:storyred: :s34: Escapade chez les Soviets, BILAN FINAL

C’est dommage qu’il soit sans ambition Kuznetsov parce qu’il est vraiment pas mal. Moyen partout mais beaucoup de note proche de 10. Je pense qu’il pourrait rapidement être intéressant.

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Dommage pour l’Europe mais belle première saison au final en Russie. Mais le plus c’est de confirmer, donc on appréciera si tu progresses l’an prochain.

En attendant maintenant on a des camgirls nées en 2004 qui vont arriver l’an prochain :sac:

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Tula bien négocié la deuxième partie de saison.

Tula enfin compris que quand ta défense était moisie, fallait la renforcer un peu :grin:

L’église catholique aime ça :ok_hand:

Ou pas finalement. :-1:

Ah ben si en fait !

Oh My God Wow GIF by MOODMAN

En vrai, c’est une belle saison, avec une victoire sur le champion en plus !

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Pas mal du tout ce petit :heart_eyes: Son manque d’ambition n’est peut-être pas si embêtant que ça. Il te cassera moins les pieds pour partir dans un club plus huppé :smiley:

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J’aime le cringe chez toi! Donc vas-y sur le post! Fonce et ne te pose pas de questions !

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@kevos Exact, et si on continue sur ce rythme, l’Europe n’est qu’à un pas |
@Capitaine_Hastings FaceApp ! Disponible sur Android et Iphone. Avec des filtres pour l’expression facile, l’âge, la coupe de cheveux, la maquillage, etc. Attention : cette appli vient d’une entreprise russe qui a une politique de confidentialité moyenne, donc à n’utiliser que des photos que tu n’aurais aucun problème à montrer en public :sac:
@Tilo82 Je n’avais pas envisagé cette possibilité, mais c’est vrai que ça peut arriver :damned: (Surtout en Russie :kappa:). Restons à l’affut, on ne sais jamais :smiley:
@morlaye C’est vrai, pas un joueur atroce dans l’absolu, mais il faut voir comment il évoluera :thinking:
@Missille En effet, à ce niveau, confirmer nécessite un renouvellement constant. Surtout que mes victoires sur le CSKA étaient un poil chanceuses, ça va être difficile de choper ces points-là plusieurs fois de suite sans gros recrutement
+ Bordel c’est vrai, dans quelques mois on va voir des filles faire des tas de conchoncetés devant leur webcam, et elles seront littéralement moins vieilles que la victoire de la Grèce à l’Euro Ralentis, temps
@WarsawBucher Bordel :hoho: Tula aimé mon choix de club, hein :sac:
@Wasyl Faut voir le bon coté des choses, en effet :hoho: Et puis d’ici là, nous serons un club à la hauteur des ambitions de n’importe qui, même les starlettes :sunglasses:
@BlackRabbit85 Voilà une mentalité que j’aime bien, là est tout l’art du cringe : ne pas se poser de question et foncer :muscle: J’ai tout appris de Maitre FoutreHumide, le roi du cringe absolu


Bonjour à tous !

Le post que vous vous apprêtez à lire est un épisode hors-série de Escapade chez les Soviets. Si mes gaudrioles russes sont la seule raison de votre présence ici (ou si vous n’avez pas le temps de lire cette TARTINE des ENFERS), vous pouvez skip ce post, vous ne manquerez rien. En revanche, si vous aimez les merveilles et les bizarreries de la RNG de FM, et que vous n’êtes pas contre une expérimentation rédactionnelle by Loozar, alors ce qui suit pourrait vous plaire.

Au cours de ce récit, j’ai parfois évoqué un attaquant roumain de Manchester City nommé Alin Olariu. Grosso modo, je pense qu’on a compris que c’est le meilleur joueur du Monde dans ma partie. Sauf que Olariu ce n’est pas que « le meilleur parce que statistiquement il y en a forcément un », c’est un authentique MONSTRE qui a empilé les records et les trophées comme peu avant lui :poggers:

L’épisode d’aujourd’hui, écrit à la manière d’un article SoFoot, d’un « Explore » de l’Equipe ou d’une des nombreuses vidéos d’EmpLemon sur NASCAR (si vous parlez anglais foncez, vous savez pas ce que vous ratez), est un hommage à Alin Olariu, comme s’il existait vraiment. Accessoirement, c’est un exercice d’écriture qui me faisait envie depuis un moment. Et puis, on sait jamais…si l’expérience aboutit à quelque chose d’agréable à lire, je recommencerai peut-être avec d’autres regens légendaires de ma save :smiley:


"Yes, I am really looking forward to the next World Cup. When I look back, I realize that I have accomplished everything I wanted to accomplish. I’m exactly where I want to be. So now I want to let go, have fun, and give everything for Romania. I’m going to do everything to finish on a high note." - Alin Olariu, 17 avril 2038

« Oui, j’ai hâte d’être à la prochaine Coupe du Monde. Quand je regarde en arrière, je réalise que j’ai accompli tout ce que je voulais accomplir. Je suis exactement là où je veux être. Alors maintenant, je vais me lâcher, m’amuser, et tout donner pour la Roumanie. Je vais tout faire pour finir sur une bonne note. »

Si vous avez ouvert Twitter récemment, il y a de fortes chances pour que vous ayez déjà lu ou entendu cet extrait d’interview. Ces mots, prononcés dans un anglais teinté d’un accent est-européen, proviennent d’Alin Olariu, légende vivante de Manchester City, quelques minutes après la victoire des Citizens sur Southampton (1-0) ; parce qu’elle sous-entend que le septuple Ballon d’Or envisage de raccrocher les crampons, la déclaration n’est, évidemment, pas passée inaperçue.

Seulement voilà : avec Olariu, rien n’est évident. Tout au long de sa carrière, l’attaquant a entretenu une image de joueur surprenant, inventif, difficile à lire ; cette image a débordé en dehors des terrains, où Olariu est perçu comme un homme discret, mais qui a toujours quelque chose d’audacieux à l’esprit. Une aura unique, qui va de pair avec son statut de joueur légendaire, faisant partie des meilleurs n°9 de l’Histoire. Pour faire court, les intentions d’Olariu sont toujours bien dissimulées, et c’est une de ses plus grandes qualités. Mais alors, quid de l’annonce de sa retraite ? Il devient difficile de savoir si c’est un coup médiatique pour attirer l’attention et faire monter la hype, ou un vrai aveu lâché à demi-mot.

À 33 ans, Olariu reste un personnage insaisissable, que sa relative discrétion a rendu encore plus difficile à décrire. Même l’énumération de son pantagruélique palmarès ne dépeindrait pas un portrait fidèle de la légende du foot roumain ; pour comprendre le fil rouge qui a guidé Alin Olariu à devenir l’un des plus grands, il va falloir retourner au commencement…

Alin Olariu nait le 9 février 2005 à Gura Șuții, à 50 km de Bucarest. Deuxième enfant (et seul garçon) d’une fratrie de quatre, il grandit dans une famille stable, aisée, mais peu passionnée par le football. Qu’à cela ne tienne : ce sont les camarades de classe d’Alin qui l’initieront au beautiful game dans la cour de l’école. Une simple passion sans perspective d’avenir, comme il le confirmera plus tard en interview :

"J’ai très peu de souvenirs de Gura Șuții. J’avais ma bande de copains, on jouait au football, mais nous n’étions pas particulièrement bons. C’était juste un jeu." - Alin Olariu, 2031

À 10 ans, branle-bas de combat : la famille Olariu déménage en Italie, près de Milan. Déraciné, ne parlant que très peu italien, et parfois moqué pour ses origines, Alin peine à s’intégrer dans son nouvel environnement. Cependant, le garçon remarque très vite que le football est une passion prédominante en Italie, et réalise qu’il pourrait en faire son vecteur d’intégration. Un peu à contre-coeur, il s’inscrit dans un club local, où il sera placé à la pointe de l’attaque.

"Je m’étais lassé du football. Avec le déménagement, j’avais autre chose à penser. Mais j’ai vu que les italiens y étaient très attachés, y compris les gars qui se moquaient de moi à l’école. Alors, je me suis dit que, si je devenais bon avec un ballon, j’allais avoir leur admiration. Ils allaient me prendre dans leur équipe à la récréation, me complimenter sur mes dribbles, ne plus m’appeler « le rom », ce genre de chose. Ma vie allait être plus facile. Ma mère m’encourageait à le faire, elle pensait qu’un gamin qui grandissait dans la solitude ne pouvait pas devenir un adulte heureux." - Alin Olariu dans le Guardian, le jour de son arrivée à Manchester, 13 juillet 2026.

Bien décidé à attirer l’attention pour de bonnes raisons, Alin travaille d’arrache-pied, et se découvre une habileté naturelle qui lui permet de réaliser des progrès fulgurants. Ne maîtrisant pas encore l’italien, il parle le moins possible ; une habitude qu’il gardera pendant des années. Ses lacunes en communication et son physique encore frêle seront compensés par sa vitesse d’exécution et son intelligence de jeu. Si ses résultats scolaires pâtissent de la barrière de la langue, ses prouesses balle au pied le font sortir du lot, et lui offrent d’excellentes opportunités.

À 13 ans, Alin Olariu se fait remarquer dans plusieurs tournois de jeunes. Sachant son talent apprécié, il prend goût au dépassement de soi, et s’impose un rythme digne des professionnels. Plusieurs écoles de football de Lombardie, conscientes que ce garçon n’appartient pas au commun des mortels, contactent ses parents ; parmi elles, la prestigieuse fabrique à talents de l’AC Milan. Sans hésiter une seconde, Olariu accepte la proposition des Rossoneri, et intègre le Milanello (qui, par chance, se situait à une demi-heure de route de chez lui). Un ancien formateur de l’AC Milan, italo-roumain comme Alin Olariu, dira à son sujet :

"C’est un peu bizarre dit de cette manière, mais Alin est accroc au prestige. Il ne bosse pas pour le plaisir de jouer ou pour gagner sa vie, il bosse parce qu’il veut que son nom soit sacralisé, aux cotés de légendes comme Pelé ou Maradona. Mais hors de question qu’il se vante de son succès, il veut que ça saute aux yeux du Monde entier sans qu’il ait à dire un mot. Quand on y réfléchit, c’est encore plus prétentieux. Mais il avait le potentiel pour." - Cristian Stoica, 2024

À Milan, Alin Olariu impressionne tous les formateurs par sa détermination et ses progrès rapides. Intégré à la U20 du club, sa réussite devant le but a un impact immédiat. Homme à tout faire pouvant jouer à la pointe de l’attaque, en pivot, en faux 9, ou sur l’aile en tant qu’attaquant intérieur, il devient un élément crucial de l’offensive milanaise, et sera même appelé avec la Roumanie Espoirs à quelques reprises.

En 2022, à 17 ans, il est remarqué par Pep Guardiola. Le coach catalan, à la tête des Rossoneri depuis un an, est à la recherche d’un nouveau buteur pour l’équipe première, et estime qu’Olariu est suffisamment mature pour endosser ce rôle, qui le place dans son Onze de départ. La décision est accueillie avec scepticisme par les journalistes, mais en interne, personne ne contredit ce choix…

"Quand un joueur se trouve dans une situation particulière balle au pied, c’est comme si on lui posait une question. Un bon footballeur doit trouver une réponse simple et efficace, rapidement. Alin, lui, était capable de changer la question." - Pep Guardiola, octobre 2025

Très vite, Olariu se distingue par son élégance et son sens de l’anticipation ; toujours bien placé, ses capacités techniques et sa vision lui permettent de modeler les occasions à sa guise, une qualité précieuse et rare pour un attaquant pas encore majeur. Sur la saison 2022-2023, sa première en pro, Olariu inscrit 16 buts en 28 rencontres. Devenu incontournable, il est appelé par Miral Radoi dés novembre 2022 (toujours à 17 ans !), pour disputer sa première rencontre internationale avec la Roumanie. À la fin des qualifications pour l’Euro 2024 (dont la Roumanie sort qualifiée), Olariu avait déjà inscrit 7 des 23 buts de son pays.

Tout va très vite pour Alin. À l’époque, les médias roumains envisageaient la possibilité que le jeune joueur batte les records établis par Gheorghe Hagi. La légende roumaine des années 90 s’était mêlée au débat, en gardant néanmoins quelques réserves (possiblement car Iannis Hagi, son fils, jouait aux cotés d’Olariu en sélection) :

"Si toute sa carrière est à l’image de cette saison, bien sûr qu’il me battra. C’est un excellent jeune, il a des qualités rares et un profil unique pour un joueur de 18 ans. Mais attention, il ne doit pas prendre tout ça pour acquis. D’autres joueurs avaient son talent et n’ont jamais confirmé. Si Alin m’entend, il saura de quoi je parle." - Gheorghe Hagi, 2023

Dans les années qui suivent, une relation symbiotique se développera entre Olariu et Guardiola. S’ils ne remportent aucun titre avec Milan sur la période 2023-2026, la lente montée en puissance d’Olariu se traduira par des statistiques de plus en plus folles : 20 buts en 2023-2024, 26 en 2024-2025, 27 en 2025-2026 (avec 15 mentions d’Homme du Match) ! Le Monde du football découvre la pépite venue de Roumanie. En parallèle de cette évolution, Alin Olariu remporte trois fois le titre de meilleur U21 du Monde (2023, 2024, 2026). C’est également à cette période qu’il rencontrera Giovanna Crippa, qui est, encore aujourd’hui, sa compagne.

Mais les performances avec Milan peine à trouver un équivalent en sélection nationale. L’Euro 2024 des Tricolorii est complètement raté (éliminé en poules avec un seul point) et la campagne de LDN de la même année ne sera guère plus belle (3 points pris en 6 matchs ; seul le Danemark fera pire). Il faudra attendre le Mondial 2026 pour voir la Roumanie étinceler : les roumains sortent d’un groupe comprenant le Sénégal et le Brésil, battent la Serbie en 16e de finale, et sont éliminés par l’Espagne en 8e sur un score de 1-0, sans être ridicules. Olariu aura inscrit 3 buts sur la compétition.

On arrive en 2026, et alors que le mercato estival vient à peine de commencer, une surprise va secouer le Monde du football. Carlo Ancelotti, entraineur de Manchester City, annonce que les Skyblues ont trouvé un accord avec Milan. Pour 117 millions d’Euros, Alin Olariu rallie l’Angleterre et devient un Citizen. Ce transfert (un record pour un joueur roumain) est un évènement, et l’arrivée d’Olariu sollicite une attention médiatique folle.

En 2026-2027, pour inaugurer son arrivée en Angleterre, Olariu se laisse pousser les cheveux. Un visuel un peu kitsch et définitivement ancré dans les cauchemars des défenseurs de Premier League. Car, pour sa première saison à Manchester, profitant du fait qu’il est inconnu des arrière-gardes anglaises, Olariu réalise son année la plus prolifique : 30 buts en 30 matches, 13 passes décisives, et un titre de champion d’Angleterre. Une saison historique immortalisée par la reconnaissance individuelle ultime : un premier Ballon d’Or, reçu en décembre 2026.

À la fin de cette saison bénie, Olariu se coupe les cheveux, Ancelotti se retire, et Mauricio Pochettino prend en main City. Sans le savoir, l’arrivée du Poch’ à City allait donner naissance au narrative le plus fascinant de ces dernières années…

En 2027-2028, Manchester City soulève la Ligue des Champions, en battant Tottenham 1-0. L’unique but de la finale est signé Olariu, et le fait rentrer dans l’Histoire, en lui offrant son 2e Ballon d’Or quelques mois plus tard. Pourtant, un concurrent va remettre en cause l’hégémonie mancunienne : Chelsea, vainqueur de la Premier League cette année-là. Le club londonien aura notamment bénéficié de l’apport de SON propre prodige : Martin Alderton, 21 buts en 30 rencontres. Les médias, voyant ici les débuts d’un duel à la Messi-Ronaldo, s’empressent de monter de toute pièce une rivalité entre le roumain et l’anglais.


Alderton en 2027

La saison 2028-2029 verra Olariu monter sur le toit du Monde à 24 ans : vainqueur de la Premier League, encore vainqueur de la Ligue des Champions (en battant Chelsea en finale !), un troisième Ballon d’Or, 22 buts en 31 matches…Alin n’a plus rien à prouver. Rebelotte en 2029-2030, malgré un mauvais départ : blessé pour 2 mois, Olariu assiste impuissant au reversement de Manchester City en Europa League. Vexé, il porte son équipe jusqu’au bout de la compétition, et soulève la C3 en marquant un doublé en finale. Une nouvelle fois champion d’Angleterre, une quatrième fois Ballon d’Or (nomination qui fut néanmoins controversée), Olariu est maintenant le roi incontesté du championnat anglais.

Sa domination va pourtant laisser entrevoir ses premières fissures à partir de juin 2030. Et la menace ne viendra pas d’Alderton…

En Roumanie, l’apport d’Olariu est de plus en plus nuancé, car les performances des Tricolorii ne sont pas à la hauteurs des attentes. À l’Euro 2028, la Roumanie finira dernière de son groupe avec 0 point ; le sélectionneur Miral Radoi démissionne, et est remplacé par Edi Iordanescu. Ce changement n’a aucun effet : les roumains seront relégués en Division B de Ligue des Nations, et éliminés de la Coupe du Monde 2030 sans sortir de leur groupe. Certains, comme Adrian Mutu (devenu consultant) ou Miral Radoi lui-même, feront part de leur déception :

"Nous n’avons jamais été habitués à prendre part à de grandes compétitions, on est un pays de seconde zone, quoi qu’on en dise. Mais c’est dommage qu’il n’y ait pas de changement. […] Nous avons un des plus grands joueurs du Monde et un sélectionneur expérimenté, alors pourquoi avons-nous l’impression qu’il ne se passe rien ?" - Adrian Mutu

"On va célébrer le fait qu’Olariu vient de battre le record de buts détenu par Hagi et Mutu, mais personnellement, je vois ça comme une chose inquiétante. On a un buteur exceptionnel, mais nos performances ne s’améliorent pas, et quand on regarde les matches, on voit qu’il ne participe pas beaucoup au jeu. Il ne faut pas croire qu’il est intouchable. […] Sans vouloir l’accuser de quoi que ce soit, je pense que son coeur est resté en Angleterre." - Miral Radoi

La saison 2030-2031 sera probablement la moins brillante de sa carrière. Pochettino, insatisfait du mercato conduit par son club, tente un coup tactique et cantonne Olariu sur l’aile droite. Le coup ne paye qu’à moitié : si Olariu devient beaucoup plus altruiste (délivrant 14 assists cette année-là), la défense Citizen prend l’eau. Le Chelsea de Martin Alderton en profite pour chiper un titre de champion d’Angleterre, ravivant la rivalité entre les deux champions. Pour des raisons qui restent floues, Pochettino se fâchera avec sa hiérarchie, et démissionnera dés la fin de la saison.

Commence alors le mandat de Jurgen Klopp. Et tandis qu’Alderton quitte le championnat anglais pour rallier le PSG, un autre narratif commence…

2031-2032 verra Olariu évoluer dans un rôle de n°10, pas complètement inconnu pour lui, mais différent de ses habitudes. Avec « seulement » 18 buts et 7 assists, il n’éblouit pas le championnat, et laissera penser qu’il est déjà sur le déclin. Son jeu se banalise, quand bien même ses qualités techniques en font toujours un joueur important. Cependant, l’essentiel est ailleurs : grâce à une régularité collective satisfaisante, City s’octroie un nouveau titre de champion d’Angleterre.

Le 31 décembre 2032, à 27 ans, Alin Olariu annonce la venue au monde de son premier enfant : une fille nommée Alessandra. Giovanna Crippa, la mère, déclarera avec beaucoup de clairvoyance que « l’année 2033 commence sous de bonnes augures ». Et en effet, l’année qui suit sera historique pour Alin…

En 2033, Olariu revient en force : 28 buts en 30 matches, 3e Ligue des Champions remportée, 5e Ballon d’Or. Plus déterminé que jamais, sa rage de vaincre sera accentuée par les doutes auxquels il fait toujours face en Roumanie, suite à la non-qualification de cette dernière pour le Mondial 2034. En Angleterre, les médias peinent à trouver quelqu’un à opposer au champion roumain ; ni Mathieu Rio (Liverpool) ni Henrique (Chelsea) ne rivaliseront aussi bien que Alderton l’avait fait. Les journalistes déposent les armes : Olariu est le Fenomenul, aucun joueur ne sera considéré comme meilleur (ou au moins aussi bon) en Premier League sur cette période.

Pour la saison 2033-2034, le City de Klopp rase tout sur son passage, sans donner l’impression de forcer. Fort de ses 29 buts, Olariu soulève sa 5e Premier League. Cette victoire, actée très tôt, sera conclue par le départ de Klopp, qui souhaite prendre une année sabbatique, et qui sera remplacé par son compatriote Thomas Tuchel.

Et puis, alors que tout le monde avait détourné le regard, une série d’évènements vont ramener de l’intérêt en Premier League.

Manchester City achète Martin Alderton au PSG, pour 109 millions d’euros. Enfin, les médias se réveillent ! Alderton et Olariu, autrefois rivaux indirects, allaient maintenant évoluer sous les mêmes couleurs. L’anglais profite de ce transfert pour déclarer toute l’admiration qu’il a pour le Fenomenul.

"Alin se comporte comme quelqu’un de 40 ans à qui on a donné la possibilité de revenir à ses 15 ans, en gardant tous ses souvenirs. Il a l’air tellement serein, il est tellement bon pour anticiper les coups, qu’il donne l’impression d’avoir déjà vécu tous les matches qu’il dispute. C’est un honneur d’avoir joué contre lui, c’est un honneur encore plus grand de jouer avec lui." - Martin Alderton, octobre 2034

Cette année, City sera tout bonnement injouable. L’explosivité du duo Alderton - Olariu (44 buts à eux deux) permet à Manchester de remporter la Premier League 2034-2035, soit la 6e d’Olariu et la 3e d’Alderton. En Ligue des Champions, seule une victoire miraculeuse du Real Madrid en finale empêche les Citizens de tout raffler. Cette domination offrira à Olariu un 6e Ballon d’Or, juste devant…Martin Alderton !

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, la Roumanie commence enfin à performer. Les Tricolorii remontent en division A de LDN et se qualifient pour l’Euro 2036 malgré un groupe pas évident. Olariu, enfin décisif sous sa bannière nationale, est bien déterminé à offrir quelque chose à son pays, et à faire taire les critiques dont il était la cible. À 31 ans, et sur une pointe de démagogie mielleuse, il avait déclaré :

"Maintenant que j’ai une famille, je comprends un peu mieux le mécanisme d’attachement aux gens qui nous ressemblent […] C’est pour ça que je me sens motivé de gagner avec la Roumanie. Il est temps de rendre à mon pays tout ce qu’il m’a apporté."

L’année 2035-2036 commence sur un faux rythme. Blessé pendant 3 mois, Olariu réalisera sa saison la moins impressionnante d’un point de vue statistique : 15 buts en 24 matches. Même rengaine pour Alderton, coincé à l’infirmerie à cause d’une blessure au dos.

Bien qu’il finisse la saison sans titre, c’est de cette année dont Olariu a probablement gardé les plus beaux souvenirs. En mai 2036, Giovanna donne naissance à une 2e fille, prénommée Elena. Alin est aux anges, et va canaliser son regain d’énergie en l’une des plus belles épopées de sa carrière.

La Roumanie atteint le dernier carré de l’Euro 2036. L’élimination cruelle des Tricolorii (aux t.a.b. contre la France, futur vainqueur de la compétition) n’enlève rien à l’exploit collectif ; la Roumanie est l’équipe frisson de ces championnats d’Europe. Olariu inscrit 5 des 9 buts de sa nation, se montre décisif contre la Croatie puis la République Tchèque, finit meilleur buteur du tournoi, et rachète définitivement son âme aux yeux des supporters roumains. En empochant son septième Ballon d’Or au passage.

Comme une revanche définitive sur la vie, les éloges se font enfin entendre sur les plateaux de télé :

"On ne lui retirera jamais le fait que l’Euro 2036, c’était l’Euro d’Olariu. Il a été stratosphérique." - Catalin Popescu, journaliste sportif

"Avant le tournoi, il jouait la fibre patriotique, je trouvais ça exagéré. J’avais peur qu’il se ridiculise, je pensais qu’il allait retomber dans ses travers. Mais il m’a enfin donné tort, et je suis content qu’il l’ait fait." - Adrian Mutu

"Rien que son match hors normes face à la Croatie suffit à en faire une légende absolue de notre sport national. Les français ont Zidane contre le Brésil en 2006, les argentins ont Maradona contre l’Angleterre en 1986, nous avons Olariu contre la Croatie en 2036." - Edi Iordanescu, sélectionneur

Probablement troublé par la redescente d’adrénaline, Olariu réalise une nouvelle saison blanche en 2036-2037, malgré 25 buts en 35 matches. Sentant son corps moins vivace et les défenses adverses plus alertes, Olariu adopte un profil beaucoup plus collectif. Un choix discutable, mais qui payera vite : l’année d’après, Olariu devient le joueur le plus ingénieux et le plus élégant d’Angleterre.

En 2037-2038, Alin Olariu adopte un jeu beaucoup plus aéré, avec moins d’affrontements au coude-à-coude. Il demandera spontanément à Tuchel d’être remis sur les ailes, à un poste beaucoup plus en retrait qu’à l’accoutumée. Une démarche qui semble puer la prétention, mais dont City récoltera les fruits. Cette année, tout, absolument tout, réussit à Olariu : 26 buts, 20 assists, 14 mentions d’Homme du Match et une 4e Ligue des Champions remportée face au Real.

Comme le bon vin, Olariu se bonifie avec le temps. À 33 ans, à l’aube de ce qui pourrait être sa dernière Coupe du Monde, le mythique attaquant roumain aux 104 buts en 148 sélections compte marquer les esprits. Dans un groupe comprenant la Corée du Sud et le Salvador, la Roumanie a un coup à jouer. Et s’il existe un mot plus fort que « légendaire », alors gardez-le dans un coin, et préparez-vous à le ressortir pour qualifier Alin Olariu après le prochain Mondial…

À quoi peut bien penser un homme qui se sait parmi les meilleurs de l’Histoire dans son domaine ? Que se dit Olariu, quand il se regarde dans la glace le matin, et qu’il sait qu’il a 7 Ballon d’Or à son palmarès ? Alin est un joueur tellement exceptionnel qu’on ne peut même plus le comprendre comme un humain normal. Il faudra peut-être encore quelques années avant de décortiquer pleinement le personnage, mais une chose est sûre : l’enfant moqué qu’était Olariu serait fier de l’adulte adulé qu’il est devenu.

Alin Olariu s’est lancé dans le football pour avoir le respect de ses camarades ; il a eu l’admiration de la Terre entière. Dans le fond, est-il vraiment important de chercher à comprendre le dénominateur commun derrière tous ses coups de génie ? Une partie du charme de ce joueur résidait justement dans sa capacité à ne pas être facile à lire, et à toujours surprendre son vis-à-vis. Comme un bon tour de magie, il vaut mieux ne pas chercher où est le truc, et se laisser bercer par le spectacle.

Alors si, cet été, en zappant au hasard sur TF1, vous découvrez une petite équipe de Roumanie menée par un attaquant trentenaire élégant et serein, asseyez-vous quelques secondes, et appréciez le spectacle. Car il n’y aura plus jamais un joueur de football comme Alin Olariu.

Attributs d’Alin Olariu à 33 ans

Carrière (J’ai accidentellement coupé les intitulés des colonnes ; ils vont comme suit : matches - buts - assists - mention Homme du Match - note moyenne)

Biographie (la vraie, sans les 2-3 petits arrangements que j’ai induit moi-même :kappa:)

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Mais quel dieu du foot :pepeshocked:

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La suite, la suiteeeee

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Une bien belle histoire ! C’était vraiment cool à lire en tout cas. Mais quel joueur le jeu à générer :open_mouth:

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Tout à déjà été dit.
Quel article de qualité.
Un pur plaisir

Et ce joueur quel monstre

Hâte de découvrir d’autres articles de ce type très belle idée.

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Franchement top!
Par contre il n’aura pas fait de saisons « complètes » en championnat, son physique est en cause?

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Splendide, simplement. Avec un ton à l’exact opposé de ce que tu proposes habituellement, c’est amusant ! Tu excelles aussi bien dans le sérieux que dans l’humour, bravo. :slight_smile:

Superbe joueur, et quelle dernière saison pour lui ! J’ai hâte de connaitre le parcours Roumain en Coupe du Monde.

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@LindexV « Dieu » n’étant pas exagéré ici, IRL ce mec serait mi cote-à-cote avec Messi FACILE :pepeshocked:
@Le_genie_tactique Oui bah ça arrive, ça arrive
Petit scarabée impatient
@BlackRabbit85 Quel joueur, en effet. Je sais pas comment marchent les probas dans FM, mais là c’est le un sur un million :damned:
@kevos Merci :hugs: Il y en aura peut-être d’autres, mais avant je dois trouver une épopée qui vaut la peine d’être contée, et surtout le TEMPS d’en refaire une
@yunn13 Il a en effet tendance à avoir beaucoup de « petites » blessures (et parfois quelques grosses). Et puis je n’exclus pas que ses coaches l’aient fait tourner pour le préserver. Mais peut-être que ses stats sont moins précises, dû au fait que je n’ai pas chargé le championnat anglais (j’ai seulement la liste des vainqueurs).
@Guillaume Ah, avouez que vous ne vous attendiez pas à me découvrir une facette sérieuse comme ça, hein :sac:

Salut bande d’ânes bouffeurs de merde, et bonne année !

Pour inaugurer cette 2022e saison de IRL, que diriez-vous d’un peu de football russe ? Avec l’année prometteuse que nous a pondu l’Arsenal Tula récemment, beaucoup d’espoirs reposent sur l’exercice 2038-2039 du club de JPC, et il ne fait aucun doute que la Премьер-Лига de cette année sera FUN à bien des égards :supervillain:

Mais hop hop hop hop hop ! Voilà, j’ai fait une cinq-hop.

Avant ça, il faut parler de la Roumanie :rou: . J’ai été content de constater que mon faux article a plu à quelques lecteurs, et que, malgré la longueur du post et les tournures de phrases alambiquées, une poignée d’entre vous ont apprécié l’initiative. Merci pour les retours, je ferai peut-être d’autres articles dans ce style à l’avenir…mais en plus court hein :sac:

Ceci étant dit : la Roumanie, mesdamezémessieurs !

Sortie de son groupe à la 2e place (derrière la Corée du Sud), la Roumanie a été éliminée par le Brésil à cause d’un penalty en début de rencontre. Un parcours sans surprise dont ne faisait PAS partie Alin Olariu, ce dernier n’ayant pas été retenu lors de l’enregistrement des 23 de la Roumanie (peut-être à cause d’une blessure, je n’ai pas vérifié).

La Coupe du Monde 2038 aura néanmoins fourni son lot de moments forts, comme l’élimination de la France par la terrifiante Jamaïque

Domination outrageuse, pelletée d’occasions vendangées, penalty loupé en prolongations…tout y était, un véritable désastre comme on n’en voit que dans les rêves érotiques de la Fédération Française de la Lose. Et POURTANT, je continue de penser que l’équipe de France se porte mieux sur ce screen que sous les ordres de Raymond Domenech entre 2007 et 2010 :kappa:

Autre moment fort de ce Mondial : l’incroyable parcours de l’Autriche, qui ira jusqu’en finale, où elle connaîtra le destin le plus cruel qu’une équipe de football peut connaître. Et je pèse mes mots : je me suis amusé à regarder les temps forts en commentant le match dans ma tête (tmtc), et même moi, j’avais mal pour eux.

Imaginez-vous à la place de Nico Koch : obtenir un penalty à la 90e minute, en finale de Coupe du Monde, pouvoir offrir le plus beau trophée qui soit à la toute petite Autriche…et voir le gardien adverse plonger du bon coté. Perso, j’en dormirais plus. On peut dire qu’il a…loupé le Koch :kappa:

Bon allez, revenons à Toula. Mais ça va nous prendre du temps, parce que Toula, c’est loin. C’est…Toulà-bas :kappa:

Comme d’hab :

Les pronostics pensent que je vais finir 13e du championnat. Je ne sais pas comment est conçue l’estimation des pronos dans FM, mais le fait qu’une équipe de C1 soient prévue en milieu de tableau, je trouve ça étonnant et assez intéressant.

Enfin, il y a un truc qui m’intéresse encore plus, c’est de donner tort à ce prono !

Hey bah mon vieux :poggers:

Seulement deux défaites sur ces 15 premiers affrontements, quelle belle moitié de saison ! Et ça aurait pu être ENCORE mieux, si il n’y avait pas eu des moments comme ça :

Pour mettre un frein à mon irrésistible progression, FM s’est arrangé pour que mes joueurs aient la force mentale d’un militant LFI. Résultat : plusieurs craquages incompréhensibles dans les ultimes minutes, et au moins 4 points gaspillés bêtement. C’est dommage, car il y a peut-être un GROS coup à jouer !

5e les gars ! Une possible place en Conference League nous tend les bras !

Le classement a une gueule qui me plait bien, parce qu’on voit des groupes se former et plein de petites luttes locales pour rythmer la fin de saison. Le trio de tête joue le titre, les trois suivants cherchent une place européenne, tout le milieu se tient sur 21 points, et même les équipes de la zone rouge (pourtant larguées) ont un coup à jouer avec les barrages.

Finalement, pour faire un bon club de football, pas besoin de faire de gros efforts. Il suffit d’impliquer tous les membres de notre famille : notre tante juive, notre cousin musulman, notre grand-père orthodoxe, et bien évidemment, notre mère catho !

Beaucoup de départs et deux arrivées dont un prêt. Regardons ça.

Laissé libre par le CSKA, Konyukhov est un bon défenseur et une addition de qualité à notre arrière-garde. Son salaire est néanmoins un gros point noir.

Prêté par le Dinamo Moscou, le jeune Isaev vient occuper un poste de n°10 où la hiérarchie n’était pas clairement établie. Malgré ses jolis attributs et son jeune âge, nous tenons là une fabuleuse erreur de casting, vous allez voir :sac:

Très belle saison de ma charnière 100% ukrainienne. Terletskyi alterne entre une importante contribution défensive et de longues passes destructrices en attaque ; son profil est assez bien complété par celui de Zaderaka.

Davtyan fait un travail correct devant, parfois aidé par Yaroshenko, et souvent alimenté par Sangaré depuis l’aile gauche.

En défense, Konyukhov s’est bien intégré, et est même devenu notre meilleur défenseur. Les autres ont une forme un peu trop irrégulière pour que je me prononce, bien que je sois satisfait du jeu de tête de Golubev.

Coté déceptions, en revanche, je note DEUX noms :

  • Yerokhin sur l’aile droite : il avait très bien débuté sa saison, puis il s’est complètement refroidi depuis.
  • Isaev en milieu offensif central : son ratio de passes ratées me fait revivre le même sentiment que la fois où une fille de ma fac a remarqué que je commençais à perdre mes cheveux.

Tactiquement, pas encore de stratégie fixée, mais c’est voulu, car l’IA est parfois habituée à l’un des deux schémas, mais pas à l’autre. D’autres fois, elle semble s’habituer en cours de match, et peut-être que ça explique les craquages en fin de rencontre :thinking:

Bon alors là euh

Les finances vont devenir aussi difficiles à assumer que les opinions politiques d’un militant RN de 16 ans sur Internet.

Pourtant, les sous rentrent hein !

Mais bon, je serais pas contre une prime de compétition continentale (voire quelques gros salaires en moins) pour reboucher le trou qui va se creuser

Toula est dans la course à l’Europe ! Rien n’est joué, mais cette saison part sur de très belles bases. Si le mental y est, la saison pourrait très bien finir pour JPC et ses hommes.

À bientôt les kheys.

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ça sent le genre de blague que les Autrichiens n’aimeraient pas entendre après une telle finale, ça serait leur équivalent à eux du carton rouge de Zidane en 2006 :sac:

Roh, t’inquiète pas qu’avec tous les crétins qui vont voter Z aux prochaines élections, ce militant il aura pas à cacher tant que ça ses opinions politiques

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Si tu te mets à avoir des bons résultats maintenant…

Et ce recrutement plutôt carré comme la Corée.

Et ça j’achète

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Superbe début de saison. 13 points d’avance sur le premier baragiste, ton maintien est quasiment déjà assuré.

Pour Isaev, essaies peut-être de lui changer de rôle.
Ou le faire redescendre d’un cran avec les 2 autres milieux. J’avais déjà été dans ce cas, avec un très bon MOC sur le papier, qui enchaînait les matchs dégueulasses.
Le fait de le faire descendre d’un cran, ça avait changé complètement ses performances, et amélioré les performances de l’équipe.
Je ne sais pas trop pourquoi, je suis un piètre tacticien. Peut-être qu’il était moins isolé et pouvait mieux distribuer le jeu plus bas. Vu qu’il n’a pas des qualités de finition terribles , ça vaut peut-être le coup d’être tenté.

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J’ai ri, bêtement, mais j’ai ri :grin:

Un grand poète et philosophe, un certain Ducky, aurait dit que ce qui était court t’allait bien :sweat_smile:
Je rend hommage au disparu.

La aussi, j’ai ri comme un gland :sweat_smile:

Ouais non mais la, si tu me pique mon job, ça va plus hein :grin:

Tula presque ton exploit !

J’ai quand même un humour alakon, parce que la dessus, j’ai cru que j’allais recracher ma gorgée de flotte par le nez. Je suis faible :joy:

Ou alors, tu sais juste pas comment faire jouer ton équipe en vrai, du coup tu teste au pif :grin:

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Excellent début de saison !

La petite blague sur le joueur autrichien, c’est con mais j’ai ris.

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La Jamaïque est donc devenu un monstre pendant que les autrichiens continue de s’offrir aux allemands. Finalement il y a des cycles qui se répètent :kappa:

Aller la place en Europe! Comme ca tu pourras commencer à gratter la CAF européenne pour te sauver le cul !

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Tu sors ton stock de blagues pour entamer l’année??

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