@Gil-Galad51 : C’est bien parti pour la montée, en effet. Le match de CDF à Montpellier risque d’être une autre paire de manche par contre ! Pour répondre à ton PS 2, oui j’ai joué au Stade jusqu’en U17 nationaux. Bon, j’ai pas fait long feu hein
@Wasyl : Rasic, pas Rakic C’est vrai que McGrath n’était pas destiné à sortir du lot, mais il totalise près de 1000 buts au final Le gardien dont tu parles est Bradley McArdle. Je ne répondrai pas à la suite
@BlackRabbit85 :
C’est à la fin du bal qu’on entrevoit la Ligue 1
Oui, je sais, ce titre contient un jeu de mots douteux, ce qui laisse à penser que l’ensemble de l’introduction qui s’annonce pourrait être de la même nature. Et bien vous savez quoi ? C’est vrai. Une fois n’est pas coutume, voici une intro pourrie. Hein ? Que ? Quoi ? Elles le sont toutes ? Maudits lecteurs, jaloux de mes talents. Cela étant, le Stade de Reims de McLaughlin était bien parti pour rejoindre la Ligue 1 : il ne restait que 13 matchs à jouer, tandis qu’un match de Coupe de France à Montpellier nous attendait.
Et d’ailleurs, on commence par la Coupe de France. Alors, exploit, pas exploit ? Pour info, le MHSC était alors 18e de Ligue 1, ce qui nous laissait croire en nos chances.
Au terme d’un match partagé,
notre aventure s’arrête ici. Nous avions pourtant bien réagi après l’ouverture du score adverse, mais nos attaquants ont manqué de justesse dans la finition. Dommage.
Leader à 12 journées de la fin, nous n’avions pas le droit de nous écrouler.
Force est de constater que
cette dernière partie de saison fut compliquée à négocier. Certes, nous gagnions nos 3 premiers matchs. Soit autant de victoires que sur les 9 suivants
. Le Stade de Reims
sombre à Auxerre et termine la saison en dent de scie.
Est-ce dû à l’accumulation des matchs et à la rotation limitée au sein de l’effectif ? Sommes-nous subitement devenus nuls à l’extérieur ? Cela présage-t-il de notre saison future ? Autant de questions inquiétantes qui, pour certaines, attendent toujours une réponse. La fatigue a certainement joué dans notre mauvaise forme finale.
Nous terminons malgré tout largement champion ! C’est peut-être d’ailleurs l’explication majeure de notre fin de saison en roue libre. Une saison aboutie qui nous voit donc remporter le
1er titre de l’ère McLaughlin, le 1er du longue série, espérons-le. Au prix d’une lutte acharnée avec
Lorient,
Le Havre nous accompagne à l’étage supérieur.
Sochaux, ultime barragiste de Ligue 2, aurait également pu être de la fête, mais l’équipe s’est inclinée face à
Strasbourg.
En bas,
Paris et
Niort sont relégués tandis que
Tours a eu très chaud.
Stats équipes
Stats joueurs
Une bien belle saison au final. La seule déception concerne l’affluence. Bon, on est pas au niveau de Pegasus de @Missille, mais quand même
Justement, jetons un oeil aux
principaux artisans de cette montée : les joueurs.
Gardiens
Le pauvre
Poussin n’aura eu qu’un match de Coupe à se mettre sous la dent.
Mendy a fait le job, très costaud, je compte sur lui pour l’an prochain.
Défenseurs
Ici aussi les notes sont valorisantes.
Jeanvier a été le véritable
patron de cette défense alors que j’attendais un peu plus de son compère
Abdelhamid.
Métanire fut satisfaisant quoiqu’inconstant dans son couloir droit. À gauche,
Koné a tenu la baraque défensivement tout en apportant énormément sur le plan offensif. Son association avec Diego fut géniale.
Quel dommage qu’il ne soit pas français !
Milieux
Belle saison de mon trio
Da Cruz - Devaux - Chavalerin. Bon, ça reste
un peu faible pour la Ligue 1, car seul le dernier cité a peut-être le niveau. Surtout, quantitativement, c’est trop juste.
Ndom a été très bon lors de son passage en prêt au Tours FC. Il a participé au maintien de justesse du club dans l’antichambre de l’élite.
Attaquants
Les stats montrent clairement sur qui je compte et sur qui je ne compte pas. Aucun problème sur les ailes :
Diego, et surtout
Chavarría, auteur d’une magnifique saison, n’en déplaise à
@Wasyl, se sont montrés en grande forme.
Berthier et
Oudin, malgré un temps de jeu plus réduit, ont su se montrer décisifs. Le second pourrait bien postuler à un place dans le 11 de départ dans quelques saisons.
Siebatcheu a su me convaincre qu’il pouvait être un excellent buteur. Impérial de la tête, bon techniquement, il doit encore progresser dans la finition pour devenir un renard des surfaces. Signe de son excellente forme, il a honoré sa première sélection avec les États-Unis.
Au rang des déceptions, Kyei ne s’est jamais montré très convaincant, et Kamara s’est retrouvé barré par la concurrence. Pas de commentaire sur le cas Martin.
Certains leaders commencent à émerger.
Martin aura au moins eu le mérite de faire vendre des maillots. Je fais comme @Loozar, je me console comme je peux en me mouchant dans des billets de 100$ (mais sans meufs à poil, ça évite le ban )
On finit l’année largement dans le positif. À défaut d’avoir été racheté par des riches,
nos finances sont saines.
Intéressons nous d’abord aux récompenses individuelles décernées en Ligue 2.
Nos joueurs s’accaparent de nombreuses récompenses, et c’est plutôt logique.
Voyons désormais ce qu’il s’est passé en France.
Monaco remporte donc un 2e titre consécutif en ayant surclassé le PSG tout au long de la saison. On notera la surprenante 6e place du club amateur de Bordeaux, dans la Gironde
En bas, je suis heureux de voir le LOSC de Biel… Ah bah non, il s’est fait viré aussi, tellement qu’il est bon
En tout cas, Lille descend avec Montpellier, nos bourreaux de la Coupe de France.
Coupe de France justement remportée par…Monaco.
Qui réalise d’ailleurs un joli triplé. À noter qu’Emery a su résister à cette saison blanche sur le plan national. Peut-être car le PSG a su remporter la C1 ?
Ah bah non, Paris s’est arrêté… en 8e !
Pour les autres compétitions, c’est ici que ça se passe
Europa League
Premier League
Bundesliga
Liga
Série A
Cette première saison de Kyle McLaughlin à la tête du Stade de Reims fut couronnée de succès. Cependant, un grand défi attend l’entraineur nord-irlandais : la Ligue 1 se profile, et les choses, assurément, ne seront pas aussi faciles. Toutefois, le club, auréolé de son premier titre de 2e division, peut partir en vacances l’esprit tranquille : McLaughlin n’a jamais connu la descente. Et, si l’adage confie que toutes les premières fois demeurent à jamais mémorables, puisse celle-ci ne jamais avoir lieu. À bientôt.