Il y a 260 ans, le Fort William était un fort anglais situé au sud du lac George dans la province de New York. Le fort fut construit par William Johnson en septembre 1755, pendant la Guerre de Sept Ans, pour se protéger des assauts des Français de Fort Carillon et de Fort Saint-Frédéric.
Le fort faisait partie d’un ensemble de forts britanniques et français le long de l’Hudson et du lac Champlain de New York à Montréal. Ces forts formaient la frontière entre l’état de New York et la Nouvelle-France. Il fut baptisé en l’honneur du Prince William Augustus, duc de Cumberland et fils du roi George II, et du Prince William Henry, 1er duc de Gloucester et Édimbourg, petit-fils de George II et jeune frère du futur roi George III.
Les forces militaires du Général Louis-Joseph de Montcalm arrivèrent le 3 août 1757 et établirent des camps au sud et au nord du fort. Après d’intenses bombardements et opérations de siège, ses troupes se rapprochèrent du fort. Le régiment anglais se rendit lorsqu’il fut évident que le général anglais Daniel Webb, commandant du Fort Edward, n’enverrait plus de renforts. Les forces françaises étaient de 8 000 hommes, comprenant 3 000 soldats français, 3 000 miliciens canadiens et 2 000 Amérindiens. Après le siège de 1757, les Français et Canadiens détruisirent le fort et se retirèrent à Fort Carillon.
C’est leur histoire de ces hommes emmenés loin de leur patrie et de leur famille, combattre pour une cause dont ils ne comprenaient rien.
Mais ce n’est pas celle que nous allons vous raconter.
Car Fort William existe toujours dans les highlands, Au nord de l’Ecosse. C’est une petite ville de 10 000 habitants dans l’ancien comté d Iverness.
La région où a été implantée la ville était une terre du Clan Cameron, où existait le village d’Inverlochy. La ville s’est construite progressivement autour du fort construit lorsque Oliver Cromwell a lancé l’invasion de l’Écosse puis lors de tentatives d’éradiquer les révoltes Jacobites au XVIIIe siècle. Il tire son nom de celui du Roi William (traduction anglaise de « Guillaume »), qui l’a agrandi lors de la Glorieuse Révolution britannique.
La ville fut nommée Fort William en référence à Guillaume d’Orange (Guillaume se traduisant William en anglais), qui fut roi d’Écosse au XVIIe siècle de par son mariage avec Marie II d’Angleterre. La ville fut d’ailleurs, à la base, nommée Maryburgh d’après cette dernière, puis Gordonsburgh, ensuite Duncansburgh avant d’être définitivement nommée Fort William.
Mais une fois de plus ce n’est pas l’histoire que nous allons vous raconter.
Fort William, en plein milieu des Highlands. Dans le vent la pluie et le froid. Il y a longtemps, de rudes tribus ont appris à se battre pour survivre dans un environnement inhospitalier.Peut-être est-ce pour se réchauffer que le whisky à été inventé ici en Écosse. En tout cas ces tribus ont résistées.
Cette histoire, c’est la leur, mais ce n’est toujours pas celle que nous allons vous raconter.
Enfant du pays, John Scotch, réputé pour avoir la folie des grandeur, a décidé de prendre en main le club de sa vie afin de le faire gravir les échelons. Le FC Fort William. Le président, John Balantine (nom prédestiné), bien que sceptique,à décidé de nommer John Scotch entraineur, n’ayant personne d’autre sous la main…
Bonjour à tous, je suis John Scotch, j’ai 36 ans, j’ai été un bon joueur de Fort William et j’en ai marre de voir végéter mon club aux dernières places toutes les années.J’ai donc décidé de proposer mes services à Monsieur Balantine afin que l’on fasse de notre club un grand club.
Je vais d’abord m’attacher à appeler quelques relations que j’ai connu en tant que joueurs afin de former mon staff qui est quasi inexistant. L’effectif aussi est peu nombreux seulement 16 joueurs dont un gardien de 52 ans aussi mauvais joueur que préparateur. Mais c’est le seul au club actuellement.