Que c’est beau 
« Il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’Aimar. »
Intrigué @Grobov ?
J’espère qu’elle te plaira.
Je préfères garder mes secrets pour préparer le tout sans pression. Mais en vrai je pensais vraiment faire l’impasse. @JoseSoares ou @Akasha confirmeront.
Installe toi bien, on va démarrer doucement mais j’ai encore quelques surprises dans mon sac.
Merci maître.
Merci beaucoup, j’ai préparé ça depuis un petit moment en espérant que cela plaise au plus grand nombre.
vas y fouette moi nigaud 
Sert toi bien tu vas en avoir besoin.
Merci beaucoup ! Y’a du travail derrière. Chaque année j’essaye de faire mieux visuellement. cette année y’a un mélange de créativité, de rigueur et d’inspiration de ceux qui ont le mieux maitrisé mes jouets parfois mieux que moi même comme @Irons ou @_verron.
Merci bro.
Ehhhh oui 
On passe encore un cap. En espérant que cela te plaise.
Arrêtes je vais rougir 
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Je confirme. 
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Grave!
Tout me hype vraiment entre ta présentation et le design, j’ai hâte de voir la suite !
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Allez je vais te hyper encore un peu plus 
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RUMEURS : LE Duo aimar-ayala annoncé un peu partout !
Alors que pablo aimar et roberto ayala ont tour à tour annoncés leur départ du staff de l’albiceleste, la presse argentine se délecte des rumeurs annonçant l’arrivée du duo à la tête d’une multitude de clubs. Tour d’horizon.
Envigado c’est d’abord l’un des meilleurs clubs formateurs du continent capable de sortir des James Rodriguez, des Juan Quintero notamment. Mais c’est surtout un club en difficultés avec une 14ème place lors du tournoi d’ouverture. Le club cherche à se relancer et verrais d’un bon oeil l’arrivée du duo d’argentin pour se relancer.
EL AVISO DE OLÉ : «On voit mal actuellement, Pablo Aimar débuter sa carrière d’entraineur principal en Colombie, et encore moins à Envigado. Si le challenge est intéressant le manque de moyens et de notoriété du club sont clairement un frein malgré un projet intéressant…»
Rosario Central ne fait pas partie des cinq grands clubs argentins, pourtant le club de Rosario qui a formé Angel Di Maria et Giovanni Lo Celso est en constante progression. Le club reste pourtant sur deux exercices compliqués. Eduardo Bauda a été débarqué et Kily Gonzalez a pris sa place. Seulement l’ancien international argentin connais des débuts en deçà des espérances du board.
EL AVISO DE OLÉ : «La piste est crédible mais on reste mitigé sur deux points. Déjà rien ne dit que le board de Rosario cherche effectivement à remplacer Gonzalez mais en plus on a du mal à imaginer Ayala et Aimar qui ont joué longtemps avec Kily dans la course pour le remplacer. À voir.»
Pablo Aimar disponible et prêt à entraîner un club pro, ça fait tout de suite parler et vendre. L’Universidad Chile, l’un des plus grands clubs chiliens a offciellement confirmé son intérét auprès du jeune coach argentin. L’Universidad veut retrouver les sommets et concurrencer l’Universidad Catolica et les chiliens ont toujours eu de bons rapports avec le voisin argentin. L’expérience chilienne de Marcelo Bielsa pourrait peser dans la balance si des discusssions s’engagent entre les deux parties.
EL AVISO DE OLÉ : «Dans la rédaction on y croit, Aimar est fan du Bielsisme et le voir débuter au Chili ferait sens. Toutefois vu son aura, nous continuons de penser qu’il se dirige plus vers l’Europe ou l’Argentine. Mais le fait que l’Universidad confirme des discussions dont inévitablement du crédit à la piste.»
Velez c’est un peu le style de club comme Rosario mais avec plus de palmarès niveau national et surtout avec une Libertadores lorsque Chilavert gardait les cages dans les années 90. Souvent dans le ventre mou le clubs est bien remonté ces dernières saisons sous l’impulsion d’El Gringo Gabriel Heinze. Seulement Heinze a choisit de quitter le club après deux saisons fructueuses dont la dernière ponctué sur le podium du championnat. L’argentin compte rejoindre l’Europe. L’arrivée de Aimar ferait sens mais les candidats sont nombreux.
EL AVISO DE OLÉ : «C’est aussi une destination envisageable pour Aimar et Ayala. Velez est un très bon club, qui forme beaucoup ce qui pourrait correspondre à la philosophie du duo qu’on a déjà vu avec les jeunes de l’Albiceleste. Mais les candidats sont nombreux, pas sûr que Velez donne sa chance à un entraineur débutant avec les nombreux challenges qui attendent le club.»
Palmeiras à une grande tradition italienne, et les origines d’Aimar seront un plus. Toutefois le club est dans une situation sportive délicate. Pas capable de jouer le titre régional comme national, il est en outre sur le point de perdre sa perle locale Gabriel Veron. En difficulté aussi sur le terrain, le club a l’avantage de ne pas avoir d’entraineur en poste et de réfléchir qui nommer. Toutefois Abel Ferreira, le portugais fait office de favori depuis qu’il a été vu dans les locaux du club.
EL AVISO DE OLÉ : «On y croit pas du tout dans la rédaction. Le futur coach de Palmeiras est à 90% Ferreira. Si on sait de source sûr que le dossier Aimar a été étudié il semble peu probable qu’il se concrétise…»
Quand Marcelo Bielsa parle, on l’écoute, encore plus dans son club à Newells. Alors quand l’entraineur de Leeds a déclaré que Aimar fera un excellent coach et que Newells s’est séparé du sien, tout s’imbriqua. Le club argentin serait déjà en contact avec l’ancien international. En débarquant à Newells la pression serait limité. Mais Newells fait partie du club des cinq et nommé une ancienne gloire de River est risqué.
EL AVISO DE OLÉ : «Marcelo Bielsa est une légende en Argentine, et à Newell’s. Quand il parle tout le monde écoute. Si le loco ne tarie pas d’éloges sur le milieu argentin, il n’est pas dit que la direction soit prête à nommé un duo d’anciennes gloires de River Plate ! On y croit mais on veut en savoir plus.»
Le Peñarol c’est le plus grand club uruguayen. Après avoir nommé Diego Forlan avec un succès tout relatif, le club uruguayen a décidé de changer d’un commun accord avec son éphémère coach. Pablo Aimar est une légende en Amérique du Sud. Commencer sa carrière en club avec le plus gros club uruguayen pourrait faire sens. Mais le départ de Pellistri, meilleur joueur du club n’envois pas le bon signal.
EL AVISO DE OLÉ : «Peñarol est dans une phase de restructuration. On y croit pas trop, Pellistri est parti à Manchester, Gargano est vieux et Forlan viens de se rater. Peñarol est il prêt à retenter le coup avec un entraineur débutant ? Pas sûr. La candidature d’un Aimar aurait fait sens il y a un an mais plus maintenant.»
Red Bull apprends de ses diverses expériences dans le football, sachant la popularité du football au Brésil, le groupe mondial a choisit de démarrer bas comme tout le monde avant de fusionner avec un club en difficulté permettant de ne pas tuer son image immédiatement comme en Autriche ou en Allemagne. Friand de jeunes talents, le club regarde aussi les jeunes entraineurs prometteurs et Pablo Aimar entre dans cette case. Il se dit que le club verrait d’un bon oeil l’arrivée de l’ex-international argentin et se serait même positionné officiellement en invitant le coach et son adjoint en Allemagne pour leur présenter la galaxie Red Bull.
EL AVISO DE OLÉ : «C’est une possibilité qu’il ne faut pas occulter, le projet est là et les ressources du groupe Red Bull sont sans limites. Faire venir Aimar c’est s’assurer l’appui local et un oeil avisé sur les jeunes talents du continent. Aimar a t’il envie d’entrainer au Brésil ? On serait tenté de répondre par l’affirmative le coach ayant la réputation joueur de ne refuser aucun défi…»
Quel club va rejoindre Pablo Aimar ?
Envigado
Rosario Central
Universidad Chile- Velez Sarsfield
SE Palmeiras- Newell’s Old Boys
Peñarol- Red Bull Bragantino
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votant
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Hesitez pas à donner votre raisonnement suite au vote 
Penarol, c’est à la fois la certitude d’obtenir très vite des titres, mais aussi de se faire repérer par les mastodontes sud-américain via la Libertadores.
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Bon… J’ai visé un club argentin pour l’intuition du RP Et puis tu as déjà fait Vélez, je me dis pourquoi pas Newells. Raisonnement facile, je sais
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J’adore l’Argentine et mon choix premier était Velez. Mais voila Velez c’est quand même franchement costaud pour sortir du bon regen, le club pourrait vite jouer les premiers rôles sans trop de difficultés.
Penarol, c’est le risque de rouler très vite sur ton championnat, donc non même si ramener ce club historique sur le devant était tentant.
J’ai finalement choisi Rosario Central. D’une j’adore ce club mais je n’ai jamais réussi à en faire quelque chose de bien.
De deux, le palmarès n’est pas ultra garni comme d’autres même si il y a une ligne ou deux d’inscrites.
De trois, j’ai jamais pu saquer le club des Leprosos, j’ai jamais pu encadrer le meilleur joueur sorti de ce club non plus. Comme ça c’est clair 
De quatre, c’est le club argentin de Kempes, rien que ça c’est du positif. Puis lui au moins a gagné une coupe du monde, pas comme d’autres venant du club rival
Donc Rosario Central pour ma part.
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J’ai hésité avec Envigado en Colombie, mais l’idée de te voir concurrencer Universidad Catolica et Colo-Colo m’a fait porter mon choix sur la U.
Le challenge est intéressant, redonner de la gloire à un club aussi mythique que celui ci. Tout en lui donnant l’envergure internationale qu’il mérite.
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Newells me plairait bien, en amateur de Bielsa et du jeu offensif, ça me parait être le bastion idéal pour se lancer.
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C’est cadeau !
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« Le métier d’entraîneur est plus épanouissant que celui de joueur »
Après une expérience intéressante au sein du staff albiceleste de Leo Scaloni, Pablo Aimar aspire à vite s’installer sur le bacn d’un club pour y développer ses idées.
Pablo Aimar peut entraîner une équipe professionnelle. Il a fini les cours d’obtention du diplôme d’entraîneur UEFA Pro. Il lui reste un examen à la rentrée. En attendant, l’ancien milieu de terrain du Valencia, âgé de 41 ans, s’occupe en faisant de l’équitation, une passion familiale, lui qui a acheté deux chevaux à son retour à Bueno Aires. Il roule aussi pas mal à vélo. Et surtout l’ancien coach de la sélection U17, réfléchit beaucoup au métier de coach, à ce qu’il veut mettre en place. Une chose transpire de cet entretien : son énorme envie de trouver un banc de touche cet été et de mettre en pratique ses idées.
« Comment avez-vous vécu le confinement ?
J’ai suivi à distance, depuis Bueno Aires, les cours pour mon diplôme d’entraîneur à raison de deux heures le matin et l’après-midi. Je me suis aussi ennuyé (rire). Cela m’a permis de réfléchir à ce que j’avais fait et à ce que je voulais faire. J’ai revu beaucoup de matches que j’ai dirigés avec les jeunes de l’Argentine. Cela m’a permis de cultiver mes idées en les faisant évoluer.
Dans quels domaines ?
Dans la préparation des entraînements avec de nouvelles approches pour élargir la palette de préparation physique, technique, tactique, du travail spécifique des postes, pendant la semaine de travail, en vue du match.
Comment jugez-vous la reprise des Championnats ?
C’est bien déjà que le foot ait repris. Après c’est bizarre sans spectateur. Je suis heureux de pouvoir revoir des matches. Aujourd’hui dans le football, c’est difficile de voir des choses différentes. Depuis la reprise, je trouve que ça manque de rythme un peu, d’intensité peut-être à cause de la chaleur. C’est plus lent donc tactiquement il faut s’adapter. C’est encore un long chemin, ici en Argentine par exemple le football n’a pas vraiment repris
« UN COACH QUI M’A MARQUÉ : Marcelo Bielsa »
Malgré cette saison particulière, y a-t-il des équipes qui vous plaisent plus que d’autres ?
Il y en a deux que j’apprécie regarder : L’Hellas Vérone, par ses moyens modestes, réussit à rivaliser, sans rester derrière et dans l’attente des fautes adverses. En Espagne, j’ai été impressionné par le Real Madrid depuis la fin du confinement et l’Athletic Bilbao qui propose presque un marquage individuel partout.
Vous appréciez le marquage individuel ?
Oui j’aime beaucoup et cela offre certaines possibilités. Après ça dépend aussi de l’adversaire et des joueurs dont tu disposes.
C’est un système que vous pourriez utiliser ?
Oui. Je l’ai fait parfois avec les jeunes albiceleste. Après face à une équipe très mobile, ce n’est pas toujours réalisable.
Avez-vous suivi les matches de Valence ? Qu’en pensez-vous ?
J’ai un peu regardé. Ils doivent avoir un gros mental. Je les trouve pas mal malgré tout les remous en interne.
Vous avez fini votre cursus d’entraîneur, vous êtes donc prêt à entraîner une équipe professionnelle…
Oui j’ai déjà entraîné avec les jeunes U17 argentins et assisté Scaloni avec les A et cela m’a donné encore plus envie de continuer.
Regrettez-vous d’y avoir signé pour votre première expérience plutôt que de prendre un club ?
Non pas du tout. Je ne pouvais de toute façon pas refuser à partir du moment où le sélectionneur m’avait appelé. D’autres entraîneurs n’avaient pas voulu y aller, c’était un moment très dur pour la sélection et il fallait préparé l’avenir. J’ai beaucoup appris en tant que joueur dans cette catégorie et c’est important pour moi de transmettre. Si je dois regretter quelque chose, c’est la façon dont on a joué les trois dernières rencontres.
C’est-à-dire ?
Sortir le ballon de derrière ce n’est pas toujours aisé avec des joueurs en difficulté… J’aurais pu faire autrement avec moins de prise de risque.
On en revient à votre envie pour 2020-2021…
Mon idée est de trouver un banc de touche cet été. J’ai envie de mettre en pratique ce que j’ai appris. De m’améliorer chaque jour, de devenir de plus en plus fort. J’aime ce métier, je me demande même si je ne vais pas l’aimer davantage que celui de joueur. Il est plus épanouissant. Je ne sais pas encore ce qui m’attends mais j’ai plusieurs pistes en Amérique du Sud et en Europe, il va falloir faire le bon choix.
C’est-à-dire ?
La sensation la plus belle c’est de voir ton équipe prendre du plaisir, de voir que les joueurs ont bien compris le message et que ce dernier est le bon pour mettre en danger l’adversaire. Je découvre cette sensation. Elle est magnifique.
Vous voyez-vous entraîner en Argentine ailleurs qu’a River ?
Je connais bien la plupart des championnats majeurs, je ne suis pas bloqué sur un pays ou un club en particulier même si je ne me vois pas entrainer le Boca Junior ou Villarreal par exemple. Il faudra qu’il y ait un partage sur la vision du projet, sur la composition de mon staff, sur la collaboration avec les autres composantes du club. Si un projet débute bien, il a de grandes chances de bien se finir.
Et le River Plate ?
Le River Plate ce n’est pas une réalité puisqu’il y a un entraîneur en place (Marcelo Gallardo). En plus c’est un grand ami à moi. Mon idée prioritaire aujourd’hui est d’entraîner et de bien le faire. Je veux continuer à développer mes idées sans regarder le nom des équipes.
Il y a un peu plus d’un an vous étiez encore l’entraîneur des moins de 17 ans de l’Argentine. Que vous inspire les départs précoces vers l’Europe de Adolfo Gaich, Bruno Amione, Nehuen Perez ?
Je les ai entraînés tous les deux en moins de U17 et en 19 et j’aurais aimé qu’ils restent plus longtemps en Argentine. Ils ont les qualités pour jouer en pro en Argentine et développer le football argentin. J’espère que les autres qui arrivent, comme Dario Sarmiento vont pouvoir s’y faire une place. Dario est un gros travailleur, un très bon joueur mais il semble proche de Manchester City.
Ces nouveaux départs témoignent d’un souci de gestion des jeunes au centre de formation en Argentine ?
Il y a beaucoup de talent après il faut les mettre en condition pour qu’ils arrivent en équipe première et y jouent. Le soucis principal c’est que les clubs argentins et même brésiliens n’ont pas les moyens des clubs européens, et ces derniers cherchent les talents de plus en plus jeunes. L’exode des talents est inexorable
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Je suis allé chercher un 3ème 
Impossible de deviner où il va atterrir ce cher Aimar 
Le suspense sera bientôt levé 
L’impatience est présente
On attend ! 
J’ai voté Envigado. Je suis le seul et je vous emmerde 
J’aime bien le côté club que je connais pas et les argentins, avant de revenir chez eux en grandes pompes, ils aiment s’expatrier dans les pays alentours se faire la main.