l’étincelle de folie que Loozar Loozarowitz avait insufflé à la Bundesliga. Cette saison à la fois bancale et trop sage est à l’image d’une équipe à laquelle la concurrence est désormais habituée. Une nouvelle prise de risque est nécessaire pour faire revivre Hoffenheim.
Deux extrêmes se présentent face à moi : casser ma tirelire et refondre mon équipe pour relancer la machine à plein régime, ou tendre l’oreille et vérifier si le chant des sirènes ne cherche pas à m’attirer vers de plus beaux horizons.
On se revoit très bientôt pour un post récapitulatif des VINGT SAISONS (car oui, cela fait déjà 20 ans que ma carrière a débuté), alors à bientôt 
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OOOOOH BORDEL oui la prochaine fois que tu fais un GIMP il faut une PARODIE de LIS
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Barre toi de là 
!!!
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@Missille Ce ne sera pas facile et ça risque d’être HYPER long, mais ça peut se faire. En tout cas je ne manquerai pas de matériel pour faire mes montages au vu du nombre de gens qui cosplayent les personnages du jeu.
@Wasyl Bonne idée, faisons-le de suite !
Mes chers lecteurs, mes chères lecteuses, bonjour.
Après avoir connu moult péripéties à la tête d’Hoffenheim, il est temps pour moi d’aller explorer le Monde. Cette pige de 4 ans à la tête des Kraichgauer m’aura prouvé que je PEUX EFFECTIVEMENT maintenir à flots une équipe pendant un peu plus que deux saisons, mais qu’il est difficile de s’imposer parmi les cadors du championnat sans un renouvellement fréquent.
Bref, plutôt que de continuer à mettre tout mon cœur, mes tripes et mon pognon dans Hoffenheim, j’ai préféré céder aux chants des sirènes et sortir des frontières, pour rallier une nouvelle destination.
Et bordel, VOUS N’ALLEZ PAS ÊTRE DEÇU…
OH BONNE MERE
OH PEUCHÈRE
LOOZAR DEBARQUE À MARSEILLE
Ai-je vraiment besoin de présenter l’OM ?
Est-il VRAIMENT nécessaire que je vous parle de ce club à l’histoire délirante, qui dégage une aura absolument unique dans le paysage footballistique français ?
Non, bien sûr que non !
L’OM fait partie de ces équipes qui ont modelé le football français ; peu sont ceux qui peuvent se targuer d’avoir été un protagoniste aussi important et influent de notre pied-balle national. Les marseillais sont les acteurs majeurs d’un football hexagonal qui serait sacrément moins rigolo sans eux. Si l’histoire de notre Liguain est tissée de moments de gloire, de peine, de scandales et d’exploits…he bien l’OM ne tarit pas de ce genre de moments.
Et puisqu’on parle de grands moments, comment ne pas évoquer CECI :
Comme ça revient sur la table à chaque Classique qui se finit mal pour Marseille, je ne pouvais pas NE PAS en parler
Enfin bref, vous connaissez l’Ohème. Je ne suis pas particulièrement fan de cette équipe, mais je sais qu’elle énerve beaucoup de monde, et moi, j’aime énerver le monde.
Alors inaugurons, tous ensemble, un nouveau chapitre de ce RdP et de la grande biographie de Marseille. Que l’intersection de nos destins soit riche en étincelles, en fièvre et en frissons. Que cette alliance forgé par le Diable scelle un mariage fécond !
Enfin…
…pour tout vous dire…
…pour être totalement honnête…
…pour être franc…
…pour être livre sterling…
…l’OM, c’est plus ce que c’était !
Nan, vous ne rêvez pas : dans cet Univers alternatif et décidément plein de surprises, l’OM a connu une descente aux Enfers, au point de faire le yoyo avec la Ligue 2 pendant un temps Il n’y est, certes, pas resté très longtemps, mais ce passage à vide a laissé de profondes cicatrices dans le club phocéen.
Du coup, l’OM ne joue plus les premiers rôles en Ligue 1, et en cette saison 2035-2036, les Olympiens ont un statut de petite équipe fraîchement promue.
Et c’est à Loozar Loozarowitz qu’il incombe de ramener, DURABLEMENT, l’OM en Ligue 1.
C’est bon, vous avez fini de rire ?
Nan parce que c’est pas fini.
Je ne sais pas QUAND ça a eu lieu, mais dans ma partie, l’OM a été racheté. Et les nouveaux présidents sont…
…des israéliens !
EVIDEMMENT qu’ils allaient recruter Loozar Loozarowitz, premier israelo-luxembourgeois à finir vice-champion du Monde de football. Si j’étais un parano complotiste antisémite, j’aurais dit que ce sont eux qui ont détruit le club à distance pour pouvoir le racheter à bas prix et faire du biff sur le dos des honnêtes marseillais Y’a matière à faire une fanfic là
Même si, pour être honnête, en terme de biff, l’OM, c’est plus trop ça.
Mais du coup ça a du sens qu’ils aient recruté un type qui a rempli les coffres d’Hoffenheim. Merde, c’est que ma théorie tient la route, en plus 
En même temps, la raison pour laquelle l’OM ne roule plus sur l’or, elle devient évidente dés qu’on ouvre l’onglet de l’effectif.
Ça, c’est les joueurs inscrits dans l’équipe première. Pas la réserve, pas la U19, SEULEMENT la première Je pense qu’un bon coup de balai sera nécessaire pour accorder du répit aux finances du club. Et dans l’idéal, ça me permettra de me concentrer sur un noyau de joueurs à peu près taillés pour la Ligue 1, parmi lesquels ceux-là :
Pas une tâche aisée, mais le mercato n’a pas encore débuté, alors…j’ai de quoi faire.
Voilà, les présentations sont terminées, maintenant Marseille va s’attaquer à la Ligue 1, avec pour ambition de se maintenir. C’est très étrange de dire ça, mais croyez-moi, c’est encore plus bizarre d’y prendre part
Maintenant je m’attelle au post des 20 ans, que j’ai retardé parce qu’il contenait un spoil involontaire du fait que j’entraine désormais l’OM. À bientôt, et n’oubliez pas de flooder avec des mèmes de René et de Mohammed Henni, maintenant vous pouvez les amis 
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Tu as dû tellement suer des fesses quand les saoudiens voulaient racheter l’OM, ça aurait ruiné la vanne
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L’entraîneur U19 qui touche presque autant de thunes que toi 
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Ah !!! Enfin un moment intéressant que la prise de Marseille
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Ca y est on a bientôt rattrapé le retard
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@LindexV Oui je suis bien content que le rachat ait foiré pour le coup
@Mr-T Oui mais il y a une raison à ça ! C’est que je ne sais pas si le salaire de l’entraîneur à un impact sur les finances du club, du coup, dans le doute, je demande toujours le salaire le plus bas possible, pour économiser un peu de trésorerie (et bizarrement la borne inférieure des salaires varié énormément d’un club à un autre
)@luigimario12 Foreshadowing intéressant, puisque c’était effectivement une partie assez rigolote de ma carrière, un peu moins riche en loose mais un peu plus fun sur bien d’autres aspects
@Wasyl Exact ! Encore que, tu as au moins 3 saisons + tu-sais-qui entre deux, il reste quelque chose comme 8 épisodes avant d’avoir refait entièrement le retard
Salut bande de fragiles encore traumatisées par le générique de Grand Galop dont votre petite sœur ne loupait pas un épisode.
Aujourd’hui, cela fait 20 ans que ma sauvegarde a bifurqué du Monde réel pour générer sa propre ligne temporelle alternative, et obtenir une instance unique et toute neuve de ce que aurait pu être le paysage footballistique planétaire dans les années à venir.
Et comme le plus noble des sports de balle est particulièrement soumis à l’effet papillon et aux coups du sort, c’est toujours intéressant de voir ce que devient le football quand on l’isole dans un coin pendant quelques années.
Donc aujourd’hui, comme il y a 10 ans, on ouvre la boîte et on dresse le bilan de deux décennies de football virtuel.
Petit indicateur un peu moisi de l’évolution qu’à connu le Monde : la réputation et la richesse des clubs en 2035. Si les équipes les plus renommées de la planète sont toujours un peu les mêmes, la richesse des clubs, elle, a BEAUCOUP fluctué, au point que Lille et Monaco sont aujourd’hui plus riche que Paris, qui a visiblement fait beaucoup de conneries avec son portefeuille aromatisé aux pétrodollars.
Regardons les résultats en championnats. On commence avec l’Allemagne 
, où rien ne devrait vous surprendre étant donné qu’on en sort tout juste :
Après plusieurs décennies de domination sans partage, le Bayern tout-puissant se fait enfin transpercer par ses éternels poursuivants. Ce succès de Dortmund ne sonne probablement pas le glas de l’hégémonie bavaroise, mais au moins, il démontre que Munich n’est pas invincible.
De l’autre coté de la Manche 
, plusieurs équipes historiques se bagarrent pour remporter tour à tour la Premier League, parmi lesquelles les deux Manchester, Arsenal et Chelsea. Ce manège a duré jusqu’en 2035, où Southampton est venu se taper l’incruste. L’évolution du championnat anglais est intéressante, surtout quand on sait que Liverpool est descendu en D2…
Regardons maintenant l’Espagne 
.
Royal Madrid. Les deux équipes de la capitale ont quasiment relégué Barcelone au rang de 3e club du pays. Pas de grosse surprise en soi, mais si les Blaugrana continuent de s’effacer au profit du duo madrilène, il peut se passer des choses inattendues !
En Serie A 
, la Juve reste l’équipe à battre, mais son règne est souvent contesté par des trouble-fêtes avides de coups d’état, qui durent rarement plus d’une saison.
Scénario étrangement similaire en France 
, où Paris, bien que toujours prophète en son pays, voit son omnipotence de plus en plus remise en question par Lille. C’est pas demain la veille que le PSG tombera de son trône, mais maintenant que l’ingrédient Loozarowitz est ajouté au cocktail…il est possible que le Chaos s’invite dans ce bilan.
Et puisqu’on me le demande souvent, j’ai même relancé le jeu pour aller chercher le bilan de la Belgique 
:
Mais ça valait pas le coup
Faisons quelque pas en arrière et regardons maintenant les compétitions continentales.
La décennie 2025 - 2035 a vu Paris et Madrid s’affronter par Ligues des Champions interposées, pour le plus grand plaisir des parieurs qui n’avaient plus qu’à choisir entre deux équipes. Et dans ce duel un peu relou, c’est l’Espagne qui tire son épingle du jeu, avec 6 C1 soulevées.
Impressionnant, mais l’imprévisibilité de la C1 en a pâti.
La C3, en revanche, n’a rien perdu de son coté rigolo, avec des finales Lazio - Crystal Palace ou Everton - Rennes. Je vous laisse fouiller, on est surpris toutes les deux lignes.
Maintenant qu’on a fini de parler des clubs, intéressons-nous aux sélections nationales.
Ça commence par la Ligue des Nations.
L’Italie a eu, de 2023 à 2029, une Generazione D’Oro quasi-imprenable, qui a castré à plusieurs reprises l’Allemagne en finale. Les relations diplomatiques italo-allemandes en ont pris un coup…
En Championnat d’Europe, les ritals ont aussi laissé leur marque, et ENCORE en battant l’Allemagne en finale. Pas de grosse surprise, sinon un France - Portugal familier, en finale de l’Euro 2032…
Vagabondons un peu, désormais, en regardant la Coupe d’Afrique :
Beaucoup de couleurs différentes, mais celles de la Côte d’Ivoire reviennent plus souvent que les autres.
Copa América :
C’est le bordel. Le Brésil redevient roi, mais la Colombie reste à portée de main des Auriverdes, pour leur mettre une quenelle une fois de temps en temps…
Coupe d’Asie, sur laquelle j’ai rien à dire car je m’y connais autant en football asiatique que Nabilla en mécanique des fluides.
Ou Stéphane Guy en football
Ou Ary Abittan en humour
Ou Raymond Domenech en autorité
Ou Daniel Cohn-Bendit en protection de l’enfance
Une Coupe d’Océanie aussi surprenante que les progressions d’accord de Blink-182. Mais ce roast est beaucoup trop obscur pour que ne serait-ce qu’un seul de mes lecteurs ne sache à quoi fait référence cet autiste de Loozar.
Honduras, Jamaïque, deux finales de Trinité & Tobago…la Gold Cup n’est peut-être pas la compét’ la plus prestigieuse du Monde, mais elle offre son lot de surprises.
Finissons avec le Trophée Roi, la seule, l’unique, la Coupe du Monde :
La Génération Dorée italienne s’est offert une nouvelle étoile, et ENCORE aux dépends de l’Allemagne ! À ce niveau, c’est du comique de répétition.
Sinon, la Croatie refait une apparition en finale, et la République Tchèque aussi…ils devaient vraiment avoir un bon entraineur cette année-là
On termine avec le Ballon d’Or, parce que pourquoi pas :
Tendance assez curieuse : chaque demi-décennie a eu son Dieu intouchable, et il n’est pas rare de voir un seul joueur s’octroyer plusieurs titres d’affilée. Ce rôle fut tour à tour incarné par Messi, Hazard, le germano-brésilien Fabinho Paulista (champion du Monde avec l’Allemagne en 2022), puis l’espagnol Pedro Arévalo (champion du Monde 2034).
AUTRE fait étonnant : l’Italie, malgré sa génération dorée, qui pèse plus lourd en argenterie que n’importe quelle ancienne version de la Squadra Azzura, n’a pas placé le moindre de ses joueurs sur le podium du Ballon d’Or
Voilà, ce bilan est terminé. Maintenant je retourne faire joujou avec l’OM, j’ai plein de trucs à faire et plein de contrats à ne pas renouveler, à bientôt
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Je sais que c’est incroyable, mais je fais partie de ces gens là.
Je vois surtout que Messi a définitivement pris l’ascendant sur CR7, avec les Copa America et la Coupe du Monde 
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Pour moi c’est « fun » de voir Lokeren 2ème du championnat en 2028 alors qu’IRL ils ont fait faillite cette année 
On va bientôt avoir droit au retour de Coulibay et cie ici 
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@LindexV Techniquement CR7 a aussi l’Euro 2016 dans ma save, mais en ayant battu l’Italie et non la France
@Wasyl Coulibaly, Lesueur…mais je ne veux pas en dévoiler trop, on les découvrira en temps réel
Oui je garde cette bannière pleine de clichés sur Marseille
Salut bande de crevards qui donnent de l’argent aux meufs sur OnlyFans
Après avoir caracolé aux quatre coins de la planète, Loozar Loozarowitz pose un nouveau jalon de sa folle carrière en France. Pour le prochain chapitre de ma vie d’entraîneur, je décide de ne pas diminuer la dose de FUN à administrer, puisque je prends en main le seul, le grand, l’unique, l’inénarrable Olympique de Marseille.
Sauf que l’OM, de par ses multiples bourdes, ses déboires financiers et ses quelques relégations en Ligue 2, a des allures de volcan endormi depuis quelques années. C’est au Sorcier Loozarowitz qu’il incombe de faire bouillonner le magma qui repose au fond de ce club pour déclencher une bonne grosse éré euh éruption.
Pour faire court : Ligue 1, NOUS VOILÀ !
Étant né en 1996, j’ai grandi à une époque où tous les gamins de la Voie Lactée de la campagne normande n’avaient d’yeux que pour l’Ohème ; prendre en main ce club a donc une portée toute symbolique pour moi, puisque ça me ramène carrément à une partie de mon enfance, bien longtemps avant que je ne perde mon innocence devant les clips de reggaeton de MTV.
Et puis je regarde les pronos, et l’image que j’avais de l’OM, pourtant embellie par la nostalgie, en prend un coup.
Dans ce Univers parallèle où le Havre est en Ligue 1 (et y’en a qui disent que FM est réaliste ), Marseille fait figure d’équipe fade, à peine bonne à poser son gros cul en milieu de tableau et à rester coincé là de septembre à mai. Ce Marseille-là ne fait plus franchement rêver, et les cicatrices de la récente descente aux Enfers du club sont encore visibles.
Pourtant, les exigences de dirigeants sont…relativement élevées 
Première moitié de tableau, quart de finaliste dans toutes les coupes… L’année de ma prise de fonction ne sera pas celle de l’indulgence.
Cela dit, il peut y avoir un beau coup à jouer, étant donné que la France est, depuis peu, la 3e nation au coefficient UEFA.
Ça vend du rêve, hein ?
Allez, on regarde les résultats.
7 victoires, 7 nuls et 6 défaites : voilà le bilan pour mon arrivée à l’Olympique de Marseille. Alors okay, c’est pas digne d’un prétendant au titre, mais :
de 1 - on n’est pas prétendant au titre de toute façon
et de 2 - on n’a pas perdu contre le PéHessGé, et rien que ça, ça fait que notre saison est réussie
Okay beh c’est pas mal en fait. Le milieu de tableau est incroyablement serré, mais dans cette lutte à la chance, c’est l’OM qui, pour l’instant, tire les bonnes cartes.
Je pense que personne ne sera surpris de voir Monaco s’adjuger le titre dans six mois, ou voir le HAC descendre en D2. Le pauvre club doyen, si seulement ils avaient eu un entraineur à la hauteur, une entraineur capable de faire mieux que les attentes, de préférence avec un nom à consonance sémite
Allez, parlons de la Coupe de la Ligue maintenant.
J’offre du temps de jeu à mes remplaçants, et apparemment, ils n’ont pas envie que ça s’arrête. L’aventure continue.
Bon en revanche je ne vais pouvoir vous parler de la Coupe de France, puisque, au Nouvel An, je ne suis toujours pas entré dans la compétition. Mais ça ne va pas tarder, puisque mon premier match au retour des vacances d’hiver sera, justement, un 9e tour de Coupe Nationale contre Ajaccio.
Et pour ceux qui douteraient encore de mes compétences d’entraîneur, sachez que mes performances à la tête de Marseille ont été tellement bonnes que même Ribéry m’a fait part de son approbation.
Noraj.
À peine arrivé, je faisais déjà des gros coups sur le marché des transferts. Enfin…des gros coups à dix millions, quoi :
Et moi, yé soui oune homme simple, y’adore lé gros cou
La vente de Compper à Monaco a été vue comme un mauvais deal de la part de mes dirigeants, quand bien même j’en aurais tiré le double de sa valeur marchande. Dans la foulée, je recrute donc un ailier au moins aussi bon, bien qu’un peu vieux : Kilian Celerier.
Est-ce que mon premier transfert coup-de-bélier a payé ?
Ouais c’est pas si mal.
Mon buteur star Alan Rivière reçoit l’étiquette de meilleur phocéen du semestre. À ses cotés, Backer Saibou contrôle le milieu de terrain avec la coopération de Celerier et Borg, Foulon tient à peu près bien sa défense, et d’une manière générale, les performances de mes joueurs sont correctes bien qu’inégales.
Et heureusement que ça tient à peu près la route, parce que BORDEL, c’était pas facile de trouver une tactique qui tire le meilleur de cet effectif.
Rien qu’en regardant le screen je sens mon autisme empirer
Alors, Marseille, ça roule sur l’or ?
LOL et pis quoi encore
Non, l’OM n’est pas dans une forme étincelante d’un point de vue financier. Au mieux, notre équipe a une économie à peu près stable. Mais n’empêche qu’après 4 ans de plénitude en Allemagne, ça m’a fait tout drôle de revoir ce genre de screen :
Pourtant ce n’est pas l’afflux d’argent qui manque, puisque, malgré la dégringolade de l’OM en terme de réputation, le club phocéen reste une équipe très populaire :
Et puis la renommée grandissante de la Ligue 1 nous assure des droits TV quand même pas dégueulasses :
Donc ouais, mon club a des rentrées d’argent plus que satisfaisantes, mais avec tous ces joueurs qui gambergent hors de la feuille de match, nos dépenses sont au niveau de notre chiffre d’affaire.
Début de saison acceptable pour Marseille ; le changement de commandant de bord s’est plutôt bien passé, même si rien de sensationnel n’est à signaler. L’Europe me parait un objectif peu réaliste, mais malgré tout, nos résultats sont raccords avec nos objectifs.
On se retrouve dans quelques temps pour la suite de ce récit, à bientôt
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