:storyred: :s34: Escapade chez les Soviets, BILAN FINAL

dommage pour la C1 asiatique, rageant de pas passer juste pour un but
tu es le bourreau du championnat kirghize !
Stress Wtf GIF

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L’Andorre est un paradis fiscal, donc le fait qu’un andorran se retrouve au Qatar c’est pas si con. :thinking:

Je crains que ce choke soit fatal au coeur de notre JPC :sac:

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Oh bordel quelle demi-saison. Le championnat est quasi plié et la désillusion est tellement intense en LDC. Je n’ai pas les mots, mais je partage ta douleur mon cher ami

Je pense qu’avec un bon mercato, il y a peut-être moyen de taper quelques clubs en plus en LDC

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(Y’a 15 autres saisons du même acabit dont certaines dans des pays quasiment aussi-perdus :sweat_smile:)

Sinon c’est dommage ce but à la 91eme, l’exploit aurait été total

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La particularité de la C1 asiatique c’est que l’Est et l’Ouest sont séparés jusqu’à la finale.

Dommage pour la qualif loupée de peu. Cela mériterait bien un second passage pour voir si tu peux accrocher un huitième.

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@WarsawBucher Le budget est d’autant plus surprenant que les joueurs ici ne coutent rien, donc je peux potentiellement me faire bieeeen plaisir avec les meilleurs joueurs des divisions inférieures. Ça fait donc ça, d’être à la tête du PSG :sac:
@celiavalencia Un but, je dirais même 10 secondes. On était quasiment au coup de sifflet final quand on se l’est pris
@LindexV Oh merde, cette théorie prend vachement de sens tout à coup :damned: gg je suis un peu jaloux de pas y avoir pensé
@BlackRabbit85 Possible, si les tirages ont toujours ce niveau et que le Turkménistan voisin accepte de nous céder quelques uns de ses regens 5 étoiles, on peut faire de Kant une vraie powerhouse du football d’Asie Centrale :thinking:
@AlphaBet17 Voilà une mentalité que j’aime bien, des regens en or dans des pays paumés, ça c’est du FM de kalitay
@Missille Bruh, j’ai passé toutes ces années de ma vie de FMiste sans jamais savoir ça enfin je savais pour les tours préliminaires mais pas pour la vraie compet entière :pepeshocked: Ça explique pourquoi je ne tire que des clubs du Moyen-Orient du coup :sweat_smile:

Voilà les gars, on y est ! C’est le dernier épisode d’Escapade Chez les Soviets !

Trente-quatre saisons d’une carrière sinueuse et mémorable nous ont mené jusqu’ici, et il est temps pour Jean-Pierre Christian de boucler le dernier chapitre de ce gargantuesque roman. Nous aurons l’occasion de célébrer ces trois décennies de football dans quelques jours, lors du bilan final du récit (j’ai d’ailleurs fait une découverte surprenante vis-à-vis d’une de mes anciennes équipes, mais je vous réserve la révélation pour le prochain post). En attendant, parlons kirghize !

La saison avait excellement bien commencé pour l’Abdish-Ata Kant : les champions en titre semblaient imprenables, et l’avance dont nous bénéficiions (il y a bien deux i, c’est pas une faute) laissait penser que le titre ne serait plus qu’une formalité.

Le Dordoy Bishkek reste néanmoins à l’affut, avec quelques points de retard sur nous, mais beeeeeaucoup de points d’avance sur les autres. Si la lutte à distance semble déjà avoir tourné à l’avantage de mon club, ce serait une erreur d’enterrer nos dauphins sur la base de cette avance plus friable qu’elle n’y parait… :face_with_monocle:

Mais avant, parlons de la SUPERCOUPE ! Comme Kant a réalisé le doublé l’an passé, ce sont les 2e du championnat 2050, Alay, qui vous nous affronter.

Sauf que cette saison, Alay semble avoir perdu son excellente forme d’antan… Depuis, les trajectoires respectives des deux adversaires du jour sont diamétralement opposées.

Quelle arrogance :poggers:

Kant ajoute un nouveau trophée à son armoire, et celui-ci a été acquis dans des circonstances tellement ODIEUSEMENT abusées que je commence à penser que FM veut me faire un cadeau de départ.

Sans déconner. On prend un rouge à la 3e minute, on se prive de notre meilleur DC pendant TOUTE la rencontre, et malgré ça, on finit sur un 3-0 rapidement sécurisé et complètement mérité. Damn, j’aurais dû commencer ma carrière à Kant, ça aurait vraiment bien sur mon CV :sac:

Bon allez, revenons au championnat.

Bishkek nous bat et Karabalta remonte 2 buts pour accrocher notre seul match nul de la saison (en championnat). Ce seront les deux seules non-victoires de ce semestre ; autrement, Kant a confirmé son statut de maestro absolu du championnat.

Et sans surprise…

Le Dordoy Bishkek était donné largement favori, et ils ONT tenu leur rang ! Mais à géant, géant et demi : Kant conserve son titre, et JPC est une nouvelle fois champion du Kirghizistan ! J’ai connu pire, comme dernière sortie :sunglasses:

Oh pardon, on m’annonce dans mon oreillette que ce n’est PAS ma dernière sortie, car il reste une finale de Coupe du Kirghizistan à débuter.

JPC a donc l’occasion de réaliser un triplé, et comme si la chance n’était pas ASSEZ de mon coté comme ça, c’est contre une équipe en méforme que nous allons nous battre : le Bazar-Korgon.

Hey bien ma foi, la boucle est bouclée :hoho:

Il aura fallu attendre la dernière année de ma carrière pour me voir écraser un championnat, mais ça aura eu lieu, enfin :sac: Jean-Pierre Christian part à la retraite avec trois trophées remportés, une campagne prometteuse en LDC, et quelques nouveaux faits d’armes à raconter à ses petits-enfants au coin du feu.

En parlant d’enfants !

Ouais bah pas de surprise hein

Avec ce trio Temirbaev - Babynin - Hamrakulov, mon attaque n’a jamais vraiment été peinée par des problèmes de finition. Et avec Mambetaliev - Tashiev - Chikishev en défense, je n’ai pas NON PLUS à m’inquiéter des défenses adverses.

En vrai j’ai envie de dire du bien de tout le monde, car tout le monde a été incroyable cette année. Même les remplaçants des remplaçants, j’ai envie d’être lèche-botte avec eux. Mais bon, comme disait ma coloc quand elle revenait de soirée : « on ne peut lécher qu’une botte à la fois » (Elle a pas exactement dit ça, mais j’ai changé une voyelle pour que ça reste tout public :kappa:)

En vrai j’ai envie de simuler 5 ans dans le futur, juste pour voir ce que mes successeurs vont faire de ÇA :

Faut dire qu’une seule prime de victoire correspond à dix fois nos dépenses annuelles sur le mercato, forcément que ce club allait imprimer les billets par planche de mille :money_mouth_face:

Nan vraiment, je suis curieux de voir ce que réserve l’avenir avec ça.

Mes chers lecteurs, mes chères lectrices, ce triplé conclut la toute dernière saison de la carrière de JPC, et le tout dernier épisode régulier de ce récit. Je garde mon stock de belles phrases et de métaphores vaguement inspirées pour le bilan final qui arrive bientôt, et en attendant, j’attire votre attention sur une belle coïncidence, et une façon assez cocasse de clore cette aventure :

Le tout dernier match de la carrière de JPC était son 1200e, tout rond. Comme un signe du Destin, comme une façon de dire que, à la fin, tout revient proprement à sa place. C’est donc une fin COMPLETEMENT opposée à celle qu’a connu l’Union Soviétique, je pouvais pas faire plus hors-sujet comme conclusion :kappa:

Mais soit, c’est sympa. On aura vu ce qu’il y avait à voir, maintenant, je peux regarder dans le rétro et admirer le chemin parcouru. Comme quand je finis mon footing et que je me retourne pour voir la cote que j’ai réussi à gravir, en me disant que, quand j’étais en bas, je ne m’imaginais pas arriver en haut même si généralement je me retourne pour mater les fesses des joggeuses que je croise, mais j’ai pas trouvé comment faire une méthaphore footballistique sur ça

À bientôt pour le post de conclusion, et si vous avez une ULTIME question…ouais nan je refais pas de conférence de presse, la flemme là :kappa: Juste à bientôt :person_raising_hand:t2:

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Joli triplé national! Dommage de pas avoir confirmé avec la LDC mais ca reste très solide pour finir tes 1200 matchs sur le banc!

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Le triplé national magnifique :partying_face:

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Félicitation pour se magnifique recit :trophy:

Très belle dernière saison :+1:

Hâte de lire le prochain :slight_smile:

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Top ce triplé pour terminer en beauté

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Magnifique triplé national pour finir en beauté cette carrière !
Toujours aussi fan de ton style d’écriture et tes stories, j’ai déjà hâte de lire la prochaine :grimacing:
Un vrai plaisir d’avoir pris le temps de lire tout ça, et magnifique coïncidence de terminer sur 1200 matchs tout pile ! Chapeau !

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Y’a aussi des gens qui font des gardiens de but d’1m50 donc les regens en or…

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JPC qui termine à 1200 match et par un triplé. Superbe façon de conclure cette carrière.

J’espère que la prochaine sera beaucoup plus galère. Parce que cette fin et trop belle. :grin:

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Ce récit était nul.
J’ai vomi cinq fois.

:sac:

Mais non, je déconne, six fois.

Bon allez, pour être sympa, c’était quand même un chouette récit :slight_smile:

:grin:

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ça a manqué de lose, tu devrais changer ton pseudo…

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Encore un récit grandiose ! Bravo à toi pour ces 34 saisons !

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@BlackRabbit85 @LindexV @jp1809 @Rhino @thomasprlr @Lincoln6Echo
@WarsawBucher @Pikouse Merci les enfants, ça fait plaisir
@AlphaBet17 C’est peut-être un très bon gardien d’1m50
1m50 mais déter
@RicoAllain Avec le recul, en vrai, y’a quand même eu des moments bien moisis :hoho:

Truuuut truuuut truuuuuut

Coup de sifflet final !

Après avec joué trente-quatre saisons avec dix équipes, après avoir connu moult péripéties aux quatre coins de l’URSS, après avoir fait parler de lui des confins de l’Asie centrale aux stades les plus bouillants du Brésil, Jean-Pierre Christian tire sa révérence.

Mais pas si vite ! Histoire de ficeler proprement cette longue aventure en un tout cohérent, je vous propose, en guise de conclusion, une rétrospective des moments clés de la carrière de JPC. Alors mettez-vous dans l’ambiance, la lecture commence.

Résumé

Le 10 juillet 2019, un coach russe méconnu et sans expérience débarque à Ungheni, dans l’ouest de la Moldavie, pour prendre en main le club local en train de rater sa saison. Personne n’imaginait les implications de cette signature, mais ce jour-là, Jean-Pierre Christian était né.

L’anonyme coach russe allait faire ses premiers pas avec un club en difficulté en D2 moldave. À peine arrivé, et avec peu de temps pour parfaire sa prépa, JPC se fait des sympathisants en réalisant une fin de saison prometteuse :

« Prometteuse » étant le mot juste ici ; surtout quand on voit comment Ungheni se débrouillera l’année suivante :

En 2020, JPC empoche sa première promotion, son premier titre, et ses premières bribes de notoriété. La machine est lancée :supervillain:

Vient alors la D1 moldave, mais là, on est vraiment un niveau au-dessus. En l’absence de préceptes tactiques clairement établis, JPC se fait bien malmener pendant un an, et n’obtient le maintien que de peu :

Mais nous l’avons fait ! Ungheni, dans son costume de fébrile promu, tient tête à l’Élite moldave et se fait une place en D1. Place qui sera consolidée d’année en année, jusqu’à ce que le club se retrouve aux portes de l’Europe :astonished:


Classement à la fin de la saison 2023


Finale de la Coupe de Moldavie 2023, perdue

À la fin de cette saison 2023, Ungheni n’avait jamais été aussi haute dans la hiérarchie du football moldave ; il devenait clair qu’un avenir européen pouvait être envisagé. C’est à ce moment précis que…JPC a changé de direction, estimant que cette première expérience lui en avait assez donné comme ça, et qu’il restait beaucoup de coins à découvrir.

~ Acteurs importants ~

Quelques joueurs ont été particulièrement importants sur cette période, alors rendons-leur hommage.

Regen issu de ma toute première cuvée, Ovidiu Lazar a été mon buteur star pendant plusieurs années. J’étais content qu’un joueur du terroir s’impose comme il l’a fait, mais Lazar a bien galéré en dehors du répère « Ungheni + JPC ». Il ne connaitra jamais l’Europe avec son alma mater et finira sa carrière en D2 / D3.

L’évolution de Sergey Bobrov est beaucoup plus intéressante. Non content d’avoir été le meilleur DC d’Ungheni (voire le seul bon DC d’Ungheni :kappa:) pendant 8 ans, il s’est payé quelques expériences avec d’autres gros clubs moldaves, avant d’enchainer sur une carrière d’entraineur adjoint qui aura duré 10 ans.

Milieu de terrain particulièrement plus explosif que les autres, première recrue étrangère de ma carrière, Tcheudjouen a été un élément important des années JPC, bien que toujours dans l’ombre. La suite de sa carrière témoigne du fait qu’il en avait dans le ventre.

~ Et aujourd’hui ? ~

Bien que le club ne soit jamais retourné près des places qualificatives pour l’Europe, un cap a été franchi. Aujourd’hui, Ungheni oscille entre la D1 et la D2, avec une capacité assez exceptionnelle à tout le temps se relever de ses échecs.

Résumé

Et là, alors qu’il avait frôlé la Conference League, JPC fait un 180° et part en croisade dans l’endroit le plus PAUMÉ que le football ait à nous offrir : en 4e division du Tadjikistan.

Quel drôle de choix de carrière, hein. Mais ne vous laissez pas berner par l’aspect capillotracté de cette migration, car l’arrivée de JPC au Parvin Bohtar va amorcer la première Épopée avec un É majuscule de ce récit (ALT + 144 pour ceux qui se demandent)

2024 : une montée en D3, un titre.

2025 : une montée en D2, un titre

2026 : une montée en D1, un titre, ET MEME une finale de Coupe du Tadjikistan !

Une finale perdue, d’accord, mais ce parcours en ligne droite D4 → D1 a suffi à faire entrer JPC dans la légende du football tadjik. Et face à la D1, fort de trois promotions successives, Bohtar ne se défilera pas non plus :

En 2027, le Parvin s’ouvre les portes de la Ligue des Champions d’Asie. Profitant d’un nombre anormalement élevé de places qualificatives attribuées au Tadjikistan, JPC découvre les joies des compétitions continentales.

Histoire de pousser le délire un peu plus loin, Bohtar se permettra même une victoire. Une seule hein, mais c’est historique pour ce pays :sac:

Au niveau domestique, en revanche, ça reste solide :


Classement final 2028


Classement final 2029

Histoire de conclure en beauté son mandat tadjik, JPC ira jusqu’à remporter, en 2029, la coupe nationale :

Faisant ainsi du Parvin Bohtar, en l’espace de 6 ans, un grand nom du foot tadjik.

~ Acteurs importants ~

C’est avec une étonnante régularité que les meilleurs joueurs de cette équipe sont restés quasiment les mêmes du début à la fin :

Alisher Rajabov a été le buteur légendaire de cette équipe…jusqu’à ce que JPC s’en aille, et qu’il décide d’en faire de même et arrêtant sa carrière. Dommage, il avait du potentiel.

Sunnat Rahimov, lui, a bien exploité ses ressources ! Après avoir pris part à la folle cavalcade de Bohtar, il a continué de mettre le feu sur l’aile gauche de quelques autres clubs, avant de raccrocher les crampons avec un statut de légende justement acquis.

~ Et aujourd’hui ? ~

Bonne nouvelle, l’héritage de JPC n’a pas été bafoué. Bien au contraire, il a même été bonifié.

L’entraineur russe est maintenant une légende du club, et les joueurs susmentionnés en sont des grands noms. Cette ascension aurait pu avoir été gâchée depuis, mais il n’en fut rien, et je suis content de la manière dont le Parvin Bohtar est géré depuis la fin de notre histoire commune.

Oh pardon, j’ai dis la fin de notre histoire commune ? J’aurais dû dire « la partie facile » de notre histoire commune. Parce qu’après ça…

Résumé

Ayant acquis la sympathie du peuple tadjik, Jean-Pierre Christian se voit récompensé de son parcours en recevant l’équipe nationale en guise de cadeau.

Ce pays n’étant pas exactement une powerhouse du foot mondial (:kappa:), et les sélections étant plus rigides que les clubs en terme de gestion (pas de transfert, aucune main sur la formation, tout ça), il ne faut pas s’attendre à une saillie footballistique. On peut toujours essayer, en revanche.

Premier bon point : une qualification pour le Mondial 2030.

Deuxième bon point : on accroche AU MOINS un match nul au Mondial 2030. Pas incroyable mais pour nous, c’est un exploit pour nous :hoho:

La première Coupe du Monde de JPC est porteuse d’espoir, et finalement, peut-être que cette sélection tadjike a un avenir !

Pas si vite !

À la Coupe d’Asie 2031, les tadjiks sont éliminés en 8e de finale par leurs rivaux ouzbeks. Ce n’est ni un exploit, ni un échec : nous avons fait exactement ce qui était attendu. C’est donc plein d’entrain que je repars à la course à la Coupe du Monde 2034 :

À laquelle nous nous qualifions, non sans quelques difficultés.

Sauf que…face aux Cafeteros et à la Tchéquie, nous ne gratterons rien, pas le moindre point.

C’est là que j’ai réalisé que le Tadjikistan était coincé dans l’intervalle maudit : trop petit pour secouer les géants, mais trop gros pour se contenter des mêmes miettes que les autres petits pays. Du coup…il n’y a plus grand chose à tirer de cette sélection, autant arrêter là.

Résumé

…pour se concentrer sur Slonim, club de 2e division biélorusse !

Les performances moldaves et tadjikes de notre coach ont attiré le regard de la Russie Blanche. Slonim est en D2, JPC est maintenant connu pour aider ses clubs à monter en D1 : il y a un accouplement naturel qui se fait là


Classement de D2 biélorusse, saison 2030

Mais d’abord, on se fait une place : pour sa première année, JPC fait de Slonim une équipe bien installée au niveau pro. L’équipe est complètement en surrégime, mais un habile mélange de chance et de carry permet de faire croire que c’est mérité.


Classement de D2 biélorusse, saison 2031

Pour la 2e année, Slonim loupe la montée à trois fois rien. On sent que ça va arriver, mais en même temps, ça coince et ça fait mal. Ce club, c’est ma constipation :supervillain:


Classement de D2 biélorusse, saison 2032

Enfin, après trois années, ça passe ! Slonim est en D1, et il s’agit maintenant de le rester. C’est là que l’adjectif « laborieux » prend tout son sens…


Classement de D2 biélorusse, saison 2033


Classement de D2 biélorusse, saison 2034

Car malgré les deux maintiens, on sent que la promotion était une surperformance que le club a du mal à assumer :sac: Sans déconner, je crois bien que ces deux années en D1 biélorusse sont mes pires d’un point de vue comptable, dans ce récit. L’équipe était poussive au possible, c’est un miracle si j’ai pu sortir de là avant que ça n’explose.

~ Acteurs importants ~

Et ça aurait été pire sans ces gens-là :

Joueur à Slonim pendant 7 ans, Khanevich a été l’attaquant le plus décisif dans la course à la montée. Il a fini sa carrière chez nous, et son manque s’est fait ressentir :sac:

Autre attaquant absolument décisif pour la montée : Kondratjev. Lui aussi, j’ai un peu de mal à comprendre pourquoi il a arrêté à 24 ans, alors qu’il avait quand même un sens du but qui lui aurait permis une belle carrière en D2. Les voies de FM sont impénétrables.

Dimitriy Kuzhal est LE joueur auquel nous nous sommes raccrochés pour assurer notre maintien. Sans lui et sa capacité à clutch une victoire sur une frappe chanceuse, Slonim sera retombée en D2 dés sa première année. Comme signe du talent du mec, on peut souligner que, une fois parti dans un autre club, il en est devenu une légende.

~ Et aujourd’hui ? ~


(le cadre rouge c’est mes années au club ; on a atteint le point où les graphes sont suffisamment récents pour voir mes années)

L’après-JPC a été très compliqué ; la descente tant redoutée est venue tout juste un an après mon départ.

Mais, à ma grande surprise, Slonim a assez bien géré les années qui ont suivi : après quelques saisons en D2, le club s’est donné les moyens de revenir dans l’Élite, et de réaliser une poignée de bonnes saisons, certaines effaçant carrément les performances de JPC des registres.

Depuis, Slonim est une « grosse équipe » de D2.

Résumé

À ce moment-là, ma réputation est faite : si votre club d’ex-URSS a besoin d’une montée en D1, administrez-lui un peu de Jean-Pierre Christian, laissez mûrir deux saisons, et le tour est joué.

C’est quelque chose qu’ont bien compris les dirigeants du Shakhter-Bulat Temirtau quand, en 2034, ils offrent un contrat au coach fraichement sorti de Slonim :

Nous voilà en 2e division kazakhe, et fait rare : je ne suis pas arrivé en cours de championnat, j’avais ENFIN une pré-saison à ma disposition :supervillain: Et quand on laisse à JPC le temps de mettre en place son invariable 3-4-3 gegenpress jeu large…on se retrouve avec ça :


Classement final, D2 kazakhe 2035


Barrage de montée

Une saison de très bonne facture, une 2e place amplement méritée, et une victoire en barrages qui assure la D1 au Shakhter-Bulat : ça devient un running gag à ce niveau :doge: Cependant, étant donnée la réputation du championnat kazakhe, ce coup de pub n’est pas à négliger.

Surtout quand il est suivi par un maintien FACILEMENT acquis.

(Au terme d’une saison très, très irrégulière quand même :sac:)

Les objectifs du club ont été atteint, et en deux ans, JPC s’était ajouté une nouvelle expérience positive à son CV. Ça y est, JPC est un coach crédible. De quoi attirer d’autres regards…

~ Acteurs importants ~

Vu que je ne suis pas resté ici très longtemps, les joueurs marquants seront juste ceux qui ont le plus performé sur ces deux ans :person_shrugging:t2:

Deux buteurs qui ont fini leur carrière à Temirtau, pas longtemps après mon départ. C’est dingue, mes successeurs ne croient vraiment pas aux chances de mes poulains :damned:

~ Et aujourd’hui ? ~

Bon alors autant Slonim a su repartir de l’avant malgré les échecs post-Christian, autant Temirtau s’est complètement vautrée au fil des années, et est aujourd’hui en D3 avec des finances dans le rouge :sadpepe: La tristesse de ce graphe bordel, j’ai l’impression d’être un père qui découvre que son fils est fan de Kpop.

Résumé

Deux ans au Kazakhstan auront suffi à Jean-Pierre Christian pour prouver qu’il est capable de transformer n’importe quel club en une écurie de première division. La question qui se pose maintenant est : en quoi JPC peut transformer un club qui se trouve DEJA en première division ?

La réponse à cette question s’appelle l’Arsenal Toula.

Добро пожаловать в Россию ! 18 saisons après le début de sa carrière, Jean-Pierre Christian peut enfin entrainer dans son propre pays Et le défi est de taille, car, pour cette fin de saison 2036-2037, il faut sauver l’Arsenal Toula, au bord de la descente.

La mission sera accomplie…de justesse.

Maintenant, il s’agit de s’arranger pour que la descente ne soit plus jamais une aussi grosse menace.


Classement final de D1 russe en 2038

En 2038, Toula frôle les places européennes. Cette saison surprenante offre à JPC une récompense à forte valeur symbolique : le titre de meilleur coach russe de l’année.

Ça y est, tout le monde connait mon nom, l’Europe n’est vraiment plus très loin…c’est presque comme si la saison suivante s’écrivait d’elle-même.


Classement final de D1 russe en 2039

Boum, voilà, Jean-Pierre Christian va prendre part à sa première Europa League ! Et oui, j’ai bien dit Europa League et non Conference League, car Toula a bénéficié d’un petit surclassement grâce à la situation financière du Dinamo Moscou :

C’est un peu casse-gueule d’être projeté aussi haut, aussi vite, mais Toula va bien gérer cette pression, en atteignant les 16e de finale de la C3 pour sa première participation :

Malheureusement, les moyens limités du club ne lui permettent pas de jouer sur tous les tableaux : la même année, le club a dû sacrifier le championnat pour se permettre ce parcours européen :frowning_face:


Classement final de D1 russe en 2040

On en arrive donc à LA saison

LA saison

En absence de C1 / 2 / 3 et avec la confiance au maximum, l’Arsenal mise tout sur le championnat, et passe à un poil de soulever le championnat russe. C’était le plus beau trophée national que nous aurions pu gagner, et des micro-chokes répétitifs mais évitables nous en privent :sob:

Un immense regret m’emplit, et en même temps, cette saison est la plus belle de l’histoire du club. Jean-Pierre Christian fait maintenant partie des grands noms du football russe, et la participation prochaine de Toula à la Ligue des Champions ne va faire que renforcer ce statut.

Sortie d’un groupe pas évident, Toula sera éliminée en 8e de finale par Liverpool. Encore une fois, c’est un parcours loin d’être ridicule, encore plus pour un baptême du feu, et ça pose des bases prometteuses pour l’avenir de l’Arsenal.

SAUF qu’il a encore fallu sacrifier le championnat pour en arriver là :

Et comme j’étais moyen-chaud pour continuer sur ces cycles biannuels, cette saison 2041-2042 sera ma dernière en Russie.

~ Acteurs importants ~

Comme Toula était, mine de rien, un gros club, beaucoup de joueurs objectivement pas dégueulasses ont enfilé le maillot rouge et jaune.

Le plus bandant de tous ayant probablement été Garik Davtyan ! Meilleur buteur du championnat, fer de lance de l’attaque pendant neuf ans…le mec n’est pas encore à la retraite, mais son nom fait déjà partie de la grande histoire des canonniers. Il n’a pas toujours été régulier, mais avec le recul, le nom de ce talentueux enfoiré continue de me coller des gaules footballistiques en diamant brut.

Ailier gauche dont la concurrence a eu du mal à chiper la place, Sangaré est, lui aussi, un joueur essentiel de mes années à Toula. Surtout au tout début, quand le club n’avait pas tout à fait pris ses marques…

Terletskyi est l’un des meilleurs milieux axiaux que j’ai eu sous mes ordres dans ce récit. Et le bougre est attaché au club, puisque, aujourd’hui, il y est responsable du recrutement :smiley:

NB : ceci n’est pas son « vrai » visage, mais pour une raison mystérieuse, la ligne qui associait une photo au joueur dans le fichier de config a été effacée :thinking: Du coup j’ai pris une autre image de mon facepack ; j’ai choisi celle-ci parce que j’ai pressenti qu’elle rendrait bien en fille.

Je vous laisse juge de la pertinence de ce critère

Sauf aucun doute le meilleur gardien qui a été sous mes ordres dans TOUT le récit : Mikail Levin. Il a été un grand serviteur de l’Arsenal, il s’est souvent fait remarquer en bien, et en plus, sa carrière n’est pas dégueulasse.

~ Et aujourd’hui ? ~

Toula a baissé en forme, mais ça aurait presque pu être correct…si c’était reparti de l’avant. Malheureusement, l’Arsenal a recommencé à flirter avec la D2. C’est fâcheux, car les finances du club étaient excellentes à mon départ :thinking:

Résumé

L’année 2042 marque un grand changement : on commence à me confier des clubs en mal de titre. Ce cap sera symbolisé par une nomination à la tête du FC Lviv, en D1 d’Ukraine.

Un club qui n’est ni plus ni moins que le nouveau riche du championnat ukrainien, multiple fois champions sur la dernière décennie, tu connais la musique. L’ambition est claire : il faut asseoir l’hégémonie du club sur le football ukrainien.

Avec un effectif dont les stats font dire "hgn putain " et des finances qui donnent envie de se la jouer bling-bling, l’ambition était réaliste.


D1 ukrainienne 2042-2043


Europa League 2042-2043

Première saison : j’empoche la D1 ukrainienne (après avoir disputé une finale de championnat, mais je ne vais pas revenir là-dessus, c’était assez WTF comme ça :kappa:) et j’atteins les 16e de finale de l’EL.

Donetsk se venge l’année suivante, et Lviv verra sa C1 2043-2044 comme une longue période de bolossage.

En 2045, c’est Donetsk qui choke sévèrement, et Lviv qui revient en force, profitant d’un calendrier allégé prématurément par une élimination en 16e de finale de la C3.


…avec ce match légendaire notamment…


…et celui-ci, qui ne compense pas le premier, mais bon, on a battu Arsenal quoi.

Et puis en 2046, la confirmation :

Voilà, cette fois, c’est officiel, Lviv est le meilleur club d’Ukraine, et par une bonne marge. Même en Europe, les choses s’améliorent :


Europa League 2045-2046

Bon bah

JPC est venu en Ukraine, il a vu l’Ukraine, il a vaincu en Ukraine. Et comme les championnats russes et ukrainiens sont les plus gros de cette save, que la barre des 1000 matches a été passée et que le FC Lviv risque de tourner en rond quelques années…les pépites de fun restantes se trouvent dans les petits championnats

~ Acteurs importants ~

Enormément de bons joueurs ont porté les couleurs de Lviv, c’était difficile de faire un choix. Si je ne devais en retenir qu’une poignée, ce serait ceux-là :

Zubkov est LA pépite du championnat ukrainien. En 8 ans, il est devenu une légende non seulement du club, mais peut-être du pays entier. Sans aucune doute le plus beau transfert de ma carrière.

Autre monstre absolu : Welder Henrique, patron indétrônable sur l’aile droite. Je pense qu’il s’agit du meilleur joueur, tout court, que j’ai eu la chance d’aligner. Et il avait un équivalent sur l’aile gauche…

Marcello Rodrigues, le joueur qui m’a rapporté le plus cher au moment de sa vente. Bon ET lucratif, vraiment le joueur parfait :doge:

~ Et aujourd’hui ? ~

Il semblerait que le style de jeu prôné par JPC ait eu du mal à être implémenté correctement par mes successeurs :sac: Le club s’est effondré après mon départ, et est encore en train de recoller les bouts aujourd’hui.

Résumé

En parallèle de mes aventures ukrainiennes, JPC s’est vu confier une 2e équipe nationale : la Serbie !

Et la Serbie, c’était une belle histoire, y’a pas à dire. Mais une belle histoire qui n’a pas bien commencé :sac:

Pour mes premières qualifs, la Serbie loupe la Coupe du Monde 2046. La faute à un choke contre la Géorgie :sac:

Il faut réparer cet affront ! Profitant de deux maintiens successifs en Division A de Ligue des Nations, la Serbie va faire le plein de confiance et sortir vainqueur des qualifs pour l’Euro 2048 :

Un Euro qui, LUI, va voir quelques bonnes surprises s’illustrer.

La Serbie finira en tête d’un groupe comprenant la France, et ne sera éliminée qu’en quarts, face aux futurs champions turcs. Voilà, ça, ça vend un peu de rêve :drooling_face:

Dans la lignée de cet Euro satisfaisant, la Serbie réalise une campagne qualificative brillante pour le prochain Mondial :


Qualifs pour la Coupe du Monde 2050

Bon là, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Car en parallèle, mon équipe est reléguée en Division B de LDN. Et alors que l’espoir se mêle à l’incertitude dans un cocktail détonnant…la Serbie fait ÇA :

Un parcours historique, plusieurs gros pays terrassés, et une 3e place acquise contre l’Italie ! La Serbie réalise un Mondial hors-normes, et JPC atteint un nouveau sommet dans sa carrière.

Après ce Mondial, JPC met la Serbie de coté. Il n’y aura probablement plus d’adrénaline comme ça à l’avenir, alors autant atterrir doucement, en retournant dans des clubs obscurs…

Résumé

C’est ce qu’il fera en signant au Vilas Masalli, en 4e division azérie !

Grosse downgrade par rapport à Lviv :hoho: Mais dites-moi…4e division…dans un pays de culture turcique…ce serait pas un nouveau destin à la Bohtar, ça ?

On dirait bien !

2046-2047 : Masalli monte en D3 d’Azerbaïdjan.

2047-2048 : Masalli monte en D2, mais sans titre. Premier signe avant-coureur que les choses ne sont pas si simples :sac:

Et là 2049, patatras ! Le coup d’arrêt !

On sentait que les eaux troubles de l’Azerbaïdjan seraient plus difficiles à naviguer que celles du Tadjikistan ; ça n’a pas manqué : Masalli s’est échoue en D2, la faute à un excès de confiance du coach.

Et ce coup d’arrêt me démotive un petit peu, car je me voyais bien refaire un D4 → D1 épique et héroïque. Alors, après une nouvelle tentative, beaucoup plus prometteuse…


D2 azérie 2049-2050

…mais non couronnée de succès, il a été entendu qu’il serait préférable de mettre les voiles, et de se faire une pré-retraite tranquille dans un endroit encore plus paumé.

~ Acteurs importants ~

Masalli reste un club assez unique dans ce récit, pour plein de raisons. La première, c’est que c’est le seul club qui finit ses saisons beaucoup mieux qu’il ne les termine. Mais surtout, c’est le seul club où les joueurs clés se sont relayés sagement d’année en année :

Nihat Salmanov nous a aidé à monter en D3.

Parviz Tariverdiyev nous a aidé à monter en D2.

Et Babayev semblait bien parti pour nous faire monter en D1, mais ça, c’est pas encore fait :sac:

Tous ces joueurs jouent encore, sans grande surprise.

~ Et aujourd’hui ? ~

Terrible désillusion pour Masalli ; alors que les années Christian donnaient l’impression que le club pouvait jouer la D1, un effondrement soudain a fait repartir le club dans les bas-fonds du football azéri. Tant pis pour eux.

Résumé

On arrive au dernier chapitre de cette aventure. Après avoir échoué à revivre une Bohtar, JPC va se contenter d’accumuler des trophées facilement, en faisant tourner à fond une vieille bécane du Kirghizistan.

Le clutch du siècle en 2050 : on remonte un retard improbable pour réaliser le doublé championnat + coupe nationale, alors qu’il ne restait que 7 matches à jouer.

Rebelotte en 2051 : nous écrasons la concurrence, faisons un 3/3 au niveau des trophées, et on passe même très, très près de passer les poules de la C1 :

Tout s’est joué à…un but à la 91e oui :see_no_evil:

Entre les chokes à Toula et ceux en C1 d’Asie, celui qui trouve que ma partie manque de fails est mauvaise langue :kappa:

Allez, c’était bien, il est temps de clore cette belle aventure.



Statistiques


Palmarès


Récompenses individuelles


Timeline complète

Pour ceux qui se demandent si ce bilan est celui d’un grand coach, la réponse est OUI ! Jean-Pierre Christian est officiellement le 5e meilleur coach russe de l’Histoire :

En revanche, je ne suis pas dans le top 20 mondial…quelle ingratitude, pourtant, rares sont les coaches qui font la D4 tadjike et une demi-finale de Mondial dans la même vie :kappa:


Voilà les lecteurs, on y est. C’est la fin d’Escapade chez les Soviets, et de 15 mois d’aventure footballistique alakon. Ça a été une sacrée année, aussi bien dans ce récit qu’en dehors, et même si la thématique soviétique est assez mal tombée (Ukraine, guerre, tout ça, tout ça :kappa:), je suis content de savoir qu’on est tous restés de la partie, et qu’on a pu continuer à déconner jusqu’au bout.

Merci à vous pour vos interventions, elles ont contribué à l’ambiance du récit, et en tant que FMiste obsédé par l’idée d’immersion, c’est tout ce que je demande. J’avais peur que me cantonner à une seule région politico-culturelle me lasse, mais finalement, je suis assez content du résultat final. Certains d’entre vous ont bien compris l’idée que le sérieux était en option sur mes récits, et c’est quelque chose que j’ai beaucoup apprécié

Maintenant, je vais sortir une Monster, lancer Rocket League, et ranger ce récit dans la longue liste des trucs alakon qui ont émergé de mon esprit désaxé. Merci à tous, à la revoyure

PS : J’ai laissé deux annexes : une où je fais un tour d’horizon du football mondial (qui contient une petite surprise), et une autre où je raconte un peu ma vie, pour ceux qui sont curieux de savoir à quoi ce récit AURAIT PU ressembler si je m’étais trop écouté :kappa:

== Tour d’horizon ==

Résumé

Championnats d’Europe :

Copa America :

Gold Cup :

Coupe d’Afrique des Nations :

Coupe d’Asie :

Coupe d’Océanie :

Coupe du Monde :

Vous l’avez vue ? Oui, la Serbie a atteint la finale de la Coupe du Monde en 2042, deux ans avant mon arrivée. Je l’ai découvert récemment, et ça m’a soulé, parce que du coup, ma 3e place parait un peu moins historique d’un coup :hoho:

== Anecdote random ==

Résumé

Si certains sont intéressés par le racontage de vie, voici une anecdote à l’intérêt limité, que je case là parce que…parce que…bah justement, j’ai pas vraiment de raisons de le caser, donc je le mets là, en vrac.

Un autre récit était en préparation avant celui-là, ça aurait dû un truc expérimental et pas du tout absurde ; ça devait être un mélange entre un récit fantastique et un jeu de piste, basé sur un club de D7 anglaise. Plusieurs épisodes ont été écrits, mais le concept était si perché que j’avais besoin tout écrire (donc de tout jouer) avant de le poster. Finalement, ça ne se fera peut-être jamais. Mais pour vous donner une idée de ce que vous auriez eu, voilà un screen d’un de mes dossiers :

Peut-être pour une prochaine fois, qui sait :smirk:

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A la prochaine copain :slight_smile:

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Si de base je ne suis pas spécialement client des récits un peu wtf, j’ai pris pas mal de plaisir à suivre les aventures de JP Christian. Merci pour le temps consacré en tout cas :clap:

Sinon ça t’arrive de te pencher sur l’historique des dernières saisons des équipes que tu rejoins? :grin:

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Super récit l’ami, j’ai hâte de lire le prochain :muscle: :trophy:

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